Le mouvement panafricain «Nous sommes la solution» exhorte à promouvoir une transition continentale des engrais chimiques de synthèse vers les biofertilisants et les biostimulants. Ledit mouvement fera cet appel au Forum africain sur les systèmes alimentaires, prévu ce lundi 1er septembre 2025 à Dakar.
«Nous sommes la solution», un mouvement panafricain, invite le Sénégal à saisir le Forum africain sur les systèmes alimentaires qui se tient à partir de ce 1er septembre 2025 à Dakar, pour annoncer un plan de transition vers les biofertilisants, afin de remplacer 50% de l’utilisation de fertilisants synthétiques d’ici 2030. D’après la présidente du mouvement panafricain, membre de l’Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique (Ajac), le Sénégal, en tant qu’hôte du forum, est particulièrement bien placé pour mener cette transition continentale.
Le mouvement panafricain «Nous sommes la solution» exhorte à promouvoir une transition continentale des engrais chimiques de synthèse vers les biofertilisants et les biostimulants. Ledit mouvement fera cet appel au Forum africain sur les systèmes alimentaires, prévu ce lundi 1er septembre 2025 à Dakar.
«Si nous voulons vraiment avoir la souveraineté alimentaire, il faut promouvoir la pratique agro-écologique. Pour ce faire, il faut commencer par revitaliser nos terres appauvries par nos systèmes agricoles. La promotion des biofertilisants et des biostimulants est une urgence», a plaidé Mariama Sonko, qui faisait face à la presse au Centre agro-écologie Karonghen wati naaning de Niaguis.
Elle rappelle que la dépendance de l’Afrique à l’égard des engrais synthétiques importés constitue une triple menace pour la stabilité économique, la santé des sols et de l’environnement, mais également la souveraineté alimentaire. «La volatilité des prix, la fuite des devises étrangères et la dégradation des sols compromettent la productivité et la résilience», a déclaré Mariama Sonko. Son mouvement estime que les Biofertilisants et les Biostimu-lants (B&B) doivent être intégrés dans des politiques publiques complètes fondées sur des principes agro-écologiques.
«Si nous voulons vraiment avoir la souveraineté alimentaire, il faut promouvoir la pratique agro-écologique. Pour ce faire, il faut commencer par revitaliser nos terres appauvries par nos systèmes agricoles. La promotion des biofertilisants et des biostimulants est une urgence», a plaidé Mariama Sonko, qui faisait face à la presse au Centre agro-écologie Karonghen wati naaning de Niaguis.
Elle rappelle que la dépendance de l’Afrique à l’égard des engrais synthétiques importés constitue une triple menace pour la stabilité économique, la santé des sols et de l’environnement, mais également la souveraineté alimentaire. «La volatilité des prix, la fuite des devises étrangères et la dégradation des sols compromettent la productivité et la résilience», a déclaré Mariama Sonko. Son mouvement estime que les Biofertilisants et les Biostimu-lants (B&B) doivent être intégrés dans des politiques publiques complètes fondées sur des principes agro-écologiques.
AVEC LEQUOTIDIEN