Les 1000 volontaires qui sont recrutés pour lutter contre la spéculation sur les prix sont en colère. Ils déclarent n’avoir été ni formés encore moins payés par l’autorité qui s’est servie de leurs images lors du Magal et en ce moment avec le Gamou.
Les 1000 volontaires de la consommation sont en colère. Ils montent au créneau et révèlent n’avoir été ni formés encore moins payés. Selon ces volontaires de la consommation, leurs images ont été utilisées lors du Magal et présentement avec le Gamou mais qu’ils ne sont toujours pas actifs depuis leur recrutement. Ils parlent d’utilisation de leurs images à des fin de manipulation et demandent au premier ministre de prendre ses responsabilités pour leur cas.
Les volontaires dénoncent l’utilisation de leurs images à des fins de manipulation
Concernant leurs indemnités de juillet qui auraient été payées, les volontaires renseignent n’avoir pas reçu un franc de cette indemnité. Ils révèlent avoir remis leurs numéros de téléphones à leur autorité de tutelle qui les aurait transmis au trésor mais que jusqu’à présent, rien n’est fait. Très en colère, ils réclament le respect de leur droit
suivant les termes du contrats signés.
Ils interpellent le premier ministre sur leur situation
Au Sénégal, l’inflation est décriée par les populations qui
sont victimes de spéculations sur les denrées et produits.
À cause des taxes les prix des denrées et produits de
consommation courante flambent à un rythme intenable,
poussant les populations à appeler au secours.
La nécessité de revoir les taxes pour atténuer le poids
de l’inflation
En tout cas avec ces hausses de prix en cascade, la vie qui
était déjà excessivement chère est devenue intenable pour les ménages. Il est arrivé avec la spéculation que le prix du sac de sucre atteigne 31500 frs, dépassant toutes les
prévisions de hausse. Le bidon d’huile a eu à être vendu à 22500 frs. Il arrive que les prix qui sont homologuésflambent.