Le front social se met en ordre de bataille

Le pacte social de Diomaye Sonko qui n’a pas résisté aux revendications des syndicats est entrain de se transformer en un vaste front social avec des syndicats prêts à se battre.

Diomaye et Sonko qui font face à un vaste front social se rendent compte que leur pacte social ne prospère pas devant des syndicats qui attachent du prix àla satisfaction de leurs revendications.

Les syndicats qui attachent du prix à leurs revendications sont prêts à se batte contre le gouvernement
En fait, quelques petits mois après la proposition d’un pacte social , Diomaye et
Sonko font face au plus grand front syndical depuis leur arrivée au pouvoir. À ce jour, les enseignants, les travailleurs des collectivités locales, les blouses blanches, les consommateurs, les paysans, tout ce beau monde n’est pas content du gouvernement de Sonko. En tout cas avec ce vaste front social en cours , on peut dire que le pacte social du
tandem a définitivement volé en éclats

Le Pacte social du tandem vire en un large front social contre eux

Dans le secteur de la santé, l’accalmie est de courte durée. Les syndicats qui étaient en négociation avec le gouvernement n’ont pas été convaincus par les propositions qui leur ont été faites. Ils ont déterré à travers la centrale And Gueuseum, la hache deguerre. Avec les mots d’ordre de boycott du travail, les perturbations suivent avec leur lots d’inconvénients ‘ Dans le domaine de l’enseignement, le G7 est déjà en position de combat avec des débrayages et grèves totale

La conséquence de la colère des syndicats,c’est la paralysie du service public

Les usagers des hôpitaux, les apprenants,, les usagers des collectivités sont
directement concernés en tant que victimes des perturbations. Des revendications qui tournent essentiellement autour de la valorisation des conditions de travailleurs sans la santé, les collectivités, l’enseignement, les disparités salariales, des questions de primes, de statut sont les principales revendications posées par les travailleurs. Les travailleurs des collectivités dénoncent une injustice dans le traitement des fonctionnaires. Au moment où beaucoup de travailleurs peinent à obtenir des allocations légitimes, certains fonctionnaires des régies financières se retrouvent avec des primes consistantes. Les médecins, garants de la santé publique,, les enseignants et les autres travailleurs de la santé qui font partie des piliers de l’administration, peinent à joindre les deux bouts.

Des travailleurs qui réclament une justice salariale depuis longtemps

Cette situation crée une fracture sociale et morale dans l’administration sénégalaise,
où la justice salariale semble inexistante. Il y a pas que les syndicats qui ne sont pas
contents. Les consommateurs, les paysans, sont eux aussi en colère. En fait, à l’inflation des prix des denrées s’est ajoutée une augmentation du coût de l’électricité qui met d’avantage les consommateurs en colère.
Les consommateurs se plaignent du coût intenable de la vie
La multiplication des fronts rend la tâche difficile au gouvernement. Ils sont pour le moment calmes mais les concessionnaires du nettoiement menacent très souvent de
mettre les moteurs de leurs camions à l’arrêt. Ils réclament le paiement de la dette
qui leur est due par l’ Etat. À chaque fois qu’ils mettent à exécution leur menace, la capitale du Sénégal renoue avec le jonchement d’ordures dans les artères de la ville avec tous les risques sanitaires que cela peut entraîner. À noter que le réchauffement du front socialn’épargne pas les ferrailleurs.