La tension est montée d’un cran en République démocratique du Congo (RDC) après la répression, dans le sang, dimanche, d’une manifestation organisée à l’appel du comité laïque de coordination, une structure informelle liée à l’Église catholique. Le processus électoral, piloté par une commission critiquée de toutes parts, n’inspire pas confiance, au point d’épaissir le doute autour du respect du calendrier publié, sur fond de contestation, en novembre 2017, prévoyant la tenue des élections présidentielle et législatives le 23 décembre 2018, après plusieurs reports. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, le professeur Thierry Nlandu dresse un premier bilan de cette marche et affirme que la pression ne sera pas relâchée, dans un contexte où le président Joseph Kabila, qui n’est pas autorisé à se porter candidat après l’expiration de son second et dernier mandat en décembre 2016, use de subterfuges et de manœuvres dilatoires pour jouer les prolongations le plus longtemps possible. Lire la suite
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