Ces temps ci, le Haut conseiller Mamadou Omar Bâ a constaté que la question du troisième mandat est agitée çà et là, aussi bien dans l’opposition que dans la mouvance présidentielle par certains mais pas tous. Il a tenu, par conséquent, à donner sa position pour éclairer l’opinion. Pour lui, le peuple est prêt pour qu’au Sénégal un président n’ait que deux mandats.
Le Haut conseiller des collectivités territoriales Mamadou Omar Bâ sur la question du troisième mandat qui est agitée çà et là aussi bien dans l’opposition que dans la mouvance présidentielle par certains mais pas tous, en donnant sa position, a confié d’abord, que le président tel qu’il le connaît, ne pense pas du tout à un troisième mandat parce qu’il est certain qu’il veut que son nom reste dans l’histoire. Mais aujourd’hui, le Sénégal, a-t-il mesuré, est en train de construire sa démocratie et il faudrait que le problème de deux mandats soit une tradition pour que, quelque soit le président qui viendra demain, il aura l’obligation d’avoir deux mandats, et cela va continuer ainsi de suite.
Le Haut conseiller des collectivités territoriales Mamadou Omar Bâ sur la question du troisième mandat qui est agitée çà et là aussi bien dans l’opposition que dans la mouvance présidentielle par certains mais pas tous, en donnant sa position, a confié d’abord, que le président tel qu’il le connaît, ne pense pas du tout à un troisième mandat parce qu’il est certain qu’il veut que son nom reste dans l’histoire. Mais aujourd’hui, le Sénégal, a-t-il mesuré, est en train de construire sa démocratie et il faudrait que le problème de deux mandats soit une tradition pour que, quelque soit le président qui viendra demain, il aura l’obligation d’avoir deux mandats, et cela va continuer ainsi de suite.
Donc, estime-t-il, il faut une première et la première, c’était avec Abdoulaye Wade, a-t-il précisé. Malheureusement, il ne l’a pas réussi, peut-être à cause de certaines pressions venant de son propre camp, mais aujourd’hui, croit-il, le Président Macky Sall n’a pas cette pression, bien vrai qu’il y a des mauvais conseillers tapis dans l’ombre et qui essayent de l’influencer. Pour le Haut conseiller Mamadou Omar Bâ, les conseillers ne sont pas toujours les payeurs, et demain, si quelqu’un lui donne le conseil de briguer un troisième mandat, ce n’est pas cette personne qui va payer les pots cassés, mais c’est Macky Sall lui-même. Parce que le peuple est déjà prêt pour qu’au Sénégal aucun président n’ait plus de deux mandats. Le Haut conseiller pense que ce problème de 3e mandat ne peut être qu’une supputation, un épiphénomène, car, a-t-il fait comprendre, il y a aujourd’hui au Sénégal, une conscience populaire qui veut qu’au Sénégal aucun président n’ait à faire plus de deux mandats. Il croit donc que ceux qui mijotent un éventuel troisième mandat, ce ne sont que des forces tapies dans l’ombre et qui essayent de sauvegarder des privilèges qui les poussent à penser ainsi.
À ceux qui pensent que le Président Macky Sall a l’intention de briguer un 3e mandat, il leur dit qu’ils se trompent bougrement et qu’ils se taisent à jamais, car ce qui est dans l’esprit des gens, n’anime guère le Président de la République, Macky Sall, et pense qu’il n’a jamais été dans ses intentions.
À ceux qui pensent que le Président Macky Sall a l’intention de briguer un 3e mandat, il leur dit qu’ils se trompent bougrement et qu’ils se taisent à jamais, car ce qui est dans l’esprit des gens, n’anime guère le Président de la République, Macky Sall, et pense qu’il n’a jamais été dans ses intentions.
Cependant, par précaution et par mesure de prudence, en frère, camarade de parti et ami, en qui il voue respect et considération, il lui conseille de faire très attention à de mauvais conseils que certains de son entourage n’hésiteraient pas à lui donner pour se maintenir au pouvoir à ses dépens et qui ne lui profiteront pas au regard du peuple. Le sort de l’ancien Président de la République, Me Abdoulaye Wade, a-t-il avisé, est là, patent et doit lui servir de leçon et lui ouvrir grandement les yeux au cas où il serait tenté d’y penser. Son seul succès et sa victoire, lui conseille-t-il, seraient de finir son mandat avec des résultats plus que satisfaisants sinon plus que le précédent qui lui ont valu l’aval du peuple aux dernières échéance, et, éventuellement, s’il le désire, préparer sa succession.
C’est tout ce qui lui restera à faire et qui le grandira aux yeux des grandes nations et à la face du monde, lui a-t-il conseillé.
C’est tout ce qui lui restera à faire et qui le grandira aux yeux des grandes nations et à la face du monde, lui a-t-il conseillé.