Le choix d’un partenaire est capital dans l’accomplissement de nos rêves, de notre réussite dans la mesure ou il influence grandement notre vie. Loin d’être un cerveau creux, le fils du Président de la République avait, nous apprend, d’autres conquêtes. Qui, à, qui mieux-mieux, faisaient du plat c’est à dire cherchaient à séduire, à ferrer Amadou Sall en vue d’une relation amoureuse.
Loin d’être une tête brulée, l’illustre fils de Marième Faye n’était pas sans savoir que certaines d’entre elles trichaient dans leurs “sentiments amoureuses” pour la bonne et simple raison qu’il est le fils du Président de la République.
Dans le tas, il rencontre Sokhna Vadimatou Aïdara (à l’état civil). Entre Amadou Sall et celle qui partage désormais sa vie, a appris de ses réseaux d’informateurs que sa dulcinée habite, contrairement à ce que d’aucuns pensent, dans la capitale Sénégalaise.
En effet, Mme Sall loge sur la VDN, à un jet de pierre de la maison de la mamy d’Amadou Sall (la mère de la Première Dame). Ce sont ses parents (ndlr:la famille Chérif Aïdara) qui habitent Thiès.
Il nous revient que dès leur première rencontre, ils ont eu le coup de foudre. Amadou et Fatima (comme on la surnomme) sont, du coup, tombés amoureux des onze mille vierges, autrement dit épris comme ce n’est pas permis.
Fatima fera preuve de confiance et montrera à l’homme de ses pensées qu’elle a de la dignité et de la valeur. Elle prouvera qu’elle est à suffisance persévérante dans les épreuves et qu’elle dispose d’une oreille attentive pour une écoute active.
Bref, devenus inséparables, mais loin des indiscrets, ils voient la vie relativement de la même façon. Naturellement pas totalement car, les divergences (d’origines, de statuts, de hobbies, de tempéraments…) diffèrent, mais comme a t’on coutume de dire, les contraires s’attirent et s’ enrichissent au fil du temps.
N’empêche, Amadou Sall , entamera, nous apprend-on, une enquête approfondie sur elle. Normal, serait-on tenté de dire. Aidé en cela par le cercle restreint de ses amis, entre autres connaissances tapies à des niveaux insoupçonnées, il scrutera, discrètement ,passera au peigne fin le passé, les expériences notamment sentimentales et tout le reste concernant Fatima “pour, bien évidemment s’assurer que c’est la bonne personne”
Il aura la confirmation que cette femme si douce, qui le rend dingue, est bel et bien la fille de Chérif Néma Aïdara ibn Chérif Abdoul Aziz Aïdara. Qui plus, elle est descendante du prophète Seydouna Mohamed (PSL) de par ses aïeuls (Cheikh Sadhbou Aïdara).
Qui plus, Amadou Sall a été séduit par les qualités de sa Fatima, telle que la discrétion, la patience, l’altruisme, l’endurance, l’humilité, la coquetterie …
Mais, ce qui a surtout marqué le fils de celui qui tient les manettes du pouvoir Exécutif sous nos cieux n’en demeure pas moins la beauté morale de Fatima allusion faite, nous souffle t’on, à la perfection de la religiosité de la femme et de ses bonnes mœurs. “Cette femme qui priorise les valeurs familiales est la copie conforme de Marième Faye, dame connue pour sa piété et cela a beaucoup pesé sur la balance” glisse à messe basse un parent d’Amadou Sall.
Et, c’est connu: plus la femme est pratiquante et se caractérise par ses bonnes mœurs, plus elle est aimée et plus l’issue du mariage avec elle sera heureuse. C’est que la femme pieuse observe les ordres d’Allah, Exalté soit-Il, s’acquitte de ses devoirs envers son époux au niveau de leur relation intime, de l’éducation de ses enfants et de la préservation de ses biens. Elle l’aide à obéir à Allah, le Très Haut, en Le lui rappelant. Lorsqu’il se lasse, elle réchauffe son zèle et lorsqu’il se met en colère, elle s’évertue à rechercher son agrément. En effet, la femme bien élevée traite son mari avec affection et respect, ne néglige jamais ce qu’il aime la voir accomplir et ne donne pas la priorité à ce qu’il ne veut pas entreprendre. Lorsqu’on demanda au Prophète, Salla Allahou `Alaihi wa Sallam : ” Qui est la meilleure des femmes ? ”
Sa réponse fut : ” C’est celle qui réjouit l’œil de son mari, obéit à celui-ci lorsqu’il la sollicite et ne fait pas de sa personne ou de ses biens ce qui lui répugne.” (Ahmad et An-Nassaa’i).
AVEC DP