Les enfants de Keur Serigne Mbaye couverts de cadeaux…

La présidente du mouvement «Ma région, Ma patrie, Je m’engage», Sadaga Ndiaye, dont l’idéal c’est de servir ses compatriotes au lieu de s’en servir, a offert de nombreux cadeaux aux enfants du quartier Keur Serigne Mbaye Sarr de Diourbel.

Très attachée à son terroir et aux valeurs intrinsèques de partage, d’entraide et de solidarité, la présidente du mouvement «Ma région, Ma patrie, Je m’engage», a fait savoir que l’objectif, c’était de communier avec les enfants de Diourbel, de Keur Serigne Mbaye Sarr en particulier, «pour partager avec eux des moments d’allégresse comme jadis nous l’avons eu dans notre tendre enfance».

Avec les temps qui courent, a-t-elle attiré l’attention, ce n’est pas toujours facile et évident pour les parents d’offrir des cadeaux à leurs progénitures parce que les moyens manquent souvent. C’est pourquoi, pour eux, c’était vraiment opportun de partager avec ces enfants, car a-t-elle considéré, un enfant, son sourire, n’a pas de prix.

Il faut toutefois signaler que son geste a rencontré le bonheur chez ces enfants, et a été très bien apprécié et salué par toutes les populations du quartier qui ont beaucoup prié pour elle. Sadaga Ndiaye a rappelé, par ailleurs, que son mouvement est né spontanément, et que c’est un mouvement de développement et d’entraide. Leurs actions concernent d’abord les hommes, les femmes et les jeunes, avec qui ils vivent dans le quartier où le mouvement est né. Ça leur permet, en un premier temps, de s’unir pour le développement de leur quartier. Mais, ils comptent bien l’étendre dans les autres quartiers, et également, au niveau national.

Pour le moment, la patronne de «Ma région, Ma patrie, Je m’engage» a confié que leurs actions se limitent à Diourbel, au quartier Keur Serigne Mbaye Sarr, et une partie du quartier Mame Cheikh Anta. Son ambition, a-t-elle fait valoir, c’est de participer pleinement au développement de Diourbel, d’autant plus que les populations le souhaitent et comptent sur eux.

Devant cette attente, nourrie d’espoir, a-t-elle conclu, ils ne peuvent pas rester indifférents, les bras croisés.

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