«Déjà, la première fois quand le docteur a dit qu’il était malade, j’ai dit : ‘‘Ce n’est pas grave, on va le soigner’’. Et là, le docteur a ajouté, ‘‘il n’y a pas de traitement’’. Je dis que ce n’est pas possible. Sur le coup, je ne me suis pas rendue compte, j’ai fait des recherches sur internet et, par contre, lui ne voulait pas savoir le nom de la maladie.” et de poursuivre : “Quand on lui a annoncé la maladie, il était bien et ne voulait rien savoir. J’ai regardé sur le net, j’ai pleuré, en disant : Mais c’est horrible. Il m’a dit : ‘‘Mais Marie, arrête de pleurer, dans la vie, il y a le bon et le mauvais côté’’. Je me suis dit : Comment est-ce possible qu’il parle comme ça ?.»