En effet, des faits nouveaux viennent corser l’affaire de la mort du bébé de la famille Saleh, morte dans la nurserie.
Ainsi, la famille consternée estimé être plongée dans un véritable film d’horreur où il ressort en plus de l’homicide involontaire, la mise en danger d’autrui. Ce nouveau rebondissement, renchérit notre source, ” matérialise la mauvaise foi caractérisée, assortie des traitements sur la dépouille du bébé qui pourrait être qualifié de torture et d’actes d’ignominies”.
Si l’on suppose que les morceaux de peaux envoyés à ce laboratoire sont ceux du Bébé, l’on se demande “pourquoi avoir pratiqué une telle atrocité sur la dépouille d’un bébé sans avoir informé et demandé l’autorisation des parents. Et, pourquoi à aucun moment de la procédure, la Clinique et ses complices n’ont pas mentionné notamment au niveau des dépositions faites auprès du Commissariat du plateau que des morceaux de peaux ont été prélevés sur la dépouille ?”, S’interroge-ton.
Par ailleurs, précise la famille, à partir du moment où le bébé est décédé dans des conditions suspectes, il est du ressort des éléments de police et de l’administration judiciaire de décider des pratiques à opérer sur la dépouille. En l’espèce, il a été décidé par la police de pratiquer une autopsie.
La conclusion de l’autopsie qui a été pratiquée sur la réquisition de la police s’est opérée au DANTEC par deux praticiens, l’un avec le grade de professeur, le second grade de Docteur en médecine. Leur conclusion ne souffre d’aucune ambigüité. Elle est sans appel, « …mort à la suite de brulures étendues avec asphyxie secondaire à une surchauffe et un confinement prolongé ». Il est par conséquent évident que la responsabilité de la clinique et de ses préposés sont engagés, martèle-t-on du côté de la famille de la victime où l’on indexe une velléité ” de faire diversion, à travers des pratiques occultes, blasphématoires et ignobles pour uniquement sauver des intérêts commerciaux sans respect de la dignité humaine”.
A noter que la conclusion de l’autopsie qui a été pratiquée sur la réquisition de la police s’est opérée au DANTEC par deux praticiens, l’un avec le grade de professeur, le second grade de Docteur en médecine. Leur conclusion ne souffre d’aucune ambigüité. Elle est sans appel, « …mort à la suite de brulures étendues avec asphyxie secondaire à une surchauffe et un confinement prolongé ». “Il est par conséquent évident que la responsabilité de la clinique et de ses préposés sont engagés” : conviction de l’entourage familial.