Pétrole, Gaz, milliards empruntés , Surtaxe : Sans impact sur les souffrances de Gorgorlou

Gorgorlou n’a-t-il pas raison de se poser des questions sur l’utilité du pétrole, du gaz, des milliards qui sont empruntés et de la surtaxe ? En tout cas, il n’est pas difficile de constater que malgré l’exploitation de ces deux ressources, les milliards qui sont régulièrement empruntés et la surtaxe à outrance, la souffrance des populations augmente.

Au Sénégal où le pétrole et le gaz sont en cours d’exploitation, les emprunts obligataires se multiplient et les taxes de plus étendues et excessives, la cherté de la vie qui préoccupe tous les Gorgorlous au point de retenir l’attention des Évêques du Sénégal lors de la dernière Conférence Épiscopale ne faiblit pas’. En d’autres termes, au Sénégal, les pauvres
Gorgorlous attendent leur part de l’exploitation des ressources et des milliards empruntés ainsi que de la surtaxe. À quand l’impact du pétrole, du gaz et des milliards empruntés dur la vie des Gorgorlous ? L’exploitation des ressources et les milliards empruntés et la surtaxe n’impactent pas encore sur le coût de la vie. La baisse des prix des denrées décidée par le gouvernement, peine à d’éteindre sur le coût très élevé de la vie. Sans compter les pénuries qui sont souvent notées sur certaines denrées comme le sucre.

S’agissant de la surtaxe font le fardeau est déplorée partout, elle n’épargne pas les
cantines scolaires et le transport des élèves qui sont obligés de mettre la main à la
poche pour le renflouement des caisses de l’Etat.

Les cantines scolaires et le transport des élèves ne sont pas épargnés par la surtaxation à outrance Ce qui accroit la charge des pères et mères de famille, déjà éprouvés par la conjoncture

économique. Au Sénégal où le verrou de la subvention sur les produits et services de
consommation courante n’est pas blindé, on assiste souvent à une flambée des prix
avec des conséquences directes dans le panier de la ménagère ainsi que sur les dépenses de la famille.

Des pères et mères de famille qui se démènent comme pas possible pour faire vivre la famille

Depuis longtemps et surtout avec l’arrivée des tenants actuels du pouvoir qui l’avaient promis, les Sénégalais scrutent une baisse du coût de la vie qui tarde. Il y’a pas que les denrées qui sont chères. Il y’a aussi la flambée de prix de la construction. Le ciment, le béton et le fer sont hors de portée. Récemment, le prix du kilogramme de carotte a connu une hausse inédite… La viande coûte les yeux de la tête. Tous les condiments aussi. La cherté du coût de la vie nuit aux consommateurs surtout aux habitants pauvres des zones urbaines. Si les prix sont chers, la pauvreté augmente.

Les ménages sont dans une situation intenable d’insécurité alimentaire

L’insécurité alimentaire étant déjà élevée et les amortisseurs sociaux insuffisants, la
cherté des prix fait que les personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté voient leur
situation s’aggraver encore davantage.

Le nombre de Sénégalais qui ne mange pas à sa faim augmentée de plus en plus

Les plus durement touchés par la misère, sont les habitants pauvres des villes. A
faible revenu et à déficit vivrier, beaucoup d’entre eux souffrent de la faim et de la malnutrition. En tout cas face au coût élevé de la vie, le gouvernement doit protéger les populations du choc de la hausse des prix. Cela est d’autant plus vrai que le coût des
aliments absorbe l’essentiel des revenus
des familles.