Cybercriminalité : la police démantèle un vaste réseau d’escroquerie et défère deux individus

La Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité (DSC) a mis fin aux agissements d’un réseau d’escrocs particulièrement nuisible. La police nationale, dans son communiqué, précise que suite à une quarantaine de plaintes enregistrées depuis 2022, deux individus ont été déférés pour escroquerie en bande organisée, blanchiment d’argent et usurpation d’identité. A en croire la police, plus de 338 000 000 F Cfa dérobés au total. Le document ajoute qu’une seule victime, un homme en situation de handicap, a perdu 101 millions de F Cfa rapporte Actusen .

«Plus de 338 000 000 F Cfa dérobés au total. Une seule victime, un homme en situation de handicap, a perdu 101 millions de F Cfa. Les escrocs contactaient les victimes via WhatsApp ou email en se faisant passer pour des proches ou d’anciennes connaissances»

Les escrocs contactaient les victimes via WhatsApp ou email en se faisant passer pour des proches ou d’anciennes connaissances. Le piège : proposer des « opportunités » d’exportation très lucratives de plantes et graines médicinales africaines (moringa, argan, etc.) à destination de laboratoires étrangers. Une fois la confiance installée, renseigne la police, les victimes effectuaient des versements répétés via Orange Money, Wave ou des transferts internationaux.

La Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité (DSC) a mis fin aux agissements d’un réseau d’escrocs particulièrement nuisible. La police nationale, dans son communiqué, précise que suite à une quarantaine de plaintes enregistrées depuis 2022, deux individus ont été déférés pour escroquerie en bande organisée, blanchiment d’argent et usurpation d’identité. A en croire la police, plus de 338 000 000 F Cfa dérobés au total. Le document ajoute qu’une seule victime, un homme en situation de handicap, a perdu 101 millions de F Cfa.

«Plus de 338 000 000 F Cfa dérobés au total. Une seule victime, un homme en situation de handicap, a perdu 101 millions de F Cfa. Les escrocs contactaient les victimes via WhatsApp ou email en se faisant passer pour des proches ou d’anciennes connaissances»

Les escrocs contactaient les victimes via WhatsApp ou email en se faisant passer pour des proches ou d’anciennes connaissances. Le piège : proposer des « opportunités » d’exportation très lucratives de plantes et graines médicinales africaines (moringa, argan, etc.) à destination de laboratoires étrangers. Une fois la confiance installée, renseigne la police, les victimes effectuaient des versements répétés via Orange Money, Wave ou des transferts internationaux.