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Israël: une attaque à l’arme à feu fait au moins six morts et des blessés à Jérusalem-Est

Le ministre israélien des Affaires étrangères a annoncé ce lundi 8 septembre la mort d’au moins six personnes dans une attaque à l’arme à feu à Jérusalem-Est. Le dernier bilan ferait également état d’une quinzaine de blessés. Le groupe palestinien Hamas, contre lequel Israël mène une guerre meurtrière à Gaza, a salué l’attaque. Selon la police, les « assaillants » ont été « neutralisés ».

Vote de confiance : le déroulé de ce lundi 8 septembre jusqu’à la chute annoncée de François Bayrou

epa12333272 French Prime Minister Francois Bayrou attends the Agriculture Fair in Chalons-en-Champagne, France, 29 August 2025. The fair runs from 29 August to 08 September 2025. EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON (MaxPPP TagID: epaliveeight478370.jpg) [Photo via MaxPPP]

Le premier ministre et plusieurs députés s’exprimeront avant le vote de confiance prévu en début de soirée.

A priori, la messe est dite. Mais c’est une liturgie bien particulière qui doit rythmer cette journée qui s’annonce historique à l’Assemblée nationale, ce lundi 8 septembre. Comme il l’a annoncé le 25 août, François Bayrou va se soumettre à un vote de confiance qui, selon toute vraisemblance, devrait précipiter sa chute. Le jour de leur rentrée parlementaire, les élus du Palais Bourbon assisteront donc au discours de politique générale du Béarnais… avant de le congédier par un vote.

Non pas que le vote de confiance soit une procédure nouvelle : on en dénombre pas moins de 31 depuis 1958. Mais tous ont été remportés par les premiers ministres qui l’ont sollicité. La pratique traditionnelle des institutions veut en effet qu’après des élections législatives, un premier ministre de la couleur de la nouvelle majorité soit nommé (ou reconduit). Dans les premiers jours de son accession à Matignon, il prononce alors un discours de politique générale, avant de solliciter – ce n’est pas obligatoire – la confiance d’une Assemblée nationale acquise à sa cause.

Sans majorité absolue depuis les législatives de 2022, les prédécesseurs de François Bayrou – Élisabeth Borne, Michel Barnier et Gabriel Attal – avaient soigneusement évité de solliciter cette confiance après leur discours. D’autant qu’il suffit que la majorité des députés présents votent contre le premier ministre pour le renverser, contrairement à la motion de censure, qui exige une majorité absolue des députés siégeant à l’Assemblée. François Bayrou devrait donc être le premier locataire de Matignon à être éjecté par cette procédure prévue à l’article 49 alinéa 1 de la Constitution.

Les présidents de groupe à la tribune

Le futur ex-premier ministre prendra donc la parole à 15 heures pour ce qui devrait être son dernier discours devant la représentation nationale. Le Béarnais, qui a déjà martelé le même message dans les médias depuis deux semaines – la dette est un problème mortel, c’est moi ou le chaos – dispose sur le papier d’un temps illimité pour tenter dans un suprême effort de convaincre les représentants de la nation. Ensuite, onze orateurs, issus des onze groupes parlementaires, se succéderont à la tribune pour répondre au premier ministre et annoncer le vote de leurs collègues de groupe.

Pour cette journée historique qui sera suivie par tous les médias, ce sont vraisemblablement les présidents de groupes qui devraient monter à la tribune pour sceller le sort de François Bayrou. Le Béarnais devrait donc voir défiler, dans l’ordre de passage selon Politico : Boris Vallaud (PS), Laurent Wauquiez (Droite républicaine – LR), Cyrielle Chatelain (Écologistes), Marc Fesneau (MODEM), Laurent Marcangeli (Horizons et Indépendants), Laurent Panifous (LIOT), Stéphane Peu (GDR – communistes), Éric Ciotti (Union des droites), Marine Le Pen (RN), Gabriel Attal (Ensemble) et Mathilde Panot (LFI).

Seul Gabriel Attal, dont le groupe Ensemble est le groupe principal inscrit au sein du «socle commun», disposera de 35 minutes, ajoute Politico. Pour les autres, plus le groupe compte d’élus, plus son temps de parole est important. Le RN (123 députés), DR (49 députés) et MODEM (36 députés) auront chacun 15 minutes. Les autres groupes (moins de 35 députés) disposeront de 10 minutes. Enfin, le député Philippe Bonnecarrère qui a été désigné au hasard pour les 11 députés non-inscrits, aura cinq minutes pour convaincre.

Le résultat du vote ne sera pas connu avant 19 heures

Mais la grand-messe parlementaire ne sera pas encore terminée. François Bayrou pourra alors s’exprimer une fois de plus depuis les bancs du gouvernement, au premier rang de l’hémicycle. Ensuite seulement, les 574 députés qui composent actuellement le Palais Bourbon pourront voter de manière traditionnelle, avec un bulletin papier déposé dans une urne dans une des salles contiguës à l’hémicycle. Si l’on additionne toutes ces prises de paroles et le vote lui-même (environ une demi-heure), le verdict devrait tomber, au plus tôt, vers 19 heures, vraisemblablement plus tard dans la soirée.

La tradition veut aussi que le discours de politique générale soit lu en même temps au Sénat. C’est Élisabeth Borne qui se chargera de cette besogne purement formelle qui ne débouche sur aucun vote au Palais du Luxembourg. Pour ce qui est de l’Assemblée, selon nos dernières estimations, réalisées à partir du simulateur de vote du Figaro, environ 330 élus de LFI aux Écologistes en passant par le RN, UDR, LR et le PS devraient voter contre le gouvernement Bayrou. Dans la soirée, le maire de Pau devrait donc être dans l’obligation de remettre sa démission au président de la République. À qui il reviendra de nommer un successeur pour Matignon. L’entourage d’Emmanuel Macron affirmait ces derniers jours que le chef de l’État voulait faire vite. L’objectif, bien sûr, est de ne pas reproduire le spectacle lassant des consultations qui avaient duré 51 jours pour Michel Barnier 9 jours pour François Bayrou. Les meilleures messes sont souvent les plus courtes.

U17 – 24 joueurs convoqués pour un stage de préparation à Toubab Dialaw !

En perspective de la Coupe du Monde U17, la Fédération Sénégalaise de Football a publié une liste de 24 joueurs présélectionnés.

Ces jeunes Lions poursuivront leur préparation en régime internat du 8 au 13 septembre 2025 au Centre Jules François Bocandé de Toubab Dialaw.

Les joueurs convoqués sont attendus le lundi 8 septembre 2025 à partir de 9h00 à l’ancien siège de la FSF à Ouest-Foire, avant d’être acheminés sur le lieu du regroupement.

La liste des 24 présélectionnés :

  1. Souleymane Solly NDIAYE (Diambars FC)
  2. Birame FAYE (Taïba FC)
  3. Ibrahima NIANG (Keur Madior FC)
  4. Elhadj Malick CISSE (Sahel FC)
  5. Abdoulaye NDOYE (Université Club de Thiès)
  6. Pape Alioune BAR (Académie Foot Darou Salam)
  7. Cheikh NDIAYE (AS Pikine)
  8. Elhadji Malick LO (Guelwars de Fatick)
  9. Saliou DIA (Anderlech)
  10. Hyppolite Mignane NDOUR (Keur Madior)
  11. Ibrahima MANE (United Académie)
  12. Ousseynou NDIAYE (United Académie)
  13. Mamadou DIAGNE (Galaxy F.A)
  14. Moustapha SANE (Espoirs de Guédiawaye)
  15. Abdourahmane BA (Keur Madior)
  16. Omar FAYE (Amitié FC)
  17. Etienne MENDY (AS Bambey)
  18. Moussa SAMBA (Sonacos)
  19. Mohamed WAGNE (Diambars FC)
  20. Massar DIOP (United Académie)
  21. Babacar BOUSSO (Sonacos)
  22. Bakary SONKO (Ndangane FC)
  23. Pape Abdou NDIAYE (Guelwars FC)
  24. Cheikh DIA (Académie Foot Darou Salam)

Ce stage doit permettre au staff technique d’affiner ses choix et de préparer l’équipe dans les meilleures conditions, en vue d’une participation ambitieuse à la prochaine Coupe du Monde U17.

Comment le pancréas facilite votre digestion et régule la glycémie

Quel est le rôle du pancréas ?

La première fonction du pancréas est exocrine, caractérisée par la production d’enzymes digestives et de liquide pancréatique, qui s’écoulent dans le duodénum pour participer à la digestion.

Sa deuxième mission est endocrine, pour produire des hormones telles que l’insuline et le glucagon, qui passent dans le sang et permettent de réguler la glycémie.

Peut-on vivre sans pancréas?

Vivre sans pancréas, c’est possible. Son ablation totale, exceptionnelle, est proposée dans certaines formes familiales de cancer pancréatique. Mais une telle intervention implique un diabète sévère par absence de sécrétion d’insuline et exige de prendre des enzymes pancréatiques.

Quels sont les symptômes d’un problème de pancréas ?

La pancréatite aiguë (inflammation de la glande) est la maladie du pancréas la plus courante. Dans plus de 40% des cas, elle est provoquée par un calcul de la vésicule biliaire qui migre dans le canal cholédoque (entre la vésicule le pancréas). L’écoulement du liquide pancréatique est bloqué, ce qui génère une inflammation potentiellement grave. Celle-ci peut aussi être provoquée par une tumeur bénigne ou maligne, kystique ou tumorale. En cas d’alcoolisme ou, plus rarement, de maladie génétique auto-immune auto-immune, la pancréatite peut être chronique. L’inflammation détruit les cellules du pancréas, qui devient fibreux. Le ralentissement de sa fonction endocrine peut induire un diabète au long cours. Quant à celui de sa fonction exocrine, il perturbe la digestion, donnant des diarrhées graisseuses, avec de gros volumes de selles très malodorantes.

Autre pathologie plus rare mais redoutée: le cancer. Il se développe silencieusement et se dissémine vite. Ainsi, 50% des patients ont déjà des métastases lors du diagnostic, 30% présentent un stade avancé localement, et moins de 20% ont une tumeur potentiellement opérable. Mais l’espérance de vie s’est allongée grâce à des chimiothérapies agressives, et des traitements en cours de test (un inhibiteur du gène Kras et un vaccin thérapeutique à base d’ARN messager) donnent de l’espoir.

Maladies saisonnières : quand des Sénégalais confondent rhume, grippe et paludisme

La grippe est fréquente dans le monde entier, avec des épidémies saisonnières et parfois des pandémies. En cette période d’hivernage, les populations sont souvent touchées par cette infection respiratoire virale. Toutefois, beaucoup confondent encore rhume, grippe et paludisme.

Lundi 25 août 2025, 10h, Hlm Grand-Médine. Au lendemain d’une pluie qui a provoqué des inondations, le temps est clément. Les populations vaquent tranquillement à leurs occupations. Mais en cette saison, il est fréquent d’entendre des plaintes de courbatures, de douleurs musculaires, de frissons, de fièvre, de toux sèche ou de rhume. La grippe saisonnière est souvent mise en cause. Jeune dame, Khady Ndiaye confie avoir contracté la grippe il y a quelques jours : « Je me suis soignée à l’hôpital. Le médecin a fait un diagnostic, m’a donné un traitement et des conseils », raconte-t-elle.

Pour Cheikh Mahfou, lorsqu’il attrape la grippe, il préfère une infusion de tisane à base de citron. Ousmane Ndour, commerçant, estime que « la grippe n’épargne personne », et recommande de se protéger en évitant « le soleil, mais aussi les eaux stagnantes, gîtes des moustiques ». Amadou Ba, lui, estime que « la grippe ne rime pas avec insalubrité ». À Diamalaye, près du rond-point 26 des Parcelles assainies, les fleuristes Abdou Karim Sène et Abdoulaye Kama, trouvés en train de composter de l’engrais, invitent les populations à consulter un médecin dès les premiers symptômes : « seuls les médecins savent établir le diagnostic », insistent-ils. Des structures de santé sous pression

À côté d’eux, Malick Sané, agent à la Société nationale de gestion intégrée des déchets (Sonaged), alerte sur les eaux stagnantes où prolifèrent les moustiques. Il recommande de dormir sous moustiquaire imprégnée à longue durée d’action (Milda). En plein centre-ville, Amadou avertit : « La grippe est une maladie à traiter avec précaution, car elle peut être dangereuse ». À l’unité 17 des Parcelles assainies, le centre de santé Mame Abdou Aziz Sy Dabakh est saturé au moment de notre visite. Des dizaines de patients se pressent pour une consultation. Amadou, élève en classe de Première, confie que la grippe est « difficile à supporter » et qu’elle fait des ravages en cette période d’hivernage. Il recommande la vigilance.

Pour Amy, la chaleur accentue la maladie : « Je suis alitée depuis plusieurs jours. Comme ma santé ne s’améliorait pas, je suis venue à l’hôpital », dit-elle. Médecin urgentiste dans une clinique, Dr Ababacar Sedikh Ousmane Sar explique que « la grippe est une infection respiratoire causée par des virus, pouvant entraîner des complications ». En cas de symptômes, il recommande vivement de consulter un médecin, « car c’est plus sûr ». Selon Dr Yoro Sall, médecin épistémologiste à la direction de la prévention du ministère de la Santé et de l’Action sociale, « le rhume est moins grave que la grippe, dont l’état chronique peut être létal ».

La grippe est une infection respiratoire aiguë fréquente, causée par des virus, dont les signes disparaissent généralement en quelques jours. Selon Dr Yoro Sall, médecin épistémologiste, les principaux symptômes sont : une fièvre d’apparition brutale, une toux (souvent sèche), des céphalées, une fatigue généralisée, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu’un écoulement nasal. Revenant sur la différence entre rhume et grippe, Dr Sall précise que les symptômes sont proches, mais que seul le médecin peut poser le bon diagnostic. « Le rhume est moins grave que la grippe, dont l’évolution chronique peut être létale », indique-t-il.

Il ajoute que la grippe guérit en général en peu de temps, même sans traitement. Toutefois, certains signes doivent alerter : persistance de la fièvre, essoufflement au repos, difficultés respiratoires, expectorations verdâtres ou jaunâtres, altération de l’état général. À ce titre, insiste-t-il, les personnes âgées et celles présentant des comorbidités doivent être surveillées de très près lors des épisodes grippaux.

avec le soleil

Tambacounda : 472 décès néonataux et 42 maternels depuis janvier

La région de Tambacounda fait face à une situation sanitaire préoccupante. Depuis le début de l’année 2025, 472 décès néonataux et 42 décès maternels y ont été enregistrés.

L’annonce a été faite par le gouverneur de région, Guédji Diouf, lors de la célébration du Mawlid à Makacolibantang. « Du début de l’année à nos jours, nous avons enregistré 472 décès néonataux et 42 maternels », a-t-il déclaré. Non sans souligner que rien que pour le mois d’août 2025, 15 femmes ont perdu la vie en donnant la vie. En huit mois, le nombre de décès néonataux dépasse déjà de 122 cas celui de l’année précédente, alors qu’il reste encore quatre mois avant la fin de l’année.

Face à cette hécatombe, le gouverneur a tiré la sonnette et appelé à une mobilisation générale. « Cette situation doit interpeller tout le monde », a-t-il lancé, sollicitant l’implication des guides religieux, leaders d’opinion et acteurs communautaires dans la sensibilisation. Il a, par ailleurs, exhorté les femmes enceintes à respecter leurs visites prénatales et à se rendre à l’hôpital pour un meilleur suivi médical.

« Cela permettra aux médecins d’agir à temps, à la détection de la moindre anomalie, pour sauver des vies », a-t-il insisté. Pour M. Diouf, « la protection de la mère et de l’enfant est une responsabilité collective où chacun doit jouer sa partition ».

AVEC LE SOLEIL

La FSF présente ses excuses pour les incidents survenus lors du match contre le Soudan

La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a publié un communiqué de presse pour s’excuser officiellement auprès des supporters suite aux difficultés rencontrées lors du match des Lions du Sénégal contre le Soudan, le 5 septembre 2025.
Le document exprime la reconnaissance de la FSF pour le soutien inconditionnel des fans, mais il admet également que l’organisation a eu des lacunes. La fédération présente ses sincères excuses pour les problèmes liés à la billetterie, aux accréditations et à l’occupation de certains espaces par des personnes non autorisées.

La FSF explique que le court délai de deux jours entre la passation de service et le match a rendu la logistique très complexe. Pour l’avenir, elle s’engage à tirer les leçons de ces erreurs et à mettre en place des mesures correctives pour garantir une expérience parfaite et une organisation sans faille lors des prochains matchs.

Rdc-Sénégal / Kalidou Koulibaly : « Ce Sera Une Grande Bataille Sur Le Terrain »

A 24 heures du choc contre la Rdc, Kalidou Koulibay s’est présenté en conférence de presse au stade des martyrs avec son sélectionneur Pape Thiaw. Deuxième au classement du groupe B des éliminatoires du Mondial 2026 avec 15 points, le Sénégal est tenu de battre les Léopards (1e, 16pts) demain. Sur ce, défenseur déclare : « Ça va être un match très difficile. On sait que la Rdc est devant nous. Plus qu’une finale, on en a trois. La Rdc veut se qualifier au Mondial depuis de très nombreuses années. C’est la première équipe de l’Afrique subsaharienne à y aller. Ils ont envie de faire quelque chose de bien ici. Mais on a un statut à protéger. Le Sénégal est toujours prêt à affronter ces adversaires. Demain, ce sera une grande bataille sur le terrain. J’espère que ce sera amical en dehors du terrain, une guerre sur le terrain. Que le meilleur gagne. Comme le coach l’a dit, on est prêt. »

Le joueur d’Al Hilal ajoute : « On est sur un but encaissé pendant ces éliminatoires. Cela prouve qu’on travaille bien pour le moment. On sait que pour se qualifier, il va falloir avoir une défense très solide. C’est ce qu’on veut faire avec mes compagnons de l’équipe qui défend bien. Ce n’est pas seulement la défense. La Rdc regorge d’attaquants qui sont connus. Cédric Bakambu, j’ai eu l’occasion de jouer contre lui en Angleterre. Ce sera une équipe difficile à manier mais on est capable de nous qualifier demain et on le prouvera inchallah. »

 

Pape Thiaw : « Ce sera un match difficile contre une belle équipe du Congo mais on est le Sénégal et on est là pour s’imposer »

Le sélectionneur national était en conférence de presse d’avant-match ce lundi. Accompagné de Kalidou Koulibaly, Pape Bouna Thiaw s’est prononcé sur l’enjeu de cette rencontre et les ambitions de son équipe qui cherche à faire son retard sur les Léopards.

Aucun autre résultat qu’une victoire ne permettrait aux Lions de passer devant les Léopards. Seule une victoire rapprocherait du Sénégal de son rêve de retrouver le mondial après 2002, 2018 et 2022. Au stade des Martyrs ce mardi, il faudra donc faire le match parfait pour arracher les trois points de la victoire. Tel est le mot d’ordre décrété par le sélectionneur Pape Thiaw.

« Ce sera un match difficile face à une belle équipe du Congo mais on est venus avec des ambitions. On est là pour chercher des points. On est le Sénégal et on est là pour s’imposer. La RDC est favorite car elle est première du groupe (…) Aujourd’hui le statut du Sénégal fait que nous sommes attendus partout où on va. Mais demain on répondra présent » a-t-il fait savoir.

L’ancien sélectionneur des Lions Locaux s’est aussi rappelé du match aller au stade Abdoulaye Wade (1-1) soulignant que son équipe a beaucoup grandi entre temps. « C’est un souvenir douloureux car on a pris un but en fin de match. Mais aujourd’hui l’équipe a grandi et sait gérer son avantage au score. On va donc essayer de s’imposer ici en ne prenant pas de but ».

Interpellé sur la charnière centrale à aligner demain après l’absence de Moussa Niakhaté déclaré forfait, Pape Thiaw n’a pas voulu donner d’indices claires. « Tout ce que je peux vous dire c’est que demain il n’y aura ni Ismaila Sarr ni Moussa Niakhaté ».

avec Wiwsport.com

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