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Quelles sont les charcuteries les moins grasses?

Une petite planche à partager, une future raclette à organiser… Pas facile de savoir quelle charcuterie mettre dans son caddie ou dans son assiette quand on fait attention à son tour de taille, à son poids et à sa santé cardiaque. Si les autorités de santé et de nombreux médecins conseillent de limiter votre consommation de charcuterie, on peut tout de même se faire plaisir de temps en temps. Et toutes les charcuteries ne se valent pas! Certaines sont en effet beaucoup plus lourdes et moins conseillées… Alors lesquelles sont les moins grasses? A quelle fréquence manger de la charcuterie? Suivez le guide!

Quelles sont les charcuteries les plus pauvres en matières grasses et les plus saines?

Le blanc de dinde (104 kcal/100 g)

Considéré comme une charcuterie maigre, le blanc de dinde est la moins calorique. De plus, la dinde est riche en protéines, en fer et en vitamine B. Le blanc de dinde peut figurer sur une planche d’apéro et permettre à ceux qui font attention à leur alimentation un écart peu problématique. Selon Ciqual, il contient 104 kcal pour 100 g et ne présente que 1,67 g / 100 g de lipides pour 20 g de protéines… C’est quasiment la même chose pour son cousin le blanc de poulet (106 kcal / 100g).

Le jambon blanc cuit et dégraissé (115 kcal/100 g)

Voilà une autre option, de porc cette fois, plutôt légère: 100 g de jambon blanc découenné et dégraissé apportent autour de 115 kilocalories (kcal). Et côté répartition, vous y trouverez seulement 3,24% de lipides et près de 20% de protéines. A titre de comparaison pour le jambon blanc non dégraissé, c’est 125 kcal et 4,28% de lipides. Ces deux cousins sont un produit simple à mettre dans un sandwich, pour un petit-déjeuner salé à prendre rapidement et obtenir votre dose nécessaire de protéine quotidienne (1 g par kg, donc 65 g si vous faites 65 kg) sans trop faire peser la balance côté gras. D’autant que les industriels font davantage attention depuis quelques années à proposer des jambons blancs sans nitrite, cet additif alimentaire qui ajoute au jambon blanc sa couleur rose… mais augmente le risque de développer un cancer colorectal. Pas facile de s’y retrouver… Selon le classement de Yuka, le jambon blanc le plus sain est facile à trouver: c’est le jambon bio et responsable de Fleury Michon qui obtient la meilleure note du classement avec 76/10.

La viande des Grisons (150 kcal/100 g)

Vous avez peut-être une amie qui n’envisage pas la raclette sans viande des Grisons (et sans cornichons!)? “La viande des Grisons a l’avantage de présenter moins de lipides que d’autres charcuteries”, précise Alexandra Murcier, diététicienne. Cette charcuterie suisse, réalisée à partir de viande de bœuf, spécialité du canton des Grisons (d’où son nom!), est une excellente option pour celles et ceux qui surveillent leur poids. Avec seulement 5g de lipides/100 g, elle est très riche en protéines, bien plus que d’autres options: 38 g/ 100g, mais également en vitamine B12. Attention tout de même au sel.

Le bacon de dinde (176 kcal/100 g)

Voilà une alternative un peu moins grasse que le bacon de porc… Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, le faire cuir ne le rend pas plus mauvais pour vos artères. Le bacon de dinde est une préparation à base de viande de dinde hachée, façonnée, salée et fumée, prisée des personnes qui évitent le porc pour des raisons religieuses ou de santé.

La noix de bœuf (184 kcal/ 100g)

“Je conseille souvent à mes patient la noix de bœuf séchée, qu’on trouve facilement dans le commerce et qui est moins grasse que d’autres charcuteries”, explique Alexandra Murcier, diététicienne. En effet, riche en protéines, ces tranches fines de bœuf séché sont riches en protéines, tendres et présentent, pour la marque Aoste par exemple, seulement 184 kcal pour 100g. A tester lors de votre prochain pique-nique?

Quelles sont les charcuteries les plus caloriques?

À l’autre bout du spectre, on trouve sans surprise le foie gras (485 kcal/100 g), champion côté graisses de toutes les charcuteries, le salami (482 kcal/100 g), le chorizo au goût pimenté, typique de la cuisine espagnole (477 kcal / 100g), bien sûr le saucisson sec (410 kcal / 100g) et les rillettes d’oie (364 kcal/100 g).

A quoi faut-il faire attention quand on choisit de la charcuterie?

Si les cinq options déclinées plus haut sont plus “recommandables”, car moins grasses, auxquelles on peut ajouter les charcuteries végétales, il faut garder à l’esprit que la charcuterie doit rester un produit exceptionnel. Selon Santé Publique France, la recommandation est de se limiter à 150 g par semaine, soit environ 3 tranches de jambon blanc. Ils font en effet partie des produits transformés, contiennent parfois des additifs problématiques et si vous en consommez trop, votre risque de développer une maladie cardio-vasculaire, un cancer colorectal ou un diabète de type 2 augmente…

“Tous ces aliments sont très riches en sel, ce qui n’est pas bénéfique sur l’appareil cardio-vasculaire, prévient Alexandra Murcier. La teneur en sel dépend beaucoup des marques. Mais souvent, les produits où le sel est réduit sont plus riches en nitrite, ce conservateur qui augmente le risque de cancer. À choisir, mieux vaut limiter surtout les nitrites, quand on n’a pas de maladie cardio-vasculaire.” Troisième point de vigilance: “les charcuteries sont des sources d’acides gras saturés, mauvais également pour la santé de votre cœur et de vos artères”, poursuit-elle. Reste que manger doit rester un plaisir, que miser sur une alimentation équilibrée reste toujours un bon choix et que vos apports en protéines, en particulier après un certain âge et si vous faites du sport, doivent rester assez élevés.

Reconnaissance de la Palestine: après avoir franchi le pas, Macron doit désormais gérer «le jour d’après»

Le plus dur commence en fait maintenant. La prise de parole d’Emmanuel Macron à la tribune de l’ONU était l’acte symbolique indispensable, de son point de vue, pour éviter que la porte de la solution à deux États – israélien et palestinien – ne se referme définitivement en raison de la violence de l’opération militaire de l’État hébreu à Gaza, écrit notre envoyée spéciale à New York, Valérie Gas.

Et maintenant ?

Ce qu’il faut dorénavant, c’est gérer « le jour d’après ». Alors Emmanuel Macron va profiter de sa présence à New York pour continuer son action diplomatique. Dès aujourd’hui, il participe à une réunion avec les pays arabes et des partenaires européens – Royaume-Uni, Italie, Allemagne – pour évoquer la mission internationale de stabilisation de Gaza dont il a parlé dans son discours, voir l’engagement de chacun et définir un cadre sécuritaire crédible pour gérer la situation après un cessez-le-feu qui doit s’accompagner pour Emmanuel Macron de la libération des otages.

Convaincre Trump

On est cependant bien loin d’en être arrivé là et pour espérer avancer, il faut un appui, celui de Donald Trump qui, lui aussi, organise une réunion avec des pays arabes. L’objectif est d’essayer de convaincre le président américain de faire pression sur Israël pour éviter que l’État hébreu ne franchisse des lignes rouges et risque de remettre en cause les accords d’Abraham signés en 2020 lors de son premier mandat. Ce que Donald Trump considère comme son héritage au Moyen-Orient.

Abbas promet de désarmer le Hamas

Ce lundi, intervenant en visioconférence, Mahmoud Abbas, le président palestinien, a condamné les attaques du 7 octobre 2023 et promis de désarmer le Hamas : « Le Hamas n’aura aucun rôle dans la gouvernance. Et il devra, comme les autres factions, remettre ses armes à l’Autorité palestinienne, car nous voulons un seul État non armé, un seul système juridique et une seule force de sécurité légitime. Nous condamnons les crimes de l’occupation et condamnons également le meurtre et la captivité de civils, y compris ceux commis par le Hamas le 7 octobre 2023. En contrepartie, nous exigeons l’arrêt de l’expansion des colonies, de l’annexion, du terrorisme des colons et des attaques contre les lieux saints chrétiens et islamiques. »

Un réseau capable de menacer l’Assemblée générale de l’ONU a été démantelé à New York (autorités)

Un réseau de plus de 300 serveurs et 100 000 cartes SIM capables de paralyser les télécommunications à New York a été démantelé avant l’Assemblée générale de l’ONU, ont annoncé, mardi 23 septembre, les autorités américaines. «En plus de permettre de passer des appels téléphoniques anonymes contenant des menaces, ces appareils peuvent servir à mener toute une série d’attaques contre les télécommunications» a déclaré le Secret Service américain, chargé de la protection des hautes personnalités politiques américaines, dans un communiqué cité par l’AFP. «Cela inclut la mise hors service d’antennes-relais de téléphonie mobile, la possibilité de mener des attaques par déni de service et la facilitation de communications anonymes et cryptées entre des acteurs potentiellement malveillants et des organisations criminelles», ajoute le texte.

Le Ghana transfère vers le Togo six migrants expulsés des États-Unis

Au Ghana, six des onze migrants expulsés par les États-Unis ont été transférés au Togo par les autorités ghanéennes. C’est ce qu’a indiqué ce mardi matin à RFI l’un des avocats des migrants. Ces derniers étaient jusque-là détenus dans un camp militaire au Ghana, toujours selon leurs représentants légaux. Une détention qui fait actuellement l’objet d’une plainte déposée à la Haute cour du Ghana contre les autorités ghanéennes pour violation de droits humains.

Habib Diarra opéré de l’aine, absent jusqu’en décembre

Le milieu de terrain sénégalais de Sunderland, Habib Diarra, sera éloigné des terrains pendant plusieurs semaines après une opération réussie. Il manquera notamment les prochains matchs des Lions pour les qualifications du Mondial 2026.

D’après le communiqué rendu public mardi par Sunderland, l’international sénégalais Habib Diarra, victime d’une blessure à l’aine lors d’un entraînement, a été opéré lundi et entamera une phase de rééducation.

Âgé de 21 ans, Diarra s’est blessé en fin de semaine dernière, à la veille de la rencontre de Premier League contre Aston Villa. Le club anglais précise que le joueur, arrivé en juillet en provenance du RC Strasbourg, devrait retrouver la compétition en décembre.

Cette indisponibilité l’écarte automatiquement des prochains rendez-vous de l’équipe nationale du Sénégal. Les Lions affrontent le Soudan du Sud le 10 octobre à Djouba, puis la Mauritanie le 14 à Dakar, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

Serigne Mbacké Ndiaye : son mariage récent avec une diplomate tourne au divorce

L’homme politique Serigne Mbacké Ndiaye, récemment marié à une diplomate, voit son mariage voler en éclats. Selon nos informations, son ex-épouse l’a traîné en justice et la procédure de divorce est déjà en cours au tribunal.

« À la limite on se demande qui veut assassiner Farba Ngom » (Abdou Aziz Diop, Adjoint au maire d’Agnam)

Adjoint au maire d’Agnam, Abdou Aziz Diop évoque des manœuvres délibérées pour porter atteinte à l’intégrité physique de Farba Ngom. N’est-ce pas trop dire ?  Entretien.

 

Par Mohamed NDJIM

 

Quelle lecture faites-vous de l’évolution des poursuites contre Farba Ngom ?

Je tiens avant tout à prendre à témoin l’opinion nationale et internationale par rapport à ce qui est en train de se propager dans ce pays. Tout le monde est d’accord pour la reddition des comptes. Ce que nous déplorons c’est qu’on n’est plus dans la reddition des comptes, on est dans le règlement de comptes. L’honorable député M. Farba Ngom est inculpé depuis presque sept mois et il n’a jamais été convoqué par le juge pour être entendu sur le fond du dossier, jusqu’à présent. Ça, c’est un problème. Deuxièmement, au moment où il a été inculpé, il avait un certificat médical constitué par un cardiologue, un professeur assermenté.  Le juge était obligé de le placer sous mandat de dépôt, d’accord. Mais après cela, l’administration pénitentiaire a constaté que son état de santé commençait à se dégrader. Ils ont saisi le Pool judiciaire financier, le Pjf a contacté l’Ordre des médecins du Sénégal, l’Ordre des médecins du Sénégal a choisi le professeur Alassane Mbaye qui est un homme très respecté. Il a constaté que son état de santé qui se dégradait de jour en jour n’était pas compatible avec le milieu carcéral. Le Procureur a requis une contre-expertise. Ils ont pris trois médecins différents. Tous ces trois médecins ont diagnostiqué l’honorable député Farba Ngom et ils sont allés plus loin que le professeur Alassane Mbaye.  Ils ont dit « attention, au-delà de son état de santé qui n’est pas compatible avec le milieu carcéral.  Le pire pourrait se produire. Il pourrait même y avoir une mort subite nocturne, en plein sommeil ». Malgré cela, ils l’ont simplement transféré au pavillon spécial. Le pavillon spécial qui est un milieu carcéral. Donc, il était toujours en prison, et il n’y a pas de soins dignes de ce nom là-bas.

À vous entendre le pavillon spécial ne garantit pas la possibilité de bien prendre en charge Farba Ngom. Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?

S’il y avait là-bas des soins intensifs rassurants pour le maire Farba Ngom, pourquoi le mercredi passé, lorsqu’il a fait un malaise nocturne, on l’a transféré directement à l’hôpital Principal ? Actuellement au niveau de l’hôpital Le Dantec, il y a des maçons, des ouvriers… L’hôpital est en chantier. Il n’y a pas de soins adéquats. Selon les informations que nous avons reçues, après son malaise Farba Ngom est arrivé à l’hôpital Principal, inerte, endormi.  Le pire aurait pu se produire, il pouvait même ne pas se réveiller. Et pourquoi ce malaise ? Qu’est-ce qu’il a subi en prison ? Qui sont ces médecins qui le suivent ? Tout le monde a parlé : les autorités, les chefs religieux, les dignitaires, la société civile, le Cndh, les défenseurs des droits humains, tout le monde a donné l’alerte.  Ils ont beaucoup d’alternatives pour lui octroyer une liberté provisoire : bracelet électronique, domiciliation assignée… L’essentiel est qu’il puisse suivre tranquillement ses soins. Ils ont l’inculpé, s’ils sont surs d’eux et ont des preuves pourquoi se précipiter ? Pourquoi l’emprisonner au risque qu’il ne puisse même plus répondre ? Parce que si son état de santé continue de se dégrader, si le pire se produit, il ne sera plus en mesure de contester les accusations. C’est la raison pour laquelle la question qu’on se pose à la limite, nous, sa famille, nous le Fouta, c’est « qui veut assassiner Farba Ngom ? »

 C’est une question lourde d’insinuations quand même…

C’est tout à fait normal. Qui veut l’assassiner ? Qui veut sa mort ? On peut inculper la personne si on a des preuves, mais il faut lui organiser un procès le plus rapidement possible. Ou bien lui octroyer une liberté provisoire pour qu’il continue ses soins le temps que l’administration judiciaire continue ses enquêtes. Au cas échéant, le jour où ils auront besoin d’entendre l’honorable député Farba Ngom c’est lui-même qui va se déplacer. Parce que Farba Ngom est droit dans ses bottes. Je rappelle qu’il était lui-même personnellement parti pour prendre sa convocation à la Dic. On l’a convoqué la première fois et relâché, il est retourné chez lui. On l’a reconvoqué, il est revenu. Donc, l’honorable député Farbo Ngom a toutes les garanties de représentation dans ce pays. Il a sa famille, sa maman, ses biens, et c’est le maire de la commune d’Agnam. Il est un député, il est sur son troisième mandat.

Une partie de l’opinion s’inquiète de la possibilité que Farba Ngom quitte le Sénégal s’il est mis en liberté provisoire. Qu’en pensez-vous ?

Farba Ngom est en train de traverser cette période difficile dignement. Si on lui donne une liberté provisoire actuellement, vous pensez que l’honorable député Farba Ngom va fuir ce pays ? Ou bien être à l’étranger pour ses soins et refuser de se présenter si la justice a besoin de l’entendre ? Jamais. La dignité de Farba Ngom n’est pas négociable. Tout ce qu’ils veulent c’est l’humilier, qu’il s’accroupisse devant ces autorités mais cela n’arrivera jamais

Est-ce que vous avez des nouvelles de son état de santé depuis son malaise survenu mercredi dernier ?

 

Depuis qu’il est transféré au pavillon spécial, on n’a plus accès à lui.  Idem pour l’hôpital Principal. L’on m’a fait savoir que le jour où on l’a amené à l’hôpital Principal, il était escorté par des gardes pénitentiaires. Personne n’était autorisé à l’approcher. Un médecin avec qui j’ai eu des contacts m’a dit qu’en vérité avec Farba Ngom tout est possible. On peut vous appeler d’un moment à l’autre pour vous dire qu’il n’est plus de ce monde. Il est arrivé à l’hôpital Principal inerte. Le médecin avait pourtant alerté par rapport au risque de mort subite nocturne.  Depuis ce malaise tout le Fouta est inquiet. Nous, ce qui nous préoccupe aujourd’hui, ce n’est pas que l’honorable député est en prison. Ce qui nous pose problème actuellement, c’est son état de santé. Est-ce que l’honorable député Farba Ngom sortira vivant ? Raison pour laquelle on se demande qui veut l’assassiner. L’entière responsabilité de ce qui lui arrive incombe à l’Etat.  Nous lançons un appel solennel au président de la République, c’est le président de tous les Sénégalais. Il doit prendre ses responsabilités, parler avec son Premier ministre qui a fini d’exécuter ses menaces envers Farba Ngom. Le Premier ministre doit savoir que Farba Ngom n’est pas son ennemi. Et il ne le sera jamais. C’est son adversaire politique. Le Premier ministre est en train de nous combattre et nous le dénonçons.

Combattre qui ?

Combattre le Fouta. Je vous dis clairement :  c’est la première fois dans l’histoire politique de ce pays qu’il y a un gouvernement sans un digne fils du Fouta qui est du nord, qui est de la région de Matam…

Comment un Premier ministre peut-il combattre une localité du Sénégal ?

Je vous le redis : il n’y a jamais eu un gouvernement au Sénégal, de Senghor jusqu’à Macky Sall, sans un fils de la région de Matam. Ça n’existe pas. Ce sont des choses qui ont toujours fonctionné ainsi pour que chaque région puisse au moins avoir quelqu’un, un pilier sur lequel les populations peuvent s’appuyer pour avoir un accès à l’Etat. Autre chose :  l’honorable député Farba Ngom est injustement emprisonné alors qu’il contribue beaucoup au développement de cette région. Les populations ont un attachement envers lui et elles l’ont montré, tout le monde le sait. Deuxièmement, ce régime a aussi incarcéré Tahirou Sarr qui est un digne fils du Fouta, qui est un opérateur économique qui a beaucoup fait pour le Fouta. Ils ont arrêté l’hôpital de Ourossogui qui était à presque à 87% construit par le président Macky Sall. Ils ont arrêté l’université de Matam, ils ont arrêté la route de Dande Mayo alors que les financements de tous ces chantiers étaient bouclés et les travaux à un état avancé. Ils ont arrêté l’Isep de Matam.  Rien ne bouge, rien ne fonctionne. Il n’y a aucun projet d’État qui fonctionne actuellement à Matam. En outre, ils ont aussi voulu piétiner Me Moussa Bocar Thiam qui n’a détourné aucun centime. Ce sont des blablas. Moussa Bocar Thiam n’a été cité par aucun rapport. Et jusqu’au moment où je vous parle le procureur ne l’a pas cité.  Ce sont les pastéfiens qui en parlent à tort et à travers. Le seul tort de Me Moussa Bocar Thiam c’est de soutenir nuit et jour Farba Ngom pour qu’il soit libéré.  Il y a de la haine. C’est de la méchanceté, Il y a de la rancune envers nous. C’est ce que nous sentons alors que nous sommes des Sénégalais à part entière. Le temps est le meilleur des juges. Si demain il y a un procès, Farba Ngom sera acquitté et libéré. Le dossier est vide. Il n’a jamais pris un centime du Sénégal.

En dernier ressort quel regard vous portez sur les changements intervenus au ministère de la Justice dans le cadre du dernier remaniement ? 

La nomination de Yassine Fall au ministère de la Justice n’est pas rassurante, elle a montré ses limites au ministère des Affaires étrangères. Elle a bafoué toute la diplomatie sénégalaise.  Le Sénégal n’a plus le même rayonnement sur la scène internationale. Tout le monde l’a remarqué. Et même l’État du Sénégal le sait.  Sonko veut avoir la mainmise sur les ministères de souveraineté, notamment le ministère de la Justice et le ministère de l’Intérieur. Yassine Fall, c’est une dame qu’on a mis au ministère de la Justice en mission commando. Une mission commando qu’elle ne réussira jamais parce qu’il y a des magistrats honnêtes et sérieux dans ce pays. Ça a toujours été le cas. Macky Sall a voulu toujours poser des actes et ils ont dit non. Sonko ne fera jamais plier ces magistrats qui ont dit non au président Macky Sall. Ils servent avant tout la nation. C’est dans la même logique qu’il a mis son avocat Bamba Cissé au ministère de l’Intérieur. C’est pour exécuter ses ordres. Il n’y a rien de plus. Et là, je sonne alerte et interpelle tous les partis politiques et la société civile. Attention à notre fichier électoral qui peut être demain confisqué, manipulé, on ne sait jamais. Ousmane Sonko est obnubilé par l’idée d’être président de la République, raison pour laquelle il est dans toutes ces tractations pour être candidat en 2029. Il ne le sera jamais, il est out. S’ils sont d’accord sur le fait que la justice a tranché librement pour retirer la mairie de Dakar à Barthélémy Dias, ils n’ont qu’à accepter la décision de justice qui implique qu’il ne sera pas candidat en 2029.

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