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Etude – Dépenses sociales des entreprises extractives entre 2017 et 2021: Plus de 2, 6 milliards non traçables

Le volume des paiements sociaux des entreprises extractives sur la période 2017-2021 est estimé à 17 milliards 489 millions 693 mille 231 francs Cfa dont les 14% ne sont pas traçables, c’est-à-dire qu’on ne connaît pas les collectivités territoriales bénéficiaires, a révélé Enda Lead Afrique francophone dans son rapport de synthèse 2025 de l’évaluation de la contribution des entreprises extractives au développement local et territorial sur la période 2017-2021.Par Dialigué FAYE – 

Dans le cadre de la contribution des entreprises extractives au développement local et territorial, entre 2017 et 2021, le volume total des dépenses sociales est évalué à 17 milliards 489 millions 693 mille 231 francs Cfa. Mais sur ce montant, 2 milliards 600 millions 983 mille 858 francs Cfa, soit près de 14% du volume total des dépenses sociales, ne sont pas traçables, c’est-à-dire qu’on ne connaît pas les collectivités territoriales bénéficiaires. C’est du moins ce qui ressort du rapport de synthèse 2025 d’Enda Lead Afrique francophone sur l’évaluation de la contribution des entreprises extractives au développement local et territorial sur la période 2017-2021.

Ladite évaluation «met en lumière un certain nombre d’avancées, mais également des limites structurelles très persistantes». Selon ce démembrement d’Enda Tiers-Monde, «si les revenus issus du secteur extractif ont connu une croissance significative au niveau national, traduisant une montée en puissance de l’exploitation minière et pétrolière, cette dynamique peine encore à se traduire équitablement à l’échelle des collectivités territoriales concernées. Les mécanismes de redistribution des ressources, bien que prévus par la législation nationale (fiscalité locale, Fonds de péréquation, Fonds d’appui au développement local, redevances minières), ne garantissent pas encore un impact structurant sur les territoires. Les revenus versés aux collectivités territoriales, en particulier les communes, dans le cadre des mécanismes de partage ainsi que des redevances minières, restent globalement très faibles en comparaison aux profits générés. Tout ceci sans oublier de souligner que les départements, en tant que collectivités territoriales, sont laissés en rade dans les stratégies communautaires des entreprises et dans la législation étatique, alors qu’ils demeurent un échelon pertinent de péréquation des interventions des entreprises extractives pour mieux veiller à l’équité territoriale et impulser l’intercommunalité, surtout en ce qui concerne les investissements structurants».

Cette étude couvre les régions de Thiès, Kédougou, Matam, Dakar et Saint-Louis. Il a été question d’effectuer «le diagnostic de l’effectivité du cadre législatif et réglementaire des obligations économiques des entreprises à l’échelle local, ainsi que les mécanismes de transferts infranationaux et d’exécution des dépenses sociales des entreprises extractives ; identifier et décrire les sociétés extractives concernées par les interventions dans les régions cibles de l’étude ; faire l’état des lieux des dépenses sociales des entreprises dans les régions cibles entre 2017 et 2021…».

4 milliards pour Tivaouane
Sur ce point, mentionne le document, «les dépenses sociales des entreprises extractives ont bénéficié à 18 départements du Sénégal de 2017 à 2021. Un premier lot de départements qui bénéficient d’un montant de plus d’un milliard de francs Cfa a été dégagé. A la tête de ces départements, il y a Tivaouane, département qui concentre le plus d’activités minières au Sénégal pour près de 4 milliards de francs Cfa sur la période, ensuite vient le premier département aurifère du Sénégal qui est Saraya, Kédougou qui abrite la deuxième entreprise aurifère, et enfin le département de Saint-Louis, qui cohabite avec les activités de développement gazier de Bp comme site de la première découverte d’hydrocarbure offshore au Sénégal».

Le deuxième lot est constitué de départements des cimenteries (Mbour, Rufisque et Thiès) et Kanel (phosphate), qui ont bénéficié d’un montant inférieur ou égal à 1 milliard de francs, ou supérieur ou égal à 100 millions de francs Cfa sur la période des 5 ans. Les départements qui ont bénéficié des dépenses sociales d’un montant inférieur à 100 millions de francs Cfa ferment la marche. Il s’agit de Matam, Salémata, Kébémer, Dagana, Dakar, Bambey, Mbacké, Podor et Louga.

Au moins 57 communes sont bénéficiaires des dépenses sociales dont 26 dans la région de Thiès, 13 à Kédougou, 6 à Dakar, 5 à Louga, 2 à Saint-Louis, Matam, et Diourbel, et enfin une dans la région de Tambacounda.

Plus de 13, 7 milliards de Rbc
Au cours de cette période sous revue, Enda Lead Afrique relève que «le volume total des Recettes budgétaires des communes (Rbc) issues du secteur extractif est de 13 milliards 777 millions 581 mille 674 francs Cfa.

Le taux de croissance des Rbc entre 2017 et 2021 est de 14, 07% contre 89, 54% pour les Rbe (Recettes budgétaires de l’Etat). Le taux de croissance des Rbc issues du secteur extractif est très faible sur la période 2017-2021 ; les Rbc sont supérieures aux Paiements sociaux obligatoires (Pso) et aux Paiements sociaux volontaires (Psv) en termes de volume par année de 2017 à 2021.
Toutefois, le cumul des paiements sociaux reste supérieur aux Rbc sur la période 2017-2021.

Sur cette période, les Rbc sont égales à 13 milliards 777 millions 581 mille 674 francs Cfa contre 17 milliards 489 millions 693 mille 231 francs Cfa pour les paiements sociaux».

Avec LEQUOTIDIEN

Coopération bilatérale : Le Sénégal et la Turquie sur des partenariats mutuellement avantageux

Les secteurs privés turc et sénégalais ont entamé une coopération diversifiée afin de construire des partenariats mutuellement avantageux et renforcer l’axe Istanbul-Dakar. «Aujourd’hui, si la coopération entre nos deux pays se porte bien, cela devrait nous inciter à redoubler d’efforts afin de l’amener à un niveau de productivité et de performance maximal à travers un partenariat concret et innovant, un partenariat transformateur pour nos économies et d’utilité réciproque avérée», a soutenu Baïdy Agne. Le président du Conseil national du patronat du Sénégal (Cnp) s’exprimait au Forum d’affaires Turquie-Sénégal. Pour ce partenariat d’affaires avec la République de Turquie que le privé national veut encore plus dynamique, M. Agne estime qu’il faut renforcer l’accès aux universités et grandes écoles turques aux étudiants sénégalais, ainsi qu’aux formations qualifiantes et de mise à niveau dans les entreprises turques.

Il faut aussi promouvoir davantage les mécanismes et autres instruments d’accompagnement technique et financier à la création et au développement de co-entreprises sénégalo-turques. «Ceci doit être fait pour favoriser les exportations des biens et services entre nos deux pays dont l’objectif réaffirmé avant-hier est de porter lesdits échanges à 1 milliard de dollars, contre environ 450 millions actuellement», a appuyé le président du Cnp.  D’après lui, il faut également faciliter le co-investissement, la co-traitance, ainsi que le transfert de technologies et de compétences. Baïdy Agne d’informer que les conditions favorables telles que les performances macro-économiques, la transparence et la bonne gouvernance, la sécurisation juridique et judiciaire de l’investissement, l’attractivité en termes d’investissements privés, etc., sont réunies au Sénégal.

«Le partenariat que les entreprises sénégalaises souhaitent construire avec les entreprises turques est celui du gagnant-gagnant», a indiqué l’homme d’affaires, qui souhaite une Turquie plus compétitive et plus présente sur les marchés extérieurs, notamment au Sénégal et en Afrique (Zlecaf), mais aussi un Sénégal plus attractif en flux d’investissements directs turcs dans des secteurs tels que le Btp, l’énergie, le pétrole et le gaz, le transport multimodal, les machines et équipements industriels, l’industrie pharmaceutique et l’agro-industrie, le numérique, la mise en place d’une industrie de l’armement, etc., afin d’avoir une croissance plus inclusive et durable.  Le président du Cnp invite ainsi les partenaires turcs à avoir ce regard croisé avec, d’une part, le gouvernement du Sénégal pour réaliser les grands projets d’investissements et, d’autre part, le secteur privé sénégalais pour nouer des alliances stratégiques de partenariats d’affaires. «Nous sommes heureux de constater que ce désir légitime rencontre auprès de nos homologues turcs une attention toute particulière», se réjouit Baïdy Agne.

Inde – Droits de douane : New Delhi riposte face aux USA en gelant ses commandes militaires

L’Inde espère négocier l’annulation des surtaxes imposées par l’administration Trump en gelant les procédures d’achats d’équipements militaires

C’est donnant-donnant. L’Inde a suspendu plusieurs projets d’achat d’armes américaines en réponse à la décision de Donald Trump de lui imposer des droits de douane supplémentaires, tout en se disant disposée à réduire ses importations de pétrole russe pour parvenir à un accord commercial avec Washington, ont déclaré à Reuters trois sources indiennes au fait du dossier.

La décision de New Delhi, matérialisée par l’annulation d’un déplacement à Washington du ministre de la Défense Rajnath Singh prévu dans les prochaines semaines, porte sur le projet d’achat de six avions de surveillance maritime P-8I Poseidon de Boeing, de véhicules blindés Stryker et de missiles antichars Javelin, développés par Raytheon et Lockheed Martin.

Riposte aux droits de douane

L’Inde manifeste ainsi sa désapprobation après la décision annoncée mercredi par Donald Trump d’imposer des droits de douane supplémentaires de 25% sur les produits indiens, pour punir New Delhi d’acheter du pétrole russe et de financer ainsi la guerre en Ukraine.

Les droits de douane sur les importations indiennes ont ainsi été portés à 50%, soit l’un des taux les plus élevés de tous les partenaires commerciaux des États-Unis, ce qui pénalise lourdement les entreprises locales.

L’Inde espère négocier l’annulation des surtaxes imposées par l’administration Trump en gelant les procédures d’achats d’équipements militaires

C’est donnant-donnant. L’Inde a suspendu plusieurs projets d’achat d’armes américaines en réponse à la décision de Donald Trump de lui imposer des droits de douane supplémentaires, tout en se disant disposée à réduire ses importations de pétrole russe pour parvenir à un accord commercial avec Washington, ont déclaré à Reuters trois sources indiennes au fait du dossier.

La décision de New Delhi, matérialisée par l’annulation d’un déplacement à Washington du ministre de la Défense Rajnath Singh prévu dans les prochaines semaines, porte sur le projet d’achat de six avions de surveillance maritime P-8I Poseidon de Boeing, de véhicules blindés Stryker et de missiles antichars Javelin, développés par Raytheon et Lockheed Martin.

Riposte aux droits de douane

L’Inde manifeste ainsi sa désapprobation après la décision annoncée mercredi par Donald Trump d’imposer des droits de douane supplémentaires de 25% sur les produits indiens, pour punir New Delhi d’acheter du pétrole russe et de financer ainsi la guerre en Ukraine.

Les droits de douane sur les importations indiennes ont ainsi été portés à 50%, soit l’un des taux les plus élevés de tous les partenaires commerciaux des États-Unis, ce qui pénalise lourdement les entreprises locales.

Modou Lô – Sa Thiès, vers un choc historique

De sources concordantes, les discussions sont déjà très avancées. Baye Ndiaye, patron du label Albourakh Events, aurait trouvé un accord avec le camp de Sa Thiès sur le cachet, l’adversaire et la date d’un combat contre Modou Lô. Seul point restant : finaliser les exigences financières du « Roi des arènes », prêt à en découdre avec le « Volcan » de Guédiawaye à la date proposée.

Depuis la victoire de Sa Thiès sur Zarco (22 juin 2025), nombreux sont ceux qui estiment que Modou Lô contre le fils cadet de Double Less était l’affiche idéale. Ce dernier figurait d’ailleurs sur la « short list » du champion des Parcelles Assainies depuis sa conquête de la couronne contre Eumeu Sène de Tay Shinger, le 28 juillet 2019. Modou Lô avait confié vouloir affronter trois jeunes loups avant une retraite anticipée : Ama Baldé, Boy Niang 2 et Sa Thiès. Mission accomplie pour les deux premiers, vaincus respectivement le 5 novembre 2023 et le 1er janvier 2024. Il restait Sa Thiès, qui sortait alors d’une défaite contre Eumeu Sène (5 mai 2024). « Le Roi des arènes » attendait que ce dernier se relance ; ce qu’il a réussi en dominant le « Bad boy » de Grand Yoff Mbollo en juin dernier. L’arène garde en mémoire la polémique lorsque Modou Lô avait accepté, à la surprise générale, d’affronter Siteu après sa défaite contre Lac 2 (juillet 2019). Cette fois, l’annonce d’un combat contre Sa Thiès mettrait tout le monde d’accord et enflammerait la saison prochaine.

Si tout se confirme, le 1er janvier 2026 pourrait offrir aux amateurs un choc de feu entre Parcelles Assainies et Guédiawaye, digne des plus grandes pages de la lutte sénégalaise.

Drame lors d’un match de football à Matam : un jeune poignardé à mort

Un match de football opposant les villages de Bosséabé et Aymonadji, dans la région de Matam (Nord-Est), a tourné au drame ce dimanche. Un jeune homme d’une vingtaine d’années, originaire de Bosséabé, a été poignardé à mort à la suite d’une altercation survenue pendant la rencontre.

Selon les témoignages recueillis sur place, une dispute a éclaté entre la victime et un autre jeune durant le match. Rapidement, la tension est montée et la bagarre a dégénéré, aboutissant à l’usage d’un couteau. La victime a reçu plusieurs coups et n’a pas survécu à ses blessures.

Le corps du défunt a été transféré à la morgue du poste de santé de Bosséabé, tandis que les autorités locales ont ouvert une enquête pour faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame.

Ce tragique incident jette une ombre sur cet événement sportif, qui était censé renforcer les liens entre les communautés des deux villages. Les habitants appellent au calme et à la vigilance pour éviter que de tels actes ne se reproduisen

Plage de Cassation : Des adultes dormant avec des enfants, la scène qui estomaque (vidéo)

Lors d’une opération de nettoyage sur la plage de « Cassation », la mairesse de Fann-Point E, Dieynaba Déme, a tiré la sonnette d’alarme sur une situation qu’elle juge alarmante : la présence de mineurs dans un environnement potentiellement dangereux.

« On pourrait même les tuer ici. Ce sont des enfants, ils sont innocents », a-t-elle déclaré, précisant qu’elle s’était déjà rendue à six reprises sur les lieux. Selon Dieynaba Déme, des hommes d’environ 25 ans dorment aux côtés de garçons âgés de seulement 9 ans. « Tout le monde sait ce qui se passe dans ce pays », a-t-elle lancé, dénonçant implicitement des risques d’abus.

La mairesse rapporte également qu’un agent de sécurité lui a montré un enfant qui aurait subi des violences. « Il y a des choses que je ne peux pas dire, mais ce jour-là, j’ai pleuré », a-t-elle confié, visiblement ému.

Drame à Mbacké Djoloff : un chauffeur fauché à mort en réparant son pneu

Dans la nuit du 10 août 2025, vers 4h du matin, Omar Seck, 50 ans, a été mortellement percuté par un véhicule alors qu’il réparait un pneu crevé sur la RN3, à hauteur de Mbacké Djoloff (commune de Sagatta Djoloff, département de Linguère).

La victime, arrêtée au bord de la chaussée avec sa camionnette, a été heurtée par une Mitsubishi « Wopouya » roulant à vive allure.

Le chauffeur du véhicule impliqué a été interpellé et placé en garde à vue pour homicide involontaire. Une enquête est en cours, la vitesse excessive étant évoquée comme cause probable par des témoins.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention