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Fièvre hémorragique de Crimée-Congo : Aucun nouveau cas détecté

La situation est sous contrôle. Les autorités sanitaires suivent de près la situation épidémique quelques jours après l’apparition du premier cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo au Sénégal.

Après le décès de l’unique cas, boucher en service aux abattoirs de Dakar, le 22 avril dernier, aucun nouveau cas n’a été détecté. Une garantie donnée par le Directeur de la lutte contre la maladie, Dr Mouhamadou Moustapha Diop, par ailleurs coordonnateur de la riposte contre la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, joint par Le Soleil.

Dans les colonnes du journal, il rappelle que la victime était en contact avec 87 personnes : des membres de sa famille, de ses collègues de travail, du personnel médical de l’hôpital Dalal Jamm.
A ce jour, tous les prélèvements effectués sont revenus négatifs.

Par ailleurs, les cas suspects sont déjà à plus de 13 jours de surveillance. C’est à l’issue du 15e jour que leur sort sera décidé par le personnel médical.

Au Sénégal, le Centre des opérations d’urgence sanitaire a été activé pour faire le suivi et circonscrire sa contagion, dans le cadre de la riposte. La maladie qui se transmet principalement à l’être humain à partir des tiques et des animaux d’élevage (bovins, ovins, caprins), présente les signes similaires à ceux du paludisme : maux de tête, entre autres. Mais, à ces signes, s’ajoutent ceux hémorragiques. Par exemple, le malade peut tousser et vomir du sang. Il peut aussi avoir des tâches de sang sur la peau.

Drame À Fatick : Un Élève Tué Lors D’une Séance De Lutte

Soum, un village dans le département de Foundiougne a été le théâtre d’un drame. C. T. Faye, élève en classe de 3ème au collège du village, a été poignardé à mort, lors d’une séance de lutte. Une bataille rangée a éclaté entre jeunes du village de Thiaré et ceux de Ndorong. Les faits se sont déroulés dans la soirée de mercredi.

D’après L’As, l’information a été donnée par l’Inspecteur d’académie (Ia) de Fatick, Cheikh Yaba Diop, hier jeudi, à l’occasion de la réunion du Comité régional de développement (Crd) consacré à la revue annuelle conjointe du secteur de l’Éducation et de la Formation.

Le meurtrier n’a pas encore été identifié. Une enquête est ouverte.

La Fédération Départementale GSB Guédiawaye S’est Réunie Pour…

La fédération départementale GSB GUEDIAWAYE s’est réunie pour apprécier la situation politique du Sénégal, apprécier le travail de massification des hommes de GSB et en fin donner sa position sur ce qu’il convient d’appeler « l’appel au dialogue national » posé par le président SALL.

La fédération départementale réaffirme son encrage dans le F24 et demande au président Bougane de ne jamais répondre à cet appel qui n’est qu’une farce politique digne du moyen âge.

Cependant la fédération demande au président Bougane Gueye de poser dans les instances du F24 la problématique du parrainage qui n’est qu’un moyen de filtre des adversaires politiques.

Toutes discussions qui seront engagées ,se tiendront sans le président SALL qui doit renoncer à son projet macabre et sinistre de participer à l’élection présidentielle de Février 2024.

Participer au dialogue national signifierai conforter le monarque Macky SALL à participer à l’election présidentielle à venir; ce qui serait illégal et illégitime.

La fédération félicite et encourage le président Bougane Gueye pour ses tournées dans les regions et la diaspora pour mieux s’imprégner du vécu des citoyens. Nous lui suggérons de continuer dans cette direction en oubliant aucun coin ou recoin car les sénégalais suffisamment épuisés, comptent sur sa personne pour mettre fin à leur souffrance.

La fédération s’engage de manière irréversible à accompagner le président Bougane Gueye dans toutes les luttes pour affranchir le Sénégal des mains des prédateurs qui ont fini de saper toutes les ressources morales qui faisaient notre force.

Cordialement Modou Ndiaye Général, coordinateur de Gueum Sa Bopp Guédiawaye

VIVE GUEUM SA BOPP

VIVE LA F24

VIVE LE SÉNÉGAL

GARE MARITIME DE DALIFORT : Le promoteur Birane Yaya Wane se dit victime d’une « campagne de dénonciation mensongère »

Porteur d’un projet de desserte maritime sur l’axe Dakar – Mbour en passant par Rufisque, Bargny, le Port de Dakar ou encore Ndayane, Birane Yaya Wane, de Greenwhich Meridian Trading International, se heurte à des tensions en ce qui concerne la mise en place de la gare maritime de Dalifort dénommée Thiaroye-Arezki. Au cours d’une conférence de presse, il a laissé entendre que malgré l’appui institutionnel apporté par le Gouvernement, des lourdeurs administratives et actes de sabotage jalonnent la concrétisation de ce projet de desserte maritime via des bateaux taxis déjà intégré dans le Plan Sénégal émergent (Pse). Il ajoute, à ce sujet, que le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime a créé, par arrêté ministériel N°13.12.2016*18505, un comité ad hoc chargé du suivi du projet de desserte maritime entre Dakar et sa banlieue. Ce comité ad hoc, précise Birane Yaya Wane, est l’organe institutionnel et d’orientation pour le suivi dudit projet dont le secrétariat est assuré par l’Agence Nationale des Affaires Maritimes (Anam). Malgré cela, assure le promoteur, ce projet englobant la réalisation de plusieurs gares maritimes sur l’axe Dakar – Mbour est menacé par une désinformation orchestrée pour que les populations riveraines s’opposent à l’entrée en service d’une gare maritime à Dalifort.

 

Selon Birane Yaya Wane, un malentendu est entretenu autour du mur de clôture que d’aucuns accusent d’entraver les allées et venues sur la plage. « La proximité de cette gare avec des taudis où essaiment beaucoup de malfrats nous a conduit à ériger un mur de clôture pour assurer la sécurité et la quiétude des lieux. Ce qui motive notre détermination à dénoncer les actes malveillants de cagoulards, manipulateurs, d’accros à la propagande digitale, d’activistes politiciens tapis dans l’ombre dont la distraction favorite est de jeter au quotidien le discrédit sur ce projet porté par un digne fils du pays en utilisant des moyens de communication dévastateurs pour procéder à une campagne hideuse de dénonciation hypocrite et mensongère » s’offusque Birane Yaya Wane. Il compte saisir la justice pour que cesse cette campagne à l’encontre du projet. « Au-delà du discrédit, ces malveillants identifiés comme politiciens encagoulés cherchent certainement à faire bloquer ce projet en tenant des propos mensongers, outrageants et sans fondement qui nous obligent à leur servir une citation directe afin qu’ils viennent répondre devant la justice, ceci pour laver notre honneur et celui de fonctionnaires accusés gratuitement à travers certains médias. C’est dans ce cadre que nous avons jugé utile de convoquer ce point de presse pour mettre à nu les pratiques de ces voyous enfin démasqués et qui malheureusement ne vivent que de ce genre de chantages. Des contrebandiers qui se sont toujours opposés à la réalisation de notre gare maritime en poussant des jeunes inconscients à manifester et brûler des pneus lors de manifestations » ajoute Birane Yaya Wane.

Affaire Mame Mbaye Niang : Cet Acte Qui Montre Que Sonko Risque De Zapper L’audience

Ousmane Sonko va-t-il encore snober la Justice ?

Le maire de Ziguinchor a convoqué un Conseil municipal, ce lundi 8 mai, qui coïncide avec la date de la tenue du procès en appel qui l’oppose au ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang.

Lors des deux dernières audiences, M. Sonko ne s’était pas présenté au tribunal.

Pour rappel en première instance, Ousmane Sonko a été condamné le 30 mars à deux mois de prison avec sursis et doit verser 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts au ministre. L’opposant avait conservé cependant son éligibilité pour la présidentielle de 2024, selon ses avocats.

Affaire Sweet Beauty : Le Dernier Acte Posé Par Le Parquet

La date du 16 mai a été retenue pour l’audience de l’affaire Sweet Beauty, opposant le leader de Pastef, Ousmane Sonko, à l’ex-masseuse, Adji Sarr, qui l’accuse de viols répétés et menaces de mort.

Selon les Echos, évoquant le dernier tournant posé hier par le Parquet, les avis pour comparution ont été envoyés aux différentes parties. Après la partie civile, la défense de la patronne du Sweet Beauty, Ndeye Khady Ndiaye, a confirmé l’avoir reçu.

Dans le camp de l’accusé, Ousmane Sonko, certains membres du pool d’avocats disent ne pas être en mesure de confirmer si leur client a bien reçu la convocation. Mais, le journal est catégorique : l’avis a été bien envoyé au maire de Ziguinchor.

Et, il a été bien précisé aux parties que l’audience se tiendra devant la première chambre criminelle, souligne le journal.

Reste à savoir si l’opposant va comparaître ? Soutenant qu’il ne fait pas confiance à certains juges, il a fait savoir qu’il opte désormais pour la désobéissance civique.

MEETING À ZINGUINCHOR : BALDÉ SE RELANCE

Cela fait un bon moment que Abdoulaye Baldé n’a pas été beaucoup entendu. Politiquement. Son prédécesseur à la mairie de Ziguinchor, Ousmane Sonko, déroule. Eh bien, le leader de l’Union centriste du Sénégal (Ucs) veut reprendre le terrain.

Une note annonce une « grande rentrée politique régionale de Dr Abdoulaye Baldé, same- di 6 mai, à la Place Bambaya de Ziguinchor, à partir de 15 h ». Il s’agit, selon
les hommes du Directeur général de l’Apix d’un « Sargal Abdoulaye Baldé, deloo njukël Président Macky Sall (hommage à Baldé, remerciements au Président Sall ».

Massacre Au Burkina : Le Président Veut Éviter Des « Conclusions Hâtives » Accusant L’armée

Alors que la société civile réclame des réponses après le massacre de plus d’une centaine de villageois à Karma, dans le nord du Burkina Faso, le président de la transition Ibrahim Traoré a appelé jeudi, lors d’un entretien télévisé, à éviter des « conclusions hâtives » accusant l’armée.

Le président de la transition au Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a appelé jeudi 4 mai à éviter des « conclusions hâtives » accusant l’armée d’être responsable du massacre de Karma, dans le nord du pays, commis le 20 avril par des hommes en uniforme militaire.

« Pourquoi accuser (l’armée) directement parce qu’on dit qu’ils (les assaillants) sont venus avec des pick-up et des tenues de l’armée ? », a-t-il soulevé lors d’un entretien à la télévision publique burkinabè, rappelant que « l’armée a perdu des blindés, des pick-up » lors des nombreuses attaques commises par des groupes terroristes dans le pays.

« Sachant cela, on ne peut pas immédiatement accuser les Forces de défense et de sécurité (FDS) (…). On attend que les enquêteurs fassent leur travail et que les gens évitent de tirer des conclusions hâtives », a-t-il poursuivi. Le procureur de Ouahigouya a ouvert une enquête.

Le 20 avril, 136 personnes dont 50 femmes et 21 enfants ont été tuées à Karma, village à 15 km de Ouahigouya, selon le bilan officiel. Des rescapés et des témoins ont affirmé que le massacre avait été commis « par des personnes arborant des tenues de nos forces armées nationales ».

Lors de l’entretien télévisé, le capitaine Traoré – arrivé au pouvoir par un coup d’État en septembre – a également dénoncé les agissements d’une « coalition contre le Burkina Faso », engagé dans la lutte contre la violence jihadiste. « Ils sont nombreux, ces pays qui ont refusé catégoriquement de nous vendre de l’équipement », a-t-il déclaré.

Plus de trois mois après avoir demandé le départ de l’armée française, le président a affirmé s’être tourné vers des « alliés stratégiques » comme la Russie et la Turquie. « On continuera d’acquérir des moyens majeurs avec ces pays (et) on va coopérer avec ceux qui souhaitent nous aider dans cette guerre » contre les jihadistes, a-t-il assuré, saluant également une coopération avec la Corée du Nord pour l’acquisition d’équipements militaires.

Le président a affirmé, lors d’une allocution télévisée jeudi, vouloir organiser des élections le « plus tôt possible », en juin 2024.

Le Burkina Faso, théâtre de deux coups d’État militaires en 2022, est pris depuis 2015 dans une spirale de violences jihadistes apparues au Mali et au Niger quelques années auparavant et qui s’est étendue au-delà de leurs frontières. Depuis huit ans, les violences ont fait plus de 10 000 morts – civils et militaires – selon des ONG, et quelque deux millions de déplacés internes.

Un Mort À Naples En Marge Des Célébrations De Son Titre De Champion

Un jeune homme de 26 ans est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à Naples dans le sud de l’Italie, après avoir été blessé par des coups de feu tirés en marge des célébrations pour le troisième titre de champion du Napoli, selon les médias locaux.

Trois autres personnes ont été blessées lors de ces coups de feu, dont on ne sait pas à ce stade s’ils ont été tirés pour fêter la victoire du club de football de la ville ou s’ils relevaient d’uné activité criminelle, selon le quotidien Il Corriere della Sera.

Après l’annonce du décès du jeune Napolitain, certains de ses proches ont causé des dommages matériels au service des urgences de l’hôpital Cardarelli où il avait été admis pour traiter ses graves blessures. Selon le quotidien La Stampa, la victime est liée à un clan de la mafia napolitaine.

Les carabiniers ont ouvert une enquête pour déterminer dans quelles conditions ont été tirés ces coups de feu ont en plein centre historique de la métropole méridionale

Lors de l’explosion de joie qui a envahi la ville pour son troisième titre de champion d’Italie, 203 personnes au total se sont présentées aux urgences des hôpitaux de la ville pour des blessures ou des malaises, selon La Stampa, notamment pour des coups de couteau, des lésions causées par des explosions de pétards, des chutes, des crises de panique ou encore des crises d’asthme causés par l’inhalation de fumigènes.

Naples a décroché son titre jeudi, à cinq journées de la fin du championnat, plus de 30 ans après les deux premiers de l’époque de Diego Maradona (1987, 1990), grâce à un point offert par Victor Osimhen à Udine (1-1).

Les célébrations de ce scudetto mérité, tant Naples a dominé la Serie A, vont sans doute se prolonger pour marquer le retour dans le Sud d’un titre monopolisé depuis 22 ans par les trois géants du Nord, la Juventus Turin, l’AC Milan et l’Inter Milan.

CAN U23 : le tirage au sort, ce vendredi à Rabat

La Confédération Africaine de Football (CAF) a annoncé, ce jeudi, que le tirage au sort du tournoi final de la Coupe d’Afrique des Nations U23 TotalEnergies, Maroc 2023, aura lieu demain vendredi 05 mai 2023 à 17h00 GMT.

Le Centre technique Mohammed VI à Rabat, au Maroc ; une des installations sportives les plus emblématiques du football africain, accueillera l’évènement.

Le tirage au sort sera retransmis en direct sur les plateformes officielles de la CAF CAFONLINE.COM et CAFTV (YouTube) ainsi que sur celles de plusieurs partenaires TV.

Huit équipes participeront au tournoi prévu du 24 juin au 08 juillet 2023 au Maroc.

La Coupe d’Afrique des Nations U23 TotalEnergies Maroc 2023, qui servira de qualification pour les Jeux Olympiques d’été – Paris 2024, réunira le Maroc, l’Égypte, le Niger, la Guinée, le Congo, le Ghana, le Mali et le Gabon.

Ce qu’il faut savoir sur les équipes participantes

Maroc

-Le Maroc est le pays hôte pour la deuxième fois. Il a été vice-champion face au Gabon la dernière fois qu’il a été le pays hôte en 2011.

-Le Maroc a remporté ses deux premiers matches lors de l’édition 2011 en battant le Nigeria et l’Algérie 1-0. Malgré une défaite contre le Sénégal lors de son dernier match de groupe, il s’est qualifié pour le dernier carré en battant l’Égypte, mais s’est incliné en finale contre le Gabon.

Égypte

-L’Égypte, qui participe à sa quatrième phase finale, s’est qualifiée pour toutes les éditions depuis 2011.

-Championne en titre, elle a remporté l’édition 2019 à domicile avec cinq victoires en jeu ouvert, battant la Côte d’Ivoire 2-1 en finale.

-Les Pharaons ont la particularité d’être la seule nation à s’être qualifiée pour toutes les éditions du tournoi.

-Troisième place lors de la dernière édition organisée par le Maroc en 2011.

Gabon

-Vainqueur de l’édition 2011.

-Les Panthères participent au tournoi pour la deuxième fois après avoir manqué les éditions 2015 et 2019.

-Les premiers vainqueurs du tournoi ont battu le Maroc hôte 3-1 en finale en 2011.

Ghana

-Fait sa deuxième apparition dans le tournoi après 2019.

-A terminé quatrième lors de sa seule participation au tournoi en 2019.

-A perdu ses deux matchs à élimination directe en 2019 aux tirs au but contre la Côte d’Ivoire en demi-finale et contre l’Afrique du Sud lors du match pour la troisième place.

Mali

-En passe de disputer sa troisième phase finale.

-Éliminé en phase de groupes lors de ses deux dernières participations au tournoi en 2015 et 2019.

-Après avoir quitté Égypte 2019 sans victoire, les Maliens tenteront de faire mieux cette fois-ci et d’atteindre le stade des huitièmes de finale pour la première fois.

Congo

-Fait ses débuts dans le tournoi.

-Il a battu l’Afrique du Sud lors du dernier tour de qualification, se qualifiant grâce à des buts marqués à l’extérieur après avoir fait match nul 1-1 à l’aller et 0-0 au retour.

-C’est la troisième équipe de la région UNIFFAC à atteindre la phase finale, avec le Cameroun et le Gabon.

Guinée

-Fait ses débuts dans le tournoi.

-Elle a surpris le Nigeria lors des éliminatoires en obtenant un match nul 0-0 à Abuja lors du match aller du troisième tour, puis en s’imposant 2-0 lors du match retour disputé à Rabat.

-Le Niger et le Nigeria sont les 6e et 7e équipes de la zone WAFU à se qualifier pour le tournoi.

Niger

-Fait ses débuts dans le tournoi.

-Il a battu la Guinée Bissau au premier tour de qualification et a surpris la Côte d’Ivoire au deuxième tour avec un match nul 1-1 à l’extérieur après un match nul 0-0 à domicile, ce qui lui a permis de se qualifier pour le troisième tour contre le Soudan qu’il a battu 2-1 sur l’ensemble des deux matches.

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