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Tribunal correctionnel du pool judiciaire financier : 2 ans ferme requis contre l’artiste comédien Moussa Seck

Le comédien thiessois Moussa Seck et son coprévenu Ibrahima Kébé ont comparu devant le tribunal correctionnel du Pool judiciaire financier (Pjf), ce jeudi. L’acteur de la série ‘’Xalisso’’ poursuivi pour escroquerie portant sur des deniers publics et faux et usage de faux en écriture privée.

Revenant sur les accusations contre le comédien, l’Agent judiciaire de l’État (Aje) a expliqué que l’enquête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a révélé un réseau de fraude lié à la convention État-employeurs, instaurée durant la crise de la Covid-19 pour soutenir les entreprises en difficulté. Des dossiers ont été falsifiés avec des employés fictifs pour détourner des fonds publics, causant un préjudice estimé à 8,84 millions de FCFA. Estimant que les prévenus ont agi de mauvaise foi, l’Aje a réclamé 15 millions de FCFA et la confiscation de la somme consignée.

Le procureur financier quant à lui, a souligné que les faits sont établis. Il a, à cet effet, requis 6 mois de prison ferme et une amende de 200 000 FCFA pour faux et usage de faux contre Moussa Seck, ainsi que 2 ans ferme et une amende de 2 millions de FCFA pour escroquerie portant sur des deniers publics, soit une peine totale de deux ans ferme et 2 millions de FCFA après confusion des peines. Contre Ibrahima Kébé, il a estimé que les faits de concussion étaient constants. Car le prévenu a reçu 100 000 FCFA pour une procédure gratuite et a aidé Seck dans ses démarches frauduleuses. Il a, alors, une peine de 6 mois de prison ferme et une amende d’un million de FCFA.

Pour sa part, les conseils de Moussa Seck ont plaidé la relaxe pure et simple. D’après la défense du comédien, le procès vise à tort son client plutôt que le Pôle emploi. Elle a invoqué une application bienveillante de la loi, l’épouse du comédien ayant accouché la veille. Elle a sollicité la liberté provisoire pour son client. L’avocat de Cheikh Ibrahima Kébé, a estimé que l’intention coupable n’était pas établie et a requis un renvoi des fins de la poursuite sans peine ni dépens.

Le tribunal a accordé la liberté provisoire à Moussa Seck, malgré les objections du procureur. Le délibéré est fixé au 11 septembre 2025.

CHAN 2024 : Mapathé Mbodj forfait pour le reste de la compétition

Alors que les Lions locaux avaient bien entamé la compétition en battant le Nigeria, ils devront poursuivre l’aventure sans l’un de leurs atouts offensifs. Mapathé Mbodj, attaquant de l’AS Kaffrine et meilleur buteur de la dernière saison de Ligue 2, a été contraint de quitter la tanière en raison d’un problème administratif.

‎Attaquant de l’AS Kaffrine et meilleur buteur de la dernière saison de Ligue 2 sénégalaise avec 15 réalisations, Mapathé Mbodj ne participera finalement pas à la 8e édition du CHAN. En raison de soucis administratifs, il a quitté le groupe basé à Zanzibar et est rentré à Dakar ce 6 août, sans avoir disputé la moindre minute de la compétition.

‎Après Idrissa Ndiaye, forfait pour blessure, Mapathé Mbodj est le deuxième joueur sénégalais à déclarer forfait pour ce CHAN 2024.

Cité Fayçal : La Cour suprême suspend les expulsions

La Cour suprême du Sénégal a ordonné ce jeudi la suspension des résiliations de baux pour les résidents de la cité Fayçal suite à une audience qui s’est tenue dans la matinée, a-t-on appris de sources médiatiques.

L’État du Sénégal, par l’intermédiaire de la Société de gestion du patrimoine immobilier de l’État (SOGEPA), avait, en effet, entamé des procédures d’expulsion à l’encontre des habitants de la cité.

En réponse, les avocats des résidents ont saisi la Cour suprême en référé pour demander l’arrêt de ces expulsions.

Une affaire touchant 42 familles éminentes

L’affaire concerne 42 familles, composées de personnalités influentes, notamment de hauts magistrats, de professeurs d’université et de médecine, ainsi que d’anciens ministres.

Le juge des référés a statué en faveur des plaignants.

Sa décision ordonne la suspension de l’exécution des avis de résiliation de baux, numérotés 272 à 315 et datés du 6 février 2025.

Par ailleurs, il a également suspendu la décision n°00015 du 14 mars 2025, émise par le directeur général de la SOGEPA, qui avait rejeté les recours gracieux des résidents, qu’ils soient individuels ou déposés par l’Association des résidents de la cité Fayçal.

Deux Présidents au Sénégal ? Une dérive populiste dangereuse

Quand un député de la République, censé incarner la légitimité institutionnelle, foule aux pieds la Constitution pour nous vendre un storytelling de cour d’école, c’est que le pays a réellement touché le fond. Guy Marius Sagna, dans une publication Facebook aussi délirante qu’inquiétante, parle d’un « président légal » et d’un « président légitime ». Une confusion gravissime et irresponsable qui relève d’un double langage populiste : d’un côté, on participe aux institutions ; de l’autre, on les piétine dès que le verdict des urnes ne flatte plus son messianisme politique.

Non, Monsieur le Député Guy Marius, le Sénégal n’a pas deux présidents. Il a un seul chef de l’État, démocratiquement élu, reconnu par les instances nationales et internationales. Vos frustrations personnelles ou celles de votre parti Pastef ne font pas office de verdict populaire. Le peuple sénégalais a tranché. Le reste, ce sont des pleurnicheries de mauvais perdants.Quant à cette menace à peine voilée : « Vous allez devoir souffrir », elle en dit long sur la nature violente, revancharde et antidémocratique de votre projet politique. On vous croyait engagé, on vous découvre en agitateur d’instincts primitifs.

Faire le procès de l’histoire récente en insultant les institutions et en montant les Sénégalais les uns contre les autres, c’est nier les principes républicains que vous avez juré de défendre. Si vous avez des preuves de crimes économiques, adressez-les à la justice. Mais visiblement, dans votre monde, l’invective a remplacé l’argument.Le Sénégal mérite mieux que vos incantations de sorcier politique. Il mérite des solutions, pas des malédictions. Des actes, pas des sermons fanatiques.

Babacar Justin Mbengue Délégué national à la communication Mouvement Gueum Sa Bopp «les jambaars»

Mbane : Découverte d’un corps sans vie à Niary dans le fleuve Taouey

Ce jeudi 07 août 2025, aux environs de 13h40, un corps sans vie de sexe masculin a été découvert dans les eaux du bras de fleuve Taouey, à hauteur du village de Niary, commune de Mbane.
La victime, identifiée comme A. Sow, né à Lewa et âgé de 50 ans, était berger, marié et père de 11 enfants. Il résidait à Sanda. Son corps, retrouvé en état de décomposition avancé par des agents du ministère de l’Agriculture en mission dans la zone, a pu être identifié grâce à une pièce d’identité retrouvée sur lui.
Selon les déclarations de la famille, A. Sow était porté disparu depuis plus d’une semaine.

Alertés, les sapeurs-pompiers, le service d’hygiène, un médecin de l’EPS de Gaé et la brigade territoriale de la gendarmerie de Richard Toll se sont rendus sur les lieux pour les constats d’usage.

 

Sur instruction du Procureur, le corps a été inhumé sur place.

 

Une enquête est actuellement en cours pour déterminer les circonstances exactes du décès.

Plan de redressement économique et social : Me Oumar Youm dézingue le gouverneme

La présentation du plan de redressement économique et social par le Premier ministre n’a pas convaincu l’opposition. Me Oumar Youm est monté au créneau pour dénoncer ce qu’il considère comme un projet déconnecté des réalités et centré uniquement sur la fiscalité.

« Ils ne leur restent qu’à taxer l’air que nous respirons », a-t-il ironisé, fustigeant un « exercice de communication » et une « violation flagrante de notre démocratie ». Pour lui, il ne s’agit nullement d’un plan de relance, mais bien d’un « plan simplement fiscal ».

L’ancien ministre raille également la forme de la présentation : « Nous avons vu un Premier ministre qui est resté debout pendant 75 minutes pour donner un plan aérien ». Il insiste : « L’économie, c’est du réel. Il faut tenir compte de ce qui existe, de ce qui est plausible et faisable ».

Avec ce réquisitoire, Me Oumar Youm rejoint le chœur des voix critiques qui estiment que le gouvernement, plutôt que de stimuler la croissance, cherche surtout à renflouer les caisses de l’État par de nouvelles taxes.

Affaire « Kocc » : El Hadi Babacar Dioum brise le silence et accuse

Dans le tentaculaire dossier impliquant déjà « Kocc » et « Leuk Daour », un nouveau tournant survient. Entendu par le juge, El Hadi Babacar Dioum change radicalement de stratégie : il accepte enfin de s’exprimer et met en cause El Hadji Assane Demba, qu’il présente comme l’instigateur de leur système de surnoms  « El Professor » pour lui-même et « Action-Réaction » pour Demba.

Les enquêteurs découvrent que Demba est enregistré dans son téléphone sous le nom « Mbd », correspondant à Mame Boye Diao, avec qui il échangeait des messages cryptiques juste après l’arrestation de « Kocc». Malgré ces révélations, Demba disculpe Mame Boye Diao, qui nie également toute implication.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention