jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 116

Le plan de Benyamin Netanyahu pour la prise de contrôle de Gaza fortement critiqué

Medics evacuate the body of a man from Gaza's eastern Shejaiya district on July 20, 2014. At least 40 people were killed and nearly 400 wounded in Israeli shelling of Gaza's northeastern Shejaiya district overnight, medics said. AFP PHOTO / MAHMUD HAMS

C’était une décision « courue d’avance », estiment plusieurs éditorialistes cités par notre correspondant à Jérusalem, Michel Paul. Israël fonce « la tête contre le mur », estime, pour sa part, le quotidien d’opposition Haaretz. Le pays est « isolé » en raison de son offensive à Gaza et Netanyahu a « trouvé la solution », explique ironiquement le journal.

« Prise de contrôle »

« Renforcer encore plus la guerre : absent de la décision, souligne Yediot Aharonotle mot occupation qui a été remplacé par prise de contrôle ». Une nuance qui a une importance juridique. Il n’est pas non plus question du projet de transfert des Gazaouis, initialement suggéré par le président Donald Trump. Autant de points qui ont provoqué le mécontentement des ministres d’extrême droite Smotrich et Ben Gvir qui n’ont pas voté en fin de compte avec la majorité du cabinet.

Le piège du Hamas

Nous allons « tomber » dans le piège du Hamas, a lancé le chef d’état-major aux ministres. Ils n’ont pas tenu compte de son avertissement. Selon le quotidien Maariv, 46% des Israéliens se rangent du côté du général Zamir. Ils sont 22% seulement en accord avec le Premier ministre israélien. Pour un chroniqueur, le résultat du jusqu’auboutisme israélien sera double : une recrudescence de l’antisémitisme dans le monde et la création d’un État palestinien.

Émoi chez les réfugiés palestiniens 

Ahmed est resté éveillé toute la nuit, accroché à son téléphone. Il a découvert la décision d’Israël au petit matin : « Oui, ça a été un choc pour nous, parce qu’on pensait que l’opération se terminerait bientôt, confie-t-il à Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. Je pense que nous en avons eu assez… Gaza n’en peut plus ». Ce père de famille, réfugié à Al-Mawasi, ne voit pas comment les habitants de Gaza ville vont pouvoir être accueillis dans le camp : « Les tentes sont déjà les unes à côté des autres. Il n’y a pas d’espace, il n’y a pas d’eau, il n’y a rien, ce sont des tentes au milieu du désert. »

Il rappelle que les Gazaouis, à bout de force, affamés, ne peuvent pas se déplacer une fois encore : « Personnellement, j’ai déjà dû me déplacer plus de quinze fois, il faut beaucoup d’argent, beaucoup d’efforts sous les bombardements, les frappes aériennes, ils ne donnent pas d’occasion aux gens de se déplacer en sécurité. »

À terme, il redoute bien sûr les assauts d’Israël qui veut s’emparer de tout le territoire : « Nous souffrons, vraiment, nous avons un futur inconnu, j’ai toujours peur de ne pas me réveiller le jour suivant. Je regrette de m’être marié et d’avoir eu un fils. Ils ne méritent pas de vivre ça ». L’évacuation de Gaza ville pourrait durer deux mois, avant l’offensive totale de l’armée israélienne.

La ville de Gaza, première cible de l’armée israélienne

Avec ses 45km2 la ville de Gaza représente un peu plus de 10% du territoire de l’enclave palestinienne. Située au nord, la ville de Gaza borde la Méditerranée sur quelques kilomètres et possédait un port de pêche, maintenant détruit par l’armée israélienne. Lors du dernier recensement de 2023, la plus grande ville de l’enclave palestinienne comptait près de 750 000 habitants dont plus de 90% auraient été contraints de quitter leur domicile pour fuir les bombardements.

Avant cet exode, la ville de Gaza était l’une des plus densément peuplée au monde avec plus de 16 000 habitants au kilomètre carré. Conséquence : son tissu urbain était lui aussi très dense, rendant les bombardements israéliens particulièrement destructeurs et faisant désormais ressembler la ville à un gigantesque tas de gravats.

Poumon économique, politique et culturel, la ville de Gaza comptait plusieurs marchés, des universités ainsi que de nombreux bâtiments administratifs. Avant d’appartenir à l’État de Palestine, la ville s’est développée sur la route commerciale reliant l’Égypte à la Syrie, et aurait été fondée il y a plus de 3000 ans.

Guinée Bissau | Nomination d’un nouveau Premier ministre

Le Président de Guinée-Bissau Umaro Sissoco Embalo a limogé  jeudi 7 août Rui Duarte Barros, Chef du gouvernement, à moins de quatre mois des élections générales  présidentielle et législatives- prévues normalement le 23 novembre prochain. Dans la foulée, le Chef de l’Etat a nommé  au poste de Premier ministre, Braima Camara, son ancien rival au sein de sa famille politique

 

Le président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embalo, a signé jeudi 7 août un décret présidentiel révoquant le Premier ministre Rui Duarte de Barros et nommant à sa place Braima Camara.

Selon la présidence, M. Camara prêtera serment ce vendredi 8 août au palais présidentiel. Il devient ainsi le troisième Premier ministre nommé par M. Embalo depuis son arrivée au pouvoir en 2020.

Né le 3 août 1968, M. Camara est actuellement député à l’Assemblée nationale populaire et coordonnateur national du Mouvement pour l’alternance démocratique – Groupe des 15 (MADEM-G15), le parti allié du président Embalo.

Les élections présidentielle et législatives en Guinée-Bissau sont prévues pour le 23 novembre prochain.

Guy Marius Sagna évoque “un président légal et un président légitime” Madiambal Diagne crie à l’offense au chef de l’État et interpelle le Procureur

En évoquant Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko, Guy Marius Sagna a déclaré que le Sénégal vit aujourd’hui une situation politique inédite, avec « un président légal et un président légitime ». Selon lui, Bassirou Diomaye Faye incarne la légalité en tant que président élu, tandis qu’Ousmane Sonko conserve une légitimité politique et populaire en raison de son combat et de son exclusion jugée injuste de la présidentielle de 2024.

Ces propos ont provoqué la réaction de Madiambal Diagne, patron du groupe Avenir Communications, qui y voit une offense au chef de l’État. Sur le réseau social X, il a interpellé directement le Procureur de la République, rappelant qu’Ousmane Sonko avait, à l’époque, qualifié Macky Sall de président illégitime. « Le Procureur détournera-t-il encore le regard ? », s’est-il interrogé.

L’APR rejette le Plan de redressement économique et dénonce une « comédie » gouvernementale

L’Alliance pour la République (APR) a rejeté le Plan de redressement économique présenté par le Premier ministre, qualifiant sa présentation de simple exercice de communication et de « comédie » mise en scène au Grand Théâtre. Selon Abdou Mbow et ses camarades, cette initiative s’inscrit dans une « réconciliation de façade » entre les deux têtes de l’exécutif, loin des préoccupations d’un peuple en difficulté. L’APR dénonce une immatriculation fiscale déguisée, entraînant une baisse du pouvoir d’achat, un étouffement du monde rural, un risque de privatisation du foncier agricole et l’exclusion de la jeunesse. Me Oumar Youm pointe l’absence d’analyse des risques, une confusion entre recettes et dépenses et juge le plan irréaliste, estimant qu’il ne pourra être appliqué sans mettre en péril l’économie nationale.

«la présentation de ce plan n’est rien d’autre qu’un exercice de communication, une comédie mise en scène au Grand Théâtre devant les Sénégalais, avec une légèreté insoutenable face à une violation flagrante de l’esprit républicain».

Cela s’est produit, selon Abdou Mbow et Cie, «au moment où les deux têtes de l’exécutif rendaient publique une réconciliation de façade, avant la prochaine discorde».

«Toute cette mascarade est indigne de dirigeants d’État, éloignés des préoccupations quotidiennes d’un peuple épuisé, désespéré et désorienté», ont-ils indiqué lors d’une rencontre avec la presse.De l’avis  de Me Oumar Youm, «le plan n’a pas prévu d’analyse de risques et de menaces. Je suis convaincu que ce plan n’a pas été confectionné par des comptables publiques encore moins avec des financiers mais il y a une confusion manifeste entre ce qui est dépense et ce qui est recette. C’est la première fois que je vois au Sénégal, un document public qui confond les deux notions».

Trafic de drogue à Ngor : 17 personnes interpellées dont des étudiants, livreurs, footballeurs, agents municipaux…

La Brigade Régionale des Stupéfiants de Dakar de l’OCRTIS, appuyée par la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP), a mené une opération d’envergure dans la nuit du 7 août 2025, à Ngor, aboutissant au démantèlement d’un réseau actif de trafic de drogue. Le bilan de l’opération fait état de 17 individus interpellés (étudiants, livreurs, footballeurs, agents municipaux, etc.)

54 pierres de crack, 03 boules de haschisch, 05 motos type scooter, 123 000 FCFA en espèces, 09 téléphones iPhone, 02 Tecno, 04 téléphones simples, 01 ordinateur (iPad), du matériel de conditionnement de drogue ont été également saisis.

D’après la police, cette opération fait suite à des renseignements opérationnels confirmant l’existence de trafics à ciel ouvert et de nombreuses agressions dans le secteur. Plusieurs points de deal ont été localisés après des missions de repérage ciblées. Les suspects ont été placés en garde à vue pour association de malfaiteurs, détention de drogues en vue de trafic, destruction de biens appartenant à autrui.

Tribunal correctionnel du pool judiciaire financier : 2 ans ferme requis contre l’artiste comédien Moussa Seck

Le comédien thiessois Moussa Seck et son coprévenu Ibrahima Kébé ont comparu devant le tribunal correctionnel du Pool judiciaire financier (Pjf), ce jeudi. L’acteur de la série ‘’Xalisso’’ poursuivi pour escroquerie portant sur des deniers publics et faux et usage de faux en écriture privée.

Revenant sur les accusations contre le comédien, l’Agent judiciaire de l’État (Aje) a expliqué que l’enquête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a révélé un réseau de fraude lié à la convention État-employeurs, instaurée durant la crise de la Covid-19 pour soutenir les entreprises en difficulté. Des dossiers ont été falsifiés avec des employés fictifs pour détourner des fonds publics, causant un préjudice estimé à 8,84 millions de FCFA. Estimant que les prévenus ont agi de mauvaise foi, l’Aje a réclamé 15 millions de FCFA et la confiscation de la somme consignée.

Le procureur financier quant à lui, a souligné que les faits sont établis. Il a, à cet effet, requis 6 mois de prison ferme et une amende de 200 000 FCFA pour faux et usage de faux contre Moussa Seck, ainsi que 2 ans ferme et une amende de 2 millions de FCFA pour escroquerie portant sur des deniers publics, soit une peine totale de deux ans ferme et 2 millions de FCFA après confusion des peines. Contre Ibrahima Kébé, il a estimé que les faits de concussion étaient constants. Car le prévenu a reçu 100 000 FCFA pour une procédure gratuite et a aidé Seck dans ses démarches frauduleuses. Il a, alors, une peine de 6 mois de prison ferme et une amende d’un million de FCFA.

Pour sa part, les conseils de Moussa Seck ont plaidé la relaxe pure et simple. D’après la défense du comédien, le procès vise à tort son client plutôt que le Pôle emploi. Elle a invoqué une application bienveillante de la loi, l’épouse du comédien ayant accouché la veille. Elle a sollicité la liberté provisoire pour son client. L’avocat de Cheikh Ibrahima Kébé, a estimé que l’intention coupable n’était pas établie et a requis un renvoi des fins de la poursuite sans peine ni dépens.

Le tribunal a accordé la liberté provisoire à Moussa Seck, malgré les objections du procureur. Le délibéré est fixé au 11 septembre 2025.

CHAN 2024 : Mapathé Mbodj forfait pour le reste de la compétition

Alors que les Lions locaux avaient bien entamé la compétition en battant le Nigeria, ils devront poursuivre l’aventure sans l’un de leurs atouts offensifs. Mapathé Mbodj, attaquant de l’AS Kaffrine et meilleur buteur de la dernière saison de Ligue 2, a été contraint de quitter la tanière en raison d’un problème administratif.

‎Attaquant de l’AS Kaffrine et meilleur buteur de la dernière saison de Ligue 2 sénégalaise avec 15 réalisations, Mapathé Mbodj ne participera finalement pas à la 8e édition du CHAN. En raison de soucis administratifs, il a quitté le groupe basé à Zanzibar et est rentré à Dakar ce 6 août, sans avoir disputé la moindre minute de la compétition.

‎Après Idrissa Ndiaye, forfait pour blessure, Mapathé Mbodj est le deuxième joueur sénégalais à déclarer forfait pour ce CHAN 2024.

Cité Fayçal : La Cour suprême suspend les expulsions

La Cour suprême du Sénégal a ordonné ce jeudi la suspension des résiliations de baux pour les résidents de la cité Fayçal suite à une audience qui s’est tenue dans la matinée, a-t-on appris de sources médiatiques.

L’État du Sénégal, par l’intermédiaire de la Société de gestion du patrimoine immobilier de l’État (SOGEPA), avait, en effet, entamé des procédures d’expulsion à l’encontre des habitants de la cité.

En réponse, les avocats des résidents ont saisi la Cour suprême en référé pour demander l’arrêt de ces expulsions.

Une affaire touchant 42 familles éminentes

L’affaire concerne 42 familles, composées de personnalités influentes, notamment de hauts magistrats, de professeurs d’université et de médecine, ainsi que d’anciens ministres.

Le juge des référés a statué en faveur des plaignants.

Sa décision ordonne la suspension de l’exécution des avis de résiliation de baux, numérotés 272 à 315 et datés du 6 février 2025.

Par ailleurs, il a également suspendu la décision n°00015 du 14 mars 2025, émise par le directeur général de la SOGEPA, qui avait rejeté les recours gracieux des résidents, qu’ils soient individuels ou déposés par l’Association des résidents de la cité Fayçal.

Deux Présidents au Sénégal ? Une dérive populiste dangereuse

Quand un député de la République, censé incarner la légitimité institutionnelle, foule aux pieds la Constitution pour nous vendre un storytelling de cour d’école, c’est que le pays a réellement touché le fond. Guy Marius Sagna, dans une publication Facebook aussi délirante qu’inquiétante, parle d’un « président légal » et d’un « président légitime ». Une confusion gravissime et irresponsable qui relève d’un double langage populiste : d’un côté, on participe aux institutions ; de l’autre, on les piétine dès que le verdict des urnes ne flatte plus son messianisme politique.

Non, Monsieur le Député Guy Marius, le Sénégal n’a pas deux présidents. Il a un seul chef de l’État, démocratiquement élu, reconnu par les instances nationales et internationales. Vos frustrations personnelles ou celles de votre parti Pastef ne font pas office de verdict populaire. Le peuple sénégalais a tranché. Le reste, ce sont des pleurnicheries de mauvais perdants.Quant à cette menace à peine voilée : « Vous allez devoir souffrir », elle en dit long sur la nature violente, revancharde et antidémocratique de votre projet politique. On vous croyait engagé, on vous découvre en agitateur d’instincts primitifs.

Faire le procès de l’histoire récente en insultant les institutions et en montant les Sénégalais les uns contre les autres, c’est nier les principes républicains que vous avez juré de défendre. Si vous avez des preuves de crimes économiques, adressez-les à la justice. Mais visiblement, dans votre monde, l’invective a remplacé l’argument.Le Sénégal mérite mieux que vos incantations de sorcier politique. Il mérite des solutions, pas des malédictions. Des actes, pas des sermons fanatiques.

Babacar Justin Mbengue Délégué national à la communication Mouvement Gueum Sa Bopp «les jambaars»

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention