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Nampalys Mendy révèle sa frustration vécue à Lens : « Ce n’était pas une question de football … Ils ont joué avec moi » !

« Je ne sais pas moi-même… Ce n’était pas une question de football. L’entraîneur me disait que c’était une décision de la direction. Les dirigeants me renvoyaient vers le coach. Ils ont joué avec moi », confie-t-il À WIWSPORT .

Un jeu de dupes qui l’a tenu loin des terrains une grande partie de la saison, avant qu’il ne saisisse ses rares opportunités en fin d’exercice pour rappeler sa valeur.

Watford, une nouvelle relance

À l’intersaison, plusieurs options se sont offertes au champion d’Afrique 2021 : la Turquie, le Wydad Casablanca, avec la perspective de disputer le Mondial des clubs. Mais mentalement marqué par son passage à Lens, Mendy ne voulait pas « tricher » et a décliné.

Le déclic est venu d’Angleterre : Watford. « Dès le premier contact, j’ai été attiré. C’est un club qui vise la montée en Premier League et le projet m’a plu », explique-t-il.

Objectif : jouer

Installé à Londres depuis deux semaines, le milieu défensif poursuit sa remise en forme avant d’intégrer pleinement le groupe. « J’étais libre et je m’entraînais seul. On a convenu d’une préparation physique. Je vais bientôt retrouver les séances collectives et j’espère jouer mes premières minutes ce week-end. »

Retrouver la Tanière

À 32 ans, Nampalys Mendy veut renouer avec la régularité, effacer la frustration lensoise et viser un retour en sélection. « Mon objectif, c’est de jouer le maximum possible, faire de grosses performances et apporter mon expérience. J’ai aussi l’ambition de retrouver l’équipe nationale », conclut-il.

 

Amenagement et developpement du pôle territoire Nord:Les résultats du Schéma directeur présentés aux acteurs

Un Comité régional de développement (Crd) sur l’examen des résultats du bilan diagnostic du Schéma directeur d’aménagement et de développement territorial (Sdadt) du pôle territoire Nord, s’est tenu, hier mercredi, à Saint-Louis. L’objectif est d’identifier les atouts et contraintes de la région afin de tracer les perspectives d’un développement inclusif et durable.

SAINT-LOUIS – Les premiers résultats du Schéma directeur d’aménagement et de développement territorial (Sdadt) du pôle territoire Nord ont été partagés, hier à Saint-Louis, au cours d’un Comité régional de développement (Crd).Le Sdadt a été mené par l’Agence nationale d’aménagement du territoire (Anat), avec l’appui de l’Onu-Habitat et la Saed.

« Ce processus est pratiquement à son terme. Les données ont été recueillies, analysées, et il s’agit aujourd’hui d’en faire une présentation aux acteurs territoriaux, en vue de la validation du bilan diagnostic », a expliqué le gouverneur de Saint-Louis, Al Hassan Sall.Il a insisté sur les défis climatiques auxquels fait face la région, tels que les inondations et l’avancée de la mer à la Langue de Barbarie.

Pour le directeur général de l’Anat, Tidiane Sidibé, cette étape s’inscrit dans une dynamique nationale. « Ce processus repose sur deux axes majeurs, la structuration des outils de planification et une gouvernance territoriale efficace », a souligné M. Sidibé.À l’en croire, cette rencontre permet de valider les données, mais aussi de recueillir les observations et contributions des acteurs locaux.

Le partenaire technique du projet a, pour sa part, réaffirmé son engagement à appuyer la planification territoriale. « Ces outils des pôles sont alignés à la ‘’Vision 2050’’ promue par le gouvernement, mais leur mise en œuvre dépend de l’implication des acteurs locaux », a déclaré Mathias Palliviero, responsable de l’Onu-Habitat pour l’Afrique de l’Ouest.

Il a précisé que cet appui provient du gouvernement italien, via son ministère de l’Environnement.

Le secrétaire général de la Saed a rappelé que sa structure est impliquée depuis plusieurs années aux côtés de l’Anat.

Paul Marie Faye a également souligné l’importance de cette démarche, puisque le pôle Nord est au cœur de son champ d’actions avec la vallée du fleuve Sénégal. « Grâce à ce diagnostic, nous allons mieux comprendre les ressources disponibles, mais aussi les contraintes de développement pour bâtir une planification économique harmonieuse », a indiqué M. Faye.

Des autorités administratives, élus locaux et partenaires techniques ont aussi pris part à la rencontre.

Les participants ont réaffirmé leur volonté commune de bâtir une vision partagée, pour le développement du pôle territoire Nord, conciliant gestion durable des ressources, résilience climatique et inclusion sociale.

Assemblée nationale : la Commission des Finances adopte le projet de loi modifiant le Code général des impôts

La Commission des Finances et du Contrôle budgétaire de l’Assemblée nationale a adopté, le 17 septembre 2025, le projet de loi n° 17/2025 modifiant le Code général des impôts. Le texte, présenté par le ministre des Finances, Cheikh Diba, vise à élargir l’assiette fiscale en ciblant notamment les transferts d’argent, les jeux de hasard, les boissons alcoolisées, le tabac et les véhicules importés.

Le produit par la Commission des Financces rend compte des travaux tenus le 17 septembre 2025 autour du projet de loi n° 17/2025, modifiant la loi n° 2012-31 du 31 décembre 2012 portant Code général des impôts. Le rapport, rédigé par Mady Danfakha, rapporteur général, restitue les débats entre le ministre des Finances et du Budget et les députés, ainsi que les amendements adoptés avant le vote du texte.

La Commission, présidée par Chérif Ahmed Dicko, a reçu le ministre Cheikh Diba et ses collaborateurs. Le projet de loi s’inscrit dans le cadre de l’Agenda « Sénégal 2050 » et du Plan de Redressement Économique et Social (PRES), qui vise à renforcer la mobilisation des ressources endogènes. L’objectif affiché est d’explorer de nouvelles niches fiscales afin de soutenir le financement de l’économie nationale.

Le ministre a expliqué que la réforme fiscale cible principalement les opérations de transfert d’argent, les véhicules importés, les jeux de hasard, les boissons alcoolisées et le tabac. Elle entend également faire du vecteur fiscal un instrument de régulation des comportements jugés à risque, comme la consommation excessive d’alcool ou le jeu.

Les députés ont salué les efforts du gouvernement pour redresser l’économie et ont reconnu la nécessité d’un financement endogène. Ils ont toutefois exprimé plusieurs réserves. Certains ont alerté sur les risques liés à une pression fiscale accrue sur des populations déjà affectées par la conjoncture économique. D’autres ont demandé davantage d’inclusivité dans l’élaboration du texte et une meilleure communication avec les citoyens.

La taxation des transferts d’argent a suscité des préoccupations particulières. Plusieurs commissaires ont craint que cette mesure n’encourage le recours au cash, réduisant ainsi le volume des transactions électroniques et menaçant l’activité de milliers de jeunes du secteur. Certains ont suggéré de supprimer la taxe sur les paiements marchands ou de privilégier une taxation du chiffre d’affaires des opérateurs.

Des interrogations ont également porté sur les seuils d’imposition, le cadre juridique du paiement en ligne, la taxation des boissons alcoolisées, ainsi que le contrôle des produits importés circulant sur le marché parallèle. La question du traitement de Canal+ a également été soulevée.

En réponse, le ministre a défendu la réforme en insistant sur l’équité fiscale et la faible contribution actuelle de certains opérateurs du numérique. Il a précisé que les transferts inférieurs à 20 000 FCFA ne seraient pas taxés et que les opérations entre banques et opérateurs resteraient exonérées. Il a rappelé que le taux retenu de 0,5 % reste inférieur à ceux appliqués dans d’autres pays.

Après échanges, des amendements ont été introduits puis validés par la majorité des commissaires. Le projet de loi a ainsi été adopté au niveau de la Commission, qui recommande à l’Assemblée nationale de l’entériner.

RUTEL : la réforme fiscale sur les équipements de télécommunications adoptée en intercommission

L’intercommission réunissant la Commission des Finances et celle de la culture et de la communication de l’Assemblée nationale a examiné, le 17 septembre 2025, le projet de loi n° 18/2025 modifiant la loi de 2008 instituant la redevance sur l’accès ou l’utilisation du réseau des télécommunications publiques (RUTEL). La séance s’est tenue sous la présidence de Chérif Ahmed Dicko, en présence du ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba.

Lors des échanges, le ministre a rappelé que la loi de 2008 avait instauré la RUTEL en suspendant le paiement des droits et taxes de douane sur les téléphones fixes et mobiles importés, afin de démocratiser l’accès aux télécommunications. Il a toutefois souligné que cette mesure, bénéfique au départ, a entraîné une sous-fiscalisation du secteur. Le gouvernement entend donc réactiver la fiscalité à l’importation sur ces appareils, conformément au Tarif extérieur commun de la CEDEAO.

Plusieurs députés ont reconnu le potentiel du secteur comme source de recettes, mais ont mis en garde contre une taxation excessive qui pénaliserait les consommateurs. Certains ont plaidé pour que la charge fiscale repose davantage sur les opérateurs, estimant que ceux-ci disposent de marges suffisantes pour contribuer davantage.

Financement de l’économie : l’État du Sénégal lance un emprunt obligataire par appel public à l’épargne citoyen de 300 milliards

Dans le cadre de son plan de financement de l’année 2025 et conformément à la stratégie de diversification des ressources, l’État du Sénégal, à travers le Ministère des Finances et du Budget, représenté par Cheikh Diba, a lancé un emprunt obligataire par Appel Public à l’Épargne (APE) d’un montant de 300 milliards FCFA dont la souscription s’étend du 22 septembre au 10 octobre 2025.

 

Cette opération conduite en collaboration avec la Société de Gestion et d’Intermédiation Impaxis Securities en sa qualité d’arrangeur et de chef de file, illustre la volonté de l’État de consolider sa souveraineté économique en ayant recours à des modes de financement alternatifs impliquant la contribution des investisseurs nationaux, de la diaspora et des partenaires internationaux.

 

Conformément aux orientations de l’Agenda de transformation « Sénégal 2050 » , les ressources mobilisées seront affectées au financement de projets stratégiques inscrits dans les politiques publiques notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, des énergies renouvelables, de l’agriculture, du numérique, de la logistique et de l’aménagement du territoire.

 

 

La participation de la Diaspora, l’innovation majeure

 

Cette troisième émission obligataire de l’année introduit une innovation majeure avec un volet dédié à la diaspora, offrant ainsi aux sénégalais de l’extérieur, l’opportunité de participer directement à l’effort de développement national à travers un dispositif simple et sécurisé. Outre sa portée patriotique, cette opération constitue un instrument fiable et compétitif garantissant sécurité et rendement aux souscripteurs, tout en participant à la concrétisation des projets structurants de l’agenda national de transformation.

 

Au regard des évolutions de ses précédentes émissions obligataires, qu’il estime significatives , l’État du Sénégal « confirme sa crédibilité sur les marchés financiers, ainsi que la confiance renouvelée des investisseurs nationaux et internationaux », a rappelé le ministre Cheikh Diba qui appelle l’ensemble des citoyens résidents comme de la diaspora, ainsi que les investisseurs institutionnels et privés, « à répondre massivement à cet appel. »

 

Au-delà de son aspect patriotique, cette opération, selon le ministre des Finances et du Budget traduit « la crédibilité du Sénégal sur les marchés financiers et la confiance renouvelée des investisseurs nationaux et internationaux. » Cette opération n’est pas une opération de pression : « il s’agit plutôt d’une vision pour asseoir la souveraineté économique sur des bases durables et dynamiques. L’appel public à l’action qui est lancé ce jeudi « va au-delà d’une simple opération de financement. Il est le symbole d’un Sénégal qui se réinvente, qui investit dans sa jeunesse et qui trace la voie vers un avenir clair et ambitieux », conclut le ministre des finances et du budget.

Assemblée nationale : vers une fiscalité ciblée pour les produits dangereux pour la santé

fiscalité sur des produits jugés dangereux pour la santé. Les crèmes de dépigmentation, les bouillons culinaires et les boissons trop sucrées sont les principales cibles de cette orientation fiscale.

L’objectif, soulignent-ils, est de mobiliser des ressources supplémentaires pour l’État et dissuader la consommation d’articles qui posent des problèmes de santé publique. Ces produits, largement répandus dans les foyers sénégalais, sont considérés comme des facteurs aggravants de pathologies chroniques et de dépenses médicales élevées pour les ménages. Les produits de dépigmentation figurent en première ligne. Ils sont utilisés par une frange importante de la population. En alourdissant leur taxation, les députés espèrent freiner la commercialisation et réduire la demande précise le soleil .

Les bouillons culinaires, consommés quotidiennement, sont également visés. Leur forte teneur en sel et en additifs est associée à des risques accrus d’hypertension et de maladies cardiovasculaires. Les élus souhaitent, à travers une surtaxe, encourager une alimentation plus équilibrée, tout en posant la question de l’impact sur le panier de la ménagère.

Outre ces produits, les boissons sucrées, sodas, jus industriels et autres boissons gazeuses représentent un autre enjeu de santé. Leur consommation croissante, en particulier chez les jeunes, alimente l’expansion de l’obésité et du diabète. L’augmentation des taxes vise à rendre ces produits moins accessibles et à responsabiliser les industries agroalimentaires.

E-commerce en Afrique : les défis à relever pour transformer le potentiel en impacts économiques

Le commerce en ligne est de plus en plus perçu comme un levier de développement économique et social pour l’Afrique. Plusieurs experts internationaux, réunis en marge du Forum public de l’Organisation mondiale du commerce (Omc), ont mis en avant les opportunités qu’offre le numérique, mais aussi les obstacles qui freinent son essor.

GENÈVE – Lors d’une session consacrée au commerce digital en Afrique, dans le cadre du Forum de l’Omc à Genève (17-18 septembre 2025), des spécialistes, dont Antonia Carzaniga, conseillère au secrétariat de l’Omc, ont souligné que l’essor du commerce numérique peut stimuler la croissance, accroître la compétitivité, diversifier les exportations et renforcer l’inclusion. Mais pour concrétiser ces ambitions, plusieurs défis restent à surmonter, notamment en matière de connectivité et de cadre réglementaire. « Dans certaines analyses empiriques que nous avons menées, nous avons constaté que si l’Afrique améliorait sa connectivité et son cadre réglementaire pour le commerce numérique, cela permettrait d’accélérer significativement sa croissance et son développement », a expliqué Mme Carzaniga.

Elle a ajouté qu’il est également nécessaire de réduire les coûts moyens du commerce, actuellement trois fois plus élevés que dans d’autres régions. Ces problématiques sont intégrées dans le projet de développement du commerce digital, en partenariat avec la Banque mondiale, dont la phase pilote concerne le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, le Nigeria et le Rwanda. Pour Martin Molinuevo, spécialiste senior des politiques publiques à la Banque mondiale, l’harmonisation réglementaire est cruciale : « Même les politiques de base liées au commerce numérique rencontrent encore des défis. Le code électronique, les documents et signatures électroniques sont promus depuis au moins vingt ans, mais leur mise en œuvre reste largement insuffisante », a-t-il regretté.

De son côté, Annette Mutaawe Ssemuwemba, secrétaire générale adjointe du Secrétariat de la Communauté de l’Afrique de l’Est, a insisté sur la nécessité de relever les défis structurels : connectivité, inclusion numérique et accès à l’électricité. Un avis partagé par le Dr Adamu Mohammed Abdul Hamid, représentant permanent du Nigeria à l’Omc, pour qui l’Afrique a le potentiel de faire du commerce numérique un véritable levier de transformation, de développement et d’inclusion. Lola Aworanti-Ekugo, fondatrice d’Afriborder, a souligné que le commerce intra-africain représente environ 15 %, alors qu’en Asie et en Europe, il varie entre 50 % et 70 %. Ces indicateurs, dit-elle, montrent que le continent a encore un long chemin à parcourir.

Dans ce contexte, elle a insisté sur le rôle crucial de la mise en œuvre optimale de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), qui pourrait améliorer ces indicateurs et favoriser le développement. « L’introduction de la Zlecaf pour les 54 pays africains est cruciale, car elle a permis d’harmoniser les politiques commerciales à un niveau plus élevé. Il s’agit désormais, pour les pays africains, de les adapter au contexte local et national. On constate actuellement une volonté croissante de l’Afrique de commercer avec elle-même, en plus de ses activités actuelles », a expliqué la fondatrice d’Afriborder.

Avec le soleil

Montée rapide du fleuve Sénégal à Bakel après les lâchers d’eau du barrage de Manantali

Les premières eaux en provenance du barrage de Manantali ont atteint le département de Bakel (est du Sénégal) dans la nuit de mercredi à jeudi, selon la Direction de la gestion et de la planification des ressources en eau (DGPRE).

La cote du fleuve Sénégal à Bakel a été mesurée à 9,09 mètres ce jeudi matin, soit une hausse de 58 centimètres en 24 heures par rapport aux 8,51 mètres enregistrés la veille. Les débits actuellement lâchés à partir de Manantali sont de 1 920 m³ par seconde.

Il reste désormais 91 centimètres avant d’atteindre la cote d’alerte, contre 1,49 mètre la veille, ce qui montre une montée significative des eaux.

L’année dernière, les lâchers d’eau avaient provoqué des inondations dans plusieurs communes de la vallée du fleuve Sénégal, dont Diawara, Moudéry, Ballou, Kidira et d’autres localités proches de la Falémé. Au total, environ huit communes avaient été touchées, selon Mapaté Sy, président du conseil départemental de Bakel.

M. Sy indique que les populations ont été sensibilisées sur les risques, mais beaucoup de familles installées dans les zones basses hésitent à partir, faute de moyens. Le conseil départemental et les services concernés suivent la situation de près, en collaboration avec l’agence météorologique, le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement et l’OMVS.

À Moudéry, les autorités prévoient de mettre des écoles et le centre socioéducatif de Diawara à la disposition des sinistrés si la situation venait à s’aggraver, bien qu’aucun débordement du fleuve n’ait encore été observé.

Dieuppeul : un complice de trafic de chanvre indien arrêté avec 5,5 kg…

Le Commissariat d’arrondissement de Dieuppeul a procédé, le 14 septembre 2025, à l’interpellation d’un individu pour complicité de trafic de chanvre indien, portant sur une quantité totale de 5 kilogrammes et 500 grammes.

Cette opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel signalant la réception imminente d’une importante cargaison de drogue. Les enquêteurs ont alors mis en place un dispositif de surveillance et d’intervention.

Lorsque le suspect principal est arrivé sur les lieux, les policiers ont tenté de l’appréhender. Mais celui-ci est parvenu à s’échapper en empruntant la terrasse, laissant son complice aux mains des forces de l’ordre.

La fouille immédiate du site a permis la découverte d’un sac de riz contenant cinq blocs d’un kilogramme chacun ainsi qu’un demi-bloc, soit un total de 5,5 kg de chanvre indien.

Conduit au poste pour audition, le mis en cause a nié toute implication, affirmant que la drogue aurait été introduite par le fugitif. Toutefois, une perquisition complémentaire a permis de saisir plusieurs biens présumés acquis grâce aux revenus du trafic :

un téléphone portable de marque iPhone 12 Pro, un ordinateur portable Toshiba, une moto Jakarta, ainsi qu’un véhicule de marque Citroën C4. Le suspect a été placé en garde à vue tandis que les recherches se poursuivent pour mettre la main sur le principal instigateur de ce trafic.

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