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RUTEL : la réforme fiscale sur les équipements de télécommunications adoptée en intercommission

L’intercommission réunissant la Commission des Finances et celle de la culture et de la communication de l’Assemblée nationale a examiné, le 17 septembre 2025, le projet de loi n° 18/2025 modifiant la loi de 2008 instituant la redevance sur l’accès ou l’utilisation du réseau des télécommunications publiques (RUTEL). La séance s’est tenue sous la présidence de Chérif Ahmed Dicko, en présence du ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba.

Lors des échanges, le ministre a rappelé que la loi de 2008 avait instauré la RUTEL en suspendant le paiement des droits et taxes de douane sur les téléphones fixes et mobiles importés, afin de démocratiser l’accès aux télécommunications. Il a toutefois souligné que cette mesure, bénéfique au départ, a entraîné une sous-fiscalisation du secteur. Le gouvernement entend donc réactiver la fiscalité à l’importation sur ces appareils, conformément au Tarif extérieur commun de la CEDEAO.

Plusieurs députés ont reconnu le potentiel du secteur comme source de recettes, mais ont mis en garde contre une taxation excessive qui pénaliserait les consommateurs. Certains ont plaidé pour que la charge fiscale repose davantage sur les opérateurs, estimant que ceux-ci disposent de marges suffisantes pour contribuer davantage.

Financement de l’économie : l’État du Sénégal lance un emprunt obligataire par appel public à l’épargne citoyen de 300 milliards

Dans le cadre de son plan de financement de l’année 2025 et conformément à la stratégie de diversification des ressources, l’État du Sénégal, à travers le Ministère des Finances et du Budget, représenté par Cheikh Diba, a lancé un emprunt obligataire par Appel Public à l’Épargne (APE) d’un montant de 300 milliards FCFA dont la souscription s’étend du 22 septembre au 10 octobre 2025.

 

Cette opération conduite en collaboration avec la Société de Gestion et d’Intermédiation Impaxis Securities en sa qualité d’arrangeur et de chef de file, illustre la volonté de l’État de consolider sa souveraineté économique en ayant recours à des modes de financement alternatifs impliquant la contribution des investisseurs nationaux, de la diaspora et des partenaires internationaux.

 

Conformément aux orientations de l’Agenda de transformation « Sénégal 2050 » , les ressources mobilisées seront affectées au financement de projets stratégiques inscrits dans les politiques publiques notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, des énergies renouvelables, de l’agriculture, du numérique, de la logistique et de l’aménagement du territoire.

 

 

La participation de la Diaspora, l’innovation majeure

 

Cette troisième émission obligataire de l’année introduit une innovation majeure avec un volet dédié à la diaspora, offrant ainsi aux sénégalais de l’extérieur, l’opportunité de participer directement à l’effort de développement national à travers un dispositif simple et sécurisé. Outre sa portée patriotique, cette opération constitue un instrument fiable et compétitif garantissant sécurité et rendement aux souscripteurs, tout en participant à la concrétisation des projets structurants de l’agenda national de transformation.

 

Au regard des évolutions de ses précédentes émissions obligataires, qu’il estime significatives , l’État du Sénégal « confirme sa crédibilité sur les marchés financiers, ainsi que la confiance renouvelée des investisseurs nationaux et internationaux », a rappelé le ministre Cheikh Diba qui appelle l’ensemble des citoyens résidents comme de la diaspora, ainsi que les investisseurs institutionnels et privés, « à répondre massivement à cet appel. »

 

Au-delà de son aspect patriotique, cette opération, selon le ministre des Finances et du Budget traduit « la crédibilité du Sénégal sur les marchés financiers et la confiance renouvelée des investisseurs nationaux et internationaux. » Cette opération n’est pas une opération de pression : « il s’agit plutôt d’une vision pour asseoir la souveraineté économique sur des bases durables et dynamiques. L’appel public à l’action qui est lancé ce jeudi « va au-delà d’une simple opération de financement. Il est le symbole d’un Sénégal qui se réinvente, qui investit dans sa jeunesse et qui trace la voie vers un avenir clair et ambitieux », conclut le ministre des finances et du budget.

Assemblée nationale : vers une fiscalité ciblée pour les produits dangereux pour la santé

fiscalité sur des produits jugés dangereux pour la santé. Les crèmes de dépigmentation, les bouillons culinaires et les boissons trop sucrées sont les principales cibles de cette orientation fiscale.

L’objectif, soulignent-ils, est de mobiliser des ressources supplémentaires pour l’État et dissuader la consommation d’articles qui posent des problèmes de santé publique. Ces produits, largement répandus dans les foyers sénégalais, sont considérés comme des facteurs aggravants de pathologies chroniques et de dépenses médicales élevées pour les ménages. Les produits de dépigmentation figurent en première ligne. Ils sont utilisés par une frange importante de la population. En alourdissant leur taxation, les députés espèrent freiner la commercialisation et réduire la demande précise le soleil .

Les bouillons culinaires, consommés quotidiennement, sont également visés. Leur forte teneur en sel et en additifs est associée à des risques accrus d’hypertension et de maladies cardiovasculaires. Les élus souhaitent, à travers une surtaxe, encourager une alimentation plus équilibrée, tout en posant la question de l’impact sur le panier de la ménagère.

Outre ces produits, les boissons sucrées, sodas, jus industriels et autres boissons gazeuses représentent un autre enjeu de santé. Leur consommation croissante, en particulier chez les jeunes, alimente l’expansion de l’obésité et du diabète. L’augmentation des taxes vise à rendre ces produits moins accessibles et à responsabiliser les industries agroalimentaires.

E-commerce en Afrique : les défis à relever pour transformer le potentiel en impacts économiques

Le commerce en ligne est de plus en plus perçu comme un levier de développement économique et social pour l’Afrique. Plusieurs experts internationaux, réunis en marge du Forum public de l’Organisation mondiale du commerce (Omc), ont mis en avant les opportunités qu’offre le numérique, mais aussi les obstacles qui freinent son essor.

GENÈVE – Lors d’une session consacrée au commerce digital en Afrique, dans le cadre du Forum de l’Omc à Genève (17-18 septembre 2025), des spécialistes, dont Antonia Carzaniga, conseillère au secrétariat de l’Omc, ont souligné que l’essor du commerce numérique peut stimuler la croissance, accroître la compétitivité, diversifier les exportations et renforcer l’inclusion. Mais pour concrétiser ces ambitions, plusieurs défis restent à surmonter, notamment en matière de connectivité et de cadre réglementaire. « Dans certaines analyses empiriques que nous avons menées, nous avons constaté que si l’Afrique améliorait sa connectivité et son cadre réglementaire pour le commerce numérique, cela permettrait d’accélérer significativement sa croissance et son développement », a expliqué Mme Carzaniga.

Elle a ajouté qu’il est également nécessaire de réduire les coûts moyens du commerce, actuellement trois fois plus élevés que dans d’autres régions. Ces problématiques sont intégrées dans le projet de développement du commerce digital, en partenariat avec la Banque mondiale, dont la phase pilote concerne le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, le Nigeria et le Rwanda. Pour Martin Molinuevo, spécialiste senior des politiques publiques à la Banque mondiale, l’harmonisation réglementaire est cruciale : « Même les politiques de base liées au commerce numérique rencontrent encore des défis. Le code électronique, les documents et signatures électroniques sont promus depuis au moins vingt ans, mais leur mise en œuvre reste largement insuffisante », a-t-il regretté.

De son côté, Annette Mutaawe Ssemuwemba, secrétaire générale adjointe du Secrétariat de la Communauté de l’Afrique de l’Est, a insisté sur la nécessité de relever les défis structurels : connectivité, inclusion numérique et accès à l’électricité. Un avis partagé par le Dr Adamu Mohammed Abdul Hamid, représentant permanent du Nigeria à l’Omc, pour qui l’Afrique a le potentiel de faire du commerce numérique un véritable levier de transformation, de développement et d’inclusion. Lola Aworanti-Ekugo, fondatrice d’Afriborder, a souligné que le commerce intra-africain représente environ 15 %, alors qu’en Asie et en Europe, il varie entre 50 % et 70 %. Ces indicateurs, dit-elle, montrent que le continent a encore un long chemin à parcourir.

Dans ce contexte, elle a insisté sur le rôle crucial de la mise en œuvre optimale de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), qui pourrait améliorer ces indicateurs et favoriser le développement. « L’introduction de la Zlecaf pour les 54 pays africains est cruciale, car elle a permis d’harmoniser les politiques commerciales à un niveau plus élevé. Il s’agit désormais, pour les pays africains, de les adapter au contexte local et national. On constate actuellement une volonté croissante de l’Afrique de commercer avec elle-même, en plus de ses activités actuelles », a expliqué la fondatrice d’Afriborder.

Avec le soleil

Montée rapide du fleuve Sénégal à Bakel après les lâchers d’eau du barrage de Manantali

Les premières eaux en provenance du barrage de Manantali ont atteint le département de Bakel (est du Sénégal) dans la nuit de mercredi à jeudi, selon la Direction de la gestion et de la planification des ressources en eau (DGPRE).

La cote du fleuve Sénégal à Bakel a été mesurée à 9,09 mètres ce jeudi matin, soit une hausse de 58 centimètres en 24 heures par rapport aux 8,51 mètres enregistrés la veille. Les débits actuellement lâchés à partir de Manantali sont de 1 920 m³ par seconde.

Il reste désormais 91 centimètres avant d’atteindre la cote d’alerte, contre 1,49 mètre la veille, ce qui montre une montée significative des eaux.

L’année dernière, les lâchers d’eau avaient provoqué des inondations dans plusieurs communes de la vallée du fleuve Sénégal, dont Diawara, Moudéry, Ballou, Kidira et d’autres localités proches de la Falémé. Au total, environ huit communes avaient été touchées, selon Mapaté Sy, président du conseil départemental de Bakel.

M. Sy indique que les populations ont été sensibilisées sur les risques, mais beaucoup de familles installées dans les zones basses hésitent à partir, faute de moyens. Le conseil départemental et les services concernés suivent la situation de près, en collaboration avec l’agence météorologique, le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement et l’OMVS.

À Moudéry, les autorités prévoient de mettre des écoles et le centre socioéducatif de Diawara à la disposition des sinistrés si la situation venait à s’aggraver, bien qu’aucun débordement du fleuve n’ait encore été observé.

Dieuppeul : un complice de trafic de chanvre indien arrêté avec 5,5 kg…

Le Commissariat d’arrondissement de Dieuppeul a procédé, le 14 septembre 2025, à l’interpellation d’un individu pour complicité de trafic de chanvre indien, portant sur une quantité totale de 5 kilogrammes et 500 grammes.

Cette opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel signalant la réception imminente d’une importante cargaison de drogue. Les enquêteurs ont alors mis en place un dispositif de surveillance et d’intervention.

Lorsque le suspect principal est arrivé sur les lieux, les policiers ont tenté de l’appréhender. Mais celui-ci est parvenu à s’échapper en empruntant la terrasse, laissant son complice aux mains des forces de l’ordre.

La fouille immédiate du site a permis la découverte d’un sac de riz contenant cinq blocs d’un kilogramme chacun ainsi qu’un demi-bloc, soit un total de 5,5 kg de chanvre indien.

Conduit au poste pour audition, le mis en cause a nié toute implication, affirmant que la drogue aurait été introduite par le fugitif. Toutefois, une perquisition complémentaire a permis de saisir plusieurs biens présumés acquis grâce aux revenus du trafic :

un téléphone portable de marque iPhone 12 Pro, un ordinateur portable Toshiba, une moto Jakarta, ainsi qu’un véhicule de marque Citroën C4. Le suspect a été placé en garde à vue tandis que les recherches se poursuivent pour mettre la main sur le principal instigateur de ce trafic.

Thierno Alassane : « Taxer les pauvres pour offrir aux dirigeants une vie de pacha relève du cynisme »

Lors de l’examen des projets de loi sur le Code des investissements, le Code général des impôts et la RUTEL, le député Thierno Alassane a vivement critiqué la politique fiscale du gouvernement.

« Taxer les pauvres pour offrir aux dirigeants une vie de pacha relève du cynisme », a-t-il déclaré, dénonçant notamment la taxation des transferts d’argent, qu’il juge inacceptable car destinée à alimenter les fonds politiques. Selon lui, « le régime Diomaye-Sonko montre de quoi il est le nom ».

Madiambal Diagne alerte sur l’état de santé de Farba Ngom et dénonce une « torture »

Le journaliste Madiambal Diagne a tiré la sonnette d’alarme ce vendredi sur la détention du député-maire des Agnams, Mouhamadou « Farba » Ngom. Selon lui, l’état de santé du responsable politique est critique : « Farba est en train de mourir. Toutes les alertes sont ignorées. Les experts ont conclu qu’il risque la mort subite », a-t-il écrit.

Madiambal Diagne estime que le maintien en détention de Farba Ngom constitue « un acte de torture, un traitement cruel, inhumain et dégradant », allant jusqu’à évoquer un éventuel recours devant la CPI.

Abdou Mbow tacle les députés de Pastef et refuse de voter le code des investissements

Lors de l’examen de trois projets de loi ce jeudi, dont le code des investissements, le député Abdou Mbow, membre du groupe parlementaire de l’opposition Takku Wallu Sénégal, a adressé un message sévère aux élus de Pastef. Il les a appelés à « travailler et arrêter de s’alarmer », les accusant de vouloir « camoufler leur incompétence » face aux urgences du pays. Le parlementaire a annoncé qu’il ne votera pas le code des investissements.

Gestion de l’État et crise économique : : l’AFP alerte et exprime ses vives inquiétudes

Réunie le 18 septembre 2025, la Direction collégiale de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) a exprimé ses inquiétudes face à la situation économique jugée « inédite » et au manque de concertation dans la mise en œuvre du plan de redressement. Elle dénonce la pression fiscale, notamment la taxe sur les transactions digitales, ainsi que les licenciements dans le secteur public et l’arrêt des chantiers du BTP.

L’AFP critique également la communication et la diplomatie gouvernementales, évoquant des relations tendues avec le FMI et la Banque mondiale, et s’inquiète de la séparation des pouvoirs. Le parti appelle à une gouvernance apaisée, respectueuse de l’État de droit, et annonce la poursuite de sa stratégie de massification et de renforcement de ses structures pour mieux répondre aux enjeux actuels.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention