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Sɇxe, drøgue et prison : dérive juvénile à Saly

Huit jeunes âgés de moins de 21 ans, répartis en quatre couples, ont été arrêtés fin juillet à Saly Portudal lors d’une orgie sous cocaïne et chanvre indien. Retirés dans une résidence louée pour un week-end « intensif », ils ont été surpris par la police après des comportements bruyants et suspects. Lors de leur procès à Mbour, les garçons ont écopé de peines allant jusqu’à un mois de prison ferme, tandis que les filles ont été relaxées. Cette affaire met en lumière le phénomène du chemsex, en pleine expansion chez certains jeunes.

 

Clip obscène : Le rappeur King Massaly arrêté par la Division spéciale de cybersécurité

La Division spéciale de cybersécurité (DSC) a déféré le rappeur King Massaly au parquet, selon des sources de Seneweb.

Garde à vue après interrogatoire

Convoqué par la DSC, le rappeur King Massaly a été placé en garde à vue à l’issue de son interrogatoire. L’artiste établi à Mbour avait réalisé un clip musical avec des images et des propos jugés obscènes.

Son arrestation pour attentat à la pudeur et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs est consécutive à une autosaisine du procureur de la République.

Le Comité de défense des valeurs morales, composé d’une dizaine d’associations religieuses et de la société civile, annonce sa constitution de partie civile. Cette structure, sous la coordination de Serigne Bassirou Mbacké, Cheikh Astou Fall et Adama Mboup, salue la prompte réaction du chef du parquet de Dakar.

La vidéo incriminée n’est plus disponible sur la plateforme YouTube, après la mise en détention de l’artiste, selon nos informations.

Au terme de l’enquête du commissaire Faye, le rappeur King Massaly a été déféré ce mercredi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar

France: plus de 200 personnes sans abri passent la nuit devant l’Hôtel de ville de Paris

« On s’apprête à passer la nuit, de nouvelles personnes nous rejoignent avec encore plus d’enfants », a rapporté à l’AFP Nathan Lequeux, coordinateur pour l’association d’aide aux migrants Utopia 56, à l’initiative de ce rassemblement à Paris. Le groupe, présent depuis mardi soir sur le parvis de l’Hôtel de ville est désormais composé d’environ 250 personnes selon l’association.

Après avoir passé une première nuit sur place – dans la nuit de mardi à mercredi – enroulés dans des couvertures et sacs de couchage à même le sol, les migrants, dont certains sont en situation régulière en France, avaient exprimé mercredi matin leur colère en criant : « On veut un logement ! Zéro enfant dans la rue ! »

Les plus chanceux ont une couette en laine, les autres une couverture de survie. Abigael a 14 ans et n’a aucun toit depuis mardi. Difficile de fermer l’œil, sur un coin de matelas, dehors, à quelques mètres des touristes : « Il a fait tellement froid aujourd’hui que je n’arrive même pas à expliquer. On est resté ensemble, tous collés pour arriver un peu à dormir. »

L’été, la situation «est particulièrement tendue»

Tout au long de l’année, Utopia 56 tient chaque soir une permanence sur le parvis de la mairie de Paris pour tenter de trouver un hébergement d’urgence aux plus précaires, refoulés des habituelles structures d’accueil. L’été, la situation « est particulièrement tendue », dénonce l’association, en avançant plusieurs raisons : des services publics au ralenti, des bénévoles associatifs en vacances ou encore des écoles et gymnases fermés et ne pouvant donc plus être utilisés en ultime recours.

Mercredi, Azaratou se préparait à une nouvelle nuit blanche : une nuit à bercer, consoler son nourrisson : « Un bébé qui dort à la rue, ce n’est pas normal. Il n’a même pas réussi à dormir, il a pleuré toute la nuit. Depuis novembre 2024, on est dans cette situation Depuis tout ce temps, il ne fait que tomber malade. »

La ville de Paris a assuré à l’AFP continuer d’ouvrir « été comme hiver, des centres pour mettre à l’abri des personnes en famille ». « Au total, plus de 1 000 personnes relevant d’une prise en charge par l’État sont actuellement mises à l’abri dans des lieux municipaux transformés ou des gymnases, en plus de la prise en charge de plus de 3 000 personnes en famille », avait souligné la mairie mardi soir, en demandant « la prise en charge de ces personnes par l’État ».

Mais avec la vague de chaleur qui arrive, il y a aussi la crainte d’une insolation, voire pire, alerte Yann Manzi de l’association Utopia 56 : « Les morts à la rue, c’est l’été, avec la chaleur, la déshydratation en un claquement de doigt. Si l’État décidait la réquisition des bâtiments vides et des bureaux, il n’y aurait plus personne à la rue en France. »

L’Égypte, accusée de complicité dans le blocus de Gaza, affirme que son aide a repris vers le territoire palestinien assiégé

Dans une mise en scène soigneusement orchestrée, le gouverneur du nord-Sinaï, Khaled Megawer, a pris la parole, entouré de haies d’honneur de jeunes en chasubles estampillées de noms d’ONG proches du pouvoir. Objectif : prouver que l’Égypte fait sa part. « Ce que vous voyez ici, ces jeunes, ces camions, certains revenants vides de Gaza, montre bien que nous travaillons dur pour faire passer l’aide. Nous jouons notre rôle, quoi qu’en dise la propagande. Et le monde entier peut en être témoin ».

Si le terminal de Rafah reste fermé, les convois ont repris depuis une dizaine de jours, via le point de passage de Kerem Shalom, un poste-frontière voisin, contrôlé par Israël. Plus de 800 camions ont ainsi été acheminés depuis l’Égypte. Mais beaucoup restent bloqués. En cause, des contraintes imposées côté israélien, comme l’explique Amal Eman, directrice exécutive du Croissant rouge égyptien. « Il arrive que les camions arrivent trop tard pour leurs horaires de travail, ou que les scanners ne fonctionnent pas, ou que la capacité d’accueil du terminal soit saturée. Parfois, on nous demande de tout reconditionner sur d’autres palettes. D’autres fois, on nous dit simplement que le terminal est fermé. Et là, on ne peut rien faire ».

Ce 6 août encore, plus de 70 camions qui avaient été autorisés à passer par les autorités israéliennes ont finalement été bloqués à la frontière, selon un responsable d’une entreprise de logistique. Plusieurs transportaient de l’aide alimentaire pourtant vitale pour les millions de Palestiniens menacés de famine.

Mexique: une caravane de migrants se dirige au nord du pays pour dénoncer les lenteurs administratives

Au total, 300 migrants ont décidé de prendre à nouveau la route après des mois de démarches administratives infructueuses. Ils dénoncent les lenteurs de la Commission mexicaine d’aide aux réfugiés (Comar) et des tarifs prohibitifs pour régulariser leur situation au Mexique. Certains patientent depuis plus d’un an et demi, bloqués dans des villes sans horizon professionnel comme Tapachula, ville frontière avec le Guatemala. D’autres ont vu leur demande rejetée, sans explication selon eux.

Pour une fois, cette caravane ne se dirige donc pas vers les États-Unis, où il est désormais quasiment impossible d’émigrer, mais vers le nord du Mexique. Elle cible des villes dans lesquelles ces migrants pourraient vivre et travailler, voire éventuellement démarcher des ambassades comme celles du Canada ou de l’Australie pour obtenir un visa de travail.

Trois kilomètres

Le cortège n’a parcouru que trois kilomètres mercredi. Certains migrants voyagent avec des enfants et d’autres utilisent des vélos pour transporter leurs bagages, tout en étant escortés par les forces de l’ordre et une ambulance de la protection civile.

Depuis des décennies, le Mexique est le point de passage de milliers de migrants qui cherchent à rejoindre les États-Unis, un parcours au cours duquel ils sont la cible d’abus tant de la part de criminels que des autorités.

Côte d’Ivoire: des cadres de l’opposition convoqués après les heurts à Yopougon

Six figures de l’opposition ont répondu à une convocation de la préfecture de police. Parmi elles, Damana Pickass, deuxième vice-président du Conseil stratégique et politique du PPA-CI, ainsi que Dia Houphouët, député du PDCI.

Tous deux ont été interrogés dans le cadre de l’enquête sur les affrontements urbains survenus à Yopougon dans la nuit du vendredi 1ᵉʳ août 2025. Un bus de la Société des transports abidjanais avait été incendié, un véhicule de police endommagé, et ses occupants agressés par des individus non-identifiés.

Leurs auditions, menées en présence d’agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST), ont duré jusqu’au petit matin, une durée jugée excessive par Me Sylvain Tapi, avocat des cadres du PPA-CI.

Accusations d’intimidation

Hier après-midi, les responsables politiques ont été chaleureusement accueillis au siège du PPA-CI. « Une journée infernale », a déclaré Damana Pickass, qui décrit « des interrogatoires longs, harassants, à la limite de la torture ».

Du côté du PDCI, Simon Doho, vice-président du parti, dénonce une stratégie d’intimidation jugée contre-productive : « Les intimidations n’ont aucune valeur ajoutée sur la recherche de consensus. Bien au contraire, elles contribuent à radicaliser les positions, à décupler notre détermination pour faire triompher la démocratie ».

Pour rappel, onze personnes, dont des membres du PPA-CI, ont déjà été arrêtées à la suite des violences de Yopougon. Le parti de Laurent Gbagbo continue de nier toute implication dans ces événements.

Thaïlande et Cambodge annoncent la prolongation de leur accord de cessez-le-feu

Cambodian soldiers sit at Preah Vihear temple after a brief clash with Thai troops early February 5, 2011. Thai and Cambodian soldiers exchanged fire for a second day on Saturday in a brief clash that killed at least one Thai soldier, the latest flare-up in a long-running feud over land around the 11th-century temple, known to Cambodians as the Preah Vihear temple, and known to the Thais as Khao Phra Viharn. REUTERS/Pheara (CAMBODIA - Tags: CIVIL UNREST POLITICS MILITARY RELIGION)

Ce sont au moins 43 personnes qui ont été tuées dans une série d’affrontements fin juillet 2025, lorsqu’un différend de longue date entre Thaïlande et Cambodge sur des temples frontaliers a dégénéré en combats sur leur frontière commune de 800 kilomètres. Un cessez-le-feu avait finalement été négocié le 28 juillet à minuit par le Premier ministre malaisien Anwar Ibrahim président du bloc régional de l’Asean – après des pressions exercées par le président américain Donald Trump et une équipe de médiateurs chinois.

Escarmouches

Cet accord prévoyait l’arrêt des tirs, puis une réunion des commandants régionaux des deux pays voisins, avant que des responsables de la défense thaïlandais et cambodgiens ne tiennent trois jours de pourparlers à Kuala Lumpur, qui se sont conclus, ce jeudi 7 août par une déclaration conjointe. « Les deux parties conviennent d’un cessez-le-feu concernant tous types d’armes » contre « des civils, des biens privés ainsi que des objectifs militaires de l’une ou l’autre partie », et « dans toutes les zones » frontalières, selon le texte de l’accord, qui « ne doit être violé dans aucune circonstance ». Lors des premiers jours suivant le cessez-le-feu, la Thaïlande et le Cambodge s’étaient mutuellement accusés de violer l’accord avec des escarmouches limitées.

La déclaration conjointe signée par le vice-ministre thaïlandais de la Défense Natthaphon Nakpanit et le ministre cambodgien de la Défense Tea Seiha précise que les deux pays vont poursuivre le gel des mouvements et des patrouilles de troupes frontalières. « Nous sommes ici pour organiser la mise en oeuvre du cessez-le-feu afin de mettre fin aux effusions de sang et aux souffrances des soldats et des civils des deux côtés », a déclaré Tea Seiha aux journalistes. « Ces étapes, poursuit-il,  posent les bases nécessaires pour restaurer la confiance mutuelle et la normalité entre nos deux pays ».

« Réduire les tensions »

Une nouvelle réunion a été programmée dans le mois à venir et les deux pays ont accepté « de s’abstenir de diffuser des informations erronées, afin de réduire les tensions ». « Pour que nos discussions d’aujourd’hui aboutissent à des résultats concrets, les deux parties doivent faire preuve de coopération et de sincérité », a déclaré pour sa part le général Natthaphon aux journalistes.

Les temples contestés sont revendiqués par les deux voisins en raison d’une démarcation vague établie par les administrateurs coloniaux français du Cambodge en 1907. Les affrontements de juillet 2025 ont été les plus meurtriers dans la région depuis plus d’une décennie et ont forcé plus de 300 000 personnes à fuir les zones de combat des deux côtés de la frontière.

Touba : un jeune homme se noie dans un bassin

C’est une scène hors du commun qui s’est déroulée dans un établissement pénitentiaire du pays. A. Diallo, condamné en 2015 à 10 ans de prison ferme, était censé être libéré en juillet 2025, après avoir purgé l’intégralité de sa peine. Pourtant, à la date prévue de sa sortie, le détenu a catégoriquement refusé de quitter sa cellule, allant jusqu’à réclamer cinq années supplémentaires de détention. « Il refuse de sortir, dort dans sa cellule comme si tout était normal. Il dit qu’il n’est pas prêt », confie, encore abasourdi, un agent du service social de la prison.

Les registres judiciaires consultés par l’administration sont pourtant formels , aucune prolongation n’a été prononcée à l’encontre de M. Diallo. Tous les calculs concordent ; sa dette envers la justice est acquittée. Mais le détenu, lui, persiste. Pour lui, sa peine n’est pas terminée. Face à ce refus volontaire de liberté, l’administration pénitentiaire est désemparée. Pourquoi un homme souhaiterait-il rester en prison après avoir purgé sa peine ? Plusieurs hypothèses sont envisagées : trouble psychologique, erreur de perception du temps, ou plus probablement, une angoisse profonde face au retour à la vie extérieure après une décennie d’isolement carcéral. Cette réaction, aussi rare qu’incompréhensible, soulève des questions sur les effets de l’enfermement prolongé sur la santé mentale des détenus.

Inondations à Touba : un jeune homme se noie dans un bassin

La tragédie s’est produite aux environs de 18h, dans le quartier de Ndamatou à Touba. Un jeune homme, Bathie Diop, âgé d’une vingtaine d’années, s’est noyé dans le bassin de rétention d’eau de Ngélemou, un site construit pour faire face aux inondations mais devenu une menace en soi pour les habitants. Originaire de la ville, Bathie Diop était connu dans son voisinage comme une personne souffrant de troubles mentaux. Selon des témoins, il aurait chuté accidentellement dans le bassin alors qu’il s’y trouvait sans surveillance. Malgré la mobilisation rapide des secours, les sapeurs-pompiers ont déclaré ne pas disposer du matériel adéquat pour effectuer une récupération en toute sécurité, en raison de la profondeur du bassin.

Une équipe de plongeurs venus de Tivaouane a été sollicitée en renfort. Ce décès tragique est le deuxième enregistré en moins de deux semaines dans ce même bassin de Ngélemou, aujourd’hui débordé à cause des fortes pluies ayant récemment frappé la région. L’infrastructure, pourtant fraîchement inaugurée, montre déjà ses limites , saturation, absence de dispositifs de sécurité, et manque de signalisation appropriée autour du périmètre. Les autorités municipales sont interpellées sur la nécessité urgente de sécuriser les zones inondables, d’installer des barrières de protection autour des bassins, et d’assurer une surveillance continue durant la saison des pluies.

Serigne Bassirou Mbacké aux hommes politiques : «ils ont la fâcheuse habitude de renier leurs paroles une fois qu’ils sont élus»

« Ils tiennent des discours qu’ils font vite d’oublier quand ils sont élus. Et pire, ils ne veulent même plus entendre des autres ce qu’ils disaient eux-mêmes », souligne le porte-parole. Serigne Bass repris par nos confrères d’actusen , rappelle qu’en 2011, les politiciens exigeaient que les chefs religieux se tiennent à l’écart du champ politique. Pourtant, à l’approche de chaque élection, ceux qui se sentent désavantagés par la tournure que prend le processus électoral reviennent vers les guides religieux pour solliciter leur intervention. Dans cette optique, dit-il, autant adopter la même posture que Serigne Saliou quand les hommes politiques venaient de toute part solliciter du soutien et des prières à l’approche des élections locales de 1996. Il leur avait dit alors : « en dehors de la religion, toute autre activité me laisse indifférent ».

« En 2021, Serigne Mountakha avait adopté une posture pareille quand l’opposition réclamait son intervention. Il m’a dit : si je le fais, ils penseront que je suis là pour régler leurs divergences politiques. Or, cela ne fait pas partie de ma mission ; je me consacre à la religion et je n’ai pas le temps pour autre chose ».

Serigne Bass a aussi affirmé que les gens ont l’habitude de regretter le Président qu’ils ont démis, au détriment du nouveau. « Ceux qui ont combattu Wade au profit de Macky Sall ont été les mêmes qui ont combattu le magistère de Macky. Et le même cycle se répète avec le nouveau régime. Finalement, rien ne change. »

Le porte-parole de Serigne Mountakha Mbacké invite, ainsi, les politiques à plus de responsabilité, mais aussi et surtout à respecter leurs paroles. Il leur demande de mettre en avant les intérêts de la Nation et de privilégier le maintien de la stabilité. « Ceux qui sont dans l’opposition doivent souhaiter la réussite de ceux qui dirigent parce qu’il y va de l’intérêt du peuple tout entier. Malheureusement, ce n’est pas le cas. On peut avoir des visions politiques différentes, et ne pas être des ennemis. Je suppose que c’est si la bonne marche de la République qui vous importe tous, vous ne devez pas user de manœuvres visant à déstabiliser, encore moins à diviser le pays ».

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