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Aviation civile : le Sénégal mise sur les carburants durables

Le Sénégal a officiellement lancé, hier à Dakar, une étude de faisabilité sur les carburants d’aviation durables (Saf). L’initiative, pilotée par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), s’inscrit dans la volonté du pays de réduire son empreinte carbone et de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique.

« La transition énergétique vers des carburants non fossiles reste un enjeu crucial pour diminuer l’empreinte carbone», a rappelé le directeur général de l’Anacim, Dr Diaga Basse.

Selon lui, le transport aérien représente entre 2 et 3% des émissions mondiales de CO₂, et l’introduction des Saf pourrait contribuer jusqu’à 65% des réductions nécessaires pour atteindre la neutralité carbone en 2050.

Outre l’impact environnemental, le responsable met en avant un double intérêt : la réduction des émissions du transport aérien, en conformité avec le programme Corsia de l’Oaci et les engagements climatiques du Sénégal, mais aussi le potentiel de développement économique et énergétique, notamment à travers la production locale à partir de biomasse, résidus agricoles, huiles usagées ou énergies renouvelables.

Financé par l’Union européenne et coordonné par l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci), le projet constitue, selon le ministre des Transports terrestres et aériens, Yankhoba Diémé, « une opportunité historique pour le Sénégal ».

Il estime qu’il « ouvre la voie à une appropriation nationale des Saf, grâce à des études rigoureuses et des initiatives de renforcement des capacités ».

avec le soleil

Genève : L’OMC présente les atouts économiques et commerciaux de l’intelligence artificielle

En marge du Forum public organisé à Genève du 16 au 17 septembre 2025, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) a publié son rapport sur l’intelligence artificielle. Le document met en lumière les potentiels impacts de cette révolution pour plusieurs économies dans le monde, en particulier le commerce.

Ainsi, renseigne le rapport, dans le scénario de référence où les économies à faible revenu ne rattrapent pas les économies à revenu élevé en matière de technologies numériques et d’infrastructures, les économies à revenu élevé verront leurs gains augmenter de 14 %, contre 11 % pour les économies à revenu intermédiaire et 8 % pour les économies à faible revenu.

Cependant, cet écart pourrait se réduire considérablement si l’infrastructure numérique s’améliore dans les économies à faible revenu. Dans ce scénario, la croissance des revenus pourrait se situer à 11 % pour les économies à faible revenu et à 12 % pour les économies à revenu intermédiaire et élevé.

Par ailleurs, dans un scénario incluant des améliorations des infrastructures et une adoption généralisée de l’IA, les économies à faible revenu et à revenu intermédiaire devraient en bénéficier encore davantage, avec des gains de PIB atteignant 15 % pour les économies à faible revenu et 14 % pour les économies à revenu intermédiaire. Les simulations de l’OMC montrent aussi que l’IA pourrait entraîner une augmentation significative du commerce mondial et du revenu réel.

Un catalyseur pour les entreprises

Selon l’Organisation mondiale du commerce, l’IA pourrait également permettre d’accroître les flux transfrontaliers de biens et de services de près de 40 % d’ici 2040 grâce aux gains de productivité et à la baisse des coûts commerciaux.

Ainsi, les entreprises devraient ressentir les effets d’une révolution censée booster leur compétitivité, car 90 % des entreprises utilisant actuellement l’IA font état de bénéfices tangibles liés à l’IA dans leurs activités commerciales. Et la tendance devrait se poursuivre.

Toutefois, a souligné l’OMC dans son rapport, les pays ne pourront ressentir les effets de l’intelligence artificielle que s’ils investissent dans les infrastructures numériques et coopèrent pour prévenir la fragmentation des réglementations régissant l’économie numérique.

« Sans investissements ciblés, cadres politiques inclusifs et coordination internationale, l’IA pourrait exacerber les fractures existantes, voire en créer de nouvelles, ce qui compromettrait le potentiel de développement de l’IA. L’accès mondial à l’IA est très inégal, ce qui limite la capacité de nombreuses économies à participer aux échanges commerciaux axés sur l’IA », mentionne le rapport.

Pour la directrice générale de l’OMC, Dr Ngozi Okonjo-Iweala, les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA) transforment l’économie mondiale, remodelant la définition du travail, la création de valeur et la répartition des opportunités au sein des sociétés. Compte tenu de ces effets considérables, dit-elle, l’IA transforme également le commerce mondial. Parallèlement, elle estime que l’incertitude croissante concernant les politiques commerciales menace de modifier les schémas d’échanges et d’investissements mondiaux qui ont soutenu la croissance et le développement ces dernières décennies.

AVEC LE SOLEIL

Uemoa: L’agriculture et les hydrocarbures augurent une croissance projetée à 6,3 %

« La bonne tenue de la demande et le dynamisme dans le secteur pétrolier, gazier et agricole laissent augurer pour l’année 2025 une croissance robuste projetée à 6,3 %, identique à celle de 2024 ». C’est ce qu’a annoncé le gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao).

Jean-Claude Kassi Brou s’exprimait à l’occasion de la troisième session du comité de politique monétaire de la banque de l’année.

Il a indiqué que les perspectives de l’économie mondiale pour 2025 et 2026 devraient toutefois ressortir plus favorables en raison des accords conclus qui prévoient des droits de douane effectifs moins élevés qu’initialement prévus.

Au niveau de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, a dit M. Kassi Brou, l’activité est restée dynamique au deuxième trimestre 2025 avec une progression du PIB réel de 6,5 % en rythme annuel après une hausse de 7 % au trimestre précédent.

« Le taux d’inflation a poursuivi sa dynamique baissière au deuxième trimestre 2025, ressorti à 0,6 %, porté par un meilleur approvisionnement en produits bruts sur les marchés locaux, la détente des coûts des produits alimentaires importés et la baisse du prix du carburant à la pompe dans certains pays de l’Union. La situation des comptes extérieurs s’est améliorée au premier semestre 2025 ».

Les perspectives restent cependant sujettes à des risques baissiers en partie liés aux incertitudes internationales qui pourraient dégrader les termes de l’échange.

Sur le marché monétaire, les conditions se sont assouplies au cours du deuxième trimestre 2025, portées par un niveau de liquidité adéquat dans le système bancaire et la récente baisse des taux directeurs.

Mariaa Siga triomphe aux Casamance Music Awards

La chanteuse sénégalaise Mariaa Siga a marqué la dernière édition des Casamance Music Awards en décrochant deux distinctions majeures : Meilleure Artiste Féminine et Meilleure Prestation Live.

Ces trophées viennent couronner une tournée internationale de près de 50 concerts, qui l’a menée du Sénégal à l’Europe, en passant par le Mali et le Cap-Vert. Émue de recevoir ces prix dans sa terre natale, l’artiste a dédié sa victoire à son public : « C’est une victoire que je dédie à mon public, qui me soutient depuis mes débuts. »

Avec cette reconnaissance, Mariaa Siga confirme son rôle d’ambassadrice de la musique casamançaise et s’impose comme une voix incontournable de la scène africaine actuelle.

LSFP : le scandale du Pay-Per-View, 19 millions partagés sans les clubs !

Le PPV (Pay-Per-View) fait parler dans le football local. Qualité de diffusion, coût élevé de l’Internet et surtout frustration des clubs qui ont investi dans la partie technique mais n’ont tiré aucun revenu : les premiers audits de la LSFP, révélés par Record, mettent ces manquements en lumière.

Depuis sa prise de fonction à la tête de la Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP), le président Babacar Ndiaye a lancé des audits pour faire la lumière sur plusieurs dossiers sensibles, dont le projet de digitalisation et le partenariat avec Givova. 

Lancée la saison dernière sous l’ancienne équipe dirigée par Mouhamed Djibril Wade, la digitalisation devait profiter à la Ligue, aux clubs et au diffuseur via le partage des revenus. Mais après la phase test de la première année, les clubs professionnels n’ont perçu aucun centime.

Le projet PPV a généré 19 millions FCFA réparties comme suit : 16 millions ont été attribués à la chaîne qui diffuse les matchs, 3 millions à la Ligue, et aucune part n’a été versée aux clubs, principaux acteurs ayant investi dans la technique.

La nouvelle équipe de Babacar Ndiaye devrait revoir rapidement les termes du nouveau contrat de quatre ans liant la Ligue et la chaîne diffuseuse, afin de garantir que les clubs tirent enfin profit des revenus générés par leurs matchs. En effet, après la phase test, les deux parties ont décidé de continuer l’aventure ! 

La fille de l’entrepreneur Mame Ndiaye Savon, a fêté ses 15 ans

Fatou, la fille de l’entrepreneur Mame Ndiaye Savon, a fêté ses 15 ans ce week-end. Entourée de ses proches et amies, elle est apparue radieuse dans une robe rose, affichant un sourire éclatant tout au long de la célébration. « La rencontre de deux âmes destinés à ne jamais se rejoindre, forment une amitié intense qui vire en un amour presque parfait », selon Kawtef.

 

Noyades : hausse inquiétante des cas en cette période estivale

La Brigade nationale des sapeurs-pompiers tire la sonnette d’alarme face à une recrudescence des noyades cet été. Entre le 24 mai et le 21 août 2025, 90 interventions liées à des noyades ont été recensées à l’échelle nationale, impliquant 112 victimes, dont 78 sauvées et 34 décédées.

La région de Dakar demeure la plus touchée avec 85 victimes sur 65 interventions. Parmi elles, 74 ont été sauvées, tandis que 11 sont mortes, réparties ainsi : 4 à Malibu, 2 à Malika, 2 à la plage BCEAO, 2 à Thiaroye-sur-Mer (Mbatal) et 1 à Sipres (Mbao).

Dans les autres régions, le bilan reste préoccupant :

 

  • Thiès-Diourbel : 4 victimes, une seule sauvée.
  • Fatick, Kaolack et Kaffrine : 1 victime, sauvée.
  • Ziguinchor, Kolda et Sédhiou : 2 victimes, toutes décédées.
  • Saint-Louis, Louga et Matam : 16 victimes, dont 14 décès.
  • Tambacounda, Kédougou et Bakel : 4 victimes, toutes décédées.

 

Ces chiffres mettent en évidence la nécessité de renforcer la surveillance et la prévention sur les plages, afin de limiter le nombre tragique de victimes cet été.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention