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Mame Diarra Fam est sortie manifeste son soutien au chanteur, Wally Seck.

L’ancienne députée Mame Diarra Fam est sortie de sa réserve pour manifester son soutien au chanteur, Wally Seck. Dans une publication sur sa page Facebook, elle a tenu des propos empreints d’affection et de fermeté.

Tout en réaffirmant son attachement à l’artiste, l’ex-parlementaire a appelé à la retenue : « Depuis avant-hier, je suis interpellée par des messages et des appels, mais je préfère rester factuelle et ne pas me laisser animer par des émotions. L’État est très sérieux, et une mauvaise communication peut déclencher de la négativité. »

Le post !

Tu es Mon Fils Et le Reste Inchalah je te soutiendrai Quoi qu’il Advienne !!
Depuis avant-hier je suis interpellée dans des Messages et des appels.
Mais je Préfère resté dans le Factuelle et ne pas me laisser animer par mes Émotions !
Cessez les Communications NÉGATIVES ça ne fait que diriger l’affaire vers d’autres Prairies!

Projet de loi Mobile Money : Le député Pastef Abdou Ahad Ndiaye s’oppose à Ousmane Sonko

Invité de l’émission Tolloway avec nos confrères de Senweb , le député Abdou Ahad Ndiaye s’est exprimé sur le projet de loi sur le mobile money porté par le Premier ministre Ousmane Sonko. Tout en reconnaissant l’intérêt de cette initiative, il estime que certains points méritent des discussions approfondies avant tout vote à l’Assemblée nationale.

« Je ne suis pas contre le projet, mais je souhaite que des amendements soient proposés et qu’il y ait un dialogue ouvert entre pastefiens », a déclaré le parlementaire. Il a souligné que les pourcentages fixés dans le texte seraient difficiles à modifier, mais que des ajustements pourraient être intégrés au niveau des décrets d’application.

Abdou Ahad Ndiaye a rappelé que le secteur du mobile money reste vulnérable : « Si on touche trop à ce secteur, il risque de s’effondrer. Or, il représente près de 18 % du PIB et plus de 90 % des flux financiers du pays. » Selon lui, il est essentiel d’associer les associations professionnelles, les opérateurs et la commission numérique de l’Assemblée nationale, qu’il regrette de voir mise à l’écart.

Sur le plan économique, il met en garde contre une fiscalité trop lourde : « Les opérateurs acceptent d’être taxés sur leur chiffre d’affaires, mais relever les taux pousserait les populations vers les espèces et affaiblirait l’inclusion financière. » Il a également insisté sur la nécessité de mieux mobiliser l’épargne nationale, estimant que l’argent liquide dormant dans le pays devrait être utilisé pour soutenir les activités productives, alors que les banques prêtent surtout aux plus riches.

Enfin, le député a évoqué le défi de la transparence, notant que les flux déclarés atteignent 15 000 milliards, mais que l’État peine à auditer ce système. Il propose un rôle accru de la Poste dans l’inclusion financière. Pour lui, le succès du projet mobile money dépendra d’un équilibre entre fiscalité, inclusion et concertation avec tous les acteurs concernés.

Frappes près du Venezuela: des experts de l’ONU accusent les États-Unis d’«exécutions extrajudiciaires»

Donald Trump s’en vantait lundi 15 septembre sur son réseau social : les États-Unis ont détruit un nouveau bateau vénézuélien et tué trois personnes que le président américain présente comme des narcotrafiquants. C’est la deuxième frappe de ce type depuis le début du mois. Une méthode que des experts des droits de l’homme des Nations Unies dénoncent.

Pour ces trois experts indépendants mandatés par l’ONU, les frappes américaines sur ces bateaux en provenance du Venezuela sont des « exécutions extrajudiciaires ». « Le droit international ne permet pas aux gouvernements d’assassiner purement et simplement des narcotrafiquants présumés », affirment-ils dans un communiqué. D’autant que le trafic de drogue n’est pas passible de la peine de mort en droit américain.

Comme le rappellent ces experts mandatés par l’ONU, mais qui ne parlent pas au nom de l’organisation, la seule raison pour laquelle les États-Unis auraient le droit de tuer ces personnes est donc la légitime défense. « En vertu du droit international, tous les pays doivent respecter le droit à la vie, y compris lorsqu’ils agissent en haute mer ou en territoire étranger », ont assuré les experts, parmi lesquels se trouvent les rapporteurs spéciaux sur les exécutions extrajudiciaires et sur la protection des droits de l’homme dans la lutte antiterroriste. « Il n’y a aucune preuve que ce groupe mène une attaque armée contre les États-Unis qui autoriserait les États-Unis à utiliser la force militaire contre lui au titre de la légitime défense nationale. »

 

Poursuites et réparations demandées

Cette frappe est survenue après que les forces américaines eurent détruit un bateau avec onze personnes à bord plus tôt ce mois-ci. Washington déclare que ce bateau était affrété par le gang vénézuélien Tren de Aragua. Au total, en un mois, les États-Unis ont tué au moins quatorze personnes lors de ces frappes militaires qualifiées d’« illégales ». Au moins, car en plus des deux frappes dont Donald Trump s’est vanté, il a également évoqué ce mardi un troisième bateau détruit, sans plus de précision.

Les experts ont demandé à Washington « d’enquêter de manière indépendante sur ceux qui ont ordonné et exécuté ces meurtres ». Ils ont par ailleurs souligné que le pays était tenu par le droit international de poursuivre les auteurs et d’offrir des réparations aux familles des victimes.

 

RDC: les Wazalendos exigent de jouer un rôle politique et sécuritaire au-delà du front à l’est

Alors que les tensions avaient éclaté entre les milices Wazalendo et les autorités à Kinshasa, notamment autour de la présence du général Olivier Gasita à Uvira, les miliciens ont adressé un mémo au président Félix Tshisekedi. S’ils affirment leur loyauté à Kinshasa, ils posent des conditions à cette fidélité. Autant de demandes qui inquiètent, car leur présence dépasse les lignes de front aux côtés des forces armées de la RDC (FARDC) à l’est.

Désormais, leurs revendications dépassent la seule question sécuritaire. Dans leur mémo adressé à la délégation gouvernementale présente à Uvira, les Wazalendo posent plusieurs conditions. D’abord, ils demandent l’interdiction des mouvements de populations venant des zones sous contrôle du groupe AFC/M23. Autre exigence : que les responsables déployés à Uvira résident effectivement dans la ville, et non pas à Bujumbura, la capitale burundaise voisine.

Et ils vont plus loin. Ils proposent le déploiement de leurs hommes aux principales entrées de la province du Sud-Kivu, pour, disent-ils, mieux protéger la région contre les infiltrations.

Mais leurs ambitions dépassent le terrain militaire. Ils réclament de participer aux discussions de paix, y compris aux pourparlers de Doha. Ils veulent aussi que leurs cadres politiques soient intégrés dans les gouvernements – à la fois national et provincial – et dans les institutions, services étatiques et para-étatiques.

Pour s’assurer du suivi, ils demandent même la nomination d’un conseiller spécial chargé exclusivement des questions liées aux Wazalendo au niveau national.

Pour l’instant, aucune réponse n’a été donnée à ce mémo. Dans l’entourage de Félix Tshisekedi, un conseiller explique à RFI que ces revendications doivent passer par la Réserve armée de la Défense. La RAD est une structure paramilitaire créée en 2023 pour appuyer les FARDC et encadrer les Wazalendo. Problème : cette structure n’est pas encore déployée à Uvira.

Résultat : les milliers de Wazalendo présents au Sud-Kivu continuent de dépendre de leurs propres chefs, qui souvent n’hésitent pas à critiquer les FARDC, dont ils ne se considèrent pas comme un prolongement direct.

Qui contrôle vraiment les Wazalendo ? Et jusqu’où peut aller leur mobilisation ? La question est au cœur de plusieurs rapports publiés ces dernières semaines par des ONG et par l’ONU. Les Wazalendo ne sont plus seulement sur la ligne de front aux côtés des FARDC : on les retrouve aussi dans plusieurs villes, cités et villages sous contrôle de Kinshasa, du Maniema au Nord-Kivu, jusqu’au Sud-Kivu. À Uvira, leur présence est particulièrement marquée. Ils se sont opposés, récemment, à la présence du général Olivier Gasita, commandant adjoint de la 33ème région militaire.

 

L’Iran a exécuté un homme condamné pour espionnage au profit d’Israël, annonce la justice

Les autorités iraniennes ont pendu mercredi 17 septembre un homme condamné pour espionnage au profit d’Israël, a indiqué l’organe du pouvoir judiciaire. «Babak Shahbazi (…) a été exécuté par pendaison ce matin à l’issue d’une procédure judiciaire et après la confirmation de sa peine par la Cour suprême», a rapporté le site d’information Mizan Online.

Il n’était pas clair dans l’immédiat quand Babak Shahbazi avait été arrêté, mais Mizan Online a déclaré qu’il avait été reconnu coupable des crimes capitaux de « corruption sur terre » et de « moharebeh » (« guerre contre Dieu », ndlr). L’organe du pouvoir judiciaire a affirmé qu’il était impliqué dans la conception et l’installation de systèmes de refroidissement industriels pour des entreprises liées à des organismes militaires, de télécommunications et de sécurité. Son accès à ces sites lui a permis « de fournir des informations au Mossad en échange d’argent et de (permis de) résidence dans un pays étranger », a-t-il ajouté.

Russie: la détention provisoire du cycliste français Sofiane Sehili prolongée jusqu’au 4 octobre

La détention provisoire du cycliste français Sofiane Sehili, arrêté début septembre en Russie, a été prolongée jusqu’au 4 octobre, a annoncé mercredi 17 septembre l’agence d’État Ria Novosti en citant un tribunal de l’Extrême-Orient russe.

 

« Le tribunal de district d’Oussouriïsk, dans la région du Primorié, a rendu le 6 septembre une décision imposant une mesure préventive sous forme de détention provisoire [concernant Sofiane Sehili, NDLR] jusqu’au 4 octobre », a déclaré le service de presse de la juridiction à Ria Novosti, sans préciser la raison de son arrestation. Selon le quotidien français Le Monde, ce cycliste d’endurance est accusé d’avoir franchi illégalement la frontière russe en tentant de battre un record du monde de la traversée eurasienne à vélo.

Real Madrid : la réaction à chaud de Kylian Mbappé sur le match de l’OM

Élu homme du match après son doublé sur penalty, le Bondynois s’est exprimé au micro de Canal+. Et voici ce qu’il a pensé du match.

Annoncé comme le grand favori de ce premier match de Ligue des Champions de la saison face à l’Olympique de Marseille, le Real Madrid a dû compter sur deux penaltys de Kylian Mbappé pour s’en sortir (2-1). Menés au score et réduits à dix, les Merengues ont échappé de justesse à la correctionnelle face à des Phocéens portés par un Geronimo Rulli exceptionnel. Élu homme du match avec ses buts inscrits, Mbappé s’est arrêté au micro de Canal+ pour évoquer cette rencontre et la partition des Marseillais. Des Phocéens qui ne l’ont pas surpris.

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« Je ne sais pas, moi non, je connais Marseille, j’ai vu tous les matches cette saison leur match contre Lorient. On a mis beaucoup de pression, eux aussi ils étaient cohérents dans ce qu’ils ont produit. On a eu des occasions où l’on doit être plus efficaces, moi le premier. Ils marquent le premier but sur une erreur, ça peut arriver, mais on était un peu en dilettante. En deuxième période, on ronronne un peu, on pêche un peu plus, on prend le carton rouge, je n’ai pas vu ce qu’il s’est passé. Après on savait qu’au Bernabéu, même à dix ou à neuf, peu importe ce qu’il se passe, on aurait notre moment pour marquer. Comme contre la Real Sociedad, on doit accepter de souffrir plus même à dix. On est content de commencer par une victoire en Ligue des Champions. »

«Je suis toujours concentré et ce soir je sors du match avec la victoire, deux buts et le trophée d’homme du match»

Certain de s’imposer face aux Olympiens, le numéro 10 madrilène a ensuite eu quelques mots pour son garde du corps du soir, Leonardo Balerdi. L’occasion pour lui d’envoyer une petite pique à un Argentin très décrié en ce moment sur la Canebière. « Normal, pas mal de défenseurs font ça avec moi, j’ai l’habitude. Son objectif à lui c’est de me sortir de mon match. Je suis toujours concentré et ce soir je sors du match avec la victoire, deux buts et le trophée d’homme du match. »

Enfin, Mbappé a évoqué son début de saison marqué par 5 buts inscrits en autant de matches, toutes compétitions confondues. « Je suis bien, j’ai bien commencé, je peux encore faire mieux, c’est le début de saison. On n’a pas eu beaucoup de temps de préparer, on monte en puissance, on travaille à l’entraînement pour monter en puissance. Ça va être une longue saison, il faut être prêt maintenant et pour toute la saison. » Rendez-vous samedi maintenant pour les Madrilènes pour la réception de l’Espanyol.

 

 

Vol spectaculaire à Touba : Sokhna Momy Mbacké fait face à ses présumés voleurs au tribunal

Malgré un état de santé fragile, Sokhna Momy Mbacké, fille de Serigne Sohibou Mbacké et veuve de Serigne Modou Aminata Fall, défunt Khalife général des Baye Fall, a choisi de se présenter en personne, mardi 16 septembre 2025, devant le tribunal de Diourbel. Elle est venue assister au procès de celui qui est accusé de l’avoir dépouillée lors d’un cambriolage survenu dans la nuit du 9 au 10 novembre 2024 à son domicile de Touba.

Ce soir-là, des individus avaient escaladé le mur d’enceinte et le balcon de sa résidence avant de s’introduire dans ses appartements privés. Le butin était conséquent : deux bagues et deux bracelets en or 24 carats, deux smartphones ainsi qu’une somme de 23 millions de francs CFA.

À la suite de sa plainte, les enquêteurs de la brigade spéciale de gendarmerie de Touba ont remonté la piste grâce à des réquisitions auprès de Sonatel. L’une des puces dérobées avait été réutilisée dans un téléphone Redmi Note 10 Pro. L’appareil a permis d’identifier son utilisateur, le commerçant Touba Guèye, 29 ans, qui a été interpellé. Ce dernier a affirmé avoir acheté le téléphone auprès de son cousin Aziz Guèye, lequel a été arrêté à son tour.

Les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt et inculpés pour association de malfaiteurs et vol avec escalade. Devant la barre, ils ont confirmé leurs déclarations initiales, mais Touba Guèye s’est embrouillé dans ses versions, suscitant l’insistance du procureur Farba Niowi Ngom.

Ce dernier a requis deux ans d’emprisonnement ferme pour Touba Guèye et la relaxe pour son cousin. L’avocat de la partie civile, Me Assane Dioma Ndiaye, a réclamé 50 millions de francs CFA de dommages et intérêts pour sa cliente, tandis que Me Serigne Diongue, pour la défense, a plaidé la relaxe pure et simple, arguant de l’absence de preuves irréfutables.

Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour le mois d’octobre prochain.

Barthélemy Dias fustige l’usage de l’avion présidentiel par Ousmane Sonko et promet des réformes sur l’importation de véhicules

L’ancien maire de Dakar, Barthélemy Dias, a vivement critiqué les déplacements du Premier ministre Ousmane Sonko à bord de l’avion présidentiel, rapporte Les Échos dans son édition de ce mercredi 17 septembre.

Selon lui, « jamais un Premier ministre ne s’est autant déplacé avec l’avion de commandement ».

Dans ses déclarations, Barthélemy Dias a également promis que, s’il accède au pouvoir, les véhicules âgés de plus de cinq ans seront interdits d’entrée au Sénégal.

Pour rappel, les nouvelles autorités ont récemment décidé de relever l’âge limite des véhicules importés de 8 à 10 ans, une mesure qui suscite des réactions partagées au sein de l’opinion publique.

Opération coup de poing à Kolia : deux sites clandestins démantelés à Kédougou

Le mardi 16 septembre, la brigade territoriale de Saraya, appuyée par les unités Garsi 2 et une section de drones, a mené une opération coup de poing dans le village de Kolia (commune de Bembou, région de Kédougou). Deux sites d’exploitation clandestine ont été démantelés. Les forces de l’ordre ont saisi un important matériel : 18 tricycles (dont un de type piki paka), six panneaux solaires, 18 marteaux-piqueurs, 40 groupes électrogènes et 16 motocyclettes. Cette zone frontalière, connue pour la contrebande et le trafic de stupéfiants, fait l’objet d’opérations renforcées pour mettre fin aux activités illégales et affirmer la présence de l’État.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention