jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
1win
Accueil Blog Page 13

SAES : Le décret sur la pension des enseignants-chercheurs enfin signé

C’est une victoire syndicale majeure. Après plusieurs années de lutte et de négociations acharnées, le gouvernement du Sénégal a finalement signé, ce vendredi 7 mars, le décret modifiant le texte de 2020 sur l’allocation spéciale de retraite des enseignants-chercheurs et chercheurs des universités publiques. Ce texte intègre désormais la réversion de la pension aux ayants cause ainsi que la prise en compte de la prime de recherche dans le calcul de la retraite.

Depuis la signature de l’accord initial en 2018 entre le Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) et le gouvernement, les enseignants-chercheurs avaient consenti à des réformes majeures pour assurer une meilleure pension de retraite. Ces mesures incluaient une augmentation de leur charge de travail de 20 %, un élargissement de l’assiette des cotisations et l’introduction d’un régime complémentaire renseine Emedia.

Pourtant, une injustice subsistait : les veuves et orphelins des enseignants-chercheurs décédés ne bénéficiaient que d’une réversion minimale de la pension, bien en deçà des nouvelles dispositions actées. Face à cette anomalie, le SAES avait multiplié les actions depuis 2020 pour rétablir les droits des ayants cause.

Malgré un engagement du gouvernement en janvier 2023 à rectifier cette inégalité, la signature du décret modifiant le texte de 2020 avait été retardée. L’adoption du projet par le Conseil des ministres le 28 février 2024 n’avait pas suffi à débloquer la situation, alimentant la frustration du SAES.

Il a fallu une nouvelle mobilisation des enseignants-chercheurs, ponctuée par une menace de grève à partir du 13 janvier 2025 et une rencontre cruciale avec le Premier ministre le 13 décembre 2024, pour que le gouvernement accède finalement à la demande des syndicats. La signature du décret le 7 mars marque donc l’aboutissement d’une bataille de plusieurs années.

Si cette victoire est saluée par le SAES, le syndicat appelle ses militants à rester mobilisés pour la mise en œuvre d’autres engagements du protocole du 6 janvier 2023. Parmi les priorités figurent l’achèvement des infrastructures universitaires, le recrutement d’enseignants-chercheurs pour atteindre un taux de 70 % de permanents, ainsi que la gouvernance et le financement de la recherche.

Le SAES réaffirme son engagement pour un dialogue constructif avec les autorités afin de garantir une stabilité durable dans l’enseignement supérieur. La mobilisation continue.

USA : Un homme abattu par le Secret Service près de la Maison-Blanche

Un homme a été abattu par des agents du Secret Service lors d’une confrontation armée survenue près de la Maison-Blanche dans la nuit du dimanche 9 mars 2025.

Les circonstances exactes de l’incident restent floues. Selon les premières informations, l’homme aurait été abattu après avoir brandi une arme à proximité de la résidence présidentielle.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les raisons de la présence de cet individu armé et les détails de la confrontation avec les agents du Secret Service.

Dakar et Ziguinchor : 97,5 kg de chanvre indien interceptés

Les forces de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) ont mené une opération d’envergure ce week-end dans le cadre d’une livraison surveillée entre Dakar et Manpalago, dans la région de Ziguinchor. Cette intervention a permis la saisie de 97,5 kg de chanvre indien et l’arrestation de cinq individus impliqués dans ce trafic.

Selon des sources proches de l’enquête, l’opération a été conduite par les éléments de la Division Opérationnelle de l’OCRTIS, mobilisés pour contrer les réseaux de stupéfiants actifs sur cet axe stratégique. Les suspects interpellés sont actuellement en garde à vue et devraient être déférés devant les autorités judiciaires dans les prochains jours.

Cette saisie vient renforcer la lutte contre le trafic de drogue au Sénégal, un phénomène qui mobilise régulièrement les forces de l’ordre dans les zones à risque.

Entre l’Espagne et le Maroc, les coulisses du dilemme pour Lamine Yamal

L’ancien directeur sportif de la Fédération espagnole de football (RFEF), Albert Luque, a levé le voile sur les coulisses du choix de Lamine Yamal de représenter l’Espagne plutôt que le Maroc, révélant les pressions exercées et les enjeux qui ont entouré cette décision.

«Ce n’était pas un cas simple», confie Albert Luque. Lamine Yamal, talent précoce du FC Barcelone, avait la possibilité de choisir entre la sélection espagnole et l’équipe nationale marocaine. Finalement, le jeune attaquant de 17 ans a opté pour la Roja, avec laquelle il a été sacré champion d’Europe l’été dernier. Mais sa décision avait été prise bien avant ce sacre.

«L’entraîneur marocain est venu spécialement pour le convaincre, et même le gouvernement marocain a tenté de le persuader», raconte Luque dans l’émission El Larguero sur la Cadena Ser. «Quand nous lui avons parlé, il m’a dit : ‘Je veux être champion d’Europe. Je reçois des pressions de toutes parts, mais je veux jouer pour l’Espagne’.»

Si Lamine Yamal semblait déterminé, son père, lui, était plus hésitant. «Il était plus compliqué», reconnaît Albert Luque. «Il m’a dit qu’ils allaient le tuer au Maroc, qu’il subissait des pressions incroyables. Il m’a confié des choses qu’il vaut mieux ne pas répéter.»

En revanche, la mère du joueur a joué un rôle clé dans cette décision. «C’est la personne sur laquelle Lamine s’appuie le plus», explique Luque. «Elle m’a demandé si nous voulions vraiment qu’il joue pour l’Espagne. Je lui ai menti en lui disant que c’était parce qu’il était très préparé et non pour écarter le Maroc», avoue Albert Luque.

Né à Mataró, à une trentaine de kilomètres de Barcelone, Lamine Yamal a rejoint la Masia à l’âge de sept ans. Lancé en professionnel par Xavi alors qu’il n’avait que 15 ans, il n’a cessé de battre des records de précocité. Il est devenu le plus jeune buteur de l’histoire de la Liga et le plus jeune joueur à représenter l’Espagne et à inscrire un but sous les couleurs de la Roja.

Pikine : Fall, qui avait piraté le système de la police, meurt en chutant d’un pont

Génie de l’informatique et premier lauréat du Prix des hackers organisé au Sénégal, Souleymane Fall, retrouvé «mal en point» sous l’autopont du quartier de Sips, à Thiaroye, est mort après son évacuation à l’hôpital. D’après L’Observateur, la thèse du suicide est agitée. Son téléphone, «une mine de données», a disparu suscitant une vague de supputations dans la banlieue, notamment à Guinaw-rails-sud où il vivait avec sa famille.

Il aurait mal vécu son arrestation

A Guinaw-rails-sud où réside la famille de Souleymane Fall et dans la commune jumelle de Guinaw-rails-nord, le réveil a été brutal hier, vendredi. On soutient mordicus que le bonhomme s’est tout simplement suicidé. Selon les tenants de la thèse du suicide, Souleymane Fall était devenu méconnaissable ces dernières semaines. Il avait mal vécu son arrestation et avait sombré, à sa sortie de prison, dans une vie de bohême faite d’excès en tout genre. « Même si son emprisonnement n’a pas été long, son incarcération avait laissé des séquelles sur sa vie. Il semblait très affecté et avait du mal à se réinsérer », témoigne un habitant de Guinaw-rails-sud.à L’OBS. Qui soutient que son mal-être, le garçon le traînait comme un boulet.

Pour autant, cette thèse du suicide qui a largement circulé, est rejetée par des membres du cercle proche des amis du défunt qui appellent à la prudence. « Cela peut être une chute mortelle liée à sa vie de bohême ou simplement un crime. Attendons les résultats de l’enquête pour connaître la cause exacte de la mort de Souleymane», ont soutenu hier certains parmi ses amis qui ont également exprimé leur surprise après la disparition du téléphone du défunt. « Son téléphone qui était une mine de données, Souleymane l’avait toujours avec lui. Il ne s’en séparait jamais. C’était son outil de travail. Ce téléphone qui n’a pas été retrouvé sur les lieux où Souleymane Fall a été découvert, explique pourquoi nous devons être prudent quant à la cause du décès de Souleymane », avance-t-on.

Il fut lauréat du prix des hackers

Comment Souleymane Fall s’est révélé au grand public ? Son histoire avec le codage (un moyen de formaliser l’information en donnant des instructions à l’ordinateur) a démarré très tôt. Doué, on souffle qu’il fût autodidacte et qu’à l’âge de 15 ans déjà, il faisait ses premiers pas dans le codage, un système qui n’avait plus de secret pour lui. Ce qui lui avait valu beaucoup de distinctions. Lauréat du Prix des Hackers, désigné Meilleur jeune Hacker, il n’a cessé d’accumuler les distinctions. Ce côté pile du personnage cachait également un penchant pour le brouillage des systèmes informatiques.

Le piratage du système informatique de la police

En clair, le piratage des systèmes informatiques était devenu une passion pour lui. Une passion qui finira par le perdre lorsqu’il s’est volontairement attaqué au système informatique de la police sénégalaise pour démontrer qu’il n’est pas fiable. Une intrusion qui va précipiter son arrestation. Employé par l’entreprise Transpay qui gère un parc de 1 400 bus, il avait réussi à bloquer le système informatique de son employeur, lui occasionnant une perte de plusieurs dizaines de millions de FCfa.

Il a été condamné à 1 an de prison ferme

Arrêté à la suite d’une plainte de son employeur, Souleymane Fall sera jugé et condamné à une peine d’emprisonnement d’un an ferme. Détenu à la prison du Cap Manuel, puis transféré à la Maison d’arrêt et de correction de Sébikotane, il a été élargi à la suite d’une grâce présidentielle. C’était en 2021. Une cassure qu’il n’a jamais pu surmonter.

Chantage et détention de vidéos intimes: Un étudiant arrêté avec 60 sextapes de son ex-fiancée

Prisoner holding metal cage in jail, no freedom concept

Un étudiant de l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane (UNCHK), anciennement Université virtuelle du Sénégal (UVS), a été arrêté par la police de Thiès pour des faits graves de chantage, de menace de diffusion de données personnelles et de tentative d’extorsion de fonds. L’affaire qui implique la possession de 60 vidéos intimes de son ex-compagne soulève des questions juridiques et sociales sur la protection de la vie privée et la lutte contre la cybercriminalité.

Selon les premiers éléments de l’enquête, M. S., étudiant résidant à Thiès, entretenait une relation amoureuse avec S. B., une jeune femme âgée de 22 ans vivant à Dakar. Durant cette relation, la victime aurait partagé des vidéos intimes avec son compagnon. Mais après leur rupture initiée par S. B., la situation a pris une tournure inquiétante. M. S. aurait alors commencé à la menacer de divulguer ces contenus sensibles sur les réseaux sociaux si elle ne lui remettait pas certains biens matériels dont des bijoux et une bague qu’il lui avait offerte. Face aux pressions et aux menaces répétées, la jeune femme a déposé une plainte auprès des autorités.

Un piège tendu pour arrêter le suspect

Alertés, les enquêteurs de la Brigade de lutte contre la cybercriminalité ont mis en place un stratagème pour interpeller l’étudiant. Un rendez-vous a été fixé sous leur supervision, permettant à des policiers en civil de procéder à son arrestation dans un quartier périphérique de Thiès. Lors de la perquisition, les forces de l’ordre ont saisi le téléphone du suspect où plus de 60 vidéos et plusieurs images explicites de la plaignante ont été découvertes. Ces contenus auraient été conservés sans le consentement de la jeune femme. Une expertise technique est en cours pour déterminer si ces fichiers ont déjà été partagés sur des plateformes numériques ou via des messageries privées
.
Des poursuites judiciaires malgré un désistement

Bien que S. B. ait ultérieurement déposé une lettre de désistement, les autorités judiciaires ont décidé de maintenir la procédure, considérant la gravité des faits. L’étudiant a été déféré au parquet de Thiès. Son téléphone a été placé sous scellé pour servir de preuve dans l’instruction en cours. Selon un responsable judiciaire, «ces infractions sont prises très au sérieux en raison des conséquences psychologiques et sociales qu’elles engendrent chez les victimes». Les autorités rappellent également que la diffusion non consentie de contenus intimes constitue une violation flagrante des droits fondamentaux.

Un cadre légal strict et des sanctions sévères

Au Sénégal, la législation sur la cybercriminalité et la protection des données personnelles prévoit des sanctions lourdes pour ce type d’infractions. Si les faits sont avérés, M. S. risque jusqu’à cinq ans d’emprisonnement assortis de lourdes amendes pour atteinte à la vie privée, détention illégale d’images à caractère personnel et chantage. En plus des conséquences pénales, cette affaire pourrait avoir un impact sur l’avenir universitaire et professionnel de l’étudiant. L’Université numérique Cheikh Hamidou Kane pourrait engager des mesures disciplinaires si sa culpabilité est confirmée.

Un accompagnement pour la victime

Profondément affectée par cette situation, la jeune femme bénéficie d’un accompagnement psychologique et juridique. Des associations spécialisées dans la lutte contre les violences numériques lui apportent également leur soutien. Un représentant de l’Association pour la protection des femmes a rappelé l’importance pour les victimes de «briser le silence et de signaler immédiatement toute menace aux autorités compétentes»

La cybercriminalité sous haute surveillance

Face à la recrudescence des affaires de «revenge porn» au Sénégal, les forces de l’ordre intensifient leur surveillance et appellent les victimes à porter plainte sans délai. L’enquête se poursuit pour déterminer si d’autres personnes sont impliquées dans la dissémination ou la réception des contenus compromettants. En attendant, M. S. reste sous le coup de lourdes accusations, et son sort est désormais entre les mains de la justice

Malgré les nombreuses démarches et demande d’audience adressée au Premier Ministre : Les boulangers annoncent une grève

Les boulangers risquent d’aller en grève en plein milieu de ce mois de ramadan et de carême. Ils ont déposé un préavis portant arrêt de la production.

«Nous annonçons un arrêt de production sur l’ensemble du territoire sénégalais les 18 et 19 mars 2025». C’est ce qu’a révélé le Regroupement des Boulangers du Sénégal . Ils précisent que cette action sera renouvelable jusqu’à ce que leurs revendications légitimes soient satisfaites.

Ils expliquent leur radicalisation par le non-respect des engagements pris par les autorités et à l’absence de considération envers la situation critique des boulangers du Sénégal.

«Malgré nos nombreuses démarches, notamment notre demande d’audience adressée au Premier Ministre et nos courriers répétés au Ministère du Commerce et de l’Industrie, nos préoccupations restent sans réponse», disent-ils.

Le Rbs déclare que la situation économique de nombreuses boulangeries est alarmante. Certaines étant déjà en faillite et d’autres confrontées à des difficultés insurmontables, disent-ils. Face à une telle situation,  ils se disent «contraints de déposer un préavis d’arrêt de production.»

Licenciements à l’Aibd : le Sytas désapprouve la décision prise par le Dg, Cheikh Bamba Dièye

Le Syndicat des travailleurs des aéroports du Sénégal (Sytas) a manifesté son désaccord sur la décision prise par le gouvernement de procéder à un licenciement massif à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd). «A la suite du séminaire d’échange et de réflexion tenu à Saly Portudal du 26 au 28 février 2025 entre la direction générale de l’AIBD SA et les partenaires sociaux et au cours duquel un plan social avait été retenu pour un licenciement massif d’un nombre important de salariés, le Syndicat des travailleurs des aéroports du Sénégal (Sytas), réuni en congrès extraordinaire pour statuer sur cette situation, désapprouve cette décision de l’État du Sénégal et compte faire bloc pour défendre les intérêts moraux et matériels de tous les salariés de l’AIBD SA», informe le communiqué rendu public.

Le  Syndicat des travailleurs des aéroports du Sénégal (Sytas)  s’ouvre à toutes négociations porteuses de pistes de solutions avec la direction générale pour préserver l’outil de travail et sauver les emplois. «Le Sytas manifeste son désaccord par rapport au plan social décidé par les autorités étatiques et annoncé par la direction générale de l’AIBD SA, lors du point de presse tenu à Saly Portudal par le Directeur Général ; s’engage à accompagner la direction générale a travailler pour l’ouverture des aéroports de Saint Louis et de Ziguinchor afin d’y redéployer une partie du personnel ; préconise la reprise des travaux du Centre de Maintenance Aéronautique et le démarrage des travaux du projet Aéroville, deux projets phares de l’AIBD SA porteurs d’emplois ; prône la revalorisation du patrimoine foncier de l’AIBD SA à Dakar hérité de la fusion avec les ADS», lit-on.

Le Syndicat des travailleurs des aéroports du Sénégal (Sytas) rappelle que la «Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 dispose en son Article 23 alinéa 1: ‘’Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage’’». «Toutes les raisons invoquées par les autorités pour licencier d’honnêtes citoyens sont sans fondements et des solutions pérennes peuvent être trouvées pour éviter cette forfaiture. Le Sytas invite les autorités étatiques à la table de négociation afin de trouver une alternative à ce projet de licenciement pour sauver des familles entières soutenues par leur père, mère ou enfant concernés par cette hécatombe», conclut le communiqué.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
1win