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Sonko et le mobile money : une taxe qui inquiète les Sénégalais

Le 1er août, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé un plan de redressement économique et social (2025-2028) visant à mobiliser 220 milliards de FCFA en trois ans pour faire face à la crise financière que traverse le pays. Parmi les mesures annoncées figure une nouvelle politique fiscale visant les secteurs numériques en plein essor, notamment les sites de paris sportifs et les services de mobile money comme Wave et Orange Money.

Cette initiative intervient dans un contexte économique préoccupant, marqué par un déficit budgétaire de 12,3 % et une dette publique représentant 99,67 % du PIB, selon un rapport de la Cour des comptes publié en février 2025. Toutefois, la taxation du mobile money soulève de vives inquiétudes, car ce service est devenu essentiel à l’inclusion financière et largement utilisé dans l’économie informelle.

Des experts appellent à la prudence, rappelant que dans d’autres pays africains, des mesures similaires ont entraîné une baisse de l’utilisation de ces services et un impact négatif sur les ménages les plus vulnérables.

Farba Ngom reste en détention mais sera transféré au Pavillon spécial pour raisons médicales

Le député-maire des Agnam, Farba Ngom, poursuivi pour blanchiment d’argent et escroquerie, s’est vu refuser une nouvelle demande de libération provisoire pour raisons médicales. Toutefois, le président du Collège des juges d’instruction du Pool judiciaire financier a ordonné son transfert au Pavillon spécial, une unité médicalisée de l’administration pénitentiaire, rapporte Le Quotidien du 12 septembre.

Cette décision intervient après deux expertises médicales jugées alarmantes, la plus récente concluant que l’état de santé de l’ex-responsable de l’Apr est « incompatible avec le milieu carcéral ». Le rapport fait état d’un syndrome d’apnée obstructive du sommeil sévère, d’une cardiopathie débutante et d’autres comorbidités, alertant sur un risque de « mort subite nocturne » en l’absence de soins appropriés.

Malgré l’opposition du parquet, la défense avait réitéré sa demande de mise en liberté, soutenue par plusieurs organisations de la société civile, dont la Raddho, Amnesty International et la CNDH. Les avocats de Farba Ngom ont annoncé leur intention de faire appel de cette décision devant la Chambre d’accusation.

Présidentielle en Côte d’Ivoire: « pas de boycott » ni de plan B pour le principal parti d’opposition

Le PDCI, principal parti d’opposition en Côte d’Ivoire, a rejeté jeudi l’idée de boycotter la présidentielle du 25 octobre et maintenu sa volonté de présenter son candidat Tidjane Thiam, malgré le rejet définitif de sa candidature en début de semaine.

Les candidatures des deux principaux opposants, M. Thiam et l’ex-président Laurent Gbagbo ont été rejetées par le Conseil constitutionnel lundi, en raison de leur radiation des listes électorales.

Une décision sans recours qui s’inscrit dans un climat politique tendu depuis plusieurs mois dans le pays.

“Il n’y aura pas de boycott, ce serait trop facile. Il ne peut pas y avoir d’élection sans Tijdane Thiam”,”, a assuré jeudi Noël Akossi Bendjo, vice-président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), devant la presse.

M. Thiam reste “le seul et unique choix” du parti, a ajouté Calice Yapo, cadre du PDCI, dénonçant “une instrumentalisation grossière de la justice”.

Le parti n’a pas précisé les modes d’action qu’il comptait employer pour ce faire.

Dans un document transmis à l’AFP mercredi, le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) de Laurent Gbagbo a également dénoncé “une décision contraire à la Constitution et aux engagements internationaux de la Côte d’Ivoire”.

“Le droit ne peut être tordu pour éliminer un adversaire politique”, explique le parti.

Si le PPA-CI ne s’est pas prononcé sur un éventuel boycott, pas question non plus d’envisager un plan B.

“Il n’y a pas d’autre alternative que Laurent Gbagbo, nous allons continuer la lutte pacifique contre un 4e mandat” a déclaré mardi Sébastien Dano Djedje, le président exécutif du parti.

Accusé de choisir ses opposants, le parti au pouvoir répète se conformer à des décisions d’une justice indépendante.

Parmi les cinq candidatures qualifiées pour concourir, les anciens ministres Jean-Louis Billon et Ahoua Don Mello sont respectivement des dissidents du PDCI et du PPA-CI.

Les trois autres sont le président sortant Alassane Ouattara, l’ex-Première dame Simon Ehivet Gbagbo et l’ancienne ministre Henriette Lagou.

Les avocats de Lat Diop annoncent un point de presse pour éclairer l’opinion

Le collectif d’avocats de Lat Diop a annoncé la tenue d’un point de presse le lundi 15 septembre 2025 à 16 heures. Selon Me Cheikh Ahmadou Ndiaye, cette rencontre vise à informer l’opinion publique sur l’évolution du dossier et les procédures en cours, tout en respectant le secret de l’instruction et les règles de déontologie.

Pour rappel, Lat Diop est détenu depuis le 26 septembre 2024. Il est poursuivi pour détournement de deniers publics, blanchiment de capitaux et extorsion de fonds portant sur un montant estimé à 8 milliards de francs CFA.

Le FDR exprime sa déception et appelle à une résistance populaire contre le régime

Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) a exprimé sa profonde déception face au remaniement ministériel du 6 septembre 2025, qu’il juge déconnecté des préoccupations quotidiennes des Sénégalais. Dans un communiqué publié le 10 septembre, le FDR dénonce un réaménagement « purement politicien » qui, selon lui, vise à consolider un « Parti-État » au profit du Pastef.

Les leaders du FDR estiment que les changements opérés aux ministères de la Justice et de l’Intérieur annoncent une radicalisation de la répression des opposants et un recul inquiétant des libertés démocratiques. Ils dénoncent également les mesures contenues dans le Plan de Redressement Économique et Social, jugées antisociales et pénalisantes pour les ménages et le secteur informel.

En conséquence, le FDR appelle les Sénégalais à se mobiliser et à participer aux actions de résistance populaire prévues dès le mois prochain, notamment à Dakar. Parmi leurs revendications figurent la mise en place d’un organe consensuel de gestion des élections, le respect des décisions de justice, l’arrêt du harcèlement judiciaire contre les opposants et la libération des prisonniers politiques.

Le mouvement invite ses militants à constituer des comités d’organisation dans tout le pays pour contrer ce qu’il qualifie de dérive autoritaire et sauver la démocratie sénégalaise.

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