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Décès du Directeur général du Budget, Abdou Diouf

Abdou Diouf, est décédé ce vendredi dans la soirée des suites d’un malaise.
Abdou Diouf avait été nommé à la tête de la Direction générale du Budget le 22 janvier 2025, succédant ainsi à Maguette Niang. Avant cette promotion, il occupait le poste de coordonnateur de la Direction générale du budget .

Diomaye limoge son Chef de cabinet

Le diplomate Pape Mada Ndour a été démis de ses fonctions de ministre, chef de cabinet du président de la République, a confirmé vendredi la présidence sénégalaise. Cette décision a été officialisée par un décret signé le 28 février dernier par le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye.
Pour l’heure, aucune information officielle n’a été communiquée sur les raisons de ce limogeage. Le départ de Pape Mada Ndour suscite des interrogations au sein de la sphère politique sénégalaise, mais aucune explication n’a encore été fournie par les autorités.
Pape Mada Ndour, qui occupait ce poste stratégique au sein de la présidence, jouait un rôle clé dans la coordination de l’agenda présidentiel et dans la gestion des dossiers sensibles.

Le paradoxe de la jeunesse sénégalaise : sous-employée, mais surqualifiée ?

Le Sénégal est à un tournant décisif de son développement, avec une population majoritairement jeune et un taux de scolarisation en constante augmentation. Pourtant, un paradoxe flagrant persiste : une jeunesse de plus en plus diplômée, mais qui peine à s’insérer dans le marché du travail. Ce déséquilibre pose une question fondamentale : à qui profite réellement l’augmentation du niveau de qualification, si les diplômés restent sans emploi ou sont contraints à l’informel ?

Une surproduction de diplômés pour un marché qui ne suit pas
Chaque année, des milliers d’étudiants sortent des universités et instituts de formation avec des diplômes en poche, mais sans perspectives réelles. Les chiffres sont accablants : plus de 30% des jeunes diplômés sont au chômage, et ce taux grimpe encore plus pour certaines filières. Les entreprises, elles, se plaignent d’un manque de compétences adaptées à leurs besoins. Comment peut-on simultanément avoir une jeunesse surqualifiée et un tissu économique qui manque de talents ? La réponse est simple : nous formons pour des emplois qui n’existent pas.

Les formations universitaires sont trop souvent déconnectées des réalités économiques. Elles produisent des diplômés avec un savoir académique solide, mais sans compétences pratiques directement exploitables sur le marché du travail. Pire encore, l’obsession pour les diplômes a renforcé une mentalité où seule l’Administration publique est perçue comme un débouché valable. Résultat : une Fonction publique saturée et une jeunesse désillusionnée.

Les fausses solutions qui entretiennent le problème
Face à cette situation, plusieurs initiatives ont vu le jour, mais elles restent souvent inefficaces :
Les stages à répétition : Beaucoup de jeunes diplômés enchaînent des stages non rémunérés sous prétexte de «gagner de l’expérience», mais qui se transforment en exploitation pure et simple.

L’entrepreneuriat à tout prix : Lancer sa propre activité est encouragé, mais sans accompagnement adapté ni accès au financement, cela devient un mirage plutôt qu’une solution.

Les réformes cosmétiques : Des «réformes» éducatives sont annoncées régulièrement, mais elles restent superficielles et ne répondent pas au vrai problème d’adéquation entre formation et emploi.

Ce qu’il faut faire – maintenant
Il est temps d’arrêter les demi-mesures et d’adopter des solutions radicales :
Refondre le système éducatif : Il faut rapprocher les universités et centres de formation des entreprises en intégrant des modules pratiques, des certifications professionnelles et des stages obligatoires rémunérés dès les premières années.

Valoriser les métiers techniques et les compétences numériques : L’avenir du travail repose sur les métiers du digital, de l’énergie, de l’industrie et des services techniques. Il faut décomplexer ces secteurs et y investir massivement.
Créer des ponts entre la formation et le marché du travail : Un système de formation en alternance avec un fort engagement du secteur privé permettrait de former pour des besoins réels.

Favoriser l’accès au financement pour les jeunes entrepreneurs : Plutôt que de distribuer des fonds à l’aveugle, il faut des incubateurs solides, un accompagnement à long terme et un accès facilité au crédit.

Le Sénégal ne peut pas se permettre de laisser sa jeunesse dans l’attente indéfinie d’un hypothétique emploi. Il faut cesser de former des chômeurs et commencer à former des travailleurs. Tant que nous ne briserons pas ce cercle vicieux, nos jeunes continueront de rêver d’ailleurs, et notre développement restera une promesse non tenue.
Adama DIOP

“La plupart des maires politiciens ne gèrent pas correctement les affaires communales” (Virginie Sagna, Présidente de Force des Alliés pour la République

Après un processus de création entamé en 2022, Force des Alliés pour la République (Far) a officiellement obtenu, en novembre dernier, son récépissé d’existence en tant que parti politique à part entière. La présidente, Virginie Sagna, fait un plaidoyer en faveur des femmes et préconise de sortir de la politique politicienne au profit d’une politique de développement plus soucieuse de l’intérêt général que des considérations partisanes.
Établie dans la commune de Tivaouane Peulh dont elle n’exclut pas de briguer la mairie lors des prochaines élections locales, Virginie Sagna mène essentiellement ses activités politiques entre Dakar et la Casamance. « Je milite ici à Dakar, mais ma base la plus forte se trouve en Casamance. C’est mon fief. Je suis née là-Bas, j’ai grandi là-bas. J’ai presque fait tous mon cursus scolaire à Ziguinchor et surtout Bignona.  A Tivaouane Peulh je suis en étroite collaboration avec un acteur qui est dans le développement local comme moi. On est en train de nouer des alliances, on travaille depuis plus de deux ans pour conquérir la mairie de Tivaouane Peulh parce qu’on s’est dit qu’il y a des moments où plus d’acteurs de développement local doivent briguer des mairies car la plupart des politiciens ne gèrent pas correctement les affaires communales. Ils ont montré leurs limites » déclare-t-elle.
La président de Forces des Alliés de la République ajoute que l’initiative de mettre sur pied Force des Alliés pour la République émane de la base. « De 2009 en 2019 j’étais avec Robert Sagna. C’est en 2019 que les femmes ont exigé que nous fondions le parti Force des Alliés pour la République. Dans un premier temps, j’avais hésité quand même parce que ce n’est pas facile d’être cheffe de parti au Sénégal. C’est pour cela que j’avais un peu hésité. Mais à un moment, la base m’a dit : “soit on plonge ensemble, soit on te laisse”. Il est clair que je ne peux pas faire de la politique sans base. Quand la base pose ses exigences, tu es obligé de les suivre » précise Virginie Sagna.
Après avoir battu campagne pour la liste Pastef lors des dernières élections législatives, elle se montre optimiste par rapport à l’avenir du Sénégal sous la conduite du président Bassirou Diomaye Faye et de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko. Elle en veut pour preuve l’assainissement en cours des finances publiques, la réforme annoncée de l’administration ou encore l’accord de paix récemment signé avec le Mfdc. Par ailleurs, Virginie Sagna plaide pour une participation accrue des femmes en politique. Pourquoi pas jusqu’à la magistrature suprême ? « Il est vrai qu’au Sénégal ça ne sera pas facile de voir une femme être présidente de la République. Avec nos réalités sociétales, nos coutumes… ça ne sera pas facile. Mais quand même nous, les femmes, nous sommes là. Nous sommes là, et nous allons toujours dire aux hommes que nous sommes là. Nous n’allons pas nous laisser faire. Pour que ce Sénégal-là aille de l’avant, il faut que les femmes contribuent. Et les jeunes surtout aussi. Les femmes et les jeunes.  D’ailleurs dans le parti il y a plus de jeunes et de femmes que d’hommes » déclare la présidente de Force des Alliés pour la République.

RSE : Askia Assurances verdit le lycée Ousmane Sembène de Yoff

Un esprit sain dans un corps sain, un corps sain dans un environnement sain. Le lycée Ousmane Sembène de Yoff étrenne un nouvel espace vert gracieusement aménagé par Askia Assurances pour offrir aux élèves, ainsi qu’au personnel, un cadre plus agréable et propice à l’apprentissage, tout en sensibilisant aux enjeux écologiques.
L’espace vert, conçu en collaboration avec les autorités scolaires et les élèves, comprend pelouses, bancs, zones ombragées, ainsi qu’une sélection de plantes locales adaptées au climat. L’initiative s’inscrit dans la démarche en faveur de l’éducation, de la préservation de l’environnement et du bien-être communautaire – sur fond de responsabilité sociétale d’entreprise.
Assane Fall, proviseur du lycée Ousmane Sembène, s’en réjouit : « Cet espace vert contribue à rendre le cadre scolaire beaucoup plus accueillant, beaucoup plus agréable. Les élèves vont se mobiliser, et nous-mêmes en tant qu’administration, pour continuer d’améliorer le cadre, en faire un cadre attractif, propre, chaleureux ».
La direction générale d’Askia Assurances estime que sa responsabilité va bien au-delà des activités commerciales. « Nous sommes convaincus que le progrès d’une société repose avant tout sur l’éducation et l’environnement dans lequel évoluent ses jeunes générations. C’est pourquoi notre politique de Responsabilité Sociétale des Entreprises, est résolument tournée vers le soutien à l’éducation, l’amélioration du cadre d’apprentissage et la sensibilisation aux enjeux du développement durable. »
Du reste, ajoute Askia, la date retenue pour inaugurer l’espace vert du lycée n’est pas fortuite : le 6 mars, pratiquement à la veille de la Journée Internationale des Droits des Femmes, pour rappeler un autre engagement fort de l’entreprise : la promotion des femmes.

Le Zimbabwe dépose une demande d’adhésion aux Brics

”Les BRICS constituent l’une des plus importantes plateformes de coopération économique, fondée sur les principes du respect mutuel”, gouvernement.

Le Zimbabwe veut rejoindre les Brics. Le ministre des Affaires étrangères du pays d’Afrique Australe a soumis officiellement jeudi, une demande d’adhésion à cette plateforme.

L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse avec son homologue russe, à Moscou.

Le chef de la diplomatie du Zimbabwe a expliqué les raisons pour lesquelles son pays veut devenir membre de ce groupe créé en juin 2009.

“Les BRICS constituent l’une des plus importantes plateformes de coopération économique, fondée sur les principes du respect mutuel et de l’égalité souveraine des nations. Par conséquent, le Zimbabwe bénéficierait de tout système qui respecte ces principes clés de l’interaction et du progrès humains, et les BRICS en font partie”, a expliqué Amon Murwira, ministre des Affaires étrangères du Zimbabwe .

Et d’ajouter : “Nous sommes en train de nous assurer que nous remplissons les conditions requises par les BRICS et, bien sûr, nous posons notre candidature, nous attendons une réponse conforme au consensus qui se dégagera au sein des BRICS.

Harare croise donc les doigts. Les Brics ont lancé une politique d’ouverture vers les pays du Sud afin d’accroître leur influence.  L’entité compte 19 pays membres depuis le 1er janvier 2025 et représente dorénavant 51 % de la population et 40 % du PIB mondial. Ses membres majeurs sont la Russie, la Chine, l’Inde, la Russie et l’Afrique du Sud entre autres.

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