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Les vérités de Modou Lo à Khady Diène Gaye : « On a l’impression qu’il y a des choses pas nettes »

La création de la Fédération sénégalaise de lutte (FSL), appelée à remplacer le Comité national de gestion (CNG), suscite déjà de vives réactions dans l’arène. Si l’assemblée générale constitutive du 30 août 2025 a permis l’adoption des statuts et du règlement intérieur, plusieurs acteurs majeurs de la discipline affichent leurs réserves face à la démarche jugée trop rapide.

Parmi eux, Modou Lo, actuel Roi des Arènes, a pris la parole lors de la conférence de presse organisée par l’Association des lutteurs. « Je m’adresse au ministre des Sports, Khady Diéye Gaye. Je lui demande plus de considération à l’égard des lutteurs. Nous voulons tous de l’avancement de la lutte mais pas dans la précipitation », a-t-il déclaré, mettant en doute la transparence du processus. « On a l’impression qu’il y a des choses pas nettes », constate-t-il. Lutteurs et promoteurs redoutent que cette transition ne se fasse au détriment de leurs intérêts. Modou Lo a insisté sur la nécessité d’une mobilisation collective : « J’invite mes pairs lutteurs à l’unisson. Il ne faut pas rater ce genre de rencontres parce que c’est pour l’intérêt des lutteurs. »

Pour rappel, un calendrier électoral a été arrêté : publication du corps électoral le 10 septembre, élections régionales entre le 11 et le 28 septembre, dépôt des candidatures du 15 septembre au 3 octobre, avant l’élection nationale prévue le 8 novembre. Face aux inquiétudes exprimées, le ministère des Sports est désormais interpellé pour rassurer les acteurs et garantir que la future Fédération incarnera réellement une gouvernance transparente et participative.

Forum Civil: Le Nouveau Coordonnateur Matar Sall Décline Sa Feuille De Route

 

Matar Sall a rejoint le Forum Civil en 2004, introduit par son prédécesseur, Birahime Seck. Il a occupé le poste de Coordonnateur général adjoint de 2022 à 2025, avant d’être récemment élu Coordonnateur général. Son implication au sein de l’association a été constante, participant activement aux missions et activités du Forum Civil, même avant son entrée officielle au Conseil d’administration en 2018. Son expertise en droit des médias et de la régulation s’est forgée au fil des années, notamment lors des concertations de 2005 sur la réglementation de la presse. Il a également participé à l’élaboration du Code de la presse en 2009 et a été membre du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) depuis 2012.

Parallèlement à ses engagements associatifs, Matar Sall a poursuivi une carrière académique. Titulaire d’un DEA en Droit public général obtenu en 2005 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), il a enseigné le droit dans plusieurs universités et instituts supérieurs, dont l’UCAD jusqu’en 2015. Il continue de dispenser des cours sur le droit des médias et de la régulation au Sénégal et à l’international.

Parmi les priorités du nouveau Coordonnateur général figurent la préservation de l’héritage des fondateurs du Forum Civil, le renforcement de l’unité et de l’indépendance de l’association, ainsi que la consolidation de sa place en tant que force de proposition citoyenne. Il souhaite également renforcer le caractère national de l’association et promouvoir la transparence, l’inclusion, l’éthique et la bonne gouvernance. Concernant l’adoption des lois relatives à l’accès à l’information, à la protection des lanceurs d’alerte, à la création de l’OFNAC et à la déclaration de patrimoine, Matar Sall salue ces avancées significatives pour l’État de droit et la bonne gouvernance, rappelant l’implication du Forum Civil dans ces processus. « Le Forum Civil ne peut que saluer leur adoption », a-t-il déclaré, selon Sud Quotidien.

Refusant de se rendre sur les plateaux télé, Fallou Fall tombe dans l’oubli et rate d’importantes opportunités

Depuis sa libération, Fallou Fall semble prendre des décisions qui le privent de certains privilèges et opportunités. Accusé de viol par sa tante, il a été libéré et blanchi par le tribunal. Sa libération avait suscité une grande joie au sein de la communauté, où plusieurs bonnes volontés avaient annoncé vouloir lui offrir des cadeaux.

D’ailleurs, l’émission Confrontation de la 2STV, animée par Bijoux, lui avait promis des cadeaux d’une valeur de plusieurs millions. Mais à notre grande surprise, Fallou a annulé sa participation à l’émission, suivant les conseils d’internautes qui lui recommandaient de ne pas y aller.

Presque un mois s’est écoulé depuis, et son cas commence à tomber dans l’oubli. Il n’a toujours pas foulé les plateaux de l’émission et risque de perdre de nombreuses opportunités. Plusieurs partenaires, désireux de bénéficier de visibilité, avaient prévu de collaborer avec la 2STV pour cette émission et d’offrir des cadeaux à Fallou.

La Culture Endeuillée: Djily, Ancien Danseur De Ndongo Lô Est Décédé

 

 

Djily Mbaye Fall s’est illustré aux côtés de Ndongo Lo, contribuant par sa danse à la popularité de nombreux titres devenus cultes.

 

 

Ce jeudi, Samuel Sarr conteste sa procédure devant la Chambre d’accusation

La Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar examine ce jeudi le dossier de Samuel Sarr, ancien directeur général de West African Energy (WAE), assigné à résidence avec port de bracelet électronique depuis mai 2025. Ses avocats, Me Baboucar Cissé et son équipe, présentent deux requêtes majeures visant à faire annuler l’intégralité de la procédure pénale le concernant.

La première requête conteste l’ordonnance de « soit communiqué » du 16 mai 2025, qui avait transmis le dossier au parquet financier. La défense dénonce le non-respect du délai légal de trois jours permettant de consulter le dossier et de formuler ses observations, conformément à l’article 169 du Code de procédure pénale. De plus, le dossier transmis était incomplet : le rapport de l’expert indépendant Alioune Touré, commandé par le juge et favorable à Samuel Sarr, en avait été retiré. Ce document, daté du 20 janvier 2025, concluait à l’absence de préjudice pour WAE et disculpait l’ancien DG.

La seconde requête cible l’ordonnance de renvoi du 2 juin 2025 devant le tribunal correctionnel. La défense soulève deux irrégularités majeures : Samuel Sarr n’a pas été informé de la clôture de l’instruction, comme le prévoit l’article 177 du Code de procédure pénale, l’empêchant de demander des actes complémentaires, et l’ordonnance de renvoi a été rendue après l’expiration du délai légal de six mois pour la détention provisoire, la rendant irrecevable.

Les avocats dénoncent une procédure menée « exclusivement à charge », ignorant les éléments favorables à l’accusé, tels que la mise en service réussie de la centrale électrique et les conclusions de l’expertise indépendante, et estiment que les droits fondamentaux de la défense ont été bafoués.

Cette affaire trouve son origine dans un conflit entre associés ayant dégénéré en accusations d’abus de biens sociaux portant sur 8 milliards de FCFA. La plainte de Moustapha Ndiaye, ancien président du Conseil d’administration de WAE, reposait sur un rapport du cabinet Mazars, immédiatement contesté par un contre-rapport du cabinet Racine.

 

L’Anacim annonce un ciel nuageux et des pluies attendues cet après-midi

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) a publié, ce jeudi 11 septembre 2025, sa note de prévision pour les prochaines heures.

Selon l’agence, un ciel très nuageux couvrira la quasi-totalité du pays, avec quelques pluies faibles localisées sur le littoral.

Bonne nouvelle pour les populations :

 

  • Les températures resteront agréables et douces, grâce à l’absence de fort ensoleillement.
  • Les conditions seront globalement confortables dans la matinée.

 

Cependant, l’ANACIM invite à la prudence :

 

Cependant, l’ANACIM invite à la prudence :

« Les orages et pluies reprendront dès cet après-midi », alerte l’agence.

Les habitants sont donc appelés à se préparer à un retour des précipitations dans la deuxième partie de la journée.

La liberté de la presse dans le monde au plus bas depuis 50 ans, selon un rapport

« L’état actuel de la démocratie est inquiétant », a souligné auprès de l’AFP Kevin Casas-Zamora, secrétaire général du groupe de réflexion International Idea basé à Stockholm. Plus d’un pays sur deux dans le monde (54%) a enregistré entre 2019 et 2024 une baisse de l’un des cinq indicateurs clés de ce qui définit une démocratie, selon ce rapport. « La conclusion la plus importante de notre rapport est probablement la détérioration très grave de la liberté de la presse dans le monde », a ajouté Kevin Casas-Zamora.

Entre 2019 et 2024, elle a connu « sa plus forte baisse enregistrée au cours des 50 dernières années ». « Nous n’avons jamais observé une détérioration aussi grave d’un indicateur clé de la santé démocratique », a précisé le responsable. La liberté de la presse s’est dégradée dans 43 pays répartis sur tous les continents, dont 15 en Afrique et 15 en Europe.

D’autre part, « il y a l’impact très négatif de la désinformation, dont une partie est réelle et dont une autre est utilisée comme prétexte par les gouvernements pour restreindre la liberté de la presse », explique Kevin Casas-Zamora.

Multiplication des procès en diffamation

Idea s’inquiète en outre du phénomène mondial de concentration des médias traditionnels, mais également de « la disparition dans de nombreux pays de médias locaux qui jouent un rôle très important dans le soutien au débat démocratique », indique Kevin Casas-Zamora.

Afghanistan, Burkina Faso et Birmanie, déjà mal classés, enregistrent les plus forts reculs à ce chapitre. Le quatrième plus fort déclin vient de la Corée du Sud, selon le rapport qui cite « la multiplication des procès en diffamation intentés par le gouvernement et ses alliés politiques contre des journalistes, et les perquisitions au domicile de journalistes ».

Le rapport n’intègre pas les premiers effets du deuxième mandat de Donald Trump, mais « certaines des choses que nous avons vues pendant les élections à la fin de l’année dernière et au cours des premiers mois de 2025 sont assez inquiétantes », anticipe Kevin Casas-Zamora. « Comme ce qui se passe aux États-Unis à tendance à se propager à l’échelle mondiale, cela n’augure rien de bon pour la démocratie dans le monde », conclut-il.

Convocation de Ousmane Ndoye à la Division spéciale de cybersécurité après des critiques contre l’ANASER

Ousmane Ndoye, président de l’Association nationale des personnes accidentées vivant avec handicap (ANPAVH), est convoqué ce jeudi 11 septembre à 11 heures à la Division spéciale de cybersécurité (DSC), rapporte Les Échos.

Cette convocation fait suite à une plainte déposée par Atoumane Sy, directeur général de l’Agence nationale de sécurité routière (ANASER). Selon le journal, Ousmane Ndoye aurait formulé publiquement des critiques contre la gestion du DG de l’ANASER, ce qui aurait motivé cette procédure.

L’affaire suscite déjà des réactions dans les milieux associatifs, certains y voyant une tentative d’intimidation à l’encontre d’un militant engagé pour les droits des personnes en situation de handicap et la sécurité routière.

Cheikh Yérim Seck sur la nomination de Yassine Fall: « C’est un compromis entre Diomaye et Sonko pour écarter Ousmane Diagne»

Le récent remaniement ministériel continue d’alimenter les débats au sein de la classe politique et des milieux d’analystes. Parmi les décisions les plus commentées figure la nomination de Yassine Fall au poste de Garde des Sceaux, en remplacement d’Ousmane Diagne.

Pour certains, ce choix traduit une volonté d’Ousmane Sonko de placer une alliée à un poste stratégique et de solder certains comptes politiques. Mais le journaliste et analyste Cheikh Yérim Seck propose une lecture différente :

« Pour moi, c’est un compromis entre Diomaye et Sonko pour écarter Ousmane Diagne. On m’a dit que Yassine Fall est proche des deux, donc ça leur convient à tous les deux », explique-t-il.

Cheikh Yérim Seck se veut également rassurant sur les orientations futures de la Justice sous la nouvelle ministre :

« Je ne pense pas qu’elle va exercer des pressions ou se livrer à des arrestations abusives. Les magistrats sénégalais sont indépendants, ce n’est pas à elle de leur dicter quoi faire. Même le procureur Ibrahima Ndoye ne suivrait pas une telle logique. »

Santé en danger : la Chambre d’accusation tranche ce jeudi sur le sort carcéral de Farba Ngom

Le dossier Farba Ngom connaît un tournant crucial ce jeudi. La Chambre d’accusation du Pôle judiciaire financier se penche sur la demande de liberté provisoire déposée par les avocats du maire des Agnam, incarcéré depuis plusieurs semaines.

Les défenseurs de l’ancien député invoquent l’article 140 du Code de procédure pénale, qui prévoit la libération des détenus dont l’état de santé est incompatible avec la détention. Leur plaidoirie s’appuie sur un rapport médical alarmant : le 7 août, quatre experts, dont le professeur Serigne Maguèye Guèye et le cardiologue Ousmane Dièye, ont conclu que « l’état actuel de Farba Ngom n’est pas compatible avec la vie en milieu carcéral ».

Les avocats alertent sur un risque de mort subite et dénoncent les conditions de détention du pavillon spécial, jugées inadaptées.

La mobilisation dépasse le cercle judiciaire. La Commission nationale des droits de l’homme a officiellement saisi, le 2 septembre, le Collège des juges d’instruction pour appuyer la demande de liberté provisoire. Trois organisations de défense des droits humains dont la  LSDH, RADDHO et Amnesty International Sénégal  ont également appelé à sa libération pour raisons médicales.

Ce jeudi pourrait donc être décisif pour le sort de Farba Ngom, dont l’état de santé continue d’inquiéter ses proches et de nourrir le débat politique et social sur la gestion des détenus malades au Sénégal.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention