L’activité du Port autonome de Dakar a encore subi une chute brutale .
La revue ConfidentielDakar met en lumière des chiffres inquiétants concernant l’économie sénégalaise, confirmant une tendance préoccupante. L’activité du Port autonome de Dakar a subi une chute brutale .
En décembre 2024, le Port autonome de Dakar (PAD) a enregistré une baisse inquiétante de son activité, avec un recul de 17,1 % par rapport au mois précédent. Cette contreperformance s’explique par une diminution simultanée des débarquements (-24,9 %) et des embarquements (-5,0 %) .
Du côté des débarquements, le déclin est principalement dû à une chute des produits de la mer (-31,3 %), des hydrocarbures raffinés (-24,7 %) et, dans une moindre mesure, des marchandises diverses (-1,4 %). Concernant les embarquements, la baisse est liée à une réduction significative des exportations de phosphates (-42,4 %), ainsi qu’à un léger recul des produits de la mer (-4,5 %) et des marchandises diverses (-1,4 %).
Sur l’ensemble de l’année 2024, l’activité maritime du PAD a enregistré une dégradation de 14,7 % par rapport à la même période en 2023. Ces chiffres préoccupants soulignent les défis auxquels fait face le principal port sénégalais, essentiel pour l’économie nationale.
Le Port de Dakar perd un tiers de son trafic en 2024
L’année 2024 a été marquée par un effondrement spectaculaire de l’activité du Port autonome de Dakar (PAD), avec une perte de près d’un tiers de son trafic total. Les chiffres révèlent une situation alarmante pour cette infrastructure stratégique, pilier de l’économie sénégalaise.
En termes de débarquements, le port a enregistré une chute vertigineuse, passant de 1,25 million de tonnes en décembre 2023 à seulement 790 000 tonnes un an plus tard, soit une perte de près de 500 000 tonnes. Du côté des embarquements, la tendance est tout aussi préoccupante : les volumes sont tombés de 761 000 tonnes en 2023 à 650 000 tonnes en 2024.
Au total, en combinant débarquements et embarquements, le PAD a perdu 571 000 tonnes de trafic en un an, ce qui représente une réduction de près d’un tiers de son activité globale. Le trafic total est ainsi passé de 2 millions de tonnes en 2023 à 1,44 million de tonnes en 2024.
Cette baisse drastique soulève des questions sur les causes profondes de cette contre-performance et sur les mesures à prendre pour relancer l’activité du port. Le Port de Dakar, essentiel pour les échanges commerciaux et l’économie nationale, doit retrouver sa dynamique pour soutenir les secteurs clés tels que la pêche, l’industrie et les exportations.
Trésor public : L’agent du GMI, A. Goudiaby (mis en arrêt de rigueur)
Selon des informations rapportées par L’Observateur, les auditions ont débuté ce jeudi 6 mars, avec plusieurs cadres de la direction concernés entendus par les enquêteurs.
Le journal du Groupe futurs médias (Gfm) précise que le ballet des auditions a démarré aux alentours de 10 heures. La directrice de l’informatique ainsi que plusieurs de ses collaborateurs ont été appelés à s’expliquer sur la nature des données contenues dans les ordinateurs volés.
Outre les responsables de la direction, l’agent de police A. Goudiaby, membre de la 9e Compagnie du Groupement mobile d’intervention (Gmi), ainsi que le vigile J. M. Niakh, en poste la nuit du cambriolage, ont également été entendus. Toutefois, toutes les personnes auditionnées sont reparties libres.
En parallèle, la Sûreté urbaine a entamé une nouvelle phase de l’enquête, en exploitant les images des caméras de surveillance des locaux cambriolés ainsi que celles d’un multiservice situé en face du bâtiment.
Pour rappel, le cambriolage a eu lieu dans la nuit du 2 au 3 mars dans les bureaux 18, 20 et 22 du deuxième étage de l’immeuble R+3, sis au 15, Rue Malenfant, au centre-ville. Les malfaiteurs ont emporté trois ordinateurs, dont deux portables, ainsi qu’une somme de 200 000 francs CFA. L’enquête se poursuit pour identifier les auteurs de ce vol audacieux.
Infarctus : La première cause de mortalité féminine au cœur d’une alerte
On appelle « infarctus du myocarde » l’obstruction d’une artère coronaire qui alimente le cœur en sang et donc en oxygène. La seule solution pour éviter la létalité est de désobstruer l’artère le plus rapidement possible après l’apparition des symptômes. C’est là tout le problème. Statistiques à l’appui, l’Académie de médecine a relevé – et publié – que les femmes victimes d’une crise cardiaque sont prises en charge en moyenne 30 minutes plus tard que les hommes. En cause, le retard de diagnostic et de mise en place du traitement optimal par les services d’urgences. Conséquence : la mortalité hospitalière féminine est plus de deux fois supérieure (9,6 %) à celle des hommes (3,9 %).
Un diagnostic plus difficile
Sachant que cette surmortalité existe dans les mêmes proportions aux États-Unis et au Moyen-Orient, l’institution explique ces retards notamment par les différences anatomiques entre les artères coronaires masculines et féminines. Ces dernières sont en effet « plus petites et plus sinueuses » que celles des hommes, ce qui peut complexifier le diagnostic et son traitement immédiat.
Dans la foulée, l’Académie de médecine regrette que la population féminine soit sous-représentée dans les études sur les maladies cardiovasculaires. Elle appelle de ses vœux à développer une recherche spécifique aux femmes dans ce domaine et à mieux former les cardiologues à reconnaître l’infarctus chez la femme.
Signaux d’alerte
Afin de pallier la désinformation sur les stigmates de la crise cardiaque auprès du grand public, le site info.gouv.fr les liste : douleur ou oppression thoracique durant plus de 15-20 minutes, irradiation de la douleur vers les bras, la mâchoire, le dos ou l’abdomen et difficultés respiratoires ou essoufflement. À ces symptômes classiques communs aux deux sexes s’ajoutent cependant des signes typiquement féminins tels qu’une fatigue intense et soudaine, des nausées, des douleurs abdominales, des sueurs froides ou encore une douleur aiguë dans le haut du dos. Ils peuvent se manifester des jours ou des semaines avant l’accident cardiaque, aussi bien au cours d’activités quotidiennes que pendant le sommeil.
Le cœur des femmes
Infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral (AVC), insuffisance cardiaque… Toutes maladies cardiovasculaires confondues, la France déplore une moyenne de 200 décès de femmes par jour, soit 75 000 par an contre 12 000 imputés au cancer du sein. En constante augmentation ces dernières décennies, ces pathologies se sont placées en tête des causes de mortalité féminine. Et l’allongement de la durée de vie n’y est pour rien.
Aujourd’hui, 1 infarctus sur 4 chez la femme survient avant l’âge de 65 ans, contre 1 sur 6 il y a 20 ans. Il faut savoir qu’au cours de la vie, trois contextes sont particulièrement favorables aux risques d’accidents cardiaques : la prise de contraceptifs à base d’œstrogènes non naturels connus pour favoriser la coagulation ; les grossesses avec la survenue éventuelle d’hypertension, de prééclampsie et/ou de diabète ; la ménopause et la chute brutale des hormones qui expose le cœur et les artères aux mêmes fragilités que chez les hommes. Si l’on ajoute à cela la consommation de tabac et d’alcool, la sédentarité et le stress, on comprend mieux les dangers exponentiels encourus par le cœur des femmes.
1,656 milliard d’euros : Chelsea possède l’effectif le plus cher de l’histoire
1,656 milliard d’euros. C’est la folle somme obtenue en additionnant les valeurs de l’ensemble des joueurs formant l’effectif de Chelsea au terme de l’année comptable 2024. Un calcul effectué et révélé par l’UEFA au sein d’un rapport intitulé « European club finance and investment landcape », qui place les Blues devant les totaux atteints par Manchester United en 2023 (1,42 milliard d’euros) et le Real Madrid en 2020 (1,33 milliard d’euros).
Les Blues ont recruté 41 joueurs depuis le rachat du club par Todd Boehly en 2022. L’Équatorien Moises Caicedo (116 millions d’euros), ou l’Argentin Enzo Fernandez (121 millions d’euros) en font notamment partie. Actuellement cinquièmes de Premier League, les Blues ont bouclé le précédent exercice à la sixième place en Championnat. Les coéquipiers de Cole Palmer se sont difficilement imposés ce jeudi à Copenhague (2-1), en 8es de finale aller de Ligue Conférence.
Queen Myriana et les photos compromettantes : Le photographe Wilfried brise le silence
Le mois de février dernier, la scène musicale ivoirienne a été secouée par des images qui ne correspondent pas à la réalité du pays. Il s’agit de la sulfureuse Queen Myriana. Ces images, dans des positions osées, ont circulé sur les réseaux sociaux après son concert avec Himra.
Secouée par la polémique, l’artiste a exprimé sa frustration face à ce qu’elle perçoit comme une exploitation dégradante de son image. « Il est regrettable que certains utilisent mon image de cette façon, sans respect pour mon identité et mon art », a déploré Queen Myriana. L’artiste a ainsi dénoncé une intrusion dans sa vie privée et une utilisation déformée de son image à des fins personnelles.
Deux semaines après les faits, le photographe Wilfried sort de son silence et donne sa version des faits : « Les photos que j’ai postées n’étaient pas destinées à nuire à l’artiste. J’ai simplement fait mon travail. Elle n’a pas apprécié, et je lui présente mes excuses », a-t-il déclaré. Queen Myriana avait soutenu dans une interview télévisée que certaines parties de son corps publiées par le photographe ne lui appartenaient pas. Wilfried réplique alors : « C’est elle ! »
Bignona : Le corps sans vie d’un jeune homme retrouvé
Le village de Colomba, située dans la commune de Niamone, département de Bignona, est plongée dans la stupeur après la découverte tragique du corps sans vie d’Amadou Bâ, un jeune homme de 29 ans. Célibataire et sans enfants, il travaillait à l’usine de traitement d’eau de la localité.
Son corps a été retrouvé pendu, suscitant une vague de questions sur les circonstances entourant son décès. S’agit-il d’un suicide ou d’un acte criminel ? Les autorités locales, rapidement alertées, ont ouvert une enquête pour élucider ce drame, rapporte le média local Sud7.
Les proches du défunt, en état de choc, le décrivent comme un homme sans histoire, apprécié pour sa simplicité. Dans l’attente des conclusions de l’enquête, une profonde tristesse mêlée d’incompréhension enveloppe la population de Colomba.
Face à cette tragédie, les autorités appellent à la prudence et encouragent toute personne détenant des informations susceptibles de faire avancer l’enquête à se rapprocher des forces de l’ordre.