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Pas de conseil des ministres cette semaine

Il n’y aura pas de réunion du conseil des ministres. Le président de la République a quitté le Sénégal hier pour en visite officielle respectivement au Mali, au Tchad et au Gabon. En sa qualité de président en exercice de l’Union Africaine, le Président Sall s’entretiendra avec les Présidents Goïta et Déby des processus de transition dans les deux pays. Ensuite, il participera en qualité d’invité d’honneur aux activités commémoratives de la fête nationale du Gabon. Le retour de Macky Sall est prévu le 19 août prochain.

Macky à Pape Diop : « Vous avez sauvé le Sénégal »

Dans un entretien avec L’OBS, Pape Diop qui a rejoint le groupe parlementaire BBY révèle la teneur de ses discussions avec le chef de l’Etat après son ralliement.

Le leader de Bokk Gis Gis dit avoir reçu deux coups de fil du Président Macky Sall. «Il m’a appelé deux heures après ma décision de soutenir la coalition Benno, confie Pape Diop au sujet du premier échange téléphonique avec le chef de l’Etat. Il m’a félicité et encouragé, et a dit : ‘Vous avez sauvé le Sénégal’. C’est ça qui est important. Quelles que soient les gesticulations ou la clameur populaire, je peux faire face.»

Le deuxième appel a eu lieu dimanche dernier. «Le Président Macky Sall m’a appelé pour me dire qu’à son retour de Bamako (Mali), il me recevra pour discuter», révèle le président de Bokk Gis Gis.

A la question de L’Observateur : «Les discussions tourneront-elles autour d’une alliance ?», Pape Diop botte en touche : «Non, il n’y a pas d’alliance. Je suis clair. J’ai décidé après mûre réflexion de soutenir le groupe parlementaire (Benno) pour que demain, le Sénégal puisse continuer à fonctionner normalement. Le reste n’est que gesticulation.»

Au lendemain des élections législatives du 31 juillet 2022 : De grâce, ne ratons pas ce virage ! (Boubacar Camara)

Les résultats des élections législatives du 31 juillet 2022 rendent compte d’un changement historique avec la percée de l’opposition.

J’adresse mes vives félicitations aux coalitions YEWWI ASKAN WI et WALLU SENEGAAL pour ces résultats et surtout pour avoir fait preuve de pragmatisme politique et de dépassement en concluant l’alliance électorale dont je suis l’initiateur[1]. C’est toujours une fierté de voir une idée mûrie dans le secret de son cerveau prendre une forme vivante. Cette inter coalition mérite les acclamations de tout le peuple sénégalais pour avoir montré que, malgré les atteintes flagrantes à ses droits et libertés, les injustices subies, la répression féroce ayant entrainé des morts atroces, l’élimination de la liste des titulaires de YEWWI et les multiples diabolisations, le combat légitime pour obtenir la majorité à l’Assemblée nationale était juste et réalisable. Il me plaît de souligner le leadership, le courage et la mobilisation de Ousmane SONKO pour arriver au résultat obtenu.

Une mention spéciale doit être accordée à la Coalition GËM sa BOPP, injustement éliminée de la course. Malgré cette mise à l’écart, dans une cohérence et avec une mobilisation qui forcent le respect, elle a constitué un soutien de taille pour l’opposition. Il en est de même de la coalition AAR SENEGAAL dont la démarche innovante, le profil des leaders et l’offre programmatique crédible ont réussi à l’imposer sur la scène politique. Au décompte final, on assiste à une cuisante défaite de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (BBY) du pouvoir en place qui ne dispose plus d’une majorité absolue (moitié des députés plus un). Pour rattraper ce revers et tenter de « corriger » la volonté des électeurs, les tenants du pouvoir s’activent pour le ralliement des « députés ambulances » de la 9e liste[2]. Même si une demi-douzaine de députés confirmaient leur migration vers les prairies marron-beige et que les élus qui paniquent devant la pression de l’opinion et refusent de décrocher le téléphone après avoir encaissé les moyens de campagne et bénéficié de la facilitation pour le parrainage, franchissaient le pas, ces ralliements et les combinaisons futures au sein de l’Hémicycle ne changeraient en rien le fait constant que la majorité des électeurs est favorable au changement déjà clairement exprimé à travers le nombre total de suffrages exprimés, supérieur à celui collecté par le pouvoir en place.

Néanmoins, il se pose un vrai problème d’identification des camps des acteurs politiques. Sous le fallacieux prétexte de la liberté de choix, l’opposition est en train de devenir une rocade où se côtoient, dans la suspicion quotidienne, des acteurs politiques sincères et engagés avec de vrais projets de changement de gouvernance, des acteurs en attente de changement de camp, des signataires de protocoles ou accords secrets, des « bras extérieurs » du pouvoir et de ses alliés, des groupes qui s’opposent le jour et complotent contre l’opposition le soir autour du bol de couscous, des « agents spéciaux de renseignement » pour rendre compte des faits et gestes de leurs « camarades », dresser des pièges et autres stratagèmes contre eux, former des blocs « anti-X » ou « anti Y » et des frustrés dans leurs relations avec les tenants du pouvoir.

Les alliances tactiques dictées par certaines circonstances et pour certaines élections sont parfaitement fondées. Mais, elles ne doivent pas servir de prétexte pour justifier la constitution d’un nid de transhumance qu’il convient de briser définitivement par tous les moyens, y compris par une loi anti-transhumance bien pensée.

Il est temps que le champ politique soit clarifié et que ceux qui s’opposent au pouvoir le fasse sans s’asseoir entre deux chaises, chacun à sa façon, en conformité avec ses convictions et chaque candidat à l’élection présidentielle constituant son propre plan A, et ceux qui rejoignent ou renforcent le pouvoir en place, le fassent ouvertement. Les Sénégalais ont besoin de cohérence et de constance, de tout simplement comprendre.

L’autre leçon à tirer du succès de l’opposition est qu’elle aurait été plus nette si le schéma d’une liste unique à tous les niveaux (national et départemental) était retenu. Malheureusement, l’accord s’est limité au niveau départemental, chaque coalition conservant sa propre liste nationale. Cette présence simultanée de deux listes (YEWWI et WALLU) a entraîné une dispersion des votes sans laquelle l’inter coalition aurait devancé la liste de Benno Bokk Yaakaar (coalition du pouvoir) et remporté huit (8) sièges supplémentaires : les deux (2) du département de Louga, les quatre (4) de Mbour et les deux (2) de Bounkiling. Ainsi, on aurait 88 députés au lieu de 80 pour YEWWI-WALLU et 74 au lieu de 82 députés pour BBY.

Il était évidemment plus facile pour l’électeur de choisir l’unique liste présentée par la coalition YEWWI-WALLU et non de voter pour l’une des deux listes séparées, en faveur celle ayant investi les candidats dans le département, même si ce n’est pas la liste de sa coalition. En plus, il a manqué du temps pour une bonne communication autour de cette combinaison inédite. De plus, l’effet d’entraînement inévitable du vote utile renforcerait les suffrages obtenus pour la répartition des députés sur la liste nationale proportionnelle.

Finalement, en dehors de l’épisode de notre liste de Dakar qui a failli se noyer dans les sueurs froides de la piscine olympique, l’opposition s’est tirée deux balles dans les pieds. D’une part, elle a perdu huit (8) députés à cause de la dispersion des votes sur deux listes séparées, ratant ainsi l’occasion de détenir la majorité absolue, de prendre la présidence de l’Assemblée nationale avec toutes les prérogatives qui s’y attachent sans compter le positionnement décisif dans la gouvernance de l’Assemblée et d’imposer la cohabitation (n’en déplaise à ceux qui s’adonnent à un juridisme insipide !) au pouvoir en place qui aurait été contraint à la retraite anticipée et son chef à s’acquitter d’un minuscule calendrier dominé par des voyages internationaux pour vanter la démocratie sénégalaise et les dernières inaugurations avant les discours d’adieu, des « baalu aq » et autres remords.

D’autre part, l’opposition, notamment la coalition YEWWI ASKAN WI a raté l’occasion d’envoyer à l’Hémicycle des figures marquantes qui se sont battus vaillamment, à cause d’un mauvais remplacement d’une personne mineure. La façon dont le pouvoir a profité de cette erreur mineure qui aurait pu être régularisée montre qu’il avait bien compris l’enjeu,

 

L’opposition doit froidement admettre ces manquements aux graves conséquences et situer les responsabilités pour l’avenir. L’essentiel est que les leçons soient tirées de ces revers historiques que nous ne pouvons pas imputer au régime de Macky SALL, avec humilité et objectivité. Maintenant que nous avons raté la course avant le sifflet final, de grâce ne ratons pas le dernier virage !

La situation laisse un goût d’inachevé. Le pouvoir a perdu la majorité absolue et tente de se rattraper par le jeu de la transhumance tandis que l’opposition a perdu la cohabitation et doit se rattraper par une posture de chevalier dans sa dignité légendaire en hommage à nos anciens qui se sont battus pour la démocratie et la liberté et à la mémoire des morts pour la noble cause.

Dans tous les cas, le pouvoir panique car le ciel s’assombrit sur le projet d’une troisième candidature de Macky SALL. La porte de sortie lui a été clairement indiquée et la chaussée législative du tripatouillage de la Constitution se rétrécit et est devenue glissante.

Au regard des résultats des élections législatives, le Sénégal a l’opportunité d’apprendre par l’expérience, à vivre une situation inédite, à considérer, tout compte fait, comme entrant dans l’ordre normal des choses que le suffrage universel ait produit une Assemblée nationale équilibrée. Jouons tous la carte de l’apaisement et faisons maintenant de la vraie politique en confrontant nos idées et propositions, dans le respect réciproque de nos convictions.

Le pays a besoin de se mettre au travail dans la continuité de l’État et la stabilité. Le pouvoir en place a l’obligation d’accepter cette nouvelle configuration de l’Assemblée nationale. Le monde et surtout l’Afrique, nous regardent.

Aujourd’hui, il appartient au Président de la République de mettre en place un Gouvernement (Premier ministre et ministres), dont la fréquentation de l’Assemblée nationale ne doit pas être marquée par des heurts durables et fréquents au point d’installer un bras de fer entre les acteurs politiques, source de blocages persistants. C’est à ce prix que le Sénégal réussira à passer ce virage sensible en garantissant le fonctionnement correct des institutions. Mais tout indique que le Président Macky Sall optera pour un gouvernement de survie politique de son régime et ne ménagera aucun effort pour conserver le pouvoir, notamment en déposant directement sa candidature en 2024.

A bon entendeur, salut !

Bien évidemment, c’est le moment pour l’opposition disposant d’un projet alternatif de société crédible de se souder et de fixer d’ores et déjà les orientations conformes aux promesses faites aux électeurs et d’indiquer clairement au pouvoir que « rien ne sera plus comme avant » et qu’il faut mettre de l’ordre dans ce pays dont elle est actionnaire majoritaire.

Dans plusieurs domaines, les urgences se bousculent mais tout ne peut pas se conclure et avoir un effet immédiat et appréciable pour les populations en peu de temps. Qui trop embrase, mal éteint !

La nouvelle opposition parlementaire doit rapidement mettre sur la table sa vision en matière de défense des libertés publiques, de soutien aux personnes vulnérables particulièrement les enfants, les femmes et les personnes âgées, de transparence électorale, de protection de la société, notamment la jeunesse contre les travers sociaux, de promotion du secteur privé national, d’impartialité de la justice, de financement alternatif du développement à la place de l’endettement public excessif, de sauvegarde des ressources naturelles, d’équité territoriale, de gouvernance, de rationalisation des dépenses publiques et de priorisation adéquate des investissements.

Enfin, les élections législatives de 2022 ont mis à nu les obstacles artificiels à la libre participation qui pèsent sur le système électoral sénégalais à travers la caution, le parrainage et la parité. Il ne s’agit point de les supprimer. Il convient de les réformer dans une démarche consensuelle. En ce qui concerne la caution, il faut alléger les modalités de sa constitution (montant fixé par la loi, constitution par anticipation avec un système de provision sur une durée à déterminer, acceptation de toute forme de paiement sous réserve du contrôle de l’origine licite des fonds entre autres). Quant au parrainage, il doit être maintenu au moins pour l’élection présidentielle avec un changement fondamental consistant à accepter que tout électeur puisse parrainer au plus, trois candidats. Le système de contrôle du parrainage doit être transparent, doit associer les acteurs politiques au contrôle, être entièrement automatisé et validé en temps réel. Pour la parité, elle doit connaître une grande souplesse pour la régularisation en cas d’erreur dans la confection des listes jusqu’à la délivrance des bons à tirer du bulletin de vote qui doit désormais être un bulletin unique.

Deux réformes majeures sont également souhaitables pour faciliter l’inscription des primo votants et améliorer le contrôle effectué par la Commission électorale nationale autonome (CENA). Il s’agit d’une part de procéder automatiquement à l’inscription de tous les citoyens en âge de voter, de procéder aux radiations d’office pour ceux qui ont perdu leur droit et d’ouvrir une période de radiation volontaire pour les citoyens qui ne veulent pas exercer leur droit de vote dans la mesure où le vote n’est pas obligatoire au Sénégal.

Il s’agit, d’autre part, d’ouvrir la CENA aux représentants des partis, listes ou candidats dans la phase du recensement des procès-verbaux et de créer des commissions locales de dépouillement et de recensement des votes à la tête desquelles siègent des magistrats.

Pour terminer, on ne cessera pas de réclamer que l’organisation des élections soit placée sous la tutelle d’une autorité indépendante.

 

Boubacar CAMARA

Kamâh

Août 2022

 

 

 

[1] Cf ma proposition le Plan BUDDI : « Schéma d’investitures pour une opposition majoritaire à l’Assemblée nationale », avril 2022, 7 pages. Pour la petite histoire, l’accord entre les coalitions YEWWI ASKAN WI et WALLU SENEGAL n’est pas tombé du ciel. Devant les tentatives d’appropriation de ce plan, je suis dans l’obligation d’en revendiquer davantage la paternité et de publier le plan BUDDI, présenté et envoyé aux deux parties dès le début des discussions, en attendant d’en raconter l’histoire, les blocages, le dénouement et les succulentes anecdotes.

[2]  Voir mon interview au Quotidien « Bës-Bi Le Jour » du vendredi 22 juillet 2022 n°0192-ISSN. Les faits confirment bien l’existence de cette liste. Suivez mon regard….

Le parquet autorise l’inhumation de François Mancabou

François Mancabou sera inhumé après la fête de l’Assomption. Le parquet a délivré les documents devant permettre à la famille de procéder au rite funéraire. La famille du défunt devrait récupérer depuis hier la dépouille mortelle pour son inhumation. Mais la famille Mancabou demande, cependant, l’ouverture d’une information judiciaire. Les proches de la victime veulent être édifiés sur les causes de la mort. Ils soutiennent que François Mancabou serait mort suite à des actes de tortures subis dans les locaux de la Sûreté urbaine. Un examen de toxicologie est effectué, après l’autopsie de la victime, pour démontrer l’hypothèse de la torture. Les résultats de l’autopsie, réalisée à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, avaient confirmé la fracture des vertèbres cervicales causée par un traumatisme et qui pouvait s’accompagner de troubles fonctionnels et d’atteintes neurologiques graves. François Mancabou était arrêté, avec d’autres suspects, pour participation à un mouvement insurrectionnel et d’atteinte à la sûreté de l’État. En garde à vue, il était, par la suite, transféré et hospitalisé à l’Hôpital Principal de Dakar pour des blessures qu’il a contracté lors de sa garde-à-vue. François Mancabou y est mort dans la soirée du mercredi 13 juillet. Sa femme avait, lors d’un entretien accordé à Kewoulo, informé de sévices corporels dont il a été victime. Au-delà de la demande de l’ouverture d’une information judiciaire, la famille de la victime a internationalisé l’affaire. Les conseils de la famille de François Mancabou ont décidé de poursuivre toutes les personnes «impliquées» dans son arrestation. Ils ont annoncé une plainte contre le commissaire Bara Sangaré, chef de la Sûreté urbaine, la direction de l’hôpital Principal de Dakar, l’observateur des lieux de privation, le ministre de l’Intérieur et le procureur de la République.

Diplomate violentée au Canada : les nouvelles précisions de l’ambassade

Suite et pas fin dans l’affaire de la diplomate sénégalaise violentée au Canada. L’ambassade du Sénégal a Ottawa a fait quelques précisions sur les informations publiées par la presse canadienne faisant état d’un différend entre la victime et son bailleur.

“Après avoir entendu Madame NIANG, l’Ambassade tient à rétablir les faits : En novembre 2018, une entente a été conclue entre Madame NIANG et une agence immobilière représentant le propriétaire. Le bail portait sur une maison de 03 chambres, dont une au sous-sol, une cuisine et deux salles de bain. Le contrat incluait également les services résidentiels et l’entretien. La maison était équipée et meublée avec deux canapés et une causeuse usagés, en plus de deux lits double avec matelas.

Dès le premier jour, Madame NIANG a constaté de l’humidité au bas de l’escalier qui conduisait au sous-sol. Le lendemain, elle a signalé le problème à l’agence qui a envoyé une de ses collaboratrices quelques jours plus tard. Après avoir vérifié la chambre de la chaudière, l’agent envoyé a indiqué qu’il s’agissait d’un problème de condensation dû au fait que l’installation n’était pas appropriée et que, par conséquent, la distribution de l’air ne pouvait pas couvrir toutes les pièces. Il est reparti sans effectuer de réparation, promettant toutefois de faire venir un technicien.

C’est ainsi que Madame NIANG et sa famille sont restées dans le froid pendant plusieurs semaines du fait du dysfonctionnement du système de chauffage, malgré le réglage du thermostat à la température maximale. Ses échanges avec le Directeur de l’Agence sont bien archivés.

Lorsque la situation s’est aggravée avec une baisse drastique de la température intérieure devenue insupportable, Madame NIANG a encore fait appel à l’agence qui, cette fois-ci, a envoyé un agent d’une compagnie distributrice de gaz. Sur place, le technicien a ouvert le réservoir de la chaudière qui s’est aussitôt déversé partout
dans le sous-sol, inondant le plancher qui était déjà imbibé.

Malgré une légère amélioration, le problème a persisté jusqu’en été et Madame NIANG et sa famille ont été obligées de s’accommoder d’une absence totale de climatisation à cause des défaillances de l’installation. Néanmoins, revenant à la charge, elle a insisté auprès de l’agence qui a envoyé un agent des sinistres. Ce dernier, accompagné du propriétaire de la maison, est venu au domicile de la concernée.

Lors de sa visite, le propriétaire a trouvé un membre de la famille en train de donner son bain à son fils qui souffre d’autisme dans les toilettes du sous-sol. A la vue de cette scène, pourtant très ordinaire, il se mit à se disputer avec lui, l’accusant à tort d’avoir causé tous les dégâts d’eau au sous-sol. Devant cet état de fait, Madame NIANG a pris le soin de rappeler l’avis du dernier technicien qui avait relevé un problème de condensation et de tuyau bloqué.

Malgré tout, le propriétaire ne voulut pas entendre raison, s’obstinant à affirmer que les dégâts d’eau étaient causés par une utilisation abusive de la salle de bain. Ainsi, il a décidé, de manière unilatérale, de bloquer l’accès au sous-sol allant jusqu’à démonter le matériel des toilettes, alors que cette partie était incluse dans la location et clairement précisée dans les termes du contrat. En plus d’un système de climatisation défaillant, Madame NIANG et sa famille étaient désormais obligés de se limiter à l’utilisation de la partie supérieure de la maison.

Le 19 août 2019, Madame NIANG reçoit une mise en demeure avec des accusations portant sur des dégâts d’eau, la prolifération de coquerelles et des arriérés de paiement. Elle a aussitôt répondu avec des preuves attestant du paiement régulier de son loyer ainsi que de l’inexactitude des faits qui lui étaient reprochés. Cette correspondance est bien gardée.

Quatre mois plus tard (le 1er novembre 2019), le bureau d’avocat mandaté par le propriétaire a adressé une nouvelle lettre à Madame NIANG, pour solliciter, cette fois-ci, sa coopération dans le cadre d’une plainte qu’il envisageait de porter contre l’agence immobilière. Cette dernière a accepté de donner suite à la requête de l’avocat en mettant à sa disposition des copies de ses quittances de loyer qui, curieusement, lui étaient injustement réclamés dans la lettre de mise en demeure.

Un mois après (le 11 décembre 2019), le propriétaire est revenu au domicile de Madame NIANG en compagnie d’un agent des sinistres. Lorsqu’il a voulu pénétrer dans sa chambre à coucher, cette dernière s’y est opposée, en lui rappelant qu’il n’avait pas le droit de violer son intimité. Il s’est par la suite dirigé vers la cuisine et a fouillé les placards. Il s’est même permis de retirer sa veste en menaçant de s’attaquer à elle. Voyant que cette dernière était en train d’appeler la police, il est finalement reparti.

Quelques jours plus tard, le 19 décembre 2019, Madame NIANG a reçu un message du propriétaire lui notifiant une entente avec une nouvelle agence immobilière, avec une lettre officielle de son gestionnaire. Là aussi, toute la
documentation y relative est bien gardée. Le gestionnaire de la nouvelle agence s’est rendu au domicile de Madame NIANG pour discuter du contentieux né des installations défectueuses précédemment mentionnées. Au cours des échanges, cette dernière a signalé l’urgence de régler définitivement le problème du chauffage, tout en soulignant qu’avec l’hiver la température de la maison devenait de plus en plus insupportable. Le gestionnaire prit alors l’engagement d’effectuer les réparations nécessaires.

C’est ainsi qu’un technicien a été de nouveau envoyé qui, après vérification, releva que les bouches d’air étaient constamment fermées, raison pour laquelle l’air chaud ne parvenait pas à circuler dans la partie supérieure de la maison. Après leur ouverture, il y eu une légère amélioration qui, malheureusement, ne dura pas longtemps.

Par conséquent, un autre technicien fut envoyé. Ce dernier trouva encore une grosse quantité d’eau dans la chambre de la chaudière et conclut que le tuyau était bloqué par une boule de glace. Madame NIANG demanda la cause réelle de ces pannes répétitives. Le technicien lui répondit qu’il s’agissait d’un système d’installation inadapté, résultant de la mauvaise transformation d’un bungalow.

Quelques temps après ce dépannage, Madame NIANG a constaté que leréfrigérateur ne fonctionnait plus. Elle l’a signalé à l’agence qui a envoyé un technicien. Celui-ci releva que le gaz était épuisé et qu’une réparation n’était pas possible. Par conséquent, l’agence promit de remplacer le réfrigérateur par un nouveau.

A ce niveau, il convient d’indiquer que c’est au moment de l’installation du nouveau réfrigérateur (seconde main) que Madame NIANG a découvert, en présence du technicien, un placard qui jusque-là était resté bloqué et dans lequel se trouvaient deux boites de céréales déjà entamées que le propriétaire avait sûrement oubliées d’enlever et qui contenaient des colonies de coquerelles. C’est cette négligence qui a expliqué la prolifération de ces insectes en dépit des nombreux traitements effectués par la concernée, à ses propres frais.

A noter qu’outre la panne du réfrigérateur, Madame NIANG avait également porté à l’attention de l’agence que de l’eau suintait à travers les vitres du solarium, de la chambre à coucher, de la cuisine et de la salle de bain du fait d’un défaut d’étanchéité de celles-ci. Cependant, malgré ses messages répétés, aucune réparation n’avait été effectuée. De la moisissure s’était ainsi répandue dans les pièces citées plus haut. Quelques temps après, le gestionnaire, qui ne répondait plus aux messages de Madame NIANG (des traces de ces correspondance sont conservées), s’est rendu chez elle pour lui annoncer que le propriétaire n’avait pas l’intention de renouveler le bail parce qu’il envisageait de reconstruire la maison. Au sujet du loyer, il a déclaré que le reliquat n’aurait pas à être honoré si Madame NIANG parvenait à trouver un nouveau logement, avant le terme du bail qui devait survenir en fin octobre 2020.

Prenant les devants, Madame NIANG lui a demandé de commettre une équipe d’experts pour évaluer les dégâts éventuels pour que, le cas échéant, les responsabilités des parties puissent être fixées. Le gestionnaire n’a pas donné suite à cette demande.

Le 6 juillet 2020, l’agence a envoyé des techniciens en perspective des travaux de reconstruction de la maison. Au cours de la visite, un membre de l’équipe s’est approché de Madame NIANG pour lui signifier que le propriétaire n’avait pas respecté les normes de construction. Selon lui, le matériel de la salle de bain ne devait pas être fixée au mur du salon et le lavabo ne devait pas se trouver sur le mur de la penderie.

Au lieu de porter plainte contre le propriétaire pour les nombreux dommages résultant de la défaillance du système de chauffage et de climatisation ainsi que de la moisissure causée par les problèmes d’étanchéité et de condensation qui affectaient la santé et le bienêtre de sa famille (ce qui risquait de prendre du temps compte tenu de son statut), Madame NIANG a continué tout de même à les signaler à l’agence qui ne répondra jamais (des preuves de ces réclamations sont bien conservées).

Exaspérée, le 24 septembre 2020, elle a envoyé un message à l’agence pour lui notifier sa décision de déménager le 10 octobre 2020. Lors de la remise des clés, elle a voulu remettre le loyer du mois d’octobre au gestionnaire mais celui-ci a refusé de prendre l’argent. A noter qu’au moment du déménagement, elle n’a emporté aucun
matériel, son nouveau domicile étant déjà meublé.

Quatre mois plus tard, le 12 janvier 2021, alors que Madame NIANG s’apprêtait à partir au Sénégal, elle reçut, contre toute attente, par voie d’huissier, une nouvelle mise en demeure avec une demande de paiement d’un montant de 57 207 dollars canadiens qui devaient couvrir les frais de reconstruction de la maison ainsi que des factures élevées de biens meubles et autres appareils achetés neufs auprès de magasins haut de gamme (documentation bien gardée).

Surprise par cette situation, elle prit néanmoins la peine d’écrire à l’avocat pour nier ces fausses accusations, en précisant qu’elle ne devait au propriétaire que le loyer du mois d’octobre que le gestionnaire n’avait, pour rappel, pas voulu prendre.

A la lumière de tout ce qui précède, les accusations unilatérales portées à l’encontre de Madame NIANG et reprises par une certaine presse ne sauraient prospérer. Rien dans cette affaire ne peut justifier les violences subies par Madame NIANG et ses enfants mineurs qui souffrent encore de douleurs physiques et morales. Il s’agit ni plus ni moins d’une violation flagrante de l’inviolabilité de la personne et de la demeure privée de la concernée en vertu de son statut d’agent diplomatique.

Ainsi, tout en renouvelant sa confiance aux autorités canadiennes, l’Ambassade suit de très près l’enquête qui a été ordonnée sur les agissements inacceptables des agents de la police à l’encontre de Madame NIANG dont la probité morale, les qualités humaines et professionnelles ne sauraient, en aucune manière, être entamées par cette affaire.”

Présidentielle 2024 : Les candidatures de Khalifa et Karim incertaines

L’horizon politique des deux personnalités politiques que sont Karim Wade et Khalifa Sall est toujours bouché par les dispositions du code électoral. Tantôt pour ces deux responsables, il est agité la possibilité d’une amnistie, tantôt d’une modification de la loi électoral pour leur permettre de redevenir électeur et éligible.  Mais depuis qu’ils ont été tenus à l’écart des compétitions électorales, Karim et Khalifa sont toujours dans l’expectative. Aucune solution n’est pour le moment envisagée pour leur permettre de retrouver leurs droits civils. En fait, face à la demande de l’opposition pour la modification du code électoral, le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome, avait fait savoir que les textes qui empêchent Karim et Khalifa de prendre part à une élection, sont généraux et impersonnels. Tony ajoutait que rien n’a changé des articles L 29 et L 30 critiqués par l’opposition  et qu’ils sont restés inchangés depuis 1992. Pour rappel, Karim Wade a été condamné à six ans de prison et 138 milliards Cfa d’amende à payer au Trésor. Il a été gracié en 2016. Depuis, il vit en exil au Qatar. Quant à Khalifa Sall, ex maire de Dakar, son inéligibilité est consécutive  à la peine de cinq ans de prison qu’il a écopée dans l’affaire dite de la Caisse d’avance de la mairie de Dakar.  Ne pouvant pas se présenter à une élection à cause de condamnations par la justice, Karim Wade et Khalifa Sall partagent le sort d’avoir été emprisonnés, graciés et écartés des compétitions électorales. L’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, et Karim Wade, ne cachent pas leur volonté de participer à la prochaine élection. Mais faudrait-il au préalable qu’ils recouvrent leurs droits civils perdus.

 

Par Ndiogou CISSÉ

 

Législatives : les Universitaires Républicains félicitent Pape Diop et Aminata Tourè

Le Réseau des Universitaires Républicains (RUR), organe statutaire de l’Alliance Pour la République (APR), en sa qualité de structure d’alerte, de veille et de contribution s’est réuni à l’effet d’examiner l’actualité nationale marquée notamment d’une part par les élections législatives remportées par la Grande Coalition du Président de la République Macky SALL, les fortes pluies enregistrées ces derniers jours, et d’autre part par les résultats des examens scolaires et du concours général sénégalais, les augmentations substantielles des salaires des fonctionnaires en général et des enseignants en particulier et le Congrès du SAES.

Le RUR adresse un satisfécit aux vaillants citoyens sénégalais, au Ministère de l’Intérieur, à la magistrature, à la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA), à l’administration territoriale, à la société civile, aux observateurs nationaux et internationaux ainsi qu’ à la presse nationale et internationale pour la bonne tenue dans la démocratie, la paix et la transparence de ces joutes électorales dont le peuple sénégalais sort encore grandi et réconforté dans sa commune volonté de vivre en république.

Le RUR félicite chaleureusement le peuple sénégalais pour la victoire de la mouvance présidentielle Benno Bokk Yaakaar aux élections législatives du 31 juillet 2022, qui tout en confirmant la position majoritaire de la Grande Coalition présidentielle, avec 1 518 137 voix pour 82 députés, suivie de Yeww Askanwi, avec 1 071 139 voix pour 56 députés, de Wallu avec 471 517 voix pour 24 députés et de Bokk Guiss, Aar Senegal et MPR/Les Serviteurs avec chacune un député.

Ces résultats importants en faveur de la Grande Coalition présidentielle, dans une trentaine de départements, en particulier dans le monde rural, révèle selon le RUR “une poussée inquiétante et dangereuse pour la Nation d’une partie de l’opposition radicale, habituée à la manipulation et aux menaces sur la paix et les institutions”.

Le RUR en appelle à une analyse objective, lucide et responsables de ces résultats, qui en dépit des réalisations immenses du Président de la République Macky SALL et de son Gouvernement dans tous les domaines de la vie économique et sociale (infrastructures, routes, autoroutes, ports, énergie, aéroports, hôpitaux, écoles, lycées, universités, emplois, bourses de sécurité familiales…), les avancées démocratiques, constituent néanmoins un message fort de certaines grandes villes côtières et d’une partie de la jeunesse à décrypter et une demande à satisfaire dans les meilleures conditions et les meilleurs délais par une rupture dans le mode de gouvernance.

Le RUR félicite la tête de liste de la majorité Mme Aminata TOURE, le Président Pape DIOP de la Coalition Bokk Guiss Guiss, pour sa décision lucide, courageuse et patriotique de rallier la Coalition BENNO dans l’intérêt supérieur de la Nation, l’ensemble des coalitions et partis, les candidats, les élus, les responsables politiques, les militants, sympathisants et l’ensemble des citoyens pour leur mobilisation exceptionnelle et les exhorte à poursuivre leurs efforts pour la mise en place prochaine du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et la construction résolue du Sénégal émergent, dans la paix, la prospérité et l’inclusion sociale.

Le RUR présente ces sincères condoléances aux familles des victimes des fortes pluies enregistrées ces derniers jours et lance un appel pressant au Gouvernement à accélérer la mise en en œuvre du Plan décennal de lutte contre les inondations et à parachever les plans d’aménagement territorial dans le respect strict des normes d’urbanisme et d’architecture. Concernant l’actualité sécuritaire, universitaire et sociale, le réseau se réjouit de la signature de l’Accord de paix historique avec le MFDC, pour le retour définitif de la paix et la poursuite du désenclavement et de développement de la région méridionale, de la tenue respectivement la rencontre avec la communauté universitaire et de Jokko Ak Macky le 7 avril et le 21 juillet 2022, qui ont permis au Président de la République d’échanger avec les Recteurs, les Doyens et Directeurs d’UFR, les Directeurs de COUD et de CROUS, les Enseignants-Chercheurs, les Personnels administratifs, techniques et de service et les étudiants et de prendre des mesures importantes pour l’amélioration notable des conditions de travail, d’études, de vie et de réussite.

Le RUR félicite le SAES pour la tenue, sous les meilleures auspices, de son Congrès ordinaire, félicite les collègues Professeurs Malick FALL, SG sortant et Célestin FAYE, SG entrant, et lance à ce propos un appel à l’ensemble des syndicats et de la communauté académique (étudiants, personnels administratifs, techniques et de service (PATS), les personnels d’enseignement et de recherche (PER), les parents, les collectivités territoriales, les entreprises, la société civile… ) afin de faire de l’enseignement supérieur et de la recherche dans l’Université sénégalaise le premier pilier de l’ émergence du Sénégal grâce à des infrastructures et des équipements de dernière génération, des personnels qualifiés, compétents et motivés et des étudiants performants.

Le RUR remercie enfin le Chef de l’État pour les augmentations substantielles des salaires des fonctionnaires en général et des enseignants en particulier, gages de performances, et se réjouit des résultats exceptionnels aux examens (CFEE : 73,80%, BFEM : 70,38% et Baccalauréat : 51,99%) et au Concours général, de l’effectivité dès la rentrée, des Classes préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE) et de nouvelles écoles d’Ingénieurs et de hauts cadres, afin de former et d’insérer, au Sénégal et pour le Sénégal, nos meilleurs élèves et étudiants. Fait à Dakar, le 12 août 2022 Professeur Moussa BALDE, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Président du Conseil départemental de Kolda Coordonnateur du RUR.

Parc de Hann : La cage des animaux n’a jamais été envahie par les eaux de pluie (Colonel Baïdy Bâ)

Le colonel Baïdy Bâ, Directeur des eaux et forêts s’est voulu rassurant quant à la situation qui prévaut au parc zoologique de Hann, une semaine après les fortes pluies. En compagnie du général Mor Seck de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers, il dira que les animaux n’ont jamais été en danger. «Nous avons rapidement mis en place un système de pompage… Trois motopompes avec un système de pompage de 2000 m3 par heure. En moins de 48 heures 90% des eaux ont été évacués», renseigne-t-il tout en ajoutant que «la cage des animaux n’a jamais été envahie par les eaux de pluie… Le zoo n’a jamais été inondé. Avec l’appui des sapeurs-pompiers, nous avons pu disposer au niveau de la DPC de 2000 sacs et de chargements de sable», poursuit le colonel Bâ, qui a souligné l’appui conséquent de jeunes issus du programme Xëyu Ndaw Ñi qui ont été déployés au niveau du parc en qualité de bénévoles. Ces derniers assurent le remplissage et la disposition des sacs de sable autour de la cage des animaux. Le général Mor Seck, a d’ailleurs assuré que le système de pompage sera maintenu sur le site tout au long de l’hivernage en guise de prévention. D’après lui, les eaux de pluie ont considérablement baissé depuis le déploiement du plan Orsec.

Pape Diop et Cie ont rejoint Benno dans le seul but d’échapper à des poursuites devant la Crei (Mamadou Lamine Thiam)

22 des 27 députés élus sur les listes proportionnelle et majoritaire de la Coalition Wallu Sénégal se sont réunis en conclave à la permanence du Pds pour faire une déclaration commune. Selon le communiqué signé de la chargée de communication du Parti libéral, «Étaient absents les 3 députés de la diaspora, les 2 députés de Touba Mbacké qui avaient une réunion préparatoire du Magal et le député Mady Danfakha de Saraya en lutte avec les inondations dans la commune de Bembou dont il est le maire». Ainsi, deux questions ont ensuite été posées auxquelles le mandataire Mamadou Lamine Thiam a répondu, selon un document. Sur l’avenir de l’Alliance Wallu-Yewwi à l’Assemblée nationale, Thiam assure : «notre collaboration continuera évidemment à l’Assemblée nationale». Sur la décision de Pape Diop de rejoindre la coalition présidentielle, le mandataire de Wallu Sénégal d’affirmer: «Pape Diop est à l’image de ces anciens responsables du Pds qui ont rejoint la majorité présidentielle dans le seul but d’échapper à des poursuites devant la Cour répression de l’enrichissement illicite». Avant de poursuivre: «D’ailleurs, ses militants ne s’y trompent pas, ils  expriment leur colère et condamnent cette lâcheté ! Comparez avec le courage de notre frère K W (Karim Wade, Ndlr) qui est notre candidat pour l’élection présidentielle de 2024 et qui s’est refusé à toute compromission au nom de son honneur et de sa dignité. Ce qui lui a valu une condamnation injustifiée, honteuse et un exil forcé au Qatar».

Trophée Yachine : Edouard Mendy parmi les nominés

Gianluigi Donnarumma ne conservera pas le trophée Yachine qui récompense le meilleur gardien de chaque saison lors de la cérémonie du Ballon d’Or. Vainqueur contesté lors de l’édition précédente, le gardien italien du PSG ne fait en effet pas partie de la liste des 10 nommés sorti ce vendredi 12 août par France Football. Il y a deux gardiens africains dans le groupe : le Sénégalais Édouard Mendy (Chelsea) et le Marocain Yacine Bounou (FC Seville). Le grand favori pour la victoire finale est le Belge Thibault Courtois. Le gardien du Real Madrid sort d’une saison époustouflante sur le plan collectif et individuel.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention