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Kaolack : Trois morts et des blessés dans un accident de la route.

Trois personnes ont été tuées et deux autres blessées dans un accident de la route survenu dans la nuit du mardi près de l’ENSOA à Koutal dans le département de Kaolack.

Une moto jakarta transportant 3 personnes a percuté un camion en panne, stationné aux abords de la route dans ce village situé dans la commune de Ndiaffate.

Selon les informations recueillies, les deux premières victimes sont mortes sur le coup. La troisième victime a perdu la vie, une fois évacuée, au centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack.

Télécoms : La 5G annoncée pour 2023

La 5ème génération de réseau de téléphonie appelée 5G sera disponible au Sénégal en 2023. L’annonce a été faite hier au Cices par le Directeur général de l’Artp. « L’avènement de la 5G pour 2023 est un acquis. Nous sommes en train de travailler là-dessus, les travaux avancent à grands pas. Un comité a été mis en place au niveau de l’Artp. Il rencontrera l’ensemble des acteurs des télécommunications, des couches sociales intéressées par l’avènement de la 5G », a révélé Abdoul Ly.

Selon l’Artp, le Sénégal a des sites fonctionnels pour accompagner la 5G. Une technologie censée améliorer la connectivité et dont l’adoption a débuté en 2019 en Corée du Sud. Si la grande Chine a un taux de 29%, l’Amérique est à 13% là où l’Europe est à 4%.

Au vue de ses statistiques, il reste à espérer que tout sera au top dans un Sénégal où le réseau n’est pas des meilleurs avec la 4G déjà. N’est-ce pas Abdoul Ly qui disait, lors de ses tournées dans les campagnes, « qu’on parle de la 4G alors qu’il y a des villages où il y a zéro G. Il y a des villages où les gens n’ont même pas accès au réseau ».

Les opérateurs sont régulièrement mis en demeure par le régulateur, parfois même sanctionnés, pour mauvaise qualité du réseau. Qu’en sera-t-il alors de la 5G.

Côté concurrence, c’est sans doute Sonatel-Orange qui va mener la danse, suivi de Free, alors qu’en France, Orange est bon dernier, selon les statistiques de 2021, pendant que Free occupe la première place.

Kaolack : Trois morts dans un accident de la route à Koutal

Un terrible accident a fait 3 morts dans la nuit du mardi près de L’Ensoa à Koutal dans le département de Kaolack.
Un moto Jakarta transportant trois personnes percuté un camion en panne et stationné aux abords de la route dans ce village situé dans la commune de Ndiaffate. Le bilan fait état de deux morts sur les lieux. La troisième victime a succombé à l’hôpital régional El Hadji Ibrahima Niass.

Malifara : fâchée contre Balla Gaye 2, une tante du lutteur l’invite à «s’inspirer de Sadio Mané»

Pour n’avoir pas mis les pieds depuis six ans à Malifara, village d’origine de son père, Balla Gaye 2 s’est attiré les foudres de ses parents vivant de cette localité de la région de Sédhiou. «Nous ne lui demandons pas de l’argent. Nous avons plutôt besoin de plus de considération», réclame Aramata Sakho, une tante du lutteur interrogée par L’Observateur qui a publié ce mercredi un reportage dans la localité en prélude au combat entre le Lion de Guédiawaye et Boy Niang, le 1er janvier prochain.

La sœur de Double Less poursuit : «Demandez-lui de revenir aux sources, de revenir auprès des siens. Ses oncles, ses tantes, ses demi-frères et demi-sœurs sont dans le village. Il a besoin de la bénédiction de ses parents pour réussir dans ce qu’il fait. Aucun membre de la famille ne dispose du numéro de téléphone de Balla.»

Aramata Sakho martèle : «Si nous avons un conseil à lui donner, c’est qu’il revienne ici à la terre de ses ancêtres, à la terre de ses origines solliciter des prières. Il doit s’inspirer de Sadio Mané qui fait la fierté non seulement de sa famille, mais de toute la Casamance, du pays et même du continent.»  

Télécoms : La 5G annoncée pour 2023

La 5ème génération de réseau de téléphonie appelée 5G sera disponible au Sénégal en 2023. L’annonce a été faite hier au Cices par le Directeur général de l’Artp. « L’avènement de la 5G pour 2023 est un acquis. Nous sommes en train de travailler là-dessus, les travaux avancent à grands pas. Un comité a été mis en place au niveau de l’Artp. Il rencontrera l’ensemble des acteurs des télécommunications, des couches sociales intéressées par l’avènement de la 5G », a révélé Abdoul Ly.

Selon l’Artp, le Sénégal a des sites fonctionnels pour accompagner la 5G. Une technologie censée améliorer la connectivité et dont l’adoption a débuté en 2019 en Corée du Sud. Si la grande Chine a un taux de 29%, l’Amérique est à 13% là où l’Europe est à 4%.

Au vue de ses statistiques, il reste à espérer que tout sera au top dans un Sénégal où le réseau n’est pas des meilleurs avec la 4G déjà. N’est-ce pas Abdoul Ly qui disait, lors de ses tournées dans les campagnes, « qu’on parle de la 4G alors qu’il y a des villages où il y a zéro G. Il y a des villages où les gens n’ont même pas accès au réseau ».

Les opérateurs sont régulièrement mis en demeure par le régulateur, parfois même sanctionnés, pour mauvaise qualité du réseau. Qu’en sera-t-il alors de la 5G.

Côté concurrence, c’est sans doute Sonatel-Orange qui va mener la danse, suivi de Free, alors qu’en France, Orange est bon dernier, selon les statistiques de 2021, pendant que Free occupe la première place.

Abdoul Mbaye : “Le Sénégal entre en autocratie et en dictature”

Le peuple sénégalais a vécu un recul démocratique et aujourd’hui, l’entrée en autocratie et en dictature est en cours, selon Abdoul Mbaye.
 
Pour le président de l’ACT, les propos sont graves, mais les faits qui les corroborent sont là. Et de citer la non-application des décisions de la CEDEAO concernant le parrainage qui est “un délit de justice. S’y ajoute la non-application des recommandations de l’Union européenne, des auditeurs indépendants qui appellent à une réforme de la loi électorale sur l’automaticité des recommandations de droits civils en cas de condamnation pénale sans perte express de ses droits décidée par le juge”.
 
 “On manipule la justice pour rendre un opposant inéligible. Nous sommes témoin de nombreux décès, de disparitions inexpliquées. Où en est l’enquête des 14 vies perdues en mars 2021 ? Le combat engagé contre les journalistes, les activistes, les réseaux sociaux, le débat sur le nombre de mandats”.
 
Pour Abdoul Mbaye, ce régime est minoritaire, parce que les élections législatives ont fini de le prouver. C’est d’ailleurs pourquoi il veut violer ce caractère intangible d’une partie de notre Constitution en direction de (la Présidentielle de) 2024. 

Argentine: Après Mbappé, le gardien Martinez se moque de ses coéquipiers de la défense

C’est un acteur clé de la victoire finale de l’Argentine en Coupe du monde. C’est aussi l’homme qui a suscité le plus de polémique depuis la fin de cette compétition, par son comportement et ses provocations notamment envers le prodige français Kylian Mbappé. 
 
Emiliano Martinez, puisque c’est de lui qu’il s’agit, ne se moque pas que de ses adversaires. Il lui arrive aussi de taquiner ses coéquipiers en sélection. Dans un selfie publié hier mardi sur Instagram, le gardien d’Aston Villa a comparé les défenseurs argentins à des chevaux. Dans la story où il s’affiche avec en arrière-plan des chevaux, il est écrit : German Pezzela, Lisandro Martinez et Nicolas Otamendi (noms des défenseurs de l’Albiceleste), accompagné de la petite phrase ; « ils me manquent ».
 
« Comme tu es fou »
 
Les concernés ont plutôt bien pris la dérision du natif de Mar del Plata. « Comme tu es fou » a commenté Lisandro Martinez. Pezella a quant à lui, ajouté des émoticônes avec des visages rieurs. Emiliano Martinez profite de ses jours de repos dans sa ville natale. Il avait été accueilli par 150.000 personnes, très contents d’avoir le premier champion du monde de Mar del Plata. Emiliano Martinez prenait des photos avec autant d’enfants qu’il pouvait. « Je ne suis pas né dans un berceau en or, S’il y a 50 ou 100 gars pour signer un maillot, je les prends tous. Je suis un combattant et je sais ce que cela signifie pour eux » avait-il déclaré.
 
El Dibu, comme on l’appelle en Argentine, doit bientôt rejoindre Aston Villa qui dispute un match le 1er janvier 2023. Son parcours avec l’Albiceleste est jusqu’à présent un succès total. Il a remporté la dernière Copa América avec l’Albiceleste, avant d’enchaîner avec la Coupe du monde cette année. Un trophée qu’il avait promis de gagner. « Nous avons déjà gagné la Copa América; donc, mon rêve est de jouer la Coupe du Monde. Une fois que je l’aurai fait, j’irai la gagner » avait déclaré le Dibu avant le début de la compétition.

Budget 2023 commune de Mbour : Près de 6 milliards de FCFA pour le social, la sécurité, la santé…

Le budget de la commune de Mbour a été voté à l’unanimité et il s’élève à plus 5 milliards 960 millions FCFA. Selon le maire de la ville, 58,8% du budget sont destinés à l’investissement.
 
“L’investissement nous permet d’évoluer et d’avancer vers l’émergence et la modernisation de notre commune. Les priorités, c’est la poursuite des réalisations en matière d’infrastructures sportives, relèvement du plateau technique au niveau du système sanitaire de la commune, l’acquisition de moyens logistiques. C’est aussi l’accompagnement des femmes pour leur intégration économique. Et globalement faire de Mbour un hub et la capitale du département dans tous les domaines. Nous avons démarré notre programme “Mbour ville lumière”, assure Cheikh Issa Sall, maire de la ville de Mbour. 
 
Concernant la sécurité, l’édile annonce que le ministre de l’Intérieur sera l’hôte de Mbour au courant du mois de janvier pour l’installation d’un camp de Gmi. 
 
Aussi, un autre commissariat de police sera érigé derrière le stade Caroline Faye pour permettre un meilleur maillage sur le plan sécuritaire de la commune de Mbour. Ce qui permettra de renforcer considérablement la sécurité. 

La Suisse, principale destination de l’or sénégalais

La Suisse s’est attribuée la part du lion dans l’exportation de l’or sénégalais, indique le rapport publié par l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) du Sénégal.

« On dit que les Suisses aiment l’argent. C’est une calomnie. Ils aiment l’or aussi », assure un vieil adage. En 2021, selon le rapport de l’ITIE publié sur16.1 tonnes d’or qui ont été produites au Sénégal pour une valeur totale de 390.7 milliards de FCFA prennent deux principales directions. La Suisse est la première destination de l’or sénégalais. En effet, 381.9 onces ont été exportées vers ce pays, pour 381.6 milliards de francs Cfa. L’Australie a, elle, acquis 128.3 onces, pour une valeur de 123.3 milliards de francs Cfa.

Au total, en plus des 9000 onces vendues à la Bceao, ce sont 519 336 onces d’or qui sont sorties du pays, soit 14.7 tonnes. C’est donc, 1.4 tonne d’or qui resterait sur le continent, ou encore dans le pays. Les Etats-Unis (3,53%), l’Espagne (3,25%), la Chine (2,90%) et le Mali (1,13%) font partie des destinations des exportations minières du Sénégal.

L’or est le principal produit d’exportation des ressources minières sénégalaises, avec 61,59%. Et selon le Directeur général de Sgo, Abdoul Aziz Sy, ‘’l’or qu’on produit ici au Sénégal, c’est de l’or brut. Il n’est donc pas raffiné. On l’exporte en Suisse où se trouve la raffinerie. “Parce que dans ce qu’on produit à Sabadola, il y a de l’or, de l’argent et des impuretés. C’est, à peu près composé de 90% d’or’’, a déclaré M. Sy qui explique ces exportations par l’absence de raffinerie au Sénégal pour traiter le produit. ‘’Donc les 90% traités sont les 12 tonnes. Il y a une tonne d’argent sur nos productions de 2021’’.

‘’Cet or est vendu à des institutions financières’’, a précisé le Dg de la Sgo qui signale : ‘’ce sont de grosses banques y compris la Bceao. Malheureusement, on ne peut pas vendre aux bijoutiers locaux pour des questions fiscales. C’est vrai que les bijoutiers locaux, dans notre convention, on les avait prévus, parce que le président (Macky Sall) avait demandé qu’on leur réserve un quota. Ils se plaignaient de n’avoir pas accès à la production d’or, ici. On avait évalué, c’était au tour de 100 kgs leurs besoins’’.

Cinq tirailleurs sénégalais racontent ce qu’ils ne pardonneront jamais à la France

Loin du sourire généreux de Omar Sy, l’acteur principal, et des paillettes de la présentation à Dakar du film «Tirailleurs», dont la sortie est prévue le 4 janvier, certains tirailleurs sénégalais ruminent leur colère. Le journal français Le Parisien a recueilli leurs témoignages entre Thiès, Dakar et Diohine (Fatick).
 
Ndiogou Dièye (103 ans)
 
Il est l’un des derniers, sinon le dernier tirailleur sénégalais de la Seconde Guerre mondiale encore vivant. Il vit à Thiès. Il portait le matricule A 58697 avec le grade de sergent de l’armée française. Enrôlé en 1940 dans le 7e RTS (Régiment des tirailleurs sénégalais), il ne pardonnera jamais à la France de l’avoir envoyé au front contre son gré. Il n’avait que 20 ans. Il rembobine : «Si le commandant chef demandait au chef de canton de recruter des militaires, le chef de canton recrutait. Les soldats venaient voir ton père et lui disaient : ‘Ton fils, à partir de telle date, il vient avec nous’. Impossible de refuser. Certains étaient volontaires, mais pas moi.»
 
Djiga Gningue (95 ans)
 
Ce vétéran de la Guerre d’Indochine (1946-1954) est à moitié aveugle. Il vit sa retraite dans son village à Diohine, dans la région de Fatick. Il a presque perdu la mémoire. Les seuls souvenirs qu’il a confiés au journal Le Parisien, ce sont sa rencontre avec Léopold Senghor en France, les corps de ses camarades qu’il a déplacés après le massacre du camp de Thiaroye et le naufrage de leur embarcation en pleine guerre. «Bateau coulé, capitaine dit ‘démerdez-vous !’», répète-t-il au journaliste parti recueillir son témoignage.
 
Issa Lèye Sèye (88 ans)
 
Il a fait la Guerre d’Algérie (1954-1962). En tant qu’habitant de Rufisque, une des Quatre communes du Sénégal, il avait la nationalité française. Mais ce «privilège» ne le préservait pas des mauvais traitements que subissaient les tirailleurs «indigènes». «Quand nous étions une colonie, tout n’a pas été rose, il faut le dire, signale-t-il. J’ai été victime d’injustices par rapport aux ‘Européens’, et des brimades qui frisaient le racisme de la part de certains commandants d’unité. J’aurais souhaité faire une carrière militaire, mais j’ai préféré partir tellement j’étais dégoûté.»
 
D’autant qu’il a été envoyé pour une guerre qui lui paraissait injuste : «En tant que militaire, c’était normal de prendre les armes contre les membres de l’ALN en Algérie. Sur le plan humain, je ne le referais plus.»
 
René Sow (88 ans)
 
Il n’est pas en réalité un tirailleur sénégalais. Il a rejoint l’armée française en 1954 en tant que citoyen français, puisqu’habitant Dakar, une des Quatre communes. Il profite aujourd’hui de sa retraite à Amitié 3, à Dakar où il est né il y a près de 90 ans. Il était parachutiste avec 173 sauts à son actif. Ses reins en sont éprouvés. De simple soldat, René Sow est devenu caporal. S’il clame sa reconnaissance à la France pour lui avoir «donné une excellente instruction», il regrette d’avoir combattu d’autres personnes qui luttaient pour leur indépendance. D’autant qu’après avoir défendu le drapeau bleu-blanc-rouge et renvoyé dans son pays pour former la jeune armée du Sénégal, on lui a retiré la nationalité française. 
 
Demba Sow (87 ans)
 
Ce natif de Diourbel marche en s’appuyant sur une canne, stigmate de ses années dans le 1er RTS qu’il a intégré en 1954 et qui devint plus tard le Bataillon autonome de Mauritanie. Il ne digère pas le gel des pensions des tirailleurs décidé en 1959. Il déplore : «Nos vies valent-elles moins que celles des Français ? Sur le champ de bataille, la balle qui sortait du canon de l’ennemi ne faisait pas de différence entre le Noir et le Blanc, elle.»
 
Les tirailleurs seront rétablis dans leurs droits vers la fin des années 2000 avant que leurs retraites soient alignées sur celles des anciens combattants français en 2011. «Mais les arriérés n’ont jamais été payés, et la question reste très sensible», pointe Le Parisien.
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