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Cheikh Ndiaye : « Le concert de Casseroles de Sonko est une fuite en avant »

Le concert de casseroles est une frustration d’un homme fortement affecté par l’affaire Adji Sarr. Les sénégalais vont suivre le discours de fin d’année de leur Président.

Le concert de casseroles est érigé depuis quelques temps par Ousmane Sonko comme une modalité dans son opposition au régime du président Macky Sall.

Le concert de casseroles est non seulement une frustration face à l’affaire Adji Sarr qui ne tourne pas comme souhaitée et voulue, la théorie du complot n’a pas prospérée et l’on se dirige probablement vers un procès mais aussi son incapacité à proposer et accrocher les sénégalais, les redites insipides et autres accusations sans fondement ont fini par dégoûter les sénégalais. Si Sonko érige le concert de casseroles comme forme d’opposition, chose inédite au regard de son caractère vil et impertinent, l’on doit se poser des questions sérieuses sur ses aptitudes à assumer la fonction présidentielle qu’il convoite de façon dangereuse.

Comment est-ce qu’on peut imaginer un seul instant détourner des sénégalais du discours de leur président de la République ? Et demain, qu’adviendra t’il si par accident, il devenait Président de la République ? Plus qu’un concert de casseroles, les télévision et radios seraient éteintes ! Que Sonko se ressaisisse et s’oppose de façon républicaine, il y va de son image et de sa crédulité fortement entamée par l’affaire Adji Sarr.

Des sénégalais taperont les casseroles mais la majorité de nos compatriotes écouteront le message à la nation du président de la République comme de coutume. Sonko à perdu manifestement perdu le  nord dans un jeu politique où ses anciens alliés le quittent et le projet du Pastef perd de sa substance parce que le leader s’est amusé avec le Président de la République n’y est pour rien dans ce projet qui fond  progressivement comme beurre au soleil .

Cheikh Ndiaye
Responsable politique APR Grand Yoff
Conseiller municipal 

Mairie de Ziguinchor : le budget gonfle de 2 milliards, Sonko explique la hausse

Le budget de la mairie de Ziguinchor a augmenté de 2 milliards de francs CFA par rapport à 2022. Il s’établit pour 2023 à 5 milliards. Il a été voté hier, mardi, par le Conseil municipal de la ville sous la présence du maire, Ousmane Sonko.
 
Ce dernier a profité de l’occasion pour révéler les raisons de cette augmentation. «Cette hausse est favorisée, en partie, par les taxes municipales et le Code général des impôts. Nous ferons tout notre possible pour que les Ziguinchorois paient leurs taxes», s’engage le président de Pastef.   
 
Autre source de revenus qui a contribué à gonfler le budget de la mairie de la capitale du Sud : «les financements que les bailleurs octroient aux communes et qui demandent un certain nombre de conditions pour y être éligible». Ousmane Sonko révèle : «Ziguinchor a rempli les conditions et a reçu, pour cette année et l’année prochaine également.»

Haj 2023 : le Sénégal augmente son quota

Le quota des pèlerins sénégalais sera-t-il revu à la hausse, au titre de la saison du Haj 2023. E-Media qui rapporte les détails à ce sujet dans sa parution du jour, le quota du Sénégal a été revu à la hausse pour le hadj de cette année, soit 12 860 tous pèlerins confondus.

Un chiffre qui avoisine celui de l’avant-covid. En 2022, l’Arabie saoudite avait autorisé 5822 personnes pour le Sénégal. Il faut noter que cette fois ci les restrictions sur l’âge ont été levées. Toutefois, même si le test Covid n’est plus exigé à l’entrée en terre saoudienne, les vaccinations contre la fièvre jaune, la méningite et le covid restent exigées.

A cet effet, la Délégation générale au pèlerinage a rencontré les opérateurs privés du Hajj, ce mardi 27 Décembre 2022, en vue d’échanger sur les conditions d’organisation du Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam, en 2023.

Sécurisation de la cité religieuse : Touba change son fusil d’épaule

Face à la montée de l’insécurité dans la ville de Touba, le Khalife général des Mourides a décidé de retirer la gestion de la sécurité aux milices religieuses pour la confier à la police et à la gendarmerie. C’est un changement d’époque et de vision, vu surtout l’explosion démographique dans la capitale du mouridisme qui attire de plus en plus de monde.

C’est lui-même qui a pris la parole pour annoncer la nouvelle : le Khalife général des Mourides a révélé hier la dissolution des polices religieuses à Touba. Il confie la mission de la gestion de la sécurité dans la ville religieuse à la police et à la gendarmerie dont les principaux responsables étaient sur place. Pour lui, c’est une manière de mettre fin à l’insécurité dans cette ville, en confiant cette mission aux corps habilités. «Les gens biens, vertueux et les délinquants viennent aussi à Touba. On a besoin que Touba redevienne comme elle doit être. Serigne Touba a fondé cette cité pour adorer Dieu et rien d’autre. Nous nous inscrivons dans ce sillage. C’est la raison pour laquelle j’ai demandé aux Forces de sécurité de reprendre en main les questions de sécurité. Nous avons confiance en votre expertise et espérons que la cité retrouvera son calme d’antan», avance Serigne Mountakha Mbacké, inquiet que la ville religieuse devienne le théâtre d’agressions et d’actes délictuels comme les vols à main armée, des cas de meurtre et de trafic d’armes…

Avec le recours de la police et de la gendarmerie dans le maintien de l’ordre, le Khalife général des Mourides retire cette mission au Dahira Safinatou Amann dont il a loué néanmoins le travail. «Safinatoul Amann a abattu un travail de titan pour préserver la sécurité à Touba. Avec les derniers rebondissements, j’ai demandé à Serigne Modou Lô Ngabou de surseoir à cette tâche, compte tenu du fait que la sécurité est une prérogative régalienne qui appartient exclusivement à l’Etat. Le Président m’a eu au téléphone et s’est engagé après que je lui ai tout expliqué», avance le patriarche de Touba.

Ziguinchor : Ousmane Sonko ne lâche pas Abdoulaye Baldé

Le Conseil municipal de Ziguinchor a voté hier, mardi, le budget 2023 de la mairie de la ville. Celui-ci est passé de 3 milliards à 5 milliards de francs CFA.
 
Les fonds seront consacrés en priorité aux investissements. Contrairement à la pratique qui avait cours avec les précédentes équipes municipales, notamment la sortante que dirigeait Abdoulaye Baldé. «83% du budget étaient destinés au fonctionnement, seuls 16% étaient pour les investissements. Un tel budget ne peut rien servir à la population, clame le maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, dans des propos repris par Vox Pop. Les salaires et les dépenses de prestige bouffent le budget.»
 
Le président de Pastef souligne qu’avec lui, les choses ont changé. Il dit : «On a renversé la tendance, pour pouvoir construire des écoles, des routes et des espaces publics. 60% pour les investissements et 40% pour le fonctionnement.»

Les Chiffres du Train Express régional

C’est le18 janvier dernier que le Train express régional (Ter) avait entamé ses rotations. Un an plus tard, il a transporté plus de 16 millions de voyageurs, générant plus de 13 milliards FCFA de francs Cfa de recettes.

«Il est heureux de constater que le Ter a transporté à date plus de 16 millions de voyageurs et a généré plus de 13 milliards de recettes», renseigne un document remis hier à la presse. C’était lors d’une cérémonie marquant la célébration du premier anniversaire de la mise en service du Ter.

Les responsables du Ter revendiquent un taux de régularité, ces (3) derniers mois, de plus 98%, ce qui signifie que chaque jour, sur 100 trains, 98 sont à l’heure.

La Société en charge de l’exploitation du Train express régional (Seter) ambitionne de réceptionner dans un futur proche d’autres trains dans le but de résorber la demande croissante des voyageurs, renseigne L’Observateur.

 

Carnage financier au ministère des sports !

” AUCUNE PIÈCE JUSTIFICATIVE POUVANT ATTESTER DE L’EFFECTIVITÉ DES DÉPENSES D’HÉBERGEMENT

L’absence d’activités sportives consécutives aux mesures de confinement a impacté négativement les ressources financières des fédérations et groupements sportifs alors qu’elles font face à des charges de fonctionnement. Ainsi, l’Etat leur a octroyé une subvention de 402 000 000 FCFA au ministère.

Sur les 205 000 000 FCFA reçus, la Fédération sénégalaise de basket-ball a reversé 50 000 000 FCFA en deux tranches (chèque n°746139 de 25 000 000 FCFA et chèque n°746141 de 25 000 000 FCFA) à Mamadou Ngom NIANG, Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement (Dage) du Ministère des Sports, pour le paiement de subventions à d’autres associations et fédérations sportives.

Monsieur NIANG, a procédé au paiement de subventions en numéraires pour un montant total de 190 000 000 FCFA sans décision de versement. La Cour constate un écart de 140 000 000 FCFA entre les montants reversés par la FSB et le total des décharges produites par le DAGE.

De plus, elle note que le paiement de subventions en espèces à des personnes morales de droit privé est prohibé par les dispositions de l’article 104 du règlement général sur la comptabilité publique.

Pour le paiement en espèce de subventions à des associations légalement constituées pour un montant de 190 000 000 FCFA (…), Monsieur NIANG, indique :

« (…) nous sollicitons votre tolérance administrative par rapport à la violation des dispositions de l’article 104 du RGCP.

(…) L’écart de 140 000 000 FCFA) provient d’un accord entre le Président de la FSB et moi (DAGE).

En effet, sur instruction du Ministre des Sports, je devais remettre au Président de la FSB la somme de 146 678 120 FCFA, constitué de :

-49 000 000 FCFA reçu de à titre de remboursement à la FSB ;

-12 678 120 FCFA représentant aussi un remboursement à la FSB ;

-85 000 000 FCFA à virer à la FIBA.

Alors, j’ai pris 140 000 000 FCFA sur les 146 678 120 que je devais remettre à la Fédération sénégalaise de basketball pour le versement en espèce à différentes fédérations et associations sportives et le Président de la fédération a, à son tour, utilisé les 140 000 000 FCFA qu’il devait me remettre pour payer les droits dus à la FIBA et prendre en charge les remboursements de frais ».

Concernant l’écart de 140 000 000 FCFA, la Cour réitère le constat selon lequel la pratique utilisée par le DAGE du Ministère des Sports n’est pas conforme à la réglementation. En effet, des ressources financières destinées à la FSB et relatives au remboursement de charges et au versement de contribution à la FIBA Afrique ont été utilisées pour payer des subventions à des associations et fédérations sportives.

En outre, aucune pièce justificative pouvant attester de l’effectivité des dépenses d’hébergement et de préparation de l’Afro-basket féminin n’est produite à la Cour.

Affaire “Sweet Beauty”: le doyen des Juges a transmis son “avis de clôture”

Dans l’affaire «Sweet Beauty», le doyen des Juges d’instruction a transmis un “avis de clôture” aux avocats et au Parquet. Ce, pour observations avant de clôturer le dossier. Le Soleil, qui en a donné l’info, renseigne que le maitre des poursuites a un délai de trois jours pour faire ses observations.

Par la suite, le juge Oumar Maham Diallo prendra une ordonnance de clôture ou poursuivra l’instruction si le Parquet en exprime la demande. Celui-ci peut, au besoin, demander un complément d’information.

Cet acte du juge intervient après l’audition des plusieurs témoins cités par les conseils de Ousmane Sonko. Auparavant, le magistrat avait procédé, le 6 décembre dernier, à la confrontation entre Adji Sarr et Ousmane Sonko. Ce dernier est accusé de viols et de menace de mort sur la jeune masseuse.

Inculpé, le leader de Pastef a été placé sous contrôle judiciaire. Le dossier avait été confié au juge du huitième cabinet d’instruction qui s’était dessaisi, avant qu’il ne soit confié à nouveau au Doyen des juges, Samba Sall, décédé un mois après l’inculpation de Ousmane Sonko. Il a été remplacé par Oumar Maham Diallo qui a pris fonction le 5 mars dernier.

Placé sous mandat de dépôt, Koukandé sera jugé le…

Koukandé et Ibrahima Niasse alias «Sant Yalla» ont été placés sous mandat de dépôt hier, mardi. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, tentative d’escroquerie, escroquerie et charlatanisme.

D’après Libération, qui donne l’information, ils seront jugés mercredi 3 janvier devant le tribunal de Thiès.

Ils seront à la barre en même temps que Ibrahima Diamé. Ce dernier est visé pour abus de confiance.

Les trois mis en cause ont été arrêtés par la Section de recherches de Thiès à la suite de la plainte d’un émigré sénégalais basé aux États-Unis. Ce dernier avait remis 7 millions de francs CFA à Ibrahima Diamé pour une transaction foncière.

Mais l’argent n’ira pas à sa destination initiale. Après son arrestation, Diamé a assuré l’avoir remis à Koukandé et «Sant Yalla», qui lui avaient promis de multiplier par dix la somme grâce aux «Djins». Ce qui ne sera pas fait.

Malifara : fâchée contre Balla Gaye 2, une tante du lutteur l’invite à «s’inspirer de Sadio Mané»

Pour n’avoir pas mis les pieds depuis six ans à Malifara, village d’origine de son père, Balla Gaye 2 s’est attiré les foudres de ses parents vivant de cette localité de la région de Sédhiou. «Nous ne lui demandons pas de l’argent. Nous avons plutôt besoin de plus de considération», réclame Aramata Sakho, une tante du lutteur interrogée par L’Observateur qui a publié ce mercredi un reportage dans la localité en prélude au combat entre le Lion de Guédiawaye et Boy Niang, le 1er janvier prochain.

La sœur de Double Less poursuit : «Demandez-lui de revenir aux sources, de revenir auprès des siens. Ses oncles, ses tantes, ses demi-frères et demi-sœurs sont dans le village. Il a besoin de la bénédiction de ses parents pour réussir dans ce qu’il fait. Aucun membre de la famille ne dispose du numéro de téléphone de Balla.»

Aramata Sakho martèle : «Si nous avons un conseil à lui donner, c’est qu’il revienne ici à la terre de ses ancêtres, à la terre de ses origines solliciter des prières. Il doit s’inspirer de Sadio Mané qui fait la fierté non seulement de sa famille, mais de toute la Casamance, du pays et même du continent.»

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