jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1507

Yewwi Askan Wi – Wallu Sénégal : Aux sources de “l’accord du siècle”

L’opposition en montant cet attelage original est sur le point de phagocyter la majorité jusque-là confortable de Macky Sall. La lecture définitive des élections législatives est encore floue pour le moment. Si les tendances montrent clairement une forte poussée de l’opposition emmenée par l’inter coalition Yewwi Askan Wi/Wallu Sénégal, la coalition présidentielle, Benno Bokk Yakaar a revendiqué la victoire, très tard dans la soirée”Nous avons gagné 30 départements” sur les 46 que compte le Sénégal et des circonscriptions à l’étranger. “Ceci nous donne incontestablement une majorité à l’Assemblée nationale”, a déclaré à la presse la tête de liste de la coalition présidentielle, Aminata Touré. “Nous avons donné une majorité à l’Assemblée nationale à notre président de coalition”, a-t-elle renchéri sans donner le nombre de députés obtenus par son camp ni préciser s’il s’agit d’une majorité relative ou absolue. Elle a néanmoins reconnu la défaite de sa coalition à Dakar. La réplique à Mme Touré n’a pas tardé du côté de l’opposition. Barthélémy Dias, a parlé de “vulgaire mensonge” et de “majorité préfabriquée”.”La cohabitation est inévitable. Vous avez perdu cette élection au niveau national. Nous ne l’accepterons pas. Cette forfaiture ne passera pas”, a ajouté le maire de Dakar En attendant les résultats partiels puis définitifs, qui seront prononcés par les organes habilités, l’opposition YAW WALLU peut raisonnablement afficher sa satisfaction. La stratégie de mettre en place l’inter coalition a eu l’effet escompté : pousser Macky Sall dans ses derniers retranchements, et envisager légitimement une cohabitation. “Accord du siècle” En parvenant à sceller l’union entre les deux camps, Déthié Fall, mandataire national de la coalition Yewwi Askan Wi avait parlé “d’accord du siècle”. Enthousiasme exagéré mais compréhensible car cette alliance a mis du temps à se dessiner. Que ce soit lors des législatives de 2017 ou des locales de janvier dernier, les tentatives d’alliance avec Abdoulaye Wade et ses alliés ont à chaque fois échoué. Pour parer à un énième désaccord, les deux camps ont mis en place un système pour le moins original : l’entente ne concerne que les listes départementales. Sur le plan national, YAW et Wallu ont déposé des listes distinctes avec comme tête de liste Ousmane Sonko, d’un côté, et Abdoulaye Wade de l’autre. « Pourquoi nous disputer sur les investitures nationales ? Nous savions que nous n’allions pas nous entendre. Nous avons donc décidé de nous concentrer sur les départements », expliquait Déthié Fall, après la concrétisation de l’alliance. “Le calcul est simple : sur l’ensemble des 165 députés qui seront élus le 31 juillet, 112 le seront au niveau départemental, lors d’un scrutin majoritaire à un tour. Le but n’est donc pas d’obtenir plus de 50 % des voix. Juste d’être devant Macky Sall”, ajoutait-il. Au départ, le deal a créé des remous notamment au sein de Wallu où quelques cadres se sont sentis lésés lors des investitures et ont claqué la porte : Mayoro Faye, Cheikh Mbacké Bara Dolly. Mais, au final le moins que l’on puisse dire c’est que les deux camps ont tapé dans le mille en tirant leur, chacun, dans les départements où ils sont forts : Dakar, Pikine, Guédiawaye, Keur Massar, Rufisque, Mbacké, Ziguinchor, Oussouye et Bignona, Bambey. Outre ces localités, l’inter-coalition Yewwi-Wallu a également remporté près de huit départements de la diaspora. Et l’objectif de contraindre Macky Sall à la cohabitation ne semble pas aussi impossible qu’il ne paraissait, il y a quelques mois.

Aar Sénégal : La désillusion des intellos

En matière d’élections au Sénégal, mieux vaut choisir l’ère de la royauté et de l’aristocratie que le siècle des lumières. Thierno Alassane Sall, Abdourahmane Diouf, Thierno Bocoum et Ibrahima Hamidou Dème l’apprendront à leurs dépens. En voilà une coalition qui se voulait la troisième voix, une alternative à la coalition au pouvoir Benno bokk Yaakaar et la principale force d’opposition, la grande coalition Yewwi-Wallu.

Mais au vu des premiers résultats, il apparaît nettement que cette coalition ne sera pas la troisième force politique après les Législatives de ce 31 juillet 2022. Déjà, dans de nombreux bureaux de vote, ils sont devancés par le néo-politique Pape Djibril Fall. Certaines tendances lourdes indiquent même que c’est le journaliste qui est devant toutes ces personnalités politiques réunies.

Pourtant, cette coalition se voulait celle des intellectuels, les porteurs d’un programme et d’un discours qui fait appel à la raison.  Durant la campagne, ils ont eu à développer des idées intéressantes qui méritaient sans doute plus d’attention de la part des Sénégalais. Mais comme le renseigne l’histoire politique sénégalaise entre Senghor et Lamine Guèye, mieux vaut savoir mobiliser les foules et faire des promesses que d’être généreux dans les idées.

Or, c’est là que réside le péché originel de cette coalition. Parmi ceux qui la composent, il n’y a pas un seul qui a une base politique solide.  Thierno Alassane Sall semble être le mieux loti, mais la constitution de sa base à Thiès reste inaboutie. Il est vrai qu’avec la position de Idrissa Seck, les ambitions de l’Apr (au-delà des coalitions et conjonctures), les petits pas du Pastef, sans oublier les Guelwaars de Babacar Diop, il est difficile de se frayer un chemin dans la capitale des rails.

Qui donc pour porter la coalition ? Si on veut être lucide, ni Abdourahmane Diouf, ni Thierno Bocoum, ni Cheikh Oumar Sy encore moins Ibrahima Hamidou Dème ne peuvent être de sérieux prétendants. Personne parmi ces quatre ne peut assurer la victoire dans une localité précise. Or, en politique, il faut avant tout avoir un ancrage local. Il s’y ajoute qu’une fois les limites des centres urbains franchis, ils deviennent tous d’illustres inconnus. Comment gagner des élections dans ces conditions ?

Peut-être que le groupe des 5 a voulu croire aux Sénégalais qui se disent fatigués des politiques, en leur faisant une nouvelle offre. Le problème est que ce discours ambiant se limite à un niveau verbal, mais jusqu’ici l’électorat confie son destin aux politiciens de métiers. L’autre fait est que ceux qui font l’offre n’apparaissent pas plus légitimes que les autres. Ils sont de la même classe que les gens du pouvoir et de l’opposition. On a affaire à deux anciens responsables de Rewmi (Diouf et Bocoum), un ancien de l’Apr (Sall) et les deux les moins connus.

Il faudra donc repasser en voyant à la fois le discours et les profils. En vérité, la question des offres programmatiques est un leurre. Certains avancent l’argument du manque d’instruction d’une bonne partie de la population. Même dans les pays développés où les électeurs sont plus instruits et la démocratie plus solide, on vote sur la base de l’émotion et d’autres considérations plus subjectives que rationnelles.

Depuis des décennies, l’Amérique est divisée en deux camps : républicains et démocrates. Et ils sont nombreux à voter les yeux fermés. Les partisans de Donald Trump qui ont envahi le Capitole en sont une illustration parfaite. Les dernières élections en France n’ont pas dérogé à la règle.

Au Sénégal, des candidats comme Cheikh Anta Diop, Ibrahima Fall n’ont jamais eu leur chance. Seuls les autres intellectuels comme Senghor et Wade qui ont fait appel à l’émotion au détriment de la raison ont su captiver les foules pour ensuite capter les suffrages.  Moralité : il faut sans doute avoir de bonnes idées pour développer le Sénégal, mais faudrait-il auparavant savoir mobiliser pour espérer accéder aux commandes afin de traduire la volonté en acte.

Législatives: Le président du Cena dévoile le taux de participation

L’engagement n’est pas encore au rendez pour le demarrage du scrutin à Dakar. Jusqu’à 13 H, le taux de participation est estimé à 23 %, selon le prèsident de la Commission électorale nationale autonome, Doudou Ndir.

 

Législatives 2022 : le peuple a le dernier mot…Aux Urnes !

Les Sénégalais vont voter ce dimanche pour élire 165 députés. Le dernier passage aux urnes avant la présidentielle controversée de 2024. Si l’opposition cherche à imposer la cohabitation au Président Macky Sall, les partisans du pouvoir veulent consolider leurs acquis et permettre au Président de la République de terminer ses chantiers et donner un nouveau visage au Sénégal…Mais le dernier mot revient au peuple qui se rendra aux urnes. Qui de Yewwi ou de Benno aura séduit les Sénégalais après les 21 jours de campagne ?

 

« Le peuple est la seule force motrice, le créateur de l’histoire universelle », avait l’habitude de dire le Président chinois Mao Tsé-Toung. Les Sénégalais qui sont appelés ce dimanche 31 juillet à aller aux urnes pour élire 165 députés qui vont siéger durant les cinq prochaines années à l’Assemblée nationale, décideront eux-mêmes ce qui sera leur futur demain.

Quel type de Sénégal, ils veulent. Les Sénégalais vont-ils dire oui à l’opposition principalement Yewwi Askan Wi et imposer la cohabitation au Président Macky Sall qui aura décrypté le message et compris que c’en est fini de son régime avant même 2024, ou vont-ils continuer à accorder leur confiance à un régime, qui malgré toutes les critiques, a su placer le pays vers la voie de l’émergence.

En faisant son choix ce dimanche, le peuple démontre encore une fois que c’est lui qui tient réellement son destin en mains. Ce n’est ni le régime en place qui cherche toujours à imposer sa majorité, ni l’opposition qui veut imposer la cohabitation pour la première fois au Sénégal, qui décidera du sort du pays. Pendant 21 jours, l’on a vu la coalition au pouvoir, celle de l’opposition sillonner tout le territoire national, avec pour seule ambition, convaincre les électeurs.

Les électeurs savent donc que c’est à eux de décider dans les urnes. Avant même de se rendre aux urnes, les électeurs savent qu’à travers leur choix, ils vont dire non à l’aventurisme. Les Sénégalais savent ce qu’ils veulent, où ils décident d’aller. Ils veulent d’un Sénégal qui sera prospère où il fera bon de vivre demain. Les électeurs ne vont jamais accepter de laisser le Sénégal, un pays de dialogue, qui a une longue tradition démocratique, qui dispose sur son sol national de ressources naturelles aussi riches, être entre les mains d’aventuriers qui vont le conduire vers le chaos.

Le peuple aura montré à l’issue du vote de ce dimanche qu’il est mature, et milite pour la stabilité de ce pays. Ceux qui veulent que le Sénégal soit plongé vers le chaos, l’instabilité, afin qu’ils parviennent à leur funeste dessein de s’emparer du pouvoir à travers la violence, auront vite déchanté en voyant que les populations leur auront dit non. Rien ne sera plus comme avant, disait l’autre.

Demain va être un jour nouveau pour le Sénégal, et pour tous ceux qui veulent le conduire dans la voie de l’émergence. Les Sénégalais auront fini demain de tourner définitivement le dos aux aventuriers. Le dernier mot a toujours appartenu au peuple qui a décidé de voter pour la carte de la stabilité au Sénégal. Il est clair que les Sénégalais n’accepteront jamais d’envoyer majoritairement à l’Assemblée nationale, des députés qui ne se soucient guère du devenir de la nation.

Des députés qui ne sont mus que par leurs propres intérêts et ceux d’obscurs lobbys internationaux qui ont leurs regards tournés vers le Sénégal depuis que du pétrole et du gaz ont été découverts sur le territoire national. Ils ont décidé d’avoir la mainmise sur ce pétrole et ce gaz, et ne se donnent pas de limites pour atteindre leurs ambitions. Ils ont déjà leurs relais locaux qu’ils ont aidé à se lancer dans la course pour ces élections législatives. Heureusement que le peuple les a démasqués.

Jour de vérité pour les 8 listes en compétition : Qui gagnera la bataille législative ?

La campagne électorale est terminée. Ce dimanche, c’est jour de scrutin pour les sénégalais.

C’est le grand jour pour les 8 listes en compétition pour les élections législatives. Ce dimanche, la parole revient aux 7 036 466 d’électeurs sénégalais inscrits sur le fichier électoral. Ils ont l’opportunité de décider de ceux qui iront les représenter à l’Assemblée nationale.

En effet, ce sont 7013 lieux de vote qui ont été érigés au Sénégal et à l’étranger pour leur permettre d’exercer leur devoir civique. Les bureaux de vote, au nombre de 15 954, ouvrent à partir de 8 heures et fermeront à 18 heures.

A l’étranger, ce sont 308 707 électeurs qui sont inscrits. 372 lieux de vote sont érigés pour eux pour élire leurs 15 représentants à l’hémicycle. Ci-dessous la liste des coalitions en compétition.

La Commission nationale détermine le jour de la Tamxarit

GFM – (Dakar) La Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire (Conacoc), qui s’est réunie ce Vendredi 29 Juillet 2022, a déterminé le jour de la Tamxarit.

Les membres de la commission nationale se sont réunis hier vendredi pour scruter le ciel. Et après avoir recueilli toutes les informations venant de ses représentants dans les différentes localités du pays, notamment dans les foyers religieux, la commission lunaire déclare que «le croissant lunaire n’a pas été aperçu dans aucune localité du pays.» Par conséquent, «le Dimanche 31 Juillet 2022 sera le premier jour du mois lunaire Mouharram (Tamxarite) et la nuit de la Tamxarite sera célébrée le Lundi 08 Août 2022 au soir. Le Mardi sera férié.»

Tout sauf Macky: Parcelles Assainies réserve un accueil phénoménal à Bougane Gueye

 

5:30EN COURS DE LECTURE
À REGARDER PLUS TARD
AJOUTER À LA FILE D’ATTENTE

 

Législatives du 31 juillet 2022 : à vos cartes !

Clap de fin pour la campagne électorale qui s’est achevée hier, vendredi 29 juillet, avant le scrutin des élections législatives prévu demain dimanche 31 juillet 2022. Au total, ils sont 6 219 446 électeurs appelés aux urnes. Huit listes sont en compétition pour occuper les 165 sièges de l’Assemblée nationale.

Les sénégalais aux urnes. Demain dimanche 31 juillet 2022, 6 727 759 électeurs contre 6 219 446 inscrits en 2017 sont appelés aux urnes pour les élections législatives, afin de désigner les 165 députés qui occuperont l’Assemblée nationale pour les cinq prochaines années. Selon un document de la Commission électorale nationale autonome (CENA), la majeure partie des inscrits sur le fichier électoral se trouve dans la région de Dakar. Ils sont au nombre de 1 762 501. Elle est suivie de Thiès (957 933), Diourbel (612857) et Saint-Louis (535 932). Ensuite viendront les régions de Kaolack (442 895), Louga (441 864), Fatick (338 976), Ziguinchor (296 433), Matam (293 559), Tambacounda (271 025), Kolda (250 517), Kaffrine (249 608) et Sédhiou (204 235). La région de Kédougou arrive en dernière position avec 69 363 électeurs. Ce qui montre que l’axe Dakar, Thiès et Diourbel pèse 49,6% de l’électorat national. 15 196 bureaux de vote à l’intérieur du pays répartis dans 6 641 lieux de vote sont prévus pour permettre aux Sénégalais d’accomplir leur devoir civique. Pour ces élections législatives, les communes sont au nombre de 553, soit une de plus par rapport en 2017. On note également un département de plus.

Il faut noter que les députés sont élus selon un mode qui panache scrutin proportionnel avec des listes nationales pour 53 parlementaires, et scrutin majoritaire dans les départements pour 97 autres. La diaspora dispose de 15 députés. Leur répartition se fera selon un mode de scrutin parallèle dans 54 circonscriptions électorales correspondant aux 46 départements du pays auxquels s’ajoutent 8 circonscriptions de la diaspora.

Parmi les 97 sièges pour les listes départementales, la région de Dakar en dispose 18, Thiès 10, Diourbel 9, Tambacounda 7. Les régions de Sédhiou, Saint-Louis, Kaffrine, Kolda et Louga auront chacune 6 députés. Les régions de Matam, Kaolack, Fatick et Ziguinchor remporteront 5 sièges chacune et la région de Kédougou 3 députés. Pour les 15 députés de la diaspora, ils sont répartis comme suit : 7 pour la zone Afrique, 6 pour la zone Europe, un pour l’Amérique-Océanie et un pour l’Asie-Moyen Orient. Pour ces élections législatives, huit listes sont en compétition pour occuper les 165 sièges de l’Hémicycle. En 2017, le taux de participation aux élections législatives était de 54%.

Inondations – La situation est maintenant sous contrôle

Après les fortes pluies, la semaine dernière causant des inondations à Dakar et à l’intérieur du pays, la Direction de la Prévention et de la gestion des Inondations (DGPI) avait entamé des actions de pompage qui ont commencé à porter leurs fruits si l’on se fie de Madické Cissé, chef de projet à la Direction de la Prévention et de la gestion des Inondations (Dgpi). La situation est, selon lui sous contrôle dans plusieurs sites dotés d’ouvrages et de dispositif de pompage, à Dakar, Touba, Thiès, à Kaffrine et Kaolack.

En effet, selon le chef de projet à la Direction de la Prévention et de la Gestion des Inondations (Dgpi), Madické Cissé, la situation est sous contrôle dans beaucoup de zones à Dakar et à l’intérieur du pays. «Partout où nous avons un réseau, des ouvrages, les eaux ont été évacuées au bout de 48 heures. C’est le cas de la zone de captage, aux unités 3, 6, et 9 de Keur Massar et à la zone de captage», a défendu Madické Cissé, chef de projet à la DGPI. Des quartiers flottants de Boune, le niveau de l’eau a baissé et les activités ont repris. Il est en de même à la RN1 au niveau de la station de Km 14 à la hauteur de Diacksao.

«Les travaux de l’Apix ont permis de faire un drainage vers la mer. La circulation n’a pas été perturbée comme l’année dernière», a informé Madické Cissé. Du côté de Diamaguène et Sicap Mbao, les ouvrages réalisés par l’Ageroute ont permis de préserver la route à hauteur de Patisen. «Ces nouvelles infrastructures prendront en charge une partie des de la forêt classée de Mbao», a fait savoir le chef de projet à la DGPI.

Dans le département de Rufisque, dans la zone de Bambylor, le dispositif a été renforcé pour soulager les habitants des nouvelles cités. Cette configuration est identique à celle des villes de Kaolack, Kaffrine, et à Touba. «Pour le moment, la situation est sous contrôle. Les ouvrages ont bien fonctionné. Nous avons obtenu ces résultats grâce aux ouvrages mis en place. Le dispositif a été évalué trois fois par le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam. «Nous avons mis en place depuis janvier sur instruction du Ministre de l’Eau et de l’Assainissement. C’est un dispositif mis en place sur instruction du Ministre de l’Eau et l’Assainissement», a signifié Madické Cissé.

Dans la zone de captage les activités ont repris de même que dans le département de Rufisque. Si l’on se fie à Diadji Niang, le chef de service de l’Onas à Rufisque, la circulation n’a jamais interrompue au centre de la vieille ville. À Jarga Montagne, les opérations de pompage se poursuivent. Il n’a pas été noté de débordement. «A Jarga Montagne, nous n’avons pas connu de débordement et d’inondations dans le voisinage du bassin. A la cité Ipress Alazard qui était très affectée, nous n’avons pas eu d’inondations grâce au réseau réalisé avec l’Ageroute qui permet d’évacuer les eaux vers l’autoroute à péage», a affirmé Diadji Niang, chef de service de l’Onas à Rufisque. À Colobane, à  Rufisque, l’Onas et la mairie ont mis des motopompes à la disposition des populations.

 

Détournement de la une des journaux : Papito Kara arrêté

Le facebookeur Pape Ibra Guèye ou Papito Kara, très suivi pour ses revues de presse, est dans de beaux draps. En effet, l’animateur à Leral TV a relayé des informations truquées pour former la une de certains quotidiens d’informations dont “l’Observateur” qui a porté plainte.
 
Il faut noter que se sont des  membres de la Mafia Kacc Kacci qui ont parodié ces journaux pour apporter “la vraie information”, car selon eux, certains organes de presse sont dans la  manipulation.
 
Toutefois, pour apporter son soutien aux patriotes, Papito aurait modifié le logo de l’authentique “OBS” pour “OPS” (Observatoire patriotique du Sénégal).
 
Il a été auditionné ce 28 juillet et a passé sa cinquième “nuit de noces” en garde à vue.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention