Coups de fraîcheur, pluies hors saison…: la météo du 28 au 30 décembre 2022
Escroquerie : Comment Kounkandé voulait transformer 7 millions en 700 millions F Cfa
Kounkandé, le marabout qui voulait «diviser la mer », est depuis dimanche, dans les liens de la détention. Arrêté par la Section de recherche (Sr) de Thiès (Est) en même temps que Ibrahima Niasse alias «Sant Yalla», son présumé acolyte, il est poursuivi pour « escroquerie et charlatanisme ». Un autre individu nommé Ibrahima Diamé, a été arrêté pour la même affaire. Celui-ci est poursuivi pour « abus de confiance ».
Libération qui donne plus de détails dans sa parution de ce mardi, informe que le charlatan et son présumé complice qui ont reçu des mains de Diamé 7 millions de F Cfa, avaient promis de faire passer ce montant à 700 millions de F Cfa
Leur modus operandi, faire prendre plusieurs bains mystiques au sieur Diamé, révèle le journal. Qui renseigne que l’argent en question qui était destiné au financement d’une transaction immobilière, appartient à un émigré basé aux États-Unis.
Ce dernier a porté plainte contre les trois mis cause qui seront présentés ce mardi, devant le procureur de Thiès.
Parrainages aux élections : les fortes recommandations de la CENA
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a publié son rapport sur l’organisation des élections législatives du 31 juillet dernier. Elle conclut que le Code électoral mérite d’être revu en profondeur. Dans ce sens, la Commission dirigée par Doudou Ndir, reprise par Bés Bi, a effectué une série de recommandations dont certaines concernent le parrainage, qui fait débat.
La CENA plaide pour une baisse du nombre de parrains demandés aux élections présidentielle et législatives, la suppression des doublons, le versement des surplus dans le fichier général, la codification du principe du tirage au sort pour l’ordre de dépôt des parrainages et des candidatures.
Sweet Beauty : Le Dossier en phase de clôture…
Sommes-nous au terme de l’instruction dans le dossier «Sweet Beauty» ? En tout cas, selon Les Échos, le Doyen des Juges a presque fini de poser les actes d’instruction.
Après les documents d’expertise, le magistrat instructeur a entendu presque tous ceux dont le témoignage pourrait participer à la manifestation de la vérité.
À la suite du médecin Al Fousseynou Gaye qui avait examiné Adji Sarr, la première fois, le magistrat instructeur a entendu d’autres personnes du corps médical, notamment la sage-femme. Le mari de Ndèye Khady Ndiaye, la propriétaire du Salon Sweet Beauté, Mme Tall, Sidy Ahmed Mbaye, sont tous passés dans le bureau du Doyen des Juges.
Le journal rappelle que lors de son audition par le Doyen des juges d’instruction, Ousmane Sonko avait dit au magistrat que s’il bouclait son dossier sans auditionner Mamour Diallo, le capitaine Touré, et toutes les personnes qu’il a citées, dont il estime qu’ils font partie du complot, son instruction serait incomplète.
Certes, Oumar Maham Diallo n’a pas convoqué Me Dior Diagne, ni Me Pape So, mais il a auditionné le capitaine Touré, contre la volonté du Parquet, Baye Mbaye Niass dit Mc Niass ainsi que Mamour Diallo. Toutes ces personnes entendues ont fait des dépositions parfois contradictoires, dit «Les Échos».
Le juge d’instruction est-il maintenant assez édifié pour prendre une décision ? Me Dior Diagne et Me Pape So seront-ils entendus ? Lui seul en détient la réponse.
À présent, informe le journal, si le procureur ne fait pas un réquisitoire supplétif pour demander un complément d’information, le magistrat instructeur n’a plus autre chose à faire que de boucler le dossier et rendre son ordonnance définitive.
Maintenant, va-t-il rendre une ordonnance de non-lieu et classer cette affaire ? Ou bien va-t-il rendre une ordonnance de renvoi en jugement ? La balle est dans son camp.
[Vidéo] Attaque contre Sonko : La réplique salée de Cheikh Thioro Mbacké à Cheikh Abdou Bara Dolly
Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly avait demandé, avant-hier, à Ousmane Sonko de freiner “ses militants qui insultent les chefs religieux et les hommes politiques”. Cette déclaration a mis les patriotes de Touba dans tous les états.
En réaction, le député Cheikh Thioro Mbacké a apporté, hier, une réplique salée à son collègue Cheikh Abdou Mbacké Bara dans cette vidéo.
Pour son combat contre Boy Niang, Balla Gaye 2 a pris une grande décision
Balla Gaye 2 affrontera Boy Niang 2 le 1er janvier prochain à l’Arène nationale. À moins de cinq jours de ce combat, le Lion de Guédiawaye a déserté son lieu d’entraînement habituel, à l’école 16 de la commune de Sam Notaire, antre de l’École de lutte Balla Gaye 2.
«Nous avons quelques réglages à peaufiner pour sa préparation et nous avons opté pour le huis-clos, renseigne son entraîneur, Lamine Faye, interrogé par L’Observateur. À l’école (16), on n’est pas à l’abri des regards. N’importe qui peut venir nous épier, nous prendre en photo ou en vidéo.»
Lamine Faye précise que Balla Gaye 2 a débuté les séances à huis-clos à un mois du combat. Il passe de temps à temps se ressourcer avant de retourner dans sa Tanière. Elle avait adopté la même stratégie pour son combat contre Gris Bordeaux. Celle-ci lui avait porté chance.
Affaire Amy Ndiaye : les deux députés du PUR seront finalement fixés sur leur sort en janvier
MOMAR DIENG : « NUL GOUVERNEMENT NE SORT INDEMNE DE LA MORT EN DÉTENTION D’UN JOURNALISTE »
Le journaliste, Momar Dieng demande au gouvernement de Macky Sall la libération immédiate de Pape Alé Niang avant que l’irréparable ne se produise.
Selon Momar Dieng, nul Gouvernement ne sort indemne de la mort en détention d’un journaliste. « A côté de la responsabilité collective, une chaine d’autorité politique et judiciaire serait directement impliquée dans un drame », estime-t-il..
Pour le journaliste, la libération de Pape Alé Niang est une nécessité vitale. Hic et nunc.









