jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1512

Une étudiante violée durant 72 heures

C’est un véritable film d’horreur. Pendant trois jours, l’étudiante Céline D. a été séquestrée, violée et martyrisée par trois individus dans une maison à Fann Hock. Ses bourreaux présumés risquent de finir leur vie en détention. 

Née en 2000, Céline D. est tombée sous la coupe de trois criminels le 9 décembre 2019. L’étudiante qui vivait avec sa sœur, était sortie acheter à dîner à 22h. C’est en cours de route vers la cité Claudel qu’un individu l’a tapotée et lui a mis un tissu humide sur le nez, avant qu’elle ne tombe dans les vapes. Elle s’est réveillée avec les yeux bandés, les mains et les pieds ligotés à la forêt de Mbao où des maçons l’ont secourue, avant de la transporter à l’hôpital de Pikine. Sa poitrine ainsi que ses membres inférieures présentaient des traces de lacération causées par des objets contondants. Au cours de son audition à la Section de Recherches, Céline a révélé avoir été torturée et violée pendant trois jours par trois individus dans une chambre. Elle a juste reçu une bouteille d’eau. Elle a ajouté qu’elle entendait des sirènes d’ambulance. Une étudiante témoin oculaire du rapt, a déclaré avoir aperçu un individu qui avait sur son épaule quelque chose qui ressemblait à un sac de riz. Ce, avant de jeter la victime dans une voiture de couleur blanche. Ainsi, elle avait pris le soin de relever la plaque d’immatriculation. De fil en aiguille, les pandores ont retrouvé le véhicule suspect, le chauffeur Adama Ndiaye, le mécanicien Lamine Diène et le vigile Diégane Diouf. Également, ils ont saisi des préservatifs usagers avec du sperme dans la chambre de la maison contigüe à la résidence des médecins de l’hôpital Fann où la victime a vécu l’horreur. Les investigations ont permis de savoir que c’est Diégane Diouf qui assurait la sécurité de la maison. Adama Ndiaye a laissé entendre qu’il était le maître des lieux et détenait la clef de la chambre.

« Je ne peux pas identifier mes violeurs. J’ai failli… »

Après près de trois ans de détention provisoire, les accusés ont été jugés hier, par la chambre criminelle de Dakar, pour séquestration et viol collectif. Âgé de 41 ans, marié et père de trois enfants, Lamine Diène a soutenu avoir prêté le véhicule à Adama Ndiaye afin qu’il dépose l’épouse de Diégane Diouf à Ouest Foire. Né en 1996 à Tivaoune, Adama Diouf a réfuté avoir enlevé la partie civile. Diégane Diouf, 34 ans, a abondé dans le sens, affirmant que les hommes en bleu n’ont pas trouvé des préservatifs dans la chambre.

Devant le juge d’instruction jusqu’à la barre, Céline D. a confessé qu’elle n’arrive pas à identifier ses trois violeurs parce qu’ils ont couché avec elle dans le noir en lui bandant les yeux. « Ils m’ont attachée sur un lit en ressort métallique. Quand j’ai repris mes esprits à la forêt de Mbao, j’ai contacté le fiancé de ma frangine », s’est rappelée la plaignante qui s’est fait violence pour raconter le drame. Le cœur meurtri, elle informe qu’elle a eu son bac à 17 ans. Elle était en deuxième année à L’Ism au moment des faits. « J’ai failli sombrer, mais grâce à Dieu je me suis relevée. J’ai poursuivi mes études à l’IAM et soutenu ma licence en communication », renseigne-t-elle.

« Ils ont drogué la victime avec des somnifères… »

De l’avis de Me Martin Diatta, il n’y a pas de faits plus graves, plus écœurants que les faits reprochés aux accusés qui se présentent comme de doux agneaux. « C’est à juste raison que le viol a été criminalisé. Ce qu’ils ont fait est criminel. Les gendarmes avaient raison de parler d’association de malfaiteurs. La maison servait de lieu de rencontre. Il y a suffisamment d’éléments de preuves pour entrer en voie de condamnation », a plaidé le conseil de la partie civile. A l’en croire, les mis en cause ont drogué sa cliente avec des somnifères. « Elle n’a même pas eu le temps d’émettre des cris parce qu’on lui a mis un tissu imbibé de liquide, avant qu’elle ne perde connaissance. Celui qui s’était chargé de la droguer l’avait portée comme un sac de patate. Heureusement que ses parents lui ont cherché un psychologue. Espérons que le travail de ce dernier la ramènera sur un chemin paisible », a souhaité l’avocat.

Invité à faire ses réquisitions, le maître des poursuites a relevé qu’il n’y a aucun élément à charge en ce qui concerne Lamine Diène. Par conséquent, il a sollicité son acquittement. Pour Diégane Diouf et Adama Ndiaye, le parquet a requis la réclusion criminelle à perpétuité. Les avocats de la défense ont plaidé l’innocence des accusés. L’affaire sera vidée le 4 octobre prochain.

Les assurances de l’administration pour une bonne organisation Magal

Le gouverneur de la région de Diourbel, Ibrahima Fall, a donné, mercredi, des assurances pour une bonne organisation du grand magal de Touba prévu entre le 14 et le 15 septembre prochain.

’’Nous avons fait le tour des doléances du comité d’organisation et à travers certains pôles. Si tout est bien fait, nous osons espérer que l’édition 2022 du grand magal de Touba sera une réussite’’, a-t-il dit au terme d’une réunion du comité régional de développement (CRD) consacré aux préparatifs du grand magal de Touba.

La rencontre s’est tenue en présence du président du comité d’organisation, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, porte-parole du Khalife général des mourides, et d’autres dignitaires de la confrérie.

Le magal de Touba commémore le départ en exil au Gabon du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, le 12 août 1895, sous la contrainte de l’autorité coloniale.

Des centaines de milliers de fidèles musulmans, principalement de la confrérie mouride se rendent chaque année à cette manifestation religieuse. Nécessitant une importante préparation dans divers domaines.

C’est ainsi que dans le secteur de la santé, les doléances évoquée lors de CRD ont essentiellement tourné autour de la mise en service du nouvel hôpital, Ahmadoul Khadim, et l’achèvement des travaux de construction du forage de l’hôpital Matlabul Fawzeiny.

Au total, 6353 praticiens de la santé (médecin généraliste, spécialistes, infirmiers etc) seront déployés dans les hôpitaux de Touba et de Diourbel.

Selon le gouverneur, ’’des mesures ont été prises’’ par la région médicale avec la mise en place de 182 postes, le renforcement du parc des ambulances. Il est prévu la mise en place d’un service des urgences aux alentours de la grande mosquée de Touba.

Le service d’hygiène va, de son côté, procéder à des opérations désherbage de saupoudrage, et de désinfection des domiciles et certaines résidences de dignitaires religieux. Des mesures de prévention contre le paludisme seront mises en oeuvre.

L’unité de Coordination de la gestion des déchets solides s’est engagée à appuyer le comité d’organisation pour le nettoiement de la ville religieuse.

Ibrahima Fall a rappelé que le gouvernement avait fait des efforts considérables dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement à Touba.

’’On a conscience que le grand magal de Touba va se tenir en période d’hivernage c’est pour cela que l’année dernière une enveloppe de 4 milliards a été dégagée et cette année, il y a un projet de 23 milliards uniquement pour la réalisation des travaux de drainage des eaux pluviales’’, a-t-il souligné.

Dans le même temps, des dispositions ont été annoncées pour lutter contre les inondations par la l’ONAS et la 22 ème compagnie d’incendies et de secours de Touba.

Dans le secteur de l’hydraulique, trois nouveaux forages devraient être mis en service avant l’événement, en plus d’un dispositif d’appui à travers des camions citernes.

S’agissant du volet sécuritaire, des effectifs conséquents de police et de gendarmerie seront déployer afin de garantir une meilleure sécurité des personnes et des biens.

’’Les forces de défense et de sécurité sont rodées mais également mieux outillées et toutes les dispositions seront prises pour assurer une bonne couverture sécuritaire du grand magal’’, a assuré le gouverneur de Diourbel.

Les secteurs de l’énergie, de la communication, l’élevage, le commerce, les eaux et forêts et l’Agéroute ont également exprimé leurs engagements pour un bon déroulement de l’évènement religieux.

Pour une réussite l’édition 2022, le chef de l’exécutif régional Diourbel a exhorté les chefs de services concernés à prendre toutes les dispositions pour satisfaire les doléances du comité d’organisation.

Il a recommandé un suivi rapproché par le préfet du département de Mbacké des engagements et mesures prises à travers des réunions sectorielles.

APS

Décès de François Mancabou : les conclusions de l’autopsie

Le corps de François Mancabou, décédé alors qu’il était en détention dans le cadre de l’enquête sur la «Force spéciale» dont il serait membre, a été autopsié dimanche dernier à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. L’expertise a été menée par des spécialistes désignés par l’Ordre des médecins du Sénégal. Le rapport des légistes va dans le sens de la thèse avancée par le procureur de la République lors de son point de presse suivant l’annonce du décès de la victime. Selon Libération de ce jeudi, l’autopsie conclut que François Mancabou est mort d’une «fracture du rachis cervical ayant entraîné des complications neurologiques». Le journal rapporte que les légistes déclarent n’avoir relevé aucune trace de violence sur le corps de la victime. Après l’annonce du décès de François Mancabou, le procureur avait déclaré devant les journalistes que ce dernier a succombé à ses blessures contractées lors de sa garde à vue. Ce jour-là, avait précisé le chef du parquet, le défunt avait violemment cogné la porte de sa cellule avant de s’évanouir. Il est mort après quelques semaines d’hospitalisation dans une structure de santé. A l’exception de Pape Mamadou Seck, qui s’est évadé du Pavillon spécial de l’hôpital Aristide Le Dantec, tous les membres supposés de la «Force spéciale» gardés à vue en même que François Mancabou, auraient confirmé que la victime a lui-même cogné la porte du violon du commissariat central de Dakar. Ils se seraient confiés aux éléments de la DIC, qui sont chargés de l’enquête. La famille de François Mancabou ne croit pas à cette version. Elle défend que ce dernier est décédé de tortures qu’il aurait subies lors de sa garde à vue. Elle n’avait pas apprécié que l’autopsie ait été pratiquée à son insu et sans la présence d’un expert de leur choix. Son avocat, qui n’écarte pas de recourir à une contre-expertise, disait attendre le rapport d’autopsie avec l’espoir que la thèse des tortures soit confirmée.

Inondations_Sénégal: plus de 800 milliards FCFA engloutis dans les eaux depuis 2012, le peuple encore suspendu à un plan d’urgence (REDIFFUSION)

Dakar et sa banlieue sont encore sous les eaux depuis la matinée de ce mercredi 20 juillet. La pluie qui s’est abattue sur la capitale sénégalaise a fait plusieurs dégâts et a empêché beaucoup de se rendre au travail. Au Sénégal, on a l’impression que la lutte contre les inondations tourne en rond. Des milliards FCFA ont été investis depuis des années, mais jusqu’ici, il n’y a pas changement. PressAfrik juge nécessaire de rediffuser cet article publié en septembre 2020. Bonne (re)lecture !!

Le Sénégal a toujours été confronté à des inondations récurrentes qui n’ont cessé d’impacter négativement les conditions de vie des populations. Au regard de l’urgence de soulager des sinistrés, le président Macky Sall, arrivé au pouvoir en 2012, a mis place le Programme Décennal de Gestion des Inondations (PDGI) pour la période 2012-2022, dans le seul but de gérer les risques d’inondation, préserver les vies humaines, et réduire les incidences négatives aux plans économique et environnemental. Ce programme, y compris le Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation au Changement climatique (#PROGEP) est doté de plus de 800 milliards FCFA. Malgré le décaissement de cette somme importante, Dakar et sa banlieue ont, après les fortes pluies enregistrées le week-end dernier, pataugé sous les eaux, qui ont causé d’énormes dégâts et des pertes en vies humaines.

Comment a été prévue l’injection des 750 milliards de FCFA dans le PDGI 

D’un montant de plus de 750 milliards de FCFA, le PDGI est articulé autour de quatre volets essentiels : l’Amélioration de la connaissance des zones d’inondation, le Relogement des populations sinistrées, la Planification, l’Aménagement des villes et un important aspect relatif au Renforcement de la résilience des villes qui consiste entre autres, à réaliser des ouvrages de drainage d’eaux pluviales.

L’exécution du PDGI est étalée sur trois phases. Une première phase d’urgence pour un montant de 66 milliards FCFA, qui a été calée entre 2012 et 2013; une phase à court terme couvrant la période 2014-2016 pour 250 milliards FCFA et la dernière phase sur le moyen terme 2017-2022 avec un budget de 450 milliards FCFA.

D’après une analyse de L’Observateur, plus de 144 milliards FCFA ne sont pas décaissés, car prévus dans les  budgets des deux prochaines années. 75,6 milliards FCFA devraient être inscrits dans la Loi de finances 2021 et 69,084 milliards FCFA en 2022, pour boucler le financement intégral du Plan décennal de lutte contre les inondations.

60,65 Milliards de FCFA du PROGEP

Dans le Plan décennal, est inclus le Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation au Changement climatique (#PROGEP) piloté par l’Agence de Développement Municipal (ADM).

Le coût global de ce projet (2012-2019), lancé en 2012 pour une durée de cinq ans, est de 121,3 Millions de dollars US (60,65 Milliards de FCFA). Le fonds a été mobilisé par l’Etat du Sénégal, avec le concours de la Banque Mondiale, du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et du Fonds nordique de Développement (FEM).

La zone d’intervention couvre les Villes de Pikine et de Guédiawaye, l’agglomération de Saint-Louis et le Pôle urbain de Diamniadio. Conçu comme un programme intégré de développement urbain, le PROGEP est structuré en 4 composantes.

Il s’agit de l’Intégration des risques climatiques dans l’aménagement et la gestion urbaine (SIG, PDD, PUD, Normes, Etudes diverses ….), de la Construction et gestion des ouvrages primaires de drainage; de l’Engagement communautaire dans la réduction des risques d’inondations et l’adaptation au changement climatique, et de la Coordination, gestion et suivi-évaluation du Projet.

Son objectif de développement est de réduire les risques d’inondation dans la zone périurbaine de Dakar et de promouvoir les pratiques de gestion durable des villes dans les zones urbaines sélectionnées.

Un Plan d’urgence qui remonte à la surface 800 milliards engloutis dans les eaux 
Huit (8) ans après le lancement du Plan décennal de gestion des inondations, des Sénégalais vivent toujours sous les eaux. Les inondations sont encore revenues à la Une de l’actualité, comme en 2012 et 2016. Obligeant même le chef de l’Etat Macky Sall à déclencher à nouveau le fameux Plan ORSEC. Une preuve plus ou moins directe de l’échec de son PDGI.

« Il me semble que le fait de n’avoir pas pris en compte l’aspect prévention dans le Programme décennal 2012-2022 a été la cause de la situation actuelle. S’il est vrai, jusqu’à la mesure d’une certaine vérification, que 750 milliards de francs ont été dépensés dans la lutte contre les inondations, le gouvernement a échoué dans le fait qu’il n’a pas accompagné cet investissement financier par les aléas qui viennent perturber toute la stratégie mise en place » a souligné un ancien fonctionnaire du ministère de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction dans les colonnes du journal Le Témoin.

L’universitaire et chercheur Boubacar Barry associé à l’iPar (initiative prospective agricole et rurale) est sans langue de bois. selon lui, le PDGI est un échec à mettre sur le compte du régime actuel. « La science est le parent pauvre dans ce pays. Nous ne sommes pas loin des derniers de la classe. Tout ce qui vient en premier, c’est l’administration et la politique. Mais la science est laissée en rade. Qu’on le veuille ou pas, l’eau c’est de la science. Il y a combien de gens qui comprennent le cycle de l’eau dans la plupart de ces ministères qui gèrent ces questions. Je peux comprendre que le ministre soit politique, mais il doit être entouré d’hommes de science et non des copains et de coquins du ministre. Il faut que ça cesse. L’échec du Plan décennal, ce rien d’autre que l’incompétence notoire de nos autorités », a-t-il déclaré sur les ondes de i-Radio

Une réunion d’urgence convoquée au Palais après les 6 morts du week-end

 

#Inondations_Sénégal: plus de 800 milliards FCFA engloutis dans les eaux depuis 2012, le peuple encore suspendu à un plan d'urgence (REDIFFUSION)

Entre samedi et dimanche, au moins 6 personnes sont mortes des suites de pluies diluviennes qui se sont abattues sur l’étendue du territoire national, selon le décompte du journal L’Observateur. Des blessés et des dégâts matériels ont été aussi enregistrés.

À Kaolack, au centre du pays, le corps sans vie d’un jeune homme de 22 ans a été repêché dimanche par les sapeurs-pompiers dans le village de Tawa Mboudaye dans la commune de Ndiaffate. Alors qu’un petit berger transhumant, N. Tine, âgé de 08 ans, s’est noyé dans un marigot dans la commune de Vélingara.

Le sud du pays non plus n’est pas épargné. À Sédhiou, au village de Soumboundou Pakao, situé dans la commune d’Oudoucar, un mur en banco s’est effondré sur un groupe d’enfants, tuant une fillette de 2 ans et blessant son grand frère de 18 ans.

Toujours dans le sud, dans la commune de Faoun, village de Touba Mouride (département de Bounkiling), un mort a été enregistré et trois blessés après que le toit d’une maison s’est effondré sur les occupants.

À Dakar, dans le quartier populeux de Grand-Yoff, un bébé de 2 ans a succombé à ses blessures suite à l’affaiblissement d’un mur. À noter également qu’un corps sans vie a été retrouvé sous les eaux au niveau du tunnel de Guinaw Rails Sud. Le jeune homme âgé de 20 ans serait mort noyé.

Pour venir en aide aux sinistrés, le président Macky Sall a demandé à son ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, de déclencher le Plan ORSEC. Un plan d’urgence né du décret n°1288 du 17 novembre 1993 qui organise le Plan national d’organisation des secours (ORSEC) conçu sous le magistère du deuxième président de la République du Sénégal, Abdou Diouf. Il a été aussi déclenché en 2012 et 2016 par le Président Macky Sall.

Ce mardi, le chef de l’Etat a convoqué une réunion d’urgence au Palais. Tous les ministres impliqués dans la gestion des inondations feront face au Président. Des instructions ont été données aux ministres pour se présenter avec des éléments concrets aussi bien dans le suivi, l’exécution du programme décennal que dans la gestion des cas pratiques en cours.

Ce qui devrait permettre au président Sall d’avoir une idée très claire sur les actes d’urgence à poser pour soulager les populations sinistrées et faire dans la prévention. En attendant, les Sénégalais qui souffrent de cet échec du Plan décennal, attendent avec impatience les nouvelles décisions qui seront prises à l’issue de cette réunion.

Avec pressafric

Un parent d’élève casse le bras d’un enseignant

Mamadou Tall Thiombane a fait un boucan d’enfer à l’école où étudie sa petite fille. Pour venger cette dernière qui a été tabassée, le sexagénaire a menacé de mort son enseignante, madame Diallo et cassé le bras de son collègue, Mamadou Seck. Les faits se sont déroulés dans un établissement, sis à Rufisque le 16 juin 2022. 

Mamadou Tall Thiombane a donné un mauvais exemple à sa petite-fille et ses camarades qui étudient dans une école à Rufisque. Âgé de 63 ans, le retraité s’est acharné sur leurs enseignants à la suite d’une punition corporelle infligée à sa petite-fille. Élève en classe de Cm2, celle-ci a confié à son grand-père avoir été molestée par son enseignante, madame Diallo. Remonté, Mamadou Tall Thiombane est allé se plaindre auprès de l’inspecteur d’académie de Rufisque, lequel lui a promis de régler le problème. Mais, le vieux qui était toujours fâché, s’est rendu ensuite à l’école pour s’attaquer aux enseignants. Devant les élèves qui étaient en train de composer, il a menacé de mort madame Diallo et brisé le bras de son collègue, Mamadou Seck au cours d’une incroyable scène de violence. Arrêté suite à la plainte de ses victimes, le prévenu a été placé sous mandat de dépôt le 7 juillet 2022. À la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar hier, il explique que madame Diallo avait corrigé sa petite-fille et son camarade avec un fouet en bronze. Ces derniers ont eu des blessures respectivement à la hanche et au bras qui ont été constatées par l’inspecteur. « Je suis le président des parents d’élèves de cette école depuis 2014. J’étais parti là-bas pour régler le problème à l’amiable avec le directeur. Mamadou Seck est sorti de nulle part pour me demander de sortir de l’école. C’est dans ces circonstances qu’on s’est battu, avant de se retrouver ensemble au sol. Il m’a blessé à l’œil gauche en y introduisant ses deux doigts. Ses collègues et la femme du gardien de l’établissement m’ont également administré des coups. Cette dernière s’est emparée d’un pilon », a relaté le marié, père de cinq enfants qui a battu en brèche le chef de menace de mort contre madame Diallo. « C’est la première fois que je la vois », lance-t-il. « Faux », lui rétorque madame Diallo. « Il a dit clairement qu’il allait me tuer », a asséné l’institutrice. Mamadou Seck a, quant à lui, renseigné que le comparant avait injurié tout le personnel. « Lorsque je lui ai demandé de sortir de l’école, il m’a agressé et fracturé mon bras droit. Il a aussi menacé ma collègue. Il n’a pas été pris à partie », a souligné M. Seck. Des allégations corroborées par le directeur de l’établissement qui a comparu en tant que témoin. D’après M. Ndoye, le mis en cause ne l’a pas épargné. Il l’a abreuvé d’injures. Les parties civiles qui ont opté pour l’apaisement, se sont désistées de leur plainte. Le maître des poursuites a requis l’application de la loi. Le conseil de la défense a plaidé la disqualification des faits en blessures involontaires. Un avis qu’il ne partage pas avec le juge qui a condamné le prévenu à trois mois de prison avec sursis pour menace de mort et coups et blessures volontaires ayant entraîné 15 jours d’incapacité temporaire de travail.

Suspension des cours dans les universités : Année blanche

Malgré la colère des étudiants, les dés sont jetés : toutes les universités publiques seront fermées au plus tard le 23 juillet jusqu’en début octobre. Si les universités Cheikh Anta Diop de Dakar et Gaston Berger de Saint-Louis ont officialisé la mesure, Alioune Diop de Bam­bey, Assane Seck de Ziguinchor et Iba Der Thiam de Thiès vont matérialiser l’arrêt des cours dans les prochaines heures. En vérité, c’est le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (Mesri) qui a envoyé une note à tous les recteurs portant l’arrêt des cours. Est-ce lié à la situation politique et électoral assez volatile ? Probablement ! En tout cas, la mesure aura un impact sur la validation des crédits des étudiants qui ont à peine fait 3 mois de cours. Surtout qu’à l’Ugb par exemple, la décision de la fermeture a été prise en plein examen dans plusieurs Ufr… A l’Ucad, les cours du second semestre ont été stoppés net… Ces faits montrent qu’il est urgent de rétablir un calendrier normal dans les universités publiques qui va de juillet à octobre. Ça va marquer la fin des années universitaires qui se chevauchent depuis des années.

Macky drague les retraités

Un clin d’œil aux personnes du 3e âge à la veille des élections législatives du 31 juillet 2022 ? Le Président Macky a Sall a rendu public ce mardi 19 juillet, le décret portant Revalorisation des pensions et rentes du régime de base du Fonds national des Retraites et des pensions militaires d’invalidité, pourtant signé depuis le  30 juin 2022.

« A la suite de la Conférence sociale organisée en avril 2017 et dont le thème portait sur la réforme des retraites au Sénégal, le Gouvernement avait retenu d’assurer le relèvement continu et significatif du niveau des pensions afin d’améliorer la qualité de
vie des retraités. Dans cette perspective, le régime de pension de retraite complémentaire a été institué par la loi n°2018-12 du 30 mars 2018. Cette avancée significative a eu, certes, un impact positif sur la pension des fonctionnaires civils et militaires admis à la retraite après son entrée en vigueur, mais n’a pas amélioré celle de la population plus importante des anciens retraités, hors du périmètre de ce second pilier. », a écrit le ministre des Finances, Abdoulaye Daouda Diallo dans le Rapport de présentation dudit décret.

Avant de poursuivre : « Il s’y ajoute que l’évolution du régime indemnitaire de certains actifs n’étant pas assimilable à une augmentation générale des traitements et salaires du secteur public, lespensions et rentes n’ont pas connu de hausse depuis 2011.
Aujourd’hui, l’embellie financière du Fonds national de Retraites, dont les projections font ressortir une situation excédentaire sur une longue période, milite en faveur d’une revalorisation des pensions et rentes du régime de base ainsi que des pensions militaires d’invalidité aux taux de 10, 12, 15 et 25% selon la hiérarchie ».

Meilleur joueur africain: Seuls trois finalistes, dont Mané et Mendy

La Caf vient de dévoiler les trois finalistes pour le titre de meilleur joueur africain de l’année. La cérémonie des Caf Awards est prévue ce jeudi 21 juillet au Maroc.  Jeudi, la Confédération africaine de football (CAF) organise la cérémonie des CAF Awards dans la soirée à Rabat au Maroc. 

La Caf a réduit sa liste des 10 prétendants pour le titre de meilleur joueur africain de l’année. Maintenant il ne reste plus que trois finalistes. Sadio Mané, Edouard Mendy et Mohamed Salah se disputeront le Ballon d’Or africain 2022, le soir du 21 juillet. Ultra-favori pour le titre de Joueur Africain de l’année, Sadio Mané a de grandes chances d’y être récompensé. C’est pourquoi l’international sénégalais souhaite être présent sur place, ce qui va l’obliger à quitter temporairement le stage de son nouveau club, le Bayern Munich, qui se trouve actuellement aux Etats-Unis. Ce long voyage n’est pas vraiment du goût de son nouvel entraîneur Julian Nagelsmann, qui laisse néanmoins le Lion décider.

Vainqueur de la CAN 2021 avec le Sénégal (il a été élu meilleur joueur de cette compétition), finaliste de la Ligue des Champions avec Liverpool et l’un des acteurs majeurs dans la qualification du Sénégal à la Coupe du Monde Qatar 2022, Sadio Mané est annoncé comme étant le grand favori pour être couronné.

Le Bayern ne veut pas déjà froisser sa nouvelle superstar, qui devrait donc manquer le premier match de préparation contre DC United dans la nuit de mercredi à jeudi.

Dégâts de la pluie à Thiès : un maître coranique et sa fille périssent dans l’effondrement de la dalle d’un minaret dans une mosquée

Les fortes pluies qui se sont abattues ce mardi, n’ont pas fait que du bonheur dans la région de Thiès. En effet, Le minaret de la mosquée qui était en chantier s’est effondré sur le toit de la mosquée qui s’est écroulé sur les personnes qui étaient à l’intérieur en train d’apprendre le Coran avec leur maître.

Ce drame survenu à la mosquée des mourides sise à la Cité Senghor de ladite région a fait deux morts et plusieurs blessés. C’est le maître coranique et sa fille qui ont succombé à leurs blessures. Ces derniers ainsi que les blessés ont été acheminés à l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguène.

Auditionnés suite au décès de François Mancabou : les neuf autres éléments de la «Force spéciale» livrent leur version des faits

Les neuf autres membres supposés de la «Force spéciale» arrêtés en même temps que François Mancabou ont été auditionnés avant-hier par la Division des investigations criminelles (Dic) dans le cadre de l’enquête sur le décès de ce dernier.

Selon ‘’SourceA’’ qui donne l’information dans sa parution de ce mercredi, tous les présumés membres de la Force spéciale ont expliqué, dans une forte similitude, avoir été surpris par le comportement de Feu François Mancabou, qui, visiblement très agité, ce jour-là, s’est subitement levé pour aller heurter les grilles de sa cellule.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention