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Situation de l’emploi au premier trimestre 2022 : Les chiffres de l’Ands qui révèlent…

Les chiffres de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) sur le nombre d’employés dans le secteur moderne, hors Administration publique, durant le premier trimestre de 2022, montrent une baisse. Cette baisse, selon l’Ansd, s’explique par la régression des effectifs dans l’industrie et la construction. Par contre, les rémunérations globales ont progressé de 3,0% sur la même période.

Le nombre d’employés dans le secteur moderne, hors Administration publique, est en baisse. Selon les données publiées par l’Ansd et qui concernent le premier trimestre de 2022, ce nombre «a diminué de 1,0% au premier trimestre 2022, comparativement à celui de la période correspondante de l’année précédente». Alors que les rémunérations globales ont progressé de 3,0% sur la même période. Les heures hebdomadaires moyennes travaillées par employé ont également augmenté sur la période (+0,3%).
Expliquant cette baisse, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie souligne dans son document qu’elle est «consécutive à la régression des effectifs dans l’industrie  (-7,2%) et la construction (-4,7%)». En revanche, précisent les auteurs de cette enquête, «elle a été atténuée par l’augmentation des effectifs dans le commerce (+10,5%) et les services (+1,4%)». S’agissant de la diminution du nombre d’employés dans le secteur de l’industrie, l’Ansd informe qu’elle est liée «à celle des effectifs dans les activités de fabrication (-8,6%)». Quid de l’accroissement des effectifs dans le secteur des services ? Les statisticiens l’expliquent par «l’augmentation du nombre d’employés dans les sous-secteurs des activités de soutien et de bureau (+13,4%), de l’information et la communication (+3,3%), des activités artistiques, sportives et récréatives (+2,0%) et, dans une moindre mesure, du transport et de l’entreposage (+0,8%)».

74,5% des employés sont des hommes
Pour ce qui est de la répartition du nombre d’employés permanents hors Administra-tion selon le sexe, l’enquête «révèle une prédominance des hommes, qui constituent 74,5% des employés permanents au premier trimestre 2022». De même, renseigne le document de l’Ansd, suivant le type d’activité, il est noté une supériorité «des hommes dans l’effectif permanent de la totalité des branches d’activités». Cependant, il est signalé «un recours assez important aux femmes dans le secteur des services, en particulier dans l’enseignement (48,9%), les activités pour la santé humaine et l’action sociale». Les agents de l’Ansd, qui ont analysé aussi la répartition du nombre d’employés dans le secteur moderne hors Administra-tion publique selon le statut, font savoir qu’il y a «une prédominance des permanents au premier trimestre 2022». En effet, relèvent les auteurs de l’enquête, «73,5% des employés du secteur moderne sont des permanents».
De même, il est noté une prépondérance «de l’emploi permanent dans la totalité des branches d’activités étudiées». Cependant, précise l’Ansd, «il convient de noter un recours assez important à des saisonniers dans les activités de l’enseignement (46,1%), de fabrication (40,6%), de construction (38,7%), des industries extractives (37,7%) et de soutien de bureau (33,5%)». Concernant la répartition du nombre d’employés permanents suivant la catégorie socioprofessionnelle, l’Ansd soutient qu’elle «laisse apparaître une prédominance des ouvriers (51,0%) dans le secteur moderne hors Administration publique».
Selon l’enquête, «ils sont suivis des techniciens, agents de maîtrise et ouvriers qualifiés, qui représentent 32,1% des permanents». «Les techniciens supérieurs et cadres moyens ainsi que les cadres supérieurs sont les moins représentés avec des proportions respectives de 9,6% et 7,3%», renseigne l’Ansd.
L’enquête menée par l’agence s’est aussi penchée sur «la durée moyenne hebdomadaire travaillée par employé dans le secteur moderne hors Administration publique». Elle est ainsi «estimée à 41,7 heures au premier trimestre 2022 contre 41,6 heures au trimestre correspondant de l’année précédente, soit une augmentation de 0,3%». Cette situation, soulignent les auteurs du document, «est imputable principalement au relèvement des heures hebdomadaires moyennes travaillées dans l’industrie (+1,3%) et le commerce (+0,7%)». Toutefois, il a été constaté que «sur la même période, le nombre moyen d’heures hebdomadaires travaillées par employé dans la construction s’est replié de 0,7%».

Forte hausse des cas de covid-19: 53 nouvelles infections rapportées ce mercredi

Alors qu’on comptait une vingtaine de cas dans la semaine qui a précédé la fête de Tabaski (Eid El Kebir), ce mercredi après cette période de grand rassemblent et déplacements massifs des populations à l’intérieur du pays, les nouvelles infections liées à la maladie au coronavirus dépassent la cinquantaine au Sénégal.

Le ministère de la Santé et de l’Action sociale rapporte ce jour 53 cas de covid-19, sur les 808 tests réalisés,  soit un taux de positivité de 6,55%

Ces nouvelles contaminations sont toutes issues de la transmission communautaire dont 46 dans le département de Dakar, 02 cas dans le département de Pikine, 01 cas dans le département de Keur Massar, 03 cas à Thiès (Mbour), 01 cas à Kaffrine.

Le document émanant du ministère de la Santé et de l’Action sociale souligne que 23 patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris ce mercredi.

Aucun cas grave n’a été pris en charge dans les services de réanimation.

Aucun cas de décès n’a été enregistré ce mardi 12 juillet 2022:

A ce jour, 86 594 cas ont été déclarés positifs dont 84517 guéris, 1958 décédés, et donc 108 patients sous traitement.

Le nombre total de personnes vaccinées est de 1 493 952.

Rencontre Emballo-Sonko – Sweet d’une audience : L’affaire Adji Sarr au menu des échanges

Le président de Pastef a sollicité le dirigeant bissau-guinéen, du fait de sa proximité avec Macky Sall. Sonko souhaiterait obtenir l’arrêt des poursuites dans le dossier l’opposant à Adji Sarr. Et il avait promis d’aider à faciliter les choses à Emballo par rapport à son opposition. Mais tout ne semble pas avoir évolué selon ses désirs.

L’histoire de l’audience accordée par le Président bissau-guinéen Emballo au leader du parti Pastef/Les Patriotes, ne se résume pas qu’à savoir qui a été à la base de la rencontre, ce à quoi la polémique suscitée par les vaines dénégations du vénérable Alioune Tine a voulu la réduire. Ce qui est plus intéressant, c’est plutôt la teneur des échanges entre les deux hommes. Le Quotidien a pu apprendre qu’ils ont échangé aussi bien sur les questions de politique intérieure bissau-guinéenne que de la situation personnelle du leader de Yewwi askan wi (Yaw).
Pour son entrevue avec le Président Emballo, Ousmane Sonko a été accompagné par quelques-uns de ses fidèles, parmi lesquels on a noté Abasse Fall, El Hadj Malick Ndiaye et Bassirou Diomaye Faye, entre autres. Après les échanges de politesses, les membres de la délégation de Pastef sont sortis de la pièce, pour laisser leur chef en tête-à-tête avec le dirigeant bissau-guinéen.
C’est alors que Sonko a indiqué sa requête, qu’il a présentée comme un échange de bons procédés. Il s’agissait, concrètement, d’obtenir le soutien de Emballo pour faire avancer son dossier auprès de Macky Sall, à charge pour lui de faciliter les choses à son interlocuteur du côté de Bissau. Il est de notorité publique que Ousmane Sonko est très lié à l’opposant Domingos Simoes Pereira, président du Paigc, et de facto chef de l’opposition bissau-guinéenne.
Le deal proposé par le maire de Ziguinchor est que le président de la Cedeao intercède en sa faveur auprès de Macky Sall dont tout le monde connaît les bonnes relations avec Emballo. Il s’agit, précisément, de garantir à Ousmane Sonko un non-lieu dans l’affaire de la plainte de Adji Sarr pour viol et menaces. Un non-lieu également pour la dame Khady Ndiaye, dans la même affaire. De même, Sonko souhaiterait obtenir la libération de tous les membres de Pastef actuellement emprisonnés. En contrepartie, le leader de Pastef se faisait fort d’obtenir de son ami Domingos Simoes Pereira, un apaisement de la tension politique à Bissau, et même, pourquoi pas, un exil partiel en Europe, à Lisbonne, ou même dans une autre capitale de son choix.
Umaru Cissoko Emballo a religieusement écouté son interlocuteur, mais n’a pas voulu prendre d’engagements sur la réponse que Macky Sall aurait donnée aux requêtes de son adversaire politique. Ce qui, on peut le dire aujourd’hui, a été une bonne chose, parce qu’il se dit, dans l’entourage du Président, que ce dernier n’a donné qu’une moue méprisante aux demandes du Patriote en chef.
Ce dernier non plus de son côté, n’a pas eu plus de chance du côté de Bissau. Des personnes bien informées disent que son allié Pereira serait entré dans une colère noire face à ce qu’il a estimé être un coup de poignard dans le dos. Il n’a pas apprécié que son ami Sonko ait pu rencontrer son adversaire politique à son insu, et soit même allé négocier en son nom, pour l’en informer a posteriori. Il a bien entendu, rejeté toute idée d’accord, et assurent les mêmes personnes, il a depuis lors, refusé de prendre Ousmane Sonko au téléphone.
Or, les deux nouveaux partenaires avaient convenu de se retrouver au courant de ce mois, à Dakar, pour faire le point. En l’état actuel des choses, ils ne devraient pas avoir, l’un et l’autre, beaucoup de choses à se dire.
Seule consolation pour le «Doyen» Alioune Tine, son intermédiation a elle, porté ses fruits, parce que maintenant les deux protagonistes n’ont plus besoin de lui pour communiquer.

Avec le Quotidien

Kaolack :: Le gérant d’une auberge violemment agressé à coups de pilon, “entre la vie et la mort”… Le présumé auteur qui a été déféré au parquet

Les faits remontent au 06 juillet 2022. Les limiers ont été informés de l’agression du sieur Mamadou Kh. Niass par un individu non identifié dans son auberge qui lui sert de domicile, située au quartier SAM.
Après son forfait, le malfaiteur a emporté son téléphone et a appelé des parents de la victime en faisant croire que ce dernier a fait l’objet d’un accident pour les convaincre de lui envoyer de l’argent. Selon lui, il a été évacué aux urgences du centre hospitalier régional El hadji Ibrahima Niass après l’agression.

Héritant de ce dossier, le commissariat central de Kaolack a immédiatement ouvert une enquête pour identifier l’auteur de l’infraction.
Ainsi, le frère de la victime du nom de El Hadji A. Niass qui a confirmé les termes de sa déposition, a également laissé entendre qu’il a été informé par sa sœur de l’agression de son frère. Aussitôt, il est venu à Kaolack pour s’enquérir de la situation et être au chevet de ce dernier.
Trouvé à l’hôpital régional de Kaolack où il a été hospitalisé, Mamadou Kh. Niass a précisé que le 06 juillet vers 03 heures, un individu s’est introduit nuitamment dans sa chambre au moment où il dormait et l’a agressé violemment avec plusieurs coups de pilon. Ainsi, il est tombé à terre avec l’agresseur ainsi que l’objet avec lequel il le frappait. Pour échapper à la furie de son bourreau, il est resté inerte pour faire croire à ce dernier qu’il était mort. De ce fait, le malfaiteur a fouillé sa chambre sans rien trouver et a emporté son téléphone. Par la suite, il a appelé quelques-uns de ses contacts pour leur faire croire qu’il avait subi un accident et avait besoin d’argent pour ses soins. C’est ainsi qu’il a pu convaincre son assistant Amath S. Bitèye de lui envoyer la somme de cinquante (50 000) FCFA dans le compte ” Wave” de son téléphone qu’il a emporté avec lui. Interpellé sur celui qu’il soupçonnerait d’être l’auteur de cet acte, il a désigné un dénommé Djiby sans autre précision.
Par la suite, les hommes du commissaire Aliou Ba se sont rendus au domicile de la victime en compagnie d’un de ses ouvriers aux fins de constat. Au cours des investigations, il a été constaté un désordre total dans la chambre où l’agression a eu lieu ainsi que des traces de sang sur les draps, sur le lit et au sol. Cette opération a également permis de retrouver un pilon tacheté de sang posé sur le lit qui serait probablement l’objet utilisé lors de l’agression. La poursuite des constatations s’est soldée par la découverte d’une chaine posée contre un mur de trois mètres environ et sur laquelle, des traces de pas étaient bien visibles. Ledit mur ferme un couloir de la maison et derrière lequel se situe la route qui passe devant le domicile. De plus, les recherches effectuées dans le fast-food de l’auberge ont permis de remarquer que le grillage de la fenêtre en aluminium  coulissante qui donne vers l’extérieur, a été déchiré.
Lors du transport sur les lieux, le sieur A. Sow, employé à la boulangerie située en face de l’auberge, a informé qu’il reconnaissait le malfaiteur avant de préciser que le jour des faits, il était dans la boulangerie. Quand il a entendu des cris dans l’auberge, il est venu s’enquérir de la situation. Ainsi, il a aperçu une fine lumière d’une torche à l’intérieur du domicile qui était obscur et il est resté sur place. Un instant après, il a vu un individu déchirer le grillage de la fenêtre du fast-food par lequel il est sorti. Revenant sur la description de l’individu qu’il a aperçu, il a souligné qu’il était costaud et portait une culotte ainsi qu’un teeshirt. Il a rajouté qu’il le reconnaissait très bien et que même s’il ignorait son identité, il était formel qu’il s’agissait d’un ex employé du fast-food de l’auberge.
Entre temps, une réquisition a été adressée à la direction du service de transfert d’argent aux fins de voir si des montants n’ont pas été retirés du compte de la victime. Ledit service a confirmé qu’une somme de quarante-neuf mille cinq cent cinq (49505) FCFA a été transférée dans le compte de Mamadou Kh. Niass par le sieur A. Bitèye. Suite à ce dépôt, deux retraits de vingt mille (20 000) FCFA et de trente et un  mille cinq cent (31 500) ont été effectués respectivement le 06 juillet 2022 à 04h15  dans un établissement de la place  situé en face de la grande mosquée de Léona et au niveau d’un autre établissement en face de la Banque agricole à la même date à 08h07.
Lors leurs auditions,  le premier a confirmé avoir effectué un retrait de vingt mille (20 000) FCFA, le 06 juillet 2022, vers 04h15 au profit de Mamadou Kh. Niass par un individu  qu’il pourrait peut-être reconnaitre. Le second a également confirmé avoir fait un retrait de trente et un mille cinq cent cinq (31 500) FCFA à partir du compte de la victime dont le téléphone était détenu par une autre personne ce même jour à 08h07.
Interpellé et conduit au commissariat central de Kaolack, Djiby R. Fall a été placé en garde à vue…Soumis à interrogatoire, il a reconnu sans ambages les faits après avoir tenté de les nier lors de son interpellation. Revenant sur leur récit, il a avoué que c’est à 02h qu’il s’est introduit dans le restaurant en passant par la fenêtre. Ayant constaté, qu’une porte a été installée sur la voie menant  à l’autre partie de la maison où se trouve l’auberge, il a voulu escalader le mur avec l’aide d’une chaise. Ce faisant, il est monté sur la terrasse, avant de redescendre  par les escaliers pour accéder à l’autre partie de l’auberge. Mais, quand il  est monté sur la chaise, il ne pouvait pas attraper l’extrémité du mur qui était très long. Il est alors descendu de la chaise et s’est dirigé vers la porte nouvellement installée qui s’est ouverte quand il a touché le poignet. Alors, il s’est dirigé directement dans la chambre de la victime qui était en train de dormir. Quand ce dernier a voulu se relever après avoir senti sa présence, il lui a asséné un coup de pilon qu’il avait récupéré dans la cuisine et il est tombé par terre. Il a réussi à l’attraper et ils se sont disputés le pilon. Mais, il a réussi à l’arracher avant de lui donner un autre coup. Puis, la victime est tombée et est restée inerte. Ayant fouillé les deux commodes sans rien trouver, il a emporté son téléphone qu’il a utilisé pour appeler les contacts de Mamadou Kh. Niass, en se faisant passer comme un médecin pour leur faire croire qu’il a été victime d’un accident et qu’il a besoin d’argent pour payer ses soins.
C’est à travers ces manœuvres qu’il a réussi à convaincre le sieur A. Bitèye de lui envoyer la somme de cinquante mille (50.000) FCFA dans le compte Wave de la victime avant de retirer l’argent dans deux services de transfert d’argent avec le téléphone de la victime qui n’était pas verrouillé et dont il connaissait le code du compte. Après, il a utilisé l’argent pour jouer à 1XBET.  Interpellé sur le mobile de son forfait, il a déclaré qu’il avait besoin d’argent pour la fête de Tabaski et comme il savait que Mamadou Kh. Niass gardait de l’argent dans son domicile, il a décidé d’y commettre un vol. Mais, son intention n’était pas de le tuer. Les éléments se sont plus tard transportés à son domicile pour récupérer le teeshirt qu’il portait le jour des faits. Et l’on nous apprend que le sieur Mamadou Kh. Niass est toujours interné au centre hospitalier régional de Kaolack où son état est jugé très critique, selon une source hospitalière.
Le présumé agresseur a été déféré hier au parquet de Kaolack…

Auchan Point E : Deux rayonnistes condamnés pour vol de 48 millions francs

Abdoulaye Diallo et Teigne Diouf auraient fait perdre 48 millions francs à la société française, Auchan. Le duo volait au moment du rayonnage dans le magasin Auchan de Point E.
Après avoir mis le butin sur des chariots, ils le recouvraient avec des cartons vides pour faire croire que c’était des déchets. Ils gardaient les cartons derrière la boutique et les récupéraient le soir.

Inculpés pour vol en réunion commis à l’occasion du service, les prévenus n’ont reconnu qu’avoir soustrait des produits alimentaires, dont la valeur tourne entre 50.000 et 100.000 francs.
« Ils veulent mettre tout sur notre dos, mais tous les deux mois, il y a un inventaire », a martelé Teigne Diouf hier, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar.
Poursuivant, Diouf confesse qu’une semaine avant le ramadan, Abdoulaye Diallo lui a proposé d’être guetteur. « Je l’ai fait deux fois. Il m’a remis entre 10.000 et 15.000 francs, après avoir écoulé le butin à Colobane », informe-t-il.
Jugé hier, le procureur a sollicité une peine de deux ans, dont six mois ferme. Le tribunal a finalement condamné les comparants à deux ans, dont deux mois ferme et à allouer 500.000 francs à Auchan.

Noyades : 110 victimes, 89 décès, 21 rescapés recensés en 2022

La brigade nationale des sapeurs-pompiers a dénombré du 1er janvier au 12 juillet 2022, 81 sorties dans les plages avec 110 victimes de noyade dont 21 sauvées et 89 décédées.

L’information a été donnée hier à l’occasion de la réunion du comité de pilotage du protocole d’accord de partenariat sur la maîtrise durable des noyades dans les zones de baignade et de traversée en embarcation.

La BNSP a dénombré du 1er janvier au 12 juillet 2022, 81 sorties avec 110 victimes dont 21 sauvées, 89 décédées. Ces chiffres concernent tous les types d’accidents nautiques, chavirements de pirogues, de chutes accidentelles, les chutes d’eau entre autres. Les interventions marquantes restent la noyade du 27 juin 2022 au lac rose avec 6 élèves dont 03 repêchés. 02 ont été repêchés à la plage de Malika et 01 à la plage APIX. De même que le chavirement d’une pirogue le 27 juin 2022 à Kafountine avec 19 victimes dont 15 CSV et 04 blessés évacués au district sanitaire de ladite localité.

La tranche d’âge est de 3 à 40 ans avec une moyenne d’âge de 19 ans. Sur les 38 victimes seules 4 sont issues de plages autorisées. Le pic de noyade a été enregistré au mois de juin. La BNSP fait noter que les plages de BCEAO, Malibu, Malika restent très accidentogènes. La surveillance se fait plus entre juillet et septembre et les plages interdites à la baignade et celles autorisées sont sous surveillance.

Selon le colonel Pape Ange Michel Diatta, la Brigade nationale des Sapeurs-Pompiers est dans la dynamique de renforcement de son dispositif préventif et opérationnel de secours nautiques dans les zones de la période sus-citée de baignade et de traversée par embarcations principalement.

Le ministre de l’Intérieur Antoine Felix Diome appelle l’implication de chacun dans les missions dudit comité. Il y aura un travail des forces de l’ordre tous corps confondus. Le commandement territorial aura la charge de coordonner toutes les activités de secours prévues », rassure le ministre. Il fait noter que la plupart des cas de noyades sont observés dans des plages interdites de baignades.

Palais : Racine Talla et Aliou Sall soldent leurs comptes devant Macky

Le vendredi dernier, le patron de l’APR, Macky Sall, qui a eu vent des divergences qui secouent sa formation politique dans le département de Guédiawaye, a convoqué des responsables au palais pour arrondir les angles, à 24 heures du démarrage de la campagne électorale pour les élections législatives.

Étaient présents dans cette audience, entre autres responsables de l’APR, le ministre de la Jeunesse et par ailleurs tête de liste départementale de la coalition BBY de Guédiawaye, Néné Fatoumata Tall, le DG de la Loterie nationale sénégalaise (Lonase) Lat Diop, le DG de la RTS et non moins maire de la commune de Wakhinane Nimzatt, l’ancien maire Aliou Sall et le directeur de la Compagnie générale immobilière du Sahel (CGIS-SA) Khafor Touré.

Selon nos informations, comme chaque fois qu’il convoque ses lieutenants, Macky Sall les a laissés dire ce qu’ils avaient dans le cœur, sans les interrompre. Prenant la parole, Racine Talla n’y est pas allé du dos de la cuillère pour dire ses vérités. Il a indiqué, devant Macky Sall, que des personnes qui avaient reçu des moyens, lors des dernières Locales, ne sont plus sur le terrain, depuis qu’ils ont été défaits. ‘’Monsieur le Président, la réalité est qu’à Guédiawaye, des gens qui avaient reçu des moyens pour battre campagne, ne sont plus visibles sur le terrain. Ils ne font plus rien pour le parti. On ne le sent plus, non plus. Ils sont introuvables’’, a lâché M. Tall. À peine a-t-il prononcé ces mots que les inconditionnels d’Aliou Sall ont commencé à le huer, afin de le perturber et de l’empêcher de terminer sa déclaration.

Ainsi, Aliou Sall, qui s’est senti visé par les propos de M. Talla, a répondu sèchement, selon nos interlocuteurs. ‘’Franchement, certains font le malin ici. Pourtant, ils sont responsables de la plus grande commune de ce département et ils ont devancé l’opposition que de moins de 300 voix. Ce genre de victoire aussi ne mérite pas certaines choses’’.

Toujours lors de cette audience, dit-on, le président Macky Sall a donné la parole au DG de la Lonase et à celui de la CGIS-SA. Ces derniers n’ont pas voulu se prononcer, arguant qu’ils n’avaient rien à dire.

Ainsi, lorsque la parole lui a été donnée, la tête de liste départementale de la coalition BBY de Guédiawaye, Néné Fatoumata Tall, n’a pas mâché ses mots. ‘’Pour dire vrai, je suis inquiète et perdue. Monsieur le président, je ne comprends plus ce qui arrive à notre ville. Quand je reçois quelqu’un, ses adversaires m’appellent pour faire du ‘niakhtou’ (se plaindre). On ne peut pas recevoir tout le monde, mais à chaque fois, il y a des grincements de dents. Des fois même, je me dis s’il ne serait pas mieux que je me concentre dans ma commune et battre campagne paisiblement. Vous (Macky Sall) devriez leur parler’’, a-t-elle conclu.

Devant la tournure des événements, avancent nos sources, un jeune de la Cojer a suggéré à Macky Sall de demander aux deux responsables Aliou Sall et Racine Talla de faire la paix. Ce qui a été fait devant leur mentor, puisqu’ils se sont donné la main et ont promis une victoire.

Toutefois, la question qui taraude l’esprit des personnes ayant pris part à cette rencontre, est de savoir si cette réconciliation est réelle ou de façade. D’autant plus que s’il ne le dit pas ouvertement, Racine Talla a toujours laissé entendre que la coordination départementale lui revient de droit, puisqu’il a gagné sa commune au moment où Aliou Sall a, non seulement perdu la ville, mais se fait rare de plus en plus à Guédiawaye.

Cas Pape M. Seck: Le père et la sœur réagissent

Pape Mamadou Seck est-il mort ou s’est-il évadé du pavillon spécial de l’hôpital Le Dantec ? En tout cas, son père, Pape Moussa Seck, se dit «inquiet» de la situation de son fils. «Depuis qu’il a été placé en garde à vue, on ne peut plus le voir», rapporte-t-il sur les ondes de iRadio.

Il poursuit : «On n’avait plus de ses nouvelles jusqu’à ce qu’on apprenne dans la presse qu’il a été transféré au pavillon spécial de l’hôpital Aristide Le Dantec. Je pense qu’il y est resté trois ou quatre jours.»

Samedi dernier, veille de la Tabaski, une terrible nouvelle tombe pour les Seck. «J’ai vu sur les réseaux sociaux que Pape Modou est décédé, rembobine Pape Moussa Seck. On l’a pleuré. Par la suite, vers 17 heures du soir, l’hôpital nous apprend qu’il est vivant et bien portant.»

L’inquiétude laisse place au soulagement. Mais ce sera pour une courte durée. Car, le dimanche, jour de la Tabaski, l’information est sur toutes les bouches : Pape Mamadou Seck s’est évadé du pavillon spécial de Le Dantec.

«On ne sait pas s’il est rentré dans la mer ou est parti dans la brousse se prendre, souffle le père du fugitif. Ce qu’on veut c’est que les gens sachent que tout ce qu’on dit sur Pape Modou est faux.»

Pape Mamadou Seck fait partie des supposés membres de la «Force spéciale» placés sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet.

Alliance: Bës Du Ñakk lâche Yewwi Askan Wi et prône le vote sanction

Coup de théâtre dans la coalition qui a été mise sur pied depuis le mois de septembre 2021. Le 05 de ce mois avait suscité de l’espoir avec notamment l’adhésion de plusieurs partis et coalitions de partis politiques qui attendaient une rupture des habitudes d’alliances mort-né très fréquents dans l’espace politique.

Mais en moins d’un an, les humeurs se font remarquer. En effet, c’est une autre personnalité politique en l’occurrence Serigne Mansour Sy Djamil qui vient de claquer la porte. Après avoir étudié la situation, le bureau politique du parti, après réunion, a décidé de rompre le lien avec la coalition Yewwi Askan Wi et donné les facteurs explicatifs de cette décision.

Au vu de l’élimination des militants de Bës Du Ñakk dans la confection des listes départementales de la coalition Yewwi Askan Wi, la disqualification de la liste nationale du fait de l’amateurisme des personnes chargées de l’établissement des listes des candidats de la coalition YAW, de la négligence du poids politique du parti Bës Du Niakk et des prises de décision unilatérales au sein de Yewwi par un groupuscule de leaders parmi la trentaine que compte la Coalition YAW, le directoire national du parti décide de démissionner de la coalition Yewwi Askan Wi et n’envisage pas voter pour elle pour les élections à venir.

Ne pas voter YAW

Le parti Bës Du Ñakk invite ses militants, ses électeurs, et tous les citoyens épris de transparence et de démocratie d’en faire autant. Mais aussi à continuer la réflexion pour choisir l’alliance la plus adéquate pour déjouer la tentative de mise à mort politique du parti Bës Du Ñakk et lui permettre de jouer pleinement le rôle que le peuple sénégalais attend de lui.


Alliance: Bës Du Ñakk lâche Yewwi Askan Wi et prône le vote sanction

« Force spéciale »: Amy Dia membre de Pastef, arrêtée

Nouvelle arrestation dans le cadre de l’affaire « force spéciale ». Hier, mardi, l’une des huit personnes visées par les mandats d’arrêt est tombée. Il s’agit de Amy Dia dite Nadine. Cette dernière est une militante de Pastef. Elle est la coordinatrice adjointe du parti à Sahm Notaire.

Libération, qui rapporte son arrestation dans son édition du jour, précise que Nadine a été cueillie chez elle et conduite au commissariat central. Le journal ajoute qu’elle sera présentée ce mercredi au magistrat.

Amy Dia, dite Nadine est née le 25 Avril 1969 à Dakar. Elle est assistante de direction et domiciliée au quartier Mbod à Guédiawaye.

Mor Guèye, l’un des membres de « Force spéciale » l’a citée au cours des auditions durant l’enquête préliminaire. Elle devrait être entendue aujourd’hui mercredi.

Les autres personnes visées par les mandats d’arrêt sont Aliou dit Dounkhaf, Ousmane Diouf, Yaya Cissé, Khadim Ndiaye, Babacar Ba, Ousseynou Seck alias Akhenaton et Max Killuminati. Ces deux derniers sont localisés en Europe.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention