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Moutons vip inabordables, «khar tioggal» rares : tabaski incertain pour «goorgoorlu»

A quelques heures de l’Aïd-al Kabir 2022, plus connu sous les appellations de Tabaski ou Aïd-al Adha (1443H), les moutons sont intouchables pour nombre de Sénégalais moyens et «goorgoorlu». Alors que les prix des denrées de grande consommation utilisées à l’occasion de cette fête ont pris l’ascenseur, l’approvisionnent du marché en moutons reste encore timide ; ce qui est l’origine des tensions dans les poches, surtout de «goorgoorlu», notamment à cause de la cherté du mouton, malgré les mesures gouvernementales (levée des taxes, subventions de l’aliment de bétail) visant à contribuer à baisser les prix, et suscitant ainsi inquiétude chez plusieurs pères de familles. Pourtant, bien avant la levée des restrictions de la CEDEAO, le Mali avait annoncé la fin de son embargo sur le bétail à destination du Sénégal, mesure prise en réponse à la décision de la CEDEAO. Sud Quotidien fait le point dans différentes localité de Dakar et de l’intérieur du Sénégal, à moins de 72 heures de la grande fête musulmane.

ELEVEURS MALIENS ET MAURITANIENS «ZAPPENT» DAKAR

Hausse inédite des prix des moutons à la veille de la Tabaski 

Les alentours du stade Léopold Sédar Senghor sont occupés par des moutons de l’élevage domestique (moutons V.I.P), mais aussi des ceux issus de l’élevage traditionnel communément appelés «khar thioggal», à quelques jours de la fête de Tabaski. Des responsables de famille musulmans aux bourses modestes ont tenté hier, jeudi 7 juillet, de se procurer des «khar thioggal» censés être moins chers. À leur grande surprise, contrairement aux années passées, ils se sont heurtés à une hausse des prix de ces petits ruminants, principalement liée à la diminution du nombre de moutons importés depuis le Mali et la Mauritanie voisins, dont ils profitaient.

Les alentours du stade Léopold Sédar Senghor, une des plus grands point de vente normalisés de la capitale, Dakar, sont transformés en foirail pour petits ruminants : moutons V.I.P et «khar thioggal» à quelques jours de la fête de Tabaski 2022 ou Aïd-al Adha ou Aïd-al Kabir 1443H. Seulement, ils ne sont pas à la portée de tous. Des responsables de famille musulmans aux revenus modestes qui y ont débarqué hier, jeudi 7 juillet, pour se procurer des «khar thioggal», censés être moins chers, l’ont appris à leur dépend. À leur grande surprise, ils se sont heurtés à une hausse des prix de ces petits ruminants, principalement relative à la diminution du nombre de moutons importés depuis le Mali et la Mauritanie, qui leur étaient souvent profitable les années précédentes.

La diminution du nombre de moutons importés du Mali et de la Mauritanie n’est pas sans conséquence sur les bourses des familles modestes. Les prix des «khar thioggal» ont considérablement augmenté cette année, selon Landing Badji, un homme habitué à venir dans cet endroit pour se payer un mouton à chaque Tabaski. «L’année dernière, j’ai acheté ici un gros mouton à 125.000 francs CFA. Mais, aujourd’hui, on me demande de débourser 150.000 francs CFA pour un mouton de la même catégorie. Donc, je ne pourrais pas me procurer de ce mouton que je désire, surtout qu’il y a les autres dépenses de la fête qui m’attendent encore», confie-t-il.

Même son de cloche au point de vente récemment aménagé au terrain de football des Parcelles-Assainies Unité 22. Les vendeurs de moutons confirment qu’il y a un manque réel de «khar thioggal» à Dakar, cette année. Le constat est sans appel : la plupart des «khar thioggal» exposés dans la capitale viennent du Fouta-Toro, malgré la lévée des sanctions de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) contre le Mali, ainsi que les bonnes relations qui prévalent entre le pays de la «Teranga» et ses voisins, notamment la Mauritanie et Mali qui sont les principaux pourvoyeurs du marché en mouton de Tabaski.

Éleveur de son état, Mamadou Dia, vient de Maham, localité située dans la commune d’Aéré Lao (Podor, Fouta), en compagnie d’un troupeau de 115 «khar thioggal». Il a atterri au foirail mardi dernier. «Les moutons sont moins nombreux cette année. Les clients arrivent à compte-gouttes aussi, comparé aux années précédentes où j’avais vendu, à pareil moment presque tous les ruminants que j’avais convoyés», confie-t-il. «Les prix commencent à 90.000 francs CFA, jusqu’à plus de 200.000 francs CFA», ajoute-t-il.

Abdoulaye Aïdara, lui, vient de Kiffa, ville située dans le Sud de la Mauritanie, avec une caravane de 150 «khar thioggal». Il a débarqué sur les lieux, il y a deux jours. «Je suis le seul Mauritanien ici, contrairement aux dernières années où nous étions nombreux à faire écouler nos béliers aux alentours du stade. Mes collègues mauritaniens sont absents cette année, principalement à cause de la cherté des aliments de bétail, mais aussi du manque de fourrage dû à la sécheresse. Si j’ai pris la peine d’être là, c’est bien parce que je passe presque tout mon temps au Sénégal», a-t-il fait savoir. Toutefois, faut-il le signaler, aucune présence d’éleveurs maliens n’a été constatée non plus. Les mêmes raisons expliquent l’absence de ces derniers, selon M. Aïdara.

Traitée de « pute de la république », Gabrielle Kane fait coffrer son insulteur

La défenseure d’Adji Sarr a fait coffrer un nommé Kalidou Diallo pour menaces de mort et divulgation d’images à caractère pornographique.
Le mis en cause est actuellement en garde à vue au commissariat central de Dakar. Il devrait être déféré, ce matin, au parquet de Dakar qui décidera de son sort, rapporte L’OBS qui donne la nouvelle.

La féministe avait déposé sa plainte, avant-hier mercredi pour arrêter les agissements présumés de Kalidou Diallo, président des étudiants et proche d’un ministre de la république.
Kalidou Diallo a d’abord accusé Gabrielle Kane d’être mêlée à la maladie de sa sœur Halima.
Ensuite, il a précisé à Gabrielle Kane qu’elle est présentement en Côte d’Ivoire. Kalidou lui disait aussi avoir partagé son contact dans un groupe d’étudiants à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, avant de prendre des menaces de mort.
Il aurait reconnu avoir injurié Gabrielle et l’avoir traité de « pute de la république ». Par contre, il a nié avoir proféré des menaces de mort à son encontre.

Cheikh Oumar Diagne proche d’une liberté provisoire

Cheikh Oumar Diagne, placé sous mandat de dépôt depuis trois mois pour diffamation et injures publiques présumées, suite à une plainte de Me Djibril War, a été entendu hier, jeudi, sur le fond par le juge du deuxième cabinet.

Après l’audition, les avocats du mis en cause ont introduit une demande de liberté provisoire. Mais, souligne ‘’Libération’’ dans sa parution de ce vendredi, le parquet ne devrait pas s’opposer à la demande de liberté provisoire des avocats de l’enseignant chercheur.

CAN Féminine : six (6) cas de Covid-19 dans l’équipe sénégalaise

Six (6) cas de Covid-19 ont été enregistrés dans l’équipe nationale féminine de football du Sénégal au Maroc.

“La Fédération Sénégalaise de Football informe l’opinion qu’il leur a été notifié six cas positifs de Covid 19 au sein la délégation de l’équipe nationale féminine du Sénégal au Maroc”, lit dans le communiqué.

Les tests PCR de ce jeudi 07-07-2022 d’avant match Maroc vs Sénégal ont révélé que trois joueuses: Coumba Sylla Mbodji, Anta Dembélé, Nguenar Ndiaye et le tout le staff médical dont Dr Nbalia Touré épouse diallo – Yacine Dramé Kinésithérapeute, Khadidjatou NDIAYE Kinésithérapeute sont revenus positifs.

Par conséquent, souligne la FSF, les infectées sont ” mises en quarantaine et ne prendront pas part au troisième et dernier match de la phase du groupe de ce vendredi 08/07/2022.”

Une mineure couche avec 4 garçons en une nuit

À 15 ans, K. Diabaye la jeune fille a choisi de mener une vie de patachon. Son comportement a choqué hier, les personnes qui ont assisté à l’audience de la salle 1 du tribunal d’Instance de Dakar où comparaissaient ses quatre partenaires sexuels, à savoir, Moussa Niang, David Mendy, Amadou Ndiaye dit Demba et Abdoulaye Ndiaye. Teint noir, visage d’ange, l’adolescente a pris le contre-pied de son père, sans la moindre gêne, alors que celui-ci avait saisi le commissariat des Parcelles Assainies d’une plainte sur la base de ses déclarations. Pis, elle a refusé de rentrer avec son papa à la fin du procès. Lorsque l’affaire a été appelée, K. Diabaye avait dit au juge qu’il était venu seul. Mais,  Diabaye s’est levée brusquement de son siège pour se présenter devant le prétoire.

Domiciliée au quartier Hamo 1, l’adolescente qui ne fait que fuguer, avait encore découché le 13 mai dernier. Lorsque son père l’a retrouvée dans la rue le lendemain, elle lui a confié avoir passé la nuit dans la chambre d’Amadou Ndiaye dit Demba aux Parcelles Assainies. Plus grave, la jeune fille a avoué avoir entretenu des rapports sexuels avec celui-ci, son frère Abdoulaye Ndiaye, leurs deux amis, David Mendy et Moussa Niang. Et ces derniers lui ont payé un sandwich. Aussi, la jeune fille a révélé avoir connu ses partenaires sexuels via son amie, S. Sanokho, laquelle avait l’habitude de la mettre en relation avec des hommes pour des parties de plaisir. Au cours de leurs investigations, les limiers ont pu remonter jusqu’à Amadou Ndiaye dit Demba qui a reconnu partiellement les faits, arguant que la victime n’a couché qu’avec Moussa Niang. Ce que ce dernier a énergiquement contesté. Il a, par contre, confirmé les déclarations de la fille. Placés sous mandat de dépôt le 6 juin passé, pour détournement et corruption de mineure, les prévenus, âgés entre 20 et 22 ans, ont réfuté les faits à la barre. « On avait passé la nuit dans la chambre tous les cinq. Mais, il ne s’était rien passé », a déclaré Amadou Ndiaye. Des déclarations corroborées par la principale concernée. « La nuit des faits, j’ai croisé S. Diabaye dans la rue. Elle pleurait à chaudes larmes. Elle m’avait dit que c’est son père qui l’avait tabassée. Elle a passé la nuit chez moi », a témoigné S. Sanokho, élève en classe de 3e.

La procureure s’en prend à la fugueuse

Le rapport d’expertise médical a démontré que la fille avait eu des rapports sexuels la nuit des faits.  « Cette jeunesse d’aujourd’hui fait peur », a lancé d’emblée la déléguée du procureur qui a taxé S. Diabaye de dévergondée. Très en verve, la parquetière de marteler : « Elle a connu des choses qu’elle ne devait pas connaître à cet âge. Mais, quelle que soit sa personnalité, elle doit être protégée ». Pour la répression des prévenus, le Ministère public a sollicité deux ans de prison, dont trois mois ferme. « Au sortir de cette épreuve, ils comprendront qu’ils n’ont plus le droit de s’adonner à certains actes dégradants », a-t-elle fulminé.

Pour les conseils de la défense, rien ne prouve que la fille est mineure. Étant donné qu’il n’y a pas d’extrait de naissance dans le dossier. « C’est la fille qui est partie rejoindre les garçons en compagnie de son amie. On ne peut pas parler de détournement de mineure », a plaidé Me Ibrahima Diaw.

Le juge rendra son verdict le 14 juillet prochain. Mais, les proches des comparants avaient les yeux en fusil. Au sortir de la salle d’audience, ils ont attaqué le civilement responsable de la fille. N’eût été l’intervention des gendarmes, ce dernier allait passer un mauvais quart.

Burkina Faso : Les magistrats demandent l’arrestation de Blaise Compaoré

A peine atterrit dans le terroir burkinabè, l’ancien président Blaise Compaoré est déjà sous le feu des projecteurs. La preuve, ce sont les acteurs de la justice burkinabè qui sont montés au créneau pour réclamer sa tête. Dans un communiqué cosigné, les syndicats de magistrats en appellent au président du Faso, au respect strict des décisions de la justice.

Les trois syndicats de magistrats du Burkina Faso, notamment le syndicat Autonome des magistrats burkinabè (SAMAB), le syndicat burkinabè des magistrats (SBM) et le syndicat des magistrats burkinabè (SMB) disent suivre avec une attention particulière l’intensité des débats portant, depuis un certain temps, sur des questions relatives à l’autorité et l’exécution des décisions de justice.

Préoccupés par cette situation et par les conséquences éventuelles des faits et événements qui en sont les causes sur l’indépendance et l’autorité de la justice, « les syndicats de magistrats du Burkina rappellent publiquement et avec force que les décisions de justice, peu importe les personnes qu’elles concernent, ont vocation à être  respectées et exécutées pour produire leurs effets tant qu’elles n’ont pas souffert de l’exercice d’une voie de recours », déclarent-ils dans un communiqué daté ce jeudi 7 juillet 2022. Et les acteurs de la justice burkinabè d’ajouter « L’histoire nous indique, à toutes fins utiles, qu’elle offre au crédit des syndicats de magistrats, seuls ou avec d’autres entités, de vivants exemples pour la défense de l’indépendance et de l’autorité de la justice ».

En tout état de cause, tout en réaffirmant leur attachement au respect et à l’exécution des décisions de justices, « les syndicats de magistrats du Burkina Faso invitent le président du Faso, garant constitutionnel de l’indépendance du pouvoir judiciaire, à œuvrer, sans condition et sans délai, en sorte que le caractère sacré des décisions de justice soit scrupuleusement respecté et que  leur exécution soit assurée dans le respect strict des lois en vigueurs », indique la source.

Assassinat de Ndèye Diop: Les horribles révélations de son amant

Le meurtrier de Ndèye Diop, 15 ans, lâchement tuée par son amant est passé aux aveux. Sur invitation  de son petit ami, la collégienne s’était rendue au domicile de Abdourahmane Mbacké pour récupérer son téléphone portable. Le présumé meurtrier avait demandé à sa dulcinée d’apporter une somme de 10.000 francs pour payer les frais de réparation de son appareil cellulaire. 

Arrivée à destination dans la matinée du dimanche dernier, Ndèye Diop a été conduite sur la terrasse où A.Mbacké a étalé un petit matelas avec un drap selon lui. 

« Nous avons entretenu une relation sexuelle sur les lieux. Puis, j’ai interpellé Ndèye sur son gros ventre. Mais ma copine m’a annoncé qu’elle est en état de grossesse et j’en suis l’auteur » raconte le mis en cause. 

Mais,  refusant la paternité, il s’en est suivi une altercation au cours de laquelle A.Mbacké a administré une pierre à la tête de Ndèye qui s’est écroulée. L’adolescent de 17 ans a administré plusieurs coups de couteau au niveau du  cou de son petite amie. 

» Mais j’ai constaté qu’elle était toujours en vie. Et j’ai étranglé Ndèye jusqu’à son dernier souffle. Je me suis introduit dans ma chambre pour changer mon pantalon tacheté de sang. Puis je me suis rendu dans une boutique où j’ai acheté un sac » révèle le présumé meurtrier devant les enquêteurs. 

Poursuivant son récit glaçant, A.Mbacké précise :  » Je suis retourné sur la scène du crime, sur la terrasse. J’ai emballé le corps sans vie dans deux sacs avant de le dissimuler dans un réservoir d’eau ». 

Pas encore de liberté provisoire pour le parlementaire

Des informations relayées ont indiqué que Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly aurait obtenu une liberté provisoire après son audition dans le fond ce jeudi. Même si cette perspective se dessine, elle n’est pas encore actée puisque le réquisitoire du parquet est toujours attendu. Par ailleurs, selon son conseil, Me Abdy Nar Ndiaye, face au juge, “l’honorable député a considéré que si ses propos ont porté atteinte au Président de la République, il fait amende honorable et présente ses excuses auprès du Président de la République mais aussi auprès des populations sénégalaises”.

Cheikh Abdou Bara Dolly obtient la liberté provisoire

Le député de l’opposition Cheikh Abdou Bara Dolly a fait face ce jeudi 7 juillet 2022 au Doyen des juges qui l’a auditionné dans le fond.

A l’issue de son audition, ses avocats ont déposé une demande de liberté provisoire.

Et le parquet ne s’y est opposé pas. Et selon nos informations, le député Gis a obtenu une liberté provisoire accordé par le juge du premier cabinet.

Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké avait été arrêté et mis sous mandat de dépôt suite à certains propos controversés tenus contre le Président Macky Sall, lors du rassemblement organisé par la coalition Yewwi Askan Wi (opposition), le 17 juin dernier.

Cheikh Abdou Bara Dolly a été écroué le 10 juin dernier pour « offense au chef de l’Etat, diffusion de fausses nouvelles et diffamation au préjudice » du président de la République.

Le parlementaire a été mis en paquetage dans la chambre numéro 48 avec 100 autres détenus avant d’être transférer dans une autre chambre plus confortable.

Coupure en plein sommet : la colère de Macky qui réclame des sanctions…

Le Président du Groupe de la banque mondiale a dû se résigner à arrêter son discours. Une coupure d’électricité a plongé la grande salle de l’hôtel King Fahd Palace, qui abrite le sommet IDA pour l’Afrique. Ministres, chefs d’Etat, hauts responsables du Fmi ou de la banque mondiale, tous étaient plongés dans le noir. Ce qui a hautement gêné le président Macky Sall qui a réclamé des sanctions, lors de son discours.

«Je voudrais avant toute chose dire que cette coupure est un signe de contreperformance. Qui n’est pas acceptable par rapport à nos volontés d’émergence. Et quelque part il y a quelqu’un qui n’a pas fait son travail. Et en Afrique on n’a pas la culture de la sanction. Je trouve que cette action doit être sanctionnée. Parce qu’on ne peut pas avoir une rencontre aussi importante, et que les responsables de l’hôtel acceptent des situations pareilles.

En réalité j’ai mis un centre moderne à Diamniadio, mais les besoins de fête la Tabaski et le mouvement de migration vers l’intérieur du pays fait que les routes sont chargées et nous avons voulu maintenir nos hôtes ici à Dakar. Mais je pense que le protocole doit régler de façon définitive ce genre d’incident qui n’est pas tolérable. Si on veut avancer il faut aussi sanctionner ce genre d’actions, quand ça ne marche pas.»

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