Différend avec Bocar Samba Dièye : Attijari essuie un nouveau revers

Attijari Bank vient encore de perdre la face face à l’opérateur économique Bocar Samba Dièye.

Le 4 avril octobre 2022, le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar qui avait donné son délibéré sur l’affaire opposant la Compagnie Bancaire de l’Afrique Occidentale dite Cbao au magnat du riz Bocar Samba Dièye, avait encore tranché en faveur de ce dernier. En effet, la deuxième chambre civile du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar avait condamné Attijari (ex-Cbao) à payer 11 milliards de francs Cfa à Bocar Samba Dièye. En plus, le juge avait validé les hypothèques conservatoires inscrites sur les trois immeubles objet du litige et les a transformées en hypothèques définitives au profit de l’homme d’affaires.

Blaise Matuidi, champion du monde 2018, annonce la fin de sa carrière

Le footballeur Blaise Matuidi, champion du monde 2018 avec l’équipe de France, a annoncé vendredi la fin de sa carrière professionnelle, dans une vidéo publiée sur Youtube.

“J’ai décidé de mettre un terme à ma carrière de footballeur professionnel (…) C’est le moment de tirer le rideau”, a expliqué l’ancien milieu de terrain, 35 ans. Il n’avait plus joué depuis plus d’un an avec l’Inter Miami, son dernier club, qui l’avait écarté de sa liste de joueurs pour la saison 2022 de MLS, le Championnat nord-américain.

Entre André Onana et la sélection du Cameroun, c’est fini

Le gardien de l’Inter Milan a annoncé, ce vendredi sur les réseaux sociaux, sa retraite internationale. Lors de la coupe du monde au Qatar, André Onana avait été écarté du groupe avant le match contre la Serbie pour des raisons disciplinaires. Son entraîneur, Rigobert Song, lui reprochait notamment ses prises de risques fréquentes. Les tensions ne se sont pas aplanies visiblement puisque le gardien annonce la fin de son aventure avec les Lions indomptables moins d’une semaine après la fin de la coupe du monde.

Mbour : Une journaliste convoquée à la police pour avoir dénoncé et alerté sur la situation inquiétante de l’hôpital

Il y a quelques semaines, des femmes accompagnantes de patientes à l’hôpital de Grand-Mbour avaient dénoncé les maux de la structure sanitaire.

Cette sortie n’a sûrement pas plu aux autorités de l’hôpital, car la journaliste de Sud Fm, Adama Diop qui a dirigé cette rencontre de complainte a été convoquée à la police.

Elle explique qu’elle a été appelée pour venir répondre à une convocation concernant le rassemblement qui s’était tenu à l’hôpital. Elle devra déférer à la convocation demain vendredi.

En effet, la population a toujours décrié l’état pitoyable de l’hôpital Mouhamadou Mansour Barro, qui selon elle est plus malade que les patients qu’il accueille. Pas un jour ne passe sans qu’on n’y enregistre des complaintes.

Rapport Cour des comptes : Ce qu’on ne savait pas

Les choses ont changé. Dans sa livraison de ce vendredi 23 décembre, Source A renseigne que ni le chef de l’État ni aucune autre autorité n’a demandé à la Cour des comptes de publier ses rapports particuliers. Mais, poursuit le journal, ce sont les magistrats qui ont décidé après de larges concertations de rendre désormais publics les rapports particuliers de la Cour des comptes, conformément aux dispositions de la loi n°2012-22 du 27 décembre 2022, portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques.

Une exigence du Code de transparence

Lequel Code dispose en son article 6.7, qu’un suivi des recommandations de la Cour des comptes doit être organisé et les résultats de ce suivi régulièrement portés à la connaissance du public.

Par conséquent, ajoute la source, la Cour des comptes ne se limitera plus à publier ses rapports ordinaires sur la gestion des deniers publics. Les rapports particuliers seront rendus publics comme celui portant sur la gestion du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la Covid-19 (Force Covid), assorti de douze demandes d’ouverture d’une information judiciaire contre des agents suspectés de détournement de l’argent public.

Tribunal : un père de famille à la barre pour…

Marié à deux épouses et père de cinq enfants, I. Fall, 39 ans, a été condamné à 2 ans de prison dont 3 mois ferme. Il était à la barre pour vol de téléphone portable dans un bus tata.

D’après le récit du journal Enquête, les faits qui lui ont valu sa condamnation ont eu lieu le 16 décembre dernier, dans la ligne 73. Alors que le bus qui roulait vers Keur Massar était bondé, le prévenu en a profité pour subtiliser le téléphone de M. A. Ng. Il ne savait pas que le fils de sa victime le regardait faire.

Mais, le témoin n’aura même pas le temps de le dénoncer. I. Fall a tenté de se débarrasser du téléphone que le propriétaire recherchait pour passer un appel.

A la barre, le père de famille a tenté de nier : « Je suis maçon et carreleur en même temps, s’est-il défendu. Après le boulot, je suis passé d’abord chez ma mère à Boune pour lui remettre sa dépense du lendemain. »

Ensuite, « j’ai pris le bus n°73, pour aller rejoindre ma seconde épouse à Keur Massar. J’avoue qu’il y avait du monde dans le bus, a-t-il ajouté. A un moment donné, j’ai entendu un brouhaha. En effet, un vieux se plaignait parce qu’on lui a volé son téléphone. Quand il s’est retourné, il est tombé sur moi et m’a désigné. A tort comme étant son voleur. Je suis convaincu que les voleurs sont descendus du bus après leur forfait ».

Le Tribunal l’a déclaré coupable.

Résilience alimentaire : Kerewane peaufine des stratégies pour une alimentation équilibrée

Si l’accès aux ressources alimentaires ne se pose pas chez les populations du village de Kerewane, leur bonne utilisation n’est pas souvent connue de tous. Cette localité située sur l’axe Carrefour 22/Kolda, dans le département de Sédhiou regorge d’énormes potentialités alimentaires issues du secteur de l’élevage, de l’agriculture, de la pêche et du maraîchage.

Seulement, pour une alimentation équilibrée, il faut savoir combiner l’ensemble de ces produits. C’est dans ce sens que le réseau africain pour le développement intégré (Radi) a commis des experts en nutrition pour expliquer aux populations les bonnes pratiques alimentaires et culinaires à adopter pour une bonne alimentation. Celle-ci, selon le coordonnateur du Radi, doit être saine, suffisante et variée.

Aussi, les populations de ce foyer religieux du Pakao, ont-elles demandé des appuis et formation en techniques de pêche, d’élevage et d’agriculture. Elles ont également souhaité plus de surveillance du bétail dans l’optique de préserver les espaces cultivés notamment les rizières encore vertes en automne.

Enfin, les participants à ce forum exhortent les pouvoirs publics à veiller davantage sur la qualité des semences pour de meilleurs rendements. Ainsi, la résilience sera à porter de main à en croire les populations qui ont fortement salué ces genres de rencontres de sensibilisation qui éveillent et conscientisent.

Coupe du monde : Une pétition ouverte pour rejouer la finale

Une défaite qui passe mal ! La 22e édition de la Coupe du monde a vu l’Argentine l’emporter sur la France au bout d’un match épique. À l’issue des prolongations, les deux équipes se neutralisaient sur un score de 3 buts partout. Il a fallu la séance des tirs au but pour départager les deux nations et voir l’Albiceleste remporter le trophée.

Mais une semaine plus tard, bon nombre de supporters français ne semblent pas être remis de cette désillusion. Ils déplorent surtout l’arbitrage du Polonais Szymon Marciniak sur plusieurs faits de jeu.

Ainsi, une pétition pour rejouer le match a été ouverte et a déjà récolté plus de 199 000 signatures. “L’arbitrage était totalement vendu. Il n’y a jamais eu penalty + faute sur Mbappé sur le 2e but !!! Signez et partagez en masse pour que le match soit rejoué !”, mentionne la description de la pétition.

Reste à savoir si la FIFA pourrait donner une suite favorable à cette volonté de milliers de Français.

« 1mn de silence pour Mbappé » : la France se plaint des provocations du gardien argentin

La France a perdu la finale de la Coupe du Monde 2022. C’est un secret de polichinelle ; mais après cette défaite, certains joueurs argentins ont eu des comportements déplacés envers leurs homologues de l’équipe de France. Il s’agit notamment du gardien argentin Emiliano Martinez. La Fédération française de football a déposé une plainte auprès de la Fédération sœur argentine, en raison des provocations de ce gardien notamment. Emiliano Martinez est mis en cause pour avoir demandé « une minute de silence » pour Kylian Mbappé lors des célébrations de l’équipe argentine dans les vestiaires du stade de Lusail à Doha au Qatar.

« Poupée Mbappé »

Pendant la caravane organisée, au retour de l’équipe en Argentine, Martinez a aussi exhibé une poupée ayant le visage de Kylian Mbappé. Le gardien faisait apparemment une fixation sur l’attaquant du PSG qui lui, a marqué trois buts lors de cette finale. Le président de la FFF Noël Le Graët a également dénoncé les insultes et provocations racistes dont certains footballeurs de l’Equipe de France ont été victimes de la part des supporters argentins. “J’ai écrit à mon homologue de l’AFA (Fédération argentine de football). Ces excès me paraissent anormaux dans le cadre d’une compétition et je les comprends difficilement. Cela va trop loin, le comportement de Mbappé a été exemplaire” a déclaré le patron de la FFF dans une interview accordée au journal Ouest-France. Outre Noël Le Graët, Adil Rami, l’ancien champion du monde, a aussi condamné ces comportements.

« La plus grosse merde du monde du football »

Il a violemment chargé Emiliano Martinez. L’ex-joueur de l’Olympique de Marseille trouve que le gardien argentin est « la plus grosse merde du monde du football. L’homme le plus détesté ». Même dans le milieu politique, on en veut au natif de Mar del Plata. Karl Olive, le député des Yvelines a demandé à la FIFA de lui retirer le Gant d’or (récompense donnée au meilleur gardien de la Coupe du monde). En effet, le joueur avait pris le trophée avec ses deux mains dimanche, et l’a rapproché de ses parties génitales avant de pencher son corps vers l’arrière. Pour le parlementaire français, ce qu’il « a fait n’est pas du sport et ce n’est pas un bon exemple à montrer. C’est une image dénigrante ». En Argentine, ces comportements ne choquent visiblement pas.

Nouveau-né enterré à Kédougou par sa mère : Le cadavre aurait été dévoré par des chiens

Horreur au quartier Gada Dinguessou de Kédougou où une ressortissante guinéenne a enterré, en catimini, son nouveau-né. L’affaire de cet infanticide s’est ébruitée quelques jours plus tard, suite à une odeur nauséabonde qui provenait du lieu où a été enseveli le bébé.

À la suite d’une dénonciation, les éléments du commissariat central de Kédougou se sont rendus, samedi dernier, sur les lieux indiqués. Sur place, les policiers ont constaté que le corps a été déterré et emporté, selon des sources de Seneweb.

Ainsi, des chiens auraient dévoré les restes du cadavre. Une thèse qui n’a pas été écartée par l’enquête.

Arrêtée, la mise en cause accuse son mari qui se lave à grande eau

Mais les hommes du commissaire Balla Fall ont réussi à identifier et à interpeller la mise en cause. M. Keïta, de nationalité guinéenne, a tenté de faire croire aux enquêteurs rompus à la tâche qu’après son accouchement, son mari a enterré le bébé mort-né.

Convoqué, ce dernier, ressortissant guinéen aussi, a pris le contre-pied de son épouse. Il a refusé même la paternité du nouveau-né. “Nous n’avons pas couché depuis longtemps à cause de nos divergences. Je ne suis pas l’auteur de sa grossesse”, a démenti l’époux de la dame incriminée dans ce crime.

Âgée de 28 ans, M. Keïta aurait contracté la grossesse dans une relation extraconjugale, d’après un témoignage recueilli.

Au terme de l’enquête, la mise en cause a été présentée hier jeudi au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Kédougou. Poursuivie pour infanticide, elle file directement vers la chambre criminelle.