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A quelques semaines des législatives : la tête de liste nationale des suppléants de Yewwi Askan Wi, Omar Sy fait grincer des dents

Omar Sy a été bombardé tête de liste nationale des suppléants de ‘’Yewwi Askan Wi’’ aux élections législatives du 31 juillet. Mais cette nomination fait déjà grincer des dents dans les couloirs de ladite coalition.

Selon ‘’SourceA’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce jeudi, le frère de Habib Sy ne figurait pas sur la liste des 15 candidats rendue publique par le Parti de l’espoir et de la modernité (Pem/Yaakaaru Reew Mi) dirigé par l’ancien maire de Linguère.

Aussi, ajoute le journal, Omar Sy représentait le Parti de son frérot Habib Sy, président de la Commission nationale des investitures (Cni) de ‘’Yewwi Askan Wi’’ au sein de l’équipe chargée à l’époque de procéder au dépôt des listes des investis de ladite Coalition.

Lycée de Yoff : Douze élèves envoyés en prison après les séries de saccages

Treize des dix-sept élèves accusés d’avoir mis à sac une salle de classe du lycée Ousmane Sembène de Yoff ont été arrêtés. Douze de ceux qui ont été interpellés par la gendarmerie sont désormais en prison. Ils ont été placés sous mandat de dépôt hier, mercredi, par le procureur de la République.

Le treizième a été libéré. D’après Bés Bi-Le Jour, qui donne l’information ce jeudi, ce dernier a été sauvé par son âge : il est mineur. Les quatre élèves qui complètent la bande sont en fuite. Les mis en cause envoyés en prison sont poursuivis pour destruction de biens appartenant à l’Etat. D’après le journal Le Quotidien, ils seront jugés demain, vendredi, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.

En plus de faire face à des poursuites judiciaires, les auteurs présumés de la mise à sac de la salle de classe du lycée de Yoff risquent l’exclusion définitive du système scolaire.

C’est la recommandation du Conseil de discipline de leur établissement adressée à l’inspection d’académie de Dakar, qui doit trancher.

Sénégal: Prés de 890 milliards FCFA attendus de l’exploitation du Pétrole et du gaz entre 2023 et 2025

Le document de programmation budgétaire 2023-2025 défendu le 30 juin dernier par le ministre des Finances et du Budget Abdoulaye Daouda Diallo donne les détails sur les recettes devant être tirées par le Sénégal à l’orée du début de l’exploitation des hydrocarbures découverts au large de ses côtes, notamment le pétrole et le gaz.

Les estimations de recettes issues de l’exploitation du pétrole et du gaz ont été réalisées en utilisant la version mars-2023 du modèle Fari (Fiscal Analysis of Resource Industries) développé par le FMI. Le prix de référence est calculé selon une méthodologie de calcul reposant sur une moyenne de 13 années intégrant des données historiques et projections officielles indique le document parcouru par le Témoin. Ainsi, sur la base des hypothèses d’un taux de change $/FCFA fixé à 595,6 FCFA, du prix du baril du pétrole à 90$ et de 10 % du cour du Brent pour le gaz, les projections de recettes attendues de l’exploitation des hydrocarbures, provenant des projets GTA et Sangomar, sur la période triennale tablent sur un montant global de 887,68 milliards FCFA réparti comme suit : 2023 : 59,16 milliards FCFA ; – 2024 : 327,28 milliards FCFA ; – 2025 : 501,24 milliards FCFA.

Toutefois, les services d’Abdoulaye Daouda Diallo indiquent que « suite aux aléas liés à la gestion de la Covid-19 en Chine et aux perturbations de la chaine d’approvisionnement et logistique  induites  par  le conflit russo-ukrainien, des risques de glissement des dates de démarrage de la production pour les projets GTA et Sangomar sont prévisibles avec un décalage potentiel vers 2024. Ainsi, ces risques pourraient impacter les premières recettes issues de la production d’hydrocarbures.  En effet, les plannings actuels des projets susmentionnés considèrent un first Gas et un first Oil en 2023. Ce sujet connait un suivi rapproché des services concernés en vue d’une adaptation du cadrage budgétaire ». Cadre global de l’utilisation des recettes.

D’après le ministre des Finances et du Budget, cette manne financière providentielle escomptée par le gouvernement ne devrait pas être dépensée n’importe comment. Les pouvoirs publics ont anticipé sur les orientations précises dans la gestion de cette manne. A ce titre, le cadre global a été mis en place pour l’utilisation et l’affectation des ressources issues du gaz et du pétrole, à travers la loi n°2022- 19 avril 2022 relative à la répartition  à et l’encadrement de la gestion des recettes issues de l’exploitation des hydrocarbures. Cette loi, en son article 5, fixe les orientations qui sous-tendent la gestion des recettes d’hydrocarbures, elle-même soumise aux principes de sincérité, de transparence, de suivi et de contrôle définis par la loi organique relative aux lois de finances et par la loi portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques. Ces principes visent l’utilisation optimale des ressources avec la prise en charge des questions sociales axées sur le désenclavement, l’équité spatiale, la mise aux normes des hôpitaux, l’accès universel à l’eau, à l’énergie, à l’assainissement et à l’éducation, la lutte contre les inondations et les filières porteurs de l’agriculture pour bâtir une économie résiliente et assurer ainsi l’indépendance et la sécurité alimentaire.

Dans cette optique, les orientations de ladite loi précisent la répartition des ressources d’hydrocarbures entre le budget général (maximum 90 %), le fonds intergénérationnel (minimum 10 %) et le fonds de stabilisation alimenté suivant le mécanisme
décrit dans la loi. Les recettes affectées au budget général serviront à financer des projets d’investissement identifiés sur la base des priorités des politiques publiques et des dépenses courantes, notamment celles à caractère social, à l’exception des dépenses de salaires. Ainsi, des dispositifs de gouvernance stratégique et opérationnelle des ressources pétrolières et gazières ont été introduits avec la mise en place du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz (COSPETROGAZ), la création d’un ministère en charge des hydrocarbures et la mise en place d’un Comité technique chargé d’élaborer le cadre de gestion des ressources issues de l’exploitation des hydrocarbures.

Avec le journal Le Témoin

Autoroute à péage : un ‘Ndiaga Ndiaye’ se renverse, 27 blessés

Un car “Ndiaga Ndiaye” vient de se renverser au niveau de l’autoroute à péage, peu avant la station Total, dans le sens Dakar-Thiaroye. Même si aucune perte en vie humaine n’est à déplorer, on compte 27 blessés dont 2 dans un état jugé grave.

L’autoroute à péage Dakar-Diamniadio est l’un des parcours où l’indiscipline et le manque de civisme des Sénégalais se manifestent le plus. Des chiffres obtenus auprès du concessionnaire, et confirmés par la brigade de gendarmerie de l’autoroute, font état de 5 accidents par jour en moyenne sur cette distance de 42 km. Cela sans compter les pannes de véhicule, estimées en moyenne à 35 par jour.

Ces chiffres montent jusqu’à 15 accidents et 100 pannes de véhicules les jours des Magal, Gamou et autres cérémonies festives, qui incitent à des déplacements importants. Et parmi les causes les plus fréquentes de ces accidents et perturbations, aux dires des témoins, il y a en premier lieu l’indiscipline des conducteurs. Et ensuite, l’état des véhicules.

Les gendarmes signalent que parfois les dégâts des accidents sont accentués par la manie de certains usagers, surtout ceux venant en sens inverse, quand ils sont témoins d’accidents, de ralentir et même s’arrêter pour regarder ou prendre des photos. Ce faisant, ils encombrent la chaussée, et souvent, rendent même difficile l’arrivée des secours.

Dans ces conditions, l’autoroute étant la voie principale d’accès à l’aéroport de Diass, le concessionnaire ne cesse d’enregistrer des récriminations de la part des usagers qui ont raté leur avion du fait d’un encombrement de la chaussée. Les services du concessionnaire font remarquer au passage, que la fréquence des incidents sur l’Autoroute de l’Avenir est 14 fois plus élevée que sur des voies européennes similaires.

La partition des denrées dans la “Tabascrise” : Les ménages déboussolés par les hausses effrénées

Les chefs de famille sont angoissés à suffisance. Ils sont tenaillés par les difficultés économiques et une hausse vertigineuse des prix des denrées de première nécessité. A quelques jours de la fête de la Tabaski au marché Castors, tous les prix des produits alimentaires ont connu une augmentation. De l’oignon, à la pomme de terre, en passant par l’ail, le piment, entre autres condiments de grande consommation. Les dames interrogées sont interloquées. Elle ne savent pas où donner de la tête et tiennent pour le responsable le gouvernement qui laisse les commerçants dicter leur loi dans un contexte de crise aigüe et multiforme. Au marché Castor. 9h 36mn tapantes. Les lieux grouillent de monde. Un méli-mélo indescriptible s’y règne. Entre les marchandages, les colporteurs qui hèlent les clients pour se frayer du chemin, les vendeurs de sachets et les petites disputes occasionnelles, impossible de garder ses nerfs intacts. Pire, les vendeurs de condiments debout devant leurs étales font du bruit avec des mains pour attirer les clients. Tandis que des camions poubelles et des clandos créent des embouteillages et bloquent la circulation. Cette ambiance électrique est surchauffée par les prix qui flambent. Habillé d’un survêtement rouge et d’un pantalon beige, Ousmane Baldé appelé affectueusement «Oussou bb» par ses clients tient une boutique de ravitaillement dans le marché à quelques rues du marché aux poissons. Interpellé sur la situation du marché à l’approche des fêtes, il révèle que tout a augmenté. «En ce moment, tout est cher. Tout a augmenté. En tant que grossiste, j’achète auprès de mes fournisseurs. S’ils augmentent les prix, je suis obligé de répercuter cette augmentation pour m’en sortir. À vrai dire, je ne comprends pas cette subite augmentation. On ne nous a rien expliqué mais comme depuis quelques temps, on est habitué à des prix qui valsent, on s’adapte», explique le jeune âgé de la trentaine. Plus loin, les marchands ambulants brandissent des couteaux, des ustensiles de grillade, de barbecue et autres instruments indispensables au sacrifice et à la préparation du mouton. Pendant ce temps, un torchon a la main, Aminata Fall chasse les mouches qui survolent son étale de condiments. Rangés de manière harmonieuse pour faire ressortir leurs fraîcheurs, ils sont intouchables. En effet, la vendeuse déclare que « le kilo de tomate qui coûtait 1000 francs est à 1200 francs, le kilo d’oignon se vend maintenant à 600 francs au lieu de 300 francs tandis que le sac coûte 9 500 FCFA. De son côté, le sac de pomme de terre est à 10 500, le kilo à 600 francs. Les prix ont subitement augmenté sans raison. On achetait il y a peu de temps à 4 mille puis à 7 mille le sac de pomme de terre et maintenant, c’est à 9 mille, on ne comprend pas », explique-t-elle. Après un tour effectué dans quatre magasins grossistes, même constat, même rengaine. «Tout a augmenté et les prix sont les mêmes. Le kilogramme d’ail est de 1000 francs, alors que le sac à 8500. Le piment 3500 francs le kilo, le poivre 4500 kilo tandis que le litre de la bouteille de vinaigre est passé de 400 à 500 francs. Cette tendance haussière n’a pas épargné le petit pot de moutarde qui est maintenant à 700 FCFA tandis que le pot d’un kilo est à 1600 (1200 FCFA). Mais le plus surprenant, c’est le cas du poivron vert qui est presque indisponible sur le marché, il est devenu aussi rare que l’or le kilo est vendu à 2500 francs alors qu’elle coûtait 800 francs le kilo. Plus loin dans les allées du marché, les gens se bousculaient pour se frayer un chemin. Rencontrée dans une boutique où elle faisait ses achats, Khady Boye se lamente de la cherté et annonce que d’ici samedi, ce sera pire. «Chaque matin, les prix augmentent, on a du mal à joindre les deux bouts. Les condiments qui servaient pour la ration d’une semaine font à peine trois jours et avec l’approche de la Tabaski cela va être pire», fulmine la dame. «Au Sénégal, c’est devenu une mauvaise habitude d’augmenter les prix en période de fête et c’est vraiment désolant», clame une autre mère de famille qui a préféré garder l’anonymat. Et de s’inquiéter : «comment allons-nous faire». Clients et commerçants se passent cette interrogation stoïquement et n’ont aucun espoir sur une possible régulation des prix des denrées de première nécessité.

Saint-louis: Pour punir sa fille de 3 ans, elle lui brûle les fesses

Une fillette de 3 ans, qui avait l’habitude de pisser au lit, s’est fait bruler les fesses par sa propre mère. La mise en cause a déclaré que sa fille est tombée sur une marmite d’eau bouillante.Malgré tout, elle a été placée sous mandat de dépôt. Une fillette âgée seulement de 3 ans a subi une violence atroces dont l’auteure n’est personne d’autre que sa propre génitrice. L’observateur dans sa parution du jour est revenu sur les circonstances de cet acte délictuel commis par la dame dans la ville tricentenaire. Reprochant à sa fille de pisser au lit, la jeune dame a opté pour une méthode radicale. Ainsi, mercredi dernier, après avoir bien muri son plan, elle a acheté un de pain de 100 FCFA. Puis, elle a invité sa cible, à la rejoindre dans sa chambre. Ne doutant de rien, la fillette, toute souriante, a répondu à sa maman en courant. Alors dès qu’elle franchit le seuil de la porte, la jeune dame qui chauffait déjà le couteau sur des braises ardentes, l’a déshabillée rappelle le journal dans sa parution du jour. Sans perdre de temps, elle maitrise bien sa victime avant de lui brûler les fesses. Sans défense, la petite criait de toutes ses forces pour que de bonnes volontés puissent la libérer des griffes de sa maman. “Si tu urines à nouveau au lit, tu verras pire” met en garde la jeune dame à sa fille après l’acte délictuel. En effet, la famille a tenté d’étouffer l’affaire mais un Agent de sécurité de proximité servant à Louga qui passait un week-end avec sa famille à Diamaguène a été informé de cette barbarie dont a été victime la fillette. L’agent saisi le responsable du service d’Assistance éducative ( Aemo) ainsi que le commissariat de police de l’Île. Une enquête a été ouverte sur ordre du procureur près le tribunal de grande instance de St louis pour élucider cette affaire. La jeune dame et son époux( père adoptif) ont été mis aux arrêts. Pour se tirer d’affaire devant les enquêteurs, le père adoptif a déclaré qu’il ne peut empêcher à sa femme de corriger sa fille. Il a été libéré mais le sort de son épouse est différent. La dame qui a déclaré que sa fille est tombée dans une marmite contenant de l’eau chaude n’a pu se tirer se d’affaire face à la constance des accusations de sa fille. Cette dernière a maintenu ses propos: “Maman m’a brûlée les fesses avec un couteau chauffé”. Le père adoptif est sorti libre, son épouse a été placée sous mandat de dépôt tandis que la fillette a été placée dans un centre spécialisé.

Les casseurs du lycée de Yoff présentés au procureur ce mercredi

13 sur 17 élèves présumés auteurs de la mise à sac de salle de la 4e C seront déférés au parquet ce matin. La gendarmerie de la Foire traque 4 apprenants qui auraient quitté Dakar.

Petit à petit, la gendarmerie réunit les pièces du puzzle relatif au saccage de la salle de la 4e C du Lycée Ousmane Sembène de Yoff. Bes bi Le Jour a appris, de sources proches du dossier, que des 17 auteurs présumés de la casse, survenue la semaine dernière, 8 ont été convoqués hier et finalement placés en garde à vue. Nos informateurs font aussi savoir que 4 élèves auraient refusé de déférer à la convocation de la gendarmerie de la Foire même s’ils se sont en définitive ravisés. « Des élèves ont été cueillis de force par des gendarmes », nous souffle-t-on. 4 autres seraient en vacances anticipées pour échapper aux foudres de la loi. Le groupe devrait rejoindre Ousmane Dièye, présenté comme le cerveau de l’affaire, afin de s’expliquer devant le procureur de la République, ce matin.
Nous avons consulté la liste dressée par la gendarmerie identifiant clairement les fauteurs de trouble. Il s’agit de Ousmane Dièye, Ousmane Mbaye, Ousmane Ndiaye Dioya Laye Samb, Mohamed Sangaré, Mohamed Lamine Diallo, Mohamed Sall, Moustapha Diop Faye, Ndèye Maguette Ndiaye, Mame Diarra Bousso Kharma, Elimane Madiaye Diop, Amadou Ndao, Mamadou Kébé, Serigne Mbacké Sène, Madaga Diouf, Abdoulaye Guèye Sylla, Mohamed Fall et Libasse Seck.

4 élèves en fuite
Ils sont tous poursuivis pour « destruction de biens publics » au sein de cet établissement créé en 1986. Statuant sur les faits, la réunion du Conseil de discipline s’est poursuivie jusque tard dans la nuit. D’après nos informations, les parents d’élèves ont certes regretté l’attitude des élèves, mais déplorent l’absence de surveillance au niveau du Lycée. « Comment des gens peuvent passer des minutes à semer le trouble dans cette classe sans que personne n’intervienne pour remettre de l’ordre ? », s’est interrogé Mamadou Mbengue, président de l’Association des parents d’élèves du Lycée, absent de la rencontre du Conseil de discipline. Il a aussi été dénoncé le fait d’accepter au sein de l’école un garçon de 18 ans qui fait la classe de 4e.

Au finish, le dernier mot va revenir au Conseil de discipline qui va rédiger un rapport qui sera transmis à l’inspecteur d’académie de Dakar. Ce dernier qui s’est déplacé sur les lieux samedi, va envoyer le document au ministre de l’Éducation nationale, Mamadou Talla décidé à frapper fort contre les potaches.

Kolda : un jeune chauffeur meurt électrocuté par la ligne haute tension

Le drame s’est produit à Saré Téning dans la commune de Niagha. Daouda Seydi 23 ans habitant Sinthian kébda a trouvé la mort par électrocution ce mardi aux environs de 18 heures à Sare Téning.

Selon les témoins trouvés sur le lieu du drame, le jeune chauffeur en provenance de Kolda au volant d’un minicar de transport en commun a trouvé son ami en train de se donner beaucoup de peine pour abattre un arbre aux abords de la RN6 sous les supports de la ligne haute tension.

Les mêmes sources rapportent qu’il a volontairement stationné son véhicule sur le côté opposé et avant de proposer une solution selon lui, beaucoup efficace.

Mal lui en a pris. Il a essayé d’abord de vouloir élaguer les branches sans prendre en compte du fait que certaines effleurent la ligne haute tension. À peine grimpé sur l’arbre qu’une forte décharge électrique s’est abattue sur lui avant de le propulser tout raide à terre. C’est ainsi que la tristesse et la désolation se sont emparées du village.

C’est dans ambiance de tristesse que les éléments de la 42é compagnie des sapeurs-pompiers de Kolda sont arrivés sur le lieu du drame, quelques instants après, pour récupérer le corps sans vie du jeune homme de 23 ans pour le déposer à la morgue de l’hôpital régional de Kolda.

Les pertes en vies humaines sont assez fréquentes dans ces localités ou les habitations sont pour la plupart en dessous de la ligne haute tension sur la RN6.

Avec Emedia

Drame à Fatick : une collision entre un Prado et un taxi fait trois morts et deux blessés

La route a encore fait des victimes. Trois personnes ont été tuées et deux autres blessées dans un accident de la route survenu mardi à Darou Salam, dans la région de Fatick. Selon l’Agence de presse sénégalaise, il s’agit d’un Prado et un taxi qui sont entrés en collision dans ce village situé dans la commune de Ndiob.

«Toutes les personnes décédées étaient à bord du véhicule de transport en commun, un taxi qui se rendait de Gossas à Diourbel» a précisé le lieutenant Mansour Faye, commandant du centre de secours et d’incendie de Fatick.

D’après la même source, une femme âgée d’une soixantaine d’années et le chauffeur du taxi sont décédés sur-le-champ, tandis qu’une jeune dame voyageant avec eux a succombé à ses blessures lorsque les sapeurs-pompiers l’évacuaient à l’hôpital El Hadj-Ibrahima-Niass de Kaolack.

L’accident a eu lieu après l’éclatement d’un pneu du véhicule 4×4 qui venait dans le sens inverse du taxi, informe un gendarme. Ce dernier ajoute : «le chauffeur du 4×4 a perdu le contrôle du véhicule, qui a fait plusieurs tonneaux avant de heurter violemment le taxi. Deux passagers du Prado, blessés, ont été évacués vers des établissements de santé pour y recevoir des soins».

Le siège du Brt attaqué

Une attaque à main armée a été perpétrée à la base du projet du Bus rapid de Transit (Brt) sise à Guédiawaye précisément à Wakhinane Nimzatt.

Le siège du Brt a été visité. Des hommes (10) lourdement armés de fusils de chasse et de couteau et encagoulés, ont attaqué, avant-hier, le siège du Brt située en bordure de la plage, juste derrière les locaux de la police de Wakhinane Nimzatt.

Les malfaiteurs au nombre de dix, qui étaient à bord d’un véhicule pick-up double cabine, ont pris d’assaut, vers 3h du matin, l’emprise du Brt.

Ils pénètrent à l’intérieur du bâtiment, tiennent en respect les employés, dont deux Chinois qui se trouvaient sur le site du projet. Puis, ils malmènent les deux vigiles, les neutralisent, les ligotent solidement, l’un d’eux faisant office de sentinelle devant le portail du projet.

Ils s’engouffrent dans les couloirs des bureaux du projet et ciblent ceux du comptable et du trésorier. Ils ouvrent les bureaux du comptable et du trésorier à la recherche de l’argent déposé la veille. Mais n’ayant pas mis la main sur le coffre-fort, les malfaiteurs retournent vers les employés et les dépouillent un à un, de leurs biens matériels sous la menace de leurs armes. Ils s’emparent de leurs téléphones portables, de l’argent et tout autre objet de valeur.

Alertés, le chef de service du poste de police de Wakhinana Nimzatt active ses éléments qui débarquent sur les lieux. Les braqueurs flairent l’arrivée des flics et sautent dans leurs véhicules. Avant de s’enfuir, ils ciblent un pick-up de service du Brt et l’emportent avec eux.

Dans leur fuite, ils procèdent à des tirs de sommation à tout va, pour tenir en respect les employés et surtout pur éviter d’être suivis. Les flics qui sont arrivés tardivement vont retrouver, dans leurs fouilles, le téléphone portable d’un des malfaiteurs.

Un ressortissant chinois qui travaille à la base du projet du Brt qui a vécu le braquage, témoigne : « un braqueur a posé un couteau sous ma gorge et m’a dit « Cfa ». « Je lui ai montré ma valise dans laquelle se trouvait un billet de 1000 dollars », a déclaré le Chinois qui signale qu’il a été aussi dépouillé de son téléphone.

A la lumière des éléments matériels de l’enquête préliminaire, des zones d’ombres subsistent dans l’attaque de la base du projet Brt. En effet, après le dépôt de la somme d’argent dans les caisses du projet, les malfaiteurs ont débarqué le lendemain (hier à 3h du matin) pour attaquer la base. Et curieusement, ils n’ont ciblé que les bureaux du comptable et du trésorier, où l’argent à transité. La police soupçonne un deal avec la complicité de quelques employés du Brt. Mais c’est à croire que les responsables du projet avaient flairé le coup tordu. Car, ils ont, entre temps, déplacé les sous. Un autre détail troublant : le véhicule pick-up emporté par les assaillants. C’était le seul véhicule parmi tant d’autres stationnés, qui contenait de l’essence. Mieux, ils n’ont aucune difficulté à reconnaitre les clés de la voiture pick-up qui étaient accrochées à un mur. Une enquête a été ouverte.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention