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Meurtre à Pikine: Un soudeur métallique tue un vendeur de moutons

Une bagarre a viré hier, à un drame à Pikine-Dalifort, non loin du foirail de la Séras. Un vendeur de moutons a été poignardé par un soudeur métallique. Et le soudeur métallique a soutenu qu’il a été blessé, en premier, par le vendeur de moutons.

L.Guéye a planté un couteau à S. M. Thiam. Évacuée à l’hôpital de Pikine, la victime a fini par succomber à ses blessures.

Surcharge à l’essieu : le Sénégal perd 10 milliards FCFA par an à réparer les dégâts

Les gros porteurs ne se conforment pas aux règles de la charge à l’essieu qui est la charge maximale qui peut être admise sur chaque essieu du véhicule, en fonction des caractéristiques de l’infrastructure de transport.

Et les efforts consentis par l’Etat du Sénégal pour mettre en place un réseau routier moderne sont compromis par les conséquences de la surcharge à l’essieu.

« Par an, le gouvernement du Sénégal investit près de 50 milliards de FCFA pour l’entretien de ce patrimoine », note Babacar Diop, Secrétaire général de l’Anaser (Agence nationale de sécurité routière). Malheureusement, ces investissements ne donnent pas le résultat escompté. Car « l’impact qu’on a eu à voir au niveau de la surcharge à l’essieu au Sénégal est de 60 milliards, 30 milliards au Burkina Faso et 39 milliards au Mali », a révélé Malang Faty, expert routier, qui faisait une présentation sur la charge à l’essieu à l’occasion du séminaire organisé dans le cadre du Programme d’appui à la gouvernance des transports terrestres par Pagotrans à l’intention des journalistes. C’est une vraie problématique en ce sens que l’Etat perd 10 milliards de francs chaque année dans le domaine routier.

« Depuis 2005, confie Malang Faty, ce sujet a toujours fait l’objet d’un débat au niveau de l’Uemoa. Mais, le problème n’est toujours pas résolu », se désole-t-il. Alors que la surcharge continue à causer énormément de problèmes au réseau routier.

A en croire M. Faty, les routes que l’Etat du Sénégal a construites sont faites pour durer 15 ans ou plus. « Mais, il y a un seul cas où il y a plus de 15 ans et tous les autres se réduisent à moitié ou au tiers », a-t-il révélé lors d’un atelier de sensibilisation des professionnels en sécurité routière dont le thème est : « Sensibiliser et permettre aux journalistes de disposer des informations sur le transport terrestre, la sécurité routière et l’impact de la surcharge à l’essieu.»

« Ce qui motive cet atelier c’est de vous sensibiliser et vous permettre, vous journalistes, d’avoir des informations sur le transport terrestre, la sécurité routière et l’impact de la surcharge à l’essieu sur le patrimoine routier», indique Babacar Diop.

Mbagnick Diop aux “trousses” de Pape Amadou Mbodji

Dans un communiqué fendu , le collectif pour le soutien de la Calebasse d’Excellence a fustigé latitude du promoteur du “Coris” d’or qu’il accuse de plagiat . Sur la note , on lire :  Nous le collectif pour le soutien de la calebasse d’excellence tenons à dénoncer la démarche de l’initiative du  » Coris D’or » en la personne de Monsieur Mbagnick Diop communément appelé  » Souce ». Ce dernier après avoir usurper toutes les démarches voir les méthodes de mise en œuvre de la calebasse d’excellence en utilisant textuellement toute la nomenclature de la calebasse de l’excellence , qui s’est vue usurpée par les organisateurs du  » Coris d’or » partant des personnes à honorer”, renseigne la source repris par xiabru  .

Et d’ajouter : “Par exemple après avoir entrepris la même démarche en 2018, 2020, et 2021 en utilisant le format de calebasse d’excellence, les organisateurs du Coris d’or ont maintenu la même démarche aux allures d’ usurpateurs tant les acteurs voir les icônes à honorer( voir édition 2021 et 2021)”. Ne restant pas là , ladite entité a annoncé une plainte au niveau de la  Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins (SODAV) . ” Ainsi le collectif pour le soutien calebasse d’excellence annonce l’opinion nationale et internationale que plainte sera déposee Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins (SODAV) , dés lors que le format du calebasse d’excellence reste un produit protégé depuis sa mise en place par le Président Pape Amadou”

Embarqués à Saint-Louis: Une embarcation de fortune de 189 migrants échoue sur les côtes marocaines

Rêve brisé pour 189 candidats à la migration irrégulière en provenance de Saint-Louis pour rallier les côtes espagnoles s’est brisé à Dahla. C’est dans cette ville portuaire marocaine que la pirogue a échoué avec à bord ses passagers, dont deux femmes et leurs bébés.
Embarqués à Saint-Louis: Une embarcation de fortune de 189 migrants échoue sur les côtes marocaines
L’embarcation avait quitté la ville tricentenaire le 29 juin dernier pour se rendre en Espagne, mais n’a pas gardé le cap.
Des  clandestins, constitués de ressortissants Sénégalais et Guinéens ont été pris en charge dans un bâtiment pendant 48 heures. Après avoir reçu la visite de l’autorité consulaire sénégalaise, lesdits passagers ont manifesté leur volonté ferme de retourner au bercail.
L’autorité sénégalaise a annoncé que le consulat était en train de voir comment les rapatrier.

Arnaque ou fatalité ? 49 pèlerins laissés en rade par “Conciergerie-voyage” qui va rembourser par…

L’agence conciergerie Voyage a brisé le rêve de 49 pèlerins qui se préparaient déjà à aller effectuer leur pèlerinage aux lieux saints de l’Islam. Ces derniers ont versé chacun 4,5 millions FCfa à cette agence pour les besoins du pèlerinage. Certaines victimes affirment que le monsieur qui se trouve être leur répondant, a disparu.

En effet, les pèlerins devaient voyager depuis le 23 juin dernier. Seulement, une des victimes du nom de Rama Sonko qui a payé le billet pour sa belle-sœur, explique:« C’est seulement dans la matinée du dimanche 3 juillet que l’agent répondant de l’agence Conciergerie Voyage, a envoyé un vocal dans le groupe WhatsApp des différents pèlerins, pour leur notifier qu’ils ne pourront plus voyager. »

Les motifs invoqués : « des visas qui ne seraient pas sortis». Selon la même source, sur 49 pèlerins seulement 18 avaient un visa. Malgré tout, ces derniers ne pourront pas effectuer le pèlerinage car l’agence n’a pas trouvé un avion devant les transporter à partir de Dubaï pour rallier la Mecque. En définitive, tous les 49 pèlerins ne vont pas accomplir ce pilier de l’islam.

Le comble du tout, l’agence qui a donné rendez-vous à ces pèlerins, ne compte pas rembourser totalement l’argent de ces derniers. « Le représentant de l’agence est venu avec son avocat et a proposé de rembourser une partie, le reste se fera par moratoire », renseigne une autre des victimes.

Au niveau de l’agence, aucune réponse n’a été fournie. Le téléphone sonne dans le vide, de l’autre côté du fil, personne ne répond. Les messages sur WhatsApp sont restés sans réponse jusqu’au moment où nous mettions en ligne. Toutefois, nous restons à la disposition de l’agence pour recueillir sa version.

Un indicateur de la police aspergé d’acide par des agresseurs

Serigne Saliou Diop alias Baye Fall, indicateur de la police a frôlé la mort. Spécialiste de garde rapprochée, il a été aspergé d’acide par une bande de malfaiteurs dirigée par le caïd Khadim.
D’après L’OBS, il s’est retrouvé le visage défiguré. Les faits ont eu lieu à Darou Salam 2 à Keur Massar. Soupçonné d’être l’informateur de la police, Khadim et sa bande débarque chez lui après avoir pourchassé un étudiant qui s’est refugié dans sa maison.
Munis d’armes blanches, les malfaiteurs lui ont asséné plusieurs coups de couteau et de machette. Malgré tout, il ne saignait et ses agresseurs ayant compris que Baye Fall est invulnérable (toul au couteau), change de stratégie.
Au plus fort de la bagarre, il entend l’un des malfrats souffler à l’oreille de ses complices de passer à l’acide. L’un des malfaiteurs exhibe une bouteille d’acide, vise le visage de Baye Fall et l’asperge du liquide piquant qui lui ravage la partie gauche de son visage et tout le front.
Après leur forfait, ils s’enfuient laissant Baye Fall en proie à de graves brûlures au visage. Après l’attaque à l’acide, les malfrats s’en ont pris à la maison du chef de quartier et celle d’un émigré membre du comité dé vigilance mis en place dans le quartier.
Après les investigations, la gendarmerie a procédé à l’arrestation de 13 malfrats. Les pandores ont également saisi des armes blanches, de la drogue et une machine à sous.

Enlèvement de bébé Aida : Plusieurs zones d’ombre

Les choses se corsent pour Sira Diallo, la kidnappeuse de bébé Aida qui a été enlevée à Pikine devant son domicile.

La ravisseuse a été déposée en prison hier vendredi après son inculpation par le Doyen des juges du 1er cabinet du tribunal de Pikine-Guédiawaye, rapporte Libération. Ce, après l’ouverture d’une information judiciaire. Elle est poursuivie pour enlèvement par fraude d’un enfant mineur.   La ravisseuse a été déposée en prison hier vendredi après son inculpation par le Doyen des juges du 1er cabinet du tribunal de Pikine-Guédiawaye, rapporte Libération. Ce, après l’ouverture d’une information judiciaire. Elle est poursuivie pour enlèvement par fraude d’un enfant mineur.

Il ressort de son compte Snapchat que son époux établi à l’étranger savait qu’elle détenait dans son domicile bébé Aida. Là aussi, Sira Diallo assure lui avoir dit que c’était un enfant qu’on lui a confié, ce qu’il a convaincu.

La levée des sanctions contre le Mali à la UNE

La levée des sanctions économiques contre le Mali, décidée dimanche à Accra (Ghana) par les dirigeants de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), est largement commentée par les quotidiens reçus lundi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

’’Le soulagement sur l’axe Dakar-Bamako’’, dit le quotidien Le Soleil après la levée des sanctions contre le Mali, relevant que 68% du trafic malien passait par le Port de Dakar.

La publication rappelle toutefois qu’en matière d’affaires, ‘’il est plus facile de gagner un nouveau client que de reconquérir un client perdu’’.

’’Cet adage résume le sentiment qui anime les opérateurs économiques sénégalais après la levée des sanctions économiques et financières contre le Mali’’, écrit le journal.

’’Cet épisode va laisser des traces’’, regrette Mor Talla Kane, Directeur exécutif de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES), en estimant que ces sanctions, en tout cas pour le volet économique, ‘’n’auraient jamais dues être prises’’, rapporte Le Soleil.

Le 61e sommet ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernements de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), tenu dimanche à Accra, au Ghana, a décidé de lever les sanctions économiques et financières que l’organisation avait imposées au Mali depuis janvier dernier, a-t-on appris de source médiatique.

Cette décision ouvre la voie à une réouverture des frontières avec le Mali et au dégel des avoirs de l’Etat malien par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).

Les sanctions financières individuelles visant des dirigeants maliens restent cependant maintenues.

En janvier dernier, les chefs d’Etat de la CEDEAO avaient pris la décision de fermer les frontières avec le Mali au sein de l’espace régional. Ils avaent aussi annoncé la suspension des échanges commerciaux à l’exception des produits essentiels.

L’organisation régionale avait également décidé de couper ses aides financières et de geler les avoirs du Mali à la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest.

Ces sanctions avaient été prises en réaction à la décision de la junte de continuer à diriger le Mali pendant cinq années.

En début de semaine, les autorités de la transition malienne ont annoncé le calendrier des futures élections communales, régionales (juin 2023), législatives (octobre 2023) et surtout présidentielle (février 2024) qui marqueront la fin de la période de transition, d’ici à mars 2024.

’’Le Mali respire enfin’’, se réjouit EnQuête, rappelant que ‘’ces sanctions étouffent le pays depuis le 9 janvier’’.

Pour Le Quotidien, ‘’le Mali respire’’. Selon ce journal, Bamako ‘’est le grand gagnant du Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de la CEDEAO réunis hier à Accra avec la levée, par les dirigeants ouestafricains, des sanctions économiques et commerciales prises à son encontre’’.

’’La CEDEAO lève les sanctions contre le Mali’’, affiche à sa Une le quotidien L’As, qui s’exclame : ‘’Ouf de soulagement pour le peuple malien !’’.

Selon WalfQuotidien, ‘’le Mali retrouve une partie de ses poumons qu’il avait perdus depuis le 9 janvier dernier à la suite des sanctions de la Cedeao’’.

’’Il a vu le blocus auquel il était soumis, être levé à l’issue du 61e sommet de l’institution sous régionale, qui a pris fin hier, à Accra, au Ghana. C’est dire donc que les progrès réalisés ces dernières semaines par les autorités maliennes pour un retour à l’ordre constitutionnel ont porté leurs fruits’’, écrit Walf.

Le quotidien Bës Bi Le Jour revient sur le ‘’Saccage du Lycée Ousmane Sembène de Yoff’’ et affiche à la Une : ‘’Le film de l’indiscipline’’. ‘’Tables bancs cassées, fenêtres brisées, cahiers déchirés… A la classe de la 4ème C du Lycée Ousmane Sembène de Yoff (Losy), la fin des cours a viré aux actes de vandalisme’’, note la publication.

’’16 élèves ont été identifiés comme auteurs présumés des saccages d’une salle de classe au Lycée Ousmane Sembène de Yoff. Pour l’heure, seul Ousmane Dièye, 18 ans, est arrêté et pourrait être déféré au parquet ce matin’’, rapporte la publication.

AVEC APS

Accusée d’avoir volé un téléphone portable et une somme de 350 000 F Cfa : la domestique traduite en justice par sa patronne

Pour des faits de vol à l’occasion du service, comparaissait, vendredi dernier, la domestique Fally Diop. Elle est attraite à la barre du tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar par sa patronne Ndeye Awa Mbengue et la sœur de celle-ci, Awa Cheikh Mbengue.

Prévenue de vol à l’occasion du service, la domestique Fally Diop faisait face, vendredi dernier, à la juge du tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar. Elle est attraite à la barre par sa patronne Ndèye Awa Mbengue et sa sœur Awa Cheikh Mbengue. En effet, son arrestation est survenue après la disparition dans la chambre de sa patronne, le téléphone portable de celle-ci et les 350.000 francs que sa sœur y avait gardés.

Ayant constaté dans la matinée du 24 juin dernier que leurs biens ont été soustraits, les deux sœurs ont soupçonné la domestique Fally Diop comme étant l’auteure du vol. À en croire sa patronne, si elle soupçonne Fally Diop, c’est parce que depuis que cette dernière est entrée dans la maison, ses objets ne cessent de disparaître. Selon elle, avant ce vol, elle avait déjà perdu un premier téléphone ainsi qu’une bague en or, une perruque et un T-Shirt retrouvé sur la prévenue.

Quant à sa sœur Awa Cheikh Mbengue, elle ajoute avoir été victime d’un vol de 1.000.000 de francs alors qu’elle partage sa chambre avec la prévenue. En outre, renchérit Ndèye Awa Mbengue, l’autre élément qui enfonce sa bonne c’est que le voleur n’a pas commis d’effraction. «J’ai trouvé bizarre que le voleur n’ait pas pris les téléphones branchés au salon», a indiqué Ndèye Awa Mbengue.

Interrogée sur ces faits, la prévenue Fally Diop a tout battu en brèche. Après avoir soutenu qu’elle ne partage plus la chambre avec la partie civile, elle fait savoir que le tee shirt dont parle sa patronne lui a été offert par celle-ci. «Malgré qu’elles me doivent six mois de salaire, je continue de travailler», argue-t-elle.

Fally Diop a également nié en bloc les allégations du témoin selon lesquelles elle a toqué à la porte de sa maison pour récupérer un sachet. Mais comme il dormait, allègue-t-il, il n’a pas pu vérifier ce que contenait le sachet mais il affirme avoir aperçu un objet bleu dans le sachet. D’ailleurs, ce sont ces témoignages et les indications d’un marabout qui ont poussé Ndèye Awa Mbengue et sa sœur à ester en justice.

À la suite des parties civiles qui ont réclamé une réparation globale de 1.500.000 francs, le représentant du ministère public a requis l’application de la loi pénale. La magistrate va rendre son verdict vendredi prochain.

Touba : un apprenti menuisier âgé de 14 ans, tué et abandonné dans un bâtiment inachevé

Le cas de meurtre enregistré à Touba ce week-end, accentue la peur des populations par rapport à la récurrence des agressions mortelles déplorées à Touba. En effet, un apprenti menuisier âgé de 14 ans et répondant au nom de Elimane Thiam, a été trouvé mort dans un bâtiment inachevé au quartier Gare Bou Mak de Touba ce samedi.

Les policiers avaient fait une descente sur les lieux du crime et le corps sans vie avait été transporté à l’hôpital. D’après nos sources, c’est un lieu que fréquentent des délinquants tous les jours. Une enquête a été ouverte par les limiers de Ndamatou.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention