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Pour fêter la fin de l’année scolaire au lycée de Yoff : les élèves vandalisent les classes

Les élèves du Lycée de Yoff ont une façon bien particulière de fêter la fin d’année. Sur des images qui circulent sur les réseaux sociaux, on aperçoit des potaches s’adonner à des actes de vandalisme, en prenant pour cible leur Etablissement. Des scènes qui rappellent celles qui s’étaient passées au Cem de Hann.

Certains élèves sénégalais ont une curieuse manière de manifester leur joie lors de la fin de l’année scolaire. Pour eux, le dernier jour de classe rime avec actes de vandalisme. Malheureusement, ils n’ont trouvé rien d’autre à faire que de s’en prendre à leur propre établissement qu’ils mettent sens dessus dessous. Cette fois-ci, ce sont les potaches du Lycée de Yoff qui ont tout cassé sur leur passage.

Après avoir jeté sa blouse sur un tas d’ordures, un élève se mettait à démonter, une à une, les fenêtres de sa salle de classe, sous le regard complice de ses camarades qui renversaient, au même moment, tout ce qui est table-banc

La scène est juste insoutenable. Dans des vidéos qui ont fait le tour du web, on aperçoit des élèves du Lycée de Yoff commettre l’irréparable. Un comportement qui ne manquera pas de faire jaser. L’attitude de l’un des potaches a attiré notre attention. Ne se limitant pas à jeter sa blouse bleue sur un tas d’ordures, il est allé plus loin dans l’imbécilité. L’adolescent a décidé de s’en prendre aux fenêtres de sa salle de classe qu’il s’est mis à démonter une par une, sous le regard complice de ses camarades. Ces derniers ne sont pas en reste. Dans un tohu-bohu indescriptible, ils se sont mis à renverser les tables bancs. Les autres riaient, criaient et se délectaient de cette ambiance. La plupart étaient des garçons. Mais il y avait aussi des filles.

Après avoir jeté sa blouse sur un tas d’ordures, un élève se mettait à démonter, une à une, les fenêtres de sa salle de classe, sous le regard complice de ses camarades qui renversaient, au même moment, tout ce qui est table-banc

La scène est juste insoutenable. Dans des vidéos qui ont fait le tour du web, on aperçoit des élèves du Lycée de Yoff commettre l’irréparable. Un comportement qui ne manquera pas de faire jaser. L’attitude de l’un des potaches a attiré notre attention. Ne se limitant pas à jeter sa blouse bleue sur un tas d’ordures, il est allé plus loin dans l’imbécilité. L’adolescent a décidé de s’en prendre aux fenêtres de sa salle de classe qu’il s’est mis à démonter une par une, sous le regard complice de ses camarades. Ces derniers ne sont pas en reste. Dans un tohu-bohu indescriptible, ils se sont mis à renverser les tables bancs. Les autres riaient, criaient et se délectaient de cette ambiance. La plupart étaient des garçons. Mais il y avait aussi des filles.

Administration : Ceux qui pompent le plus la masse salariale !

La masse salariale du Sénégal a culminé à plus de 903 milliards de francs Cfa en 2021. Certains secteurs se sont taillés la plus grande part des rémunérations.

En 2021, l’administration sénégalaise a versé 903 milliards de francs Cfa à son personnel, en guise de salaires. La somme initialement prévue à cet effet, est de 896 milliards (base Lfr2 2021). Soit un dépassement de 7,9 milliards. Mais, un secteur s’est taillé plus de la moitié de cette masse salariale.

Une décomposition de la masse salariale, par secteur, montre la prédominance du secteur de l’Éducation et de la Formation professionnelle. À eux seuls, ces secteurs ont happé environ 603,9 milliards FCFA sur l’année 2021. Ce qui représente  55% du montant total.

Puis, vient le secteur des Forces de Défense et de Sécurité. Celui-ci  occupe 21% de la masse salariale de l’Etat. Les secteurs de la santé 5%, les Finances et la Justice 3%. Les autres secteurs, c’est à dire les ministères et institutions représentent 9% de la masse salariale.

Avec IGFM

​Coup de filet dans un appartement à la Médina- La police fait tomber 4 filles, âgées entre 18 et 22 ans, consommatrices de chanvre indien et de “Volet”

Tout  est parti d’une dénonciation anonyme de bonne maison (entendez une source fiable). Sans tarder, le commissaire de police de la Médina active ses perspicaces éléments de la Brigade de Recherches. Une souricière est vite dressée à l’adresse indiquée, précisément sur la rue 23 x 18 à un jet de pierre d’un détaillant de poulets. Comme si elles s’étaient passées le mot,  Ndiabou Ndiaye, Aminata Diallo surnommée Lodia, et leur copine communément appelée Fallas débarquent.  Hâte de consommer  du “Yamba” (chanvre indien) et du  “Volet” ( la nouvelle drogue qui fait des ravages chez les jeunes) , la bande saute des marches pour se retrouver, à la vitesse de l’éclair, dans la chambre de leur acolyte, Maty Ndao alias Rima. Elles ignorent qu’elles sont surveillées comme de l’huile sur le feu par des limiers en civil. Qui semblent ne pas être aux pièces, c’est à dire ne pas être pressés. Les policiers, rompus à la tâche, laissent assez de temps à Rima et Cie pour rouler leurs joints avant de les griller, non sans étaler à même le sol leurs comprimés d’Ectasy (surnommés Volet). Grande a été la surprise du gang de camées lorsque les policiers tambourinent à la porte de la piaule avant d’entrer comme un boulet. Elles tentent d’avaler à fond de train toute la quantité de drogue, mais c’était sans compter avec l’agilité des flics. Les filles, confuses, tombent ainsi dans la nasse de la police dite “4ème” de la Médina. Aux dernières nouvelles, poursuivie pour détention et consommation de drogue, la bande âgée entre 18 et 22 ans, logeant entre Rebeuss et la Médina, va comparaitre ce jeudi matin au parquet de Dakar. Du moins, sauf revirement. Affaire à suivre… AVEC DKP…

64 photos de mômes trouvées sur le téléphone de la ravisseuse de bébé Aïda

Suite et pas fin de l’affaire de la ravisseuse de bébé Aïda avec son lot de révélations. Il ressort de l’enquête que Sira Diallo est trop attachée aux enfants.

La preuve ? L’exploitation du téléphone portable de Sira Diallo s’est révélée extrêmement fructueuse. 64 photos de bébés ont été découvertes dans la galerie du portable de marque Samsung A12.

Bébé Aida aurait enlevé l’enfant devant son domicile à 10h 30. Sa ravisseuse a été filmée par une caméra de surveillance de l’agence Cofina se trouvant au marché Zing de Pikine.

“Aïda m’a tendu ses bras en m’ordonnant de la soulever. Ainsi, j’ai porté le bébé dans mes bras avant de me rendre dans une boutique pour lui acheter des bonbons”, avait confié la ravisseuse lors de son interrogatoire.

Dès sa sortie de la boutique, elle s’est enfuie avec bébé Aïda et a réussi à entrer, discrètement, dans son appartement avec l’enfant. Elle précise qu’elle prenait bien soin du bébé depuis le jour de l’enlèvement jusqu’à l’arrivée de la police de Pikine dans son appartement.

“J’aimais bébé Aïda et je la chérissais. Je veux avoir un enfant. Mais j’ai fait deux fausses couches. Je suis en train de suivre un traitement dans la médecine traditionnelle, en vue d’avoir un enfant”, confessait-elle.

S. Dramé vivait avec bébé Aida, dans un immeuble à trois étages situé à Pikine Icotaf. La ravisseuse a été alors dénoncée par sa colocataire nommée Sira D.

La kidnappeuse S. Dramé âgé de 28 ans a menti sur sa nationalité. Lors de son audition à la police, elle avait confié qu’elle est de nationalité gambienne.

Ce qui est totalement faux, en réalité, elle est bien sénégalaise. Elle a usurpé le nom de « Sira Dramé » pour brouiller les pistes.

A l’issue de sa garde à vue, la mise en cause a été déférée, ce jeudi, au parquet de Pikine pour enlèvement et séquestration sur un enfant mineur.

Perspectives économiques 2023 – Le budget à monte plus de 6 mille milliards

«En 2023, les prévisions budgétaires ressortiraient à plus de 6000 milliards de francs Cfa, chiffre très révélateur sur les ambitions du gouvernement», selon Abdoulaye Daouda Diallo, ministre des Finances et du budget, qui faisait face aux députés pour les besoins du Débat d’orientation budgétaire (Dob) marquant la clôture de la session ordinaire unique de l’année 2021-2022 de l’Assemblée nationale.

En 2023, le budget de l’Etat va encore monter, si l’on se fie au discours introductif au Débat d’orientation budgétaire (Dob) de 2022 du ministre des Finances et du budget. Echangeant avec les députés hier, sur les perspectives économiques et budgétaires de 2023 à 2025, Abdoulaye Daouda Diallo a souligné «la forte progression du budget depuis l’avènement de Macky Sall à la magistrature suprême». En 2012, argue-t-il, «le budget était arrêté à 2452 milliards de francs Cfa.
La loi de finances rectificative pour l’année 2022 a été arrêtée à 5556,7 milliards de francs Cfa et représente plus du double du budget de 2012. Et voilà qu’en 2023, les prévisions budgétaires ressortiraient à plus de 6000 milliards de francs Cfa, chiffre très révélateur sur les ambitions du gouvernement».

Cette tendance haussière du budget, d’après le ministre, «est gagée sur les performances liées aux réformes engagées depuis 2012 dans le cadre de la gestion des finances publiques et du renforcement des bases structurelles de l’économie, à travers notamment la mise en œuvre du Pse, qui a permis la réalisation d’importantes infrastructures sociales, mais aussi des programmes structurants de construction d’infrastructures économiques stratégiques, en particulier dans les secteurs des transports et des services énergétiques, qui doivent servir de base pour soutenir la croissance».
Et cela, assure Add, «s’est traduit par des progrès appréciables, notamment le relèvement du revenu per capita, c’est-à-dire le revenu national brut divisé par le nombre d’habitants, qui est passé de 1238 dollars Us en 2015 à 1467 dollars Us en 2020 (par convention, cet indicateur est calculé en dollars Us pour faciliter les comparaisons internationales).
Le taux de pauvreté a baissé de cinq points, passant de 42.8% en 2011 à 37.8% en 2018/2019. Sur le terrain de la lutte contre l’extrême pauvreté, les résultats obtenus sont encore plus encourageants puisque le taux est passé de 12.2% en 2011 à 6.8% en 2018/2019».
Il reconnaît tout de même que la pauvreté n’a pas disparu du Sénégal. «Nous avons des millions de compatriotes qui continuent d’en souffrir.
Le gouvernement est conscient que c’est un combat de longue haleine, qui exige des efforts, des ressources mais aussi de la patience. Mais nous œuvrons de manière très concrète pour améliorer la situation de nos concitoyens les plus vulnérables sur le plan économique», soutient M. Diallo. Avant d’évoquer «les 315 626 ménages bénéficiaires des bourses de sécurité familiale, chaque année, de même que 64 728 titulaires de la carte égalité chances». Le Programme national des Bourses de Sécurité familiale lancé en 2013, rappelle-t-il, «a, jusqu’en 2021, exécuté 164,025 milliards de francs Cfa. C’est en raison du succès dudit programme que la Banque mondiale a accordé dans un premier temps, un appui financier de 27 milliards de francs Cfa pour la mise en œuvre du Programme d’appui aux filets sociaux et dans un deuxième temps un financement additionnel de 43,4 milliards de transferts monétaires aux ménages pauvres».

Entre 7,8 et 10,5% de croissance
Sur la période 2023-2025, le ministre des Finances et du budget prédit «un taux de croissance moyen de 7.8%, avec un pic de 10.5% en 2023, à la faveur du démarrage de l’exploitation de nos gisements d’hydrocarbures».
Pour ce qui concerne l’inflation, note ADD, «elle se situera en moyenne à 3.8%. C’est un peu plus que le plafond fixé dans le cadre de l’Uemoa, lequel s’élève à 3%, mais on peut aisément faire le constat que notre pays est bien proche de la norme. Et le gouvernement continuera d’être vigilant sur le sujet de l’inflation et de prendre toutes les mesures d’accompagnement permettant de protéger le pouvoir d’achat des ménages, mais aussi les marges des entreprises».
dialigue@lequotidien.sn

244,06 milliards pour les collectivités

Abordant la situation des organismes publics composés des collectivités territoriales, des institutions de protection sociale et des entreprises publiques, Abdoulaye Daouda Diallo a assuré que «les transferts de l’Etat aux collectivités territoriales resteront sur une tendance haussière». Et le ministre des Finances et du budget de préciser : «Arrêtés à 39 milliards 332 millions 910 mille francs Cfa en 2012, ils (transferts) atteignent 93 milliards 997 millions 671 mille 582 francs Cfa en 2022, soit un doublement en dix ans. Notons également le démarrage effectif du Pacasen urbain et rural en sus des instruments financiers habituels que sont le fonds de dotation de la décentralisation, le fonds d’équipement des collectivités territoriales, les ristournes et le budget consolidé d’investissement décentralisé.
Les ressources à transférer par l’Etat aux collectivités territoriales devraient atteindre un montant de 244,06 milliards de francs Cfa sur la période 2023-2025, ce qui témoigne de la volonté des pouvoirs publics d’accompagner la décentralisation pour la création de territoires viables, compétitifs et porteurs de développement économique et social durable».

Joal : un talibé battu à mort par son maitre coranique

B.G, talibé âgé de 11 ans est mort à Joal après avoir reçu une sévère correction de son maître coranique Mouhamed Wahab Diop.
Pour n’avoir pas maîtrisé une sourate, il a été frappé l’enfant jusqu’à ce que mort s’en suive, rapporte L’OBS qui donne la triste nouvelle.
Le vendredi 24 juin dernier, le papa Abibou Gaye, décide, aux environs de 8 heures du matin de rendre visite à son fils, B.G, talibé interné au Daara.
Malheureusement ce jour-là, il trouve l’enfant très mal en point. Gravement malade, le garçon vomissait sans arrêt avec un forte fièvre, et présente également des enflures au-dessus de l’arcade gauche.
Le lendemain le 25 juin, l’état de santé de l’enfant s’empire. Evacué à l’hôpital de Thiès, le gamin succombera à ses blessures.
Aussitôt informés de la situation, les gendarmes débarquent au daara où ils font des découvertes horribles.
Onze talibés présentent de graves blessures corporelles. Arrêté, le maitre coranique reconnait sans ambages les faits à lui reprochés.
Mais s’empresse de préciser qu’il a frappé le petit B. G, dont le papa est son logeur à Joal, pour le corriger. Idem pour les autres talibés.

Des agents de santé dans la rue ce vendredi

Les agents de santé regroupés au sein de la F2S seront dans la rue, aujourd’hui à 9h. Entre autres points de leurs courroux, les acteurs de la santé vont attirer l’attention des autorités sur la tenue des négociations sectorielles avec les ministères concernés par la plateforme qui a été introduite par les syndicats. Mais aussi, parler du non-respect du protocole d’accord entre le gouvernement et les syndicats membres de la fédération (F2S), le paiement intégral des augmentations salariales aux personnels administratifs et contractuels. C’est depuis le 21 juin dernier que Souleymane Joe Mané et Mamadou M. Seck ont écrit au préfet pour l’informer de leur déclaration pour une marche pacifique.

Produits avariés : une tonne incinérée à Diourbel

La Brigade régionale des stupéfiants a procédé jeudi à l’incinération de 1tonne 400kg de produits illicites et de faux médicaments dont la valeur marchande avoisine 156 millions francs CFA.

La cérémonie d’incinération de ces différents produits prohibés a eu lieu à Diourbel en présence des autorités locales, les autorités administratives, le procureur de la République, la gendarmerie, la douane, l’administration pénitentiaire.

’’Les forces de défense et de sécurité de Diourbel ont saisi 1 tonne 400kg de produits illicites composés de 608 kg de chanvre indien, 795 kg de faux médicaments et 17 mille pilules de produits psychotropes”, a déclaré le commissaire de police Mody Fall. M. Fall s’exprimait au cours de la cérémonie d’incinération de ces différents produits prohibés en présence des autorités locales, les autorités administratives, le procureur de la République, la gendarmerie, la douane, l’administration pénitentiaire.

La valeur marchande de la drogue avoisine les 120 millions francs CFA et les faux médicaments 36 millions francs CFA. A en croire le chef de la brigade des stupéfiants de l’antenne locale de l’OCRETIS (Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants), ces saisies représentent les efforts consentis par l’ensemble des autorités de la région.

’’Le département de Mbacké est plus impacté par le trafic de drogue mais les forces veillent au grain et travaillent d’arrache-pied pour déstabiliser ces réseaux qui convient de fortes quantités de drogue dans la région”, a assuré le Commissaire de police.

VDN : Un voleur lynché et ébouillanté

Pris en flagrant délit de vol de catalyseur, Amadou Fall a été violemment tabassé et ébouillanté par une foule en furie. L’un de ses bourreaux présumés, à savoir Babacar Mbaye, a été interpellé et traduit hier, devant le tribunal de Dakar.

Amadou Fall a été victime d’une justice expéditive. Le voleur avait jeté son dévolu sur le catalyseur d’un véhicule de type Mercedes d’une valeur de 270 millions francs, appartenant à une société, située sur la Vdn (Voie de dégagement Nord). Il a été pris sur le fait par l’un des vigiles de l’entreprise, en l’occurrence Babacar Mbaye. Avant l’arrivée des riverains, ce dernier avait solidement attaché le délinquant avec une corde. C’est dans ces circonstances qu’il a été molesté et ébouillanté avec de l’eau chaude. Après cette terrible agression qui est survenue à 3h du matin, Babacar Mbaye a abandonné le malfaiteur sur les lieux jusqu’à 6h du matin, avant de le mettre à la disposition des enquêteurs. Évacué dans une structure sanitaire de la place, Amadou Fall a mis tout sur le dos de Babacar Mbaye. Jugé hier, pour coups et blessures et blessures volontaires, violence et voie de fait ayant entraîné une incapacité temporaire de travail indéterminée, l’agent de sécurité a clamé son innocence. A l’en croire, il est parti informer ses trois collègues qui se trouvaient dans l’enceinte de l’entreprise, après avoir ligoté le voyou. Il a ensuite appelé son employeur au téléphone. Entre-temps, le plaignant qui est toujours hospitalisé, a été passé à tabac par la foule en furie. « C’est sur instruction de mon employeur que je l’ai laissé sur les lieux. Je ne lui ai pas versé de l’eau chaude », a-t-il contesté. Face aux multiples interpellations de la représentante du Ministère public, le prévenu a changé de fusil d’épaule, déclarant que le voyou avait déjà des brûlures à la main au moment où il l’interpellait.

Estimant que les faits sont constants, la parquetière a requis deux mois de prison ferme. De l’avis de Me Michel Ndong, le comparant a commis une négligence en abandonnant la partie civile sur les lieux. Écroué ce mardi 28 juin 2022, le comparant connaîtra son sort le 7 juillet prochain.

Crash d’air Sénégal : L’État du Sénégal mis en cause

Sept ans après le crash d’un aéronef de la compagnie Sénégal Air, le procès devait se tenir hier, en audience spéciale à la salle 3 du Palais de justice de Dakar. Seulement, l’affaire a été renvoyée au 10 novembre prochain à la demande de Me El Hadji Amadou Sall, conseil de deux veuves qui ont comparu pour la première fois et qui se sont constituées parties civiles. La robe noire veut également installer l’État du Sénégal dans la cause. Pour toutes ces raisons, l’avocat a sollicité et obtenu le report. Le président de la juridiction a demandé au Ministère public de veiller à la présence de tous les témoins cités dans ce dossier, entre autres, Pape Maël Diop, ancien directeur général de l’Agence des aéroports du Sénégal (Ads).

L’accident s’était produit le 5 septembre 2015 et a enregistré sept morts. L’appareil transportait trois membres de l’équipage, de nationalités algérienne et congolaise, deux infirmiers, un médecin ainsi qu’une patiente française. L’enquête menée par le Bureau d’enquête et d’analyse (Bea) a révélé que pendant l’abordage, l’avion HS 125 qui effectuait un vol d’évacuation sanitaire de Ouagadougou n’avait pas respecté son niveau de vol (FL-340) lors du croisement avec le Boeing 737-800, un avion de la compagnie équato-guinéenne Ceiba. Selon le Bea, l’appareil de Sénégal Air n’était pas en couverture radar pendant l’accident, ce qui fait qu’il s’est retrouvé sur le niveau de vol du Boeing 737-800. D’après le directeur de la structure, l’appareil n’avait pas été retrouvé parce qu’il s’était abîmé à plus de 90 km de nos côtes.

Visés pour homicide involontaire, les prévenus sont Magaye Marame Ndoa, ancien directeur général de l’Anacim, Mohamed Mansour Sy, directeur des transports aériens à l’Anacim, El Hadj Mactar Daff, inspecteur navigabilité, Mamadou Sy, chef du département navigation et le contrôleur, Jacob Léye. À l’époque, le défunt Doyen des juges, Samba Sall, avait inculpé Gérard Gabriel Diop, directeur général de Sénégal Air et ses quatre collaborateurs, lesquels ont malheureusement rendu l’âme.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention