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Macky hausse (aussi) les pensions de retraite

Le Président a accédé à la demande des retraités militaires et civils, qui demandaient la revalorisation de leur pension.

Appel entendu. Quelques jours après la sortie musclée de l’Association nationale des retraités civils et militaires (Anrcm/Fnr), soutenue par des centrales syndicales, le Président Sall a décidé de répondre favorablement à leur demande. Hier, le Conseil des ministres a adopté le projet de décret portant revalorisation des pensions et rentes du régime de base du Fonds national de retraites et des pensions militaires d’invalidité. Ce qui constitue une bonne nouvelle pour l’Anrcm/Fnr, qui avait prévu de tenir un sit-in mardi pour exiger ainsi «la revalorisation substantielle des pensions Fnr à hauteur de 55%, en tenant compte du coût de la vie et de la promesse de l’ancien Premier ministre, M. Mouhamed Boun Abdallah Dione, dans son Discours de politique générale devant l’Assemblée nationale en 2017». Selon elle, «l’adoption et l’application de ces mesures ne seront que rendre Justice à d’anciens braves travailleurs qui ont rendu de loyaux et éminents services à l’Etat et à la Nation. Il s’y ajoute que leurs pensions ont fait l’objet d’un gel total depuis onze ans (11 ans) alors que leur pouvoir d’achat n’a cessé de dégringoler durant cette décennie, avec le renchérissement continu du coût de la vie devenu insupportable de nos jours». Dans la même veine, les retraités demandent «l’augmentation dans les meilleurs délais, des pensions, consécutivement à la hausse de 5 points de la valeur du point indiciaire». Ce, soutiennent-ils, «conformément à l’article 29 de la loi 81-52 du 10/71981 portant Code des pensions civiles et militaires de retraite». Les centrales syndicales et les membres de cette association veulent aussi qu’il soit mis fin aux «tergiversations quant à la signature du projet de décret d’augmentation des pensions Fnr à hauteur de 10% à 25%, en souffrance dans les circuits administratifs depuis fort longtemps».

pulse

Mbour : Le locataire était intrigué par l’odeur qui provenait de la chambre voisine

Perdu de vue depuis des jours, le corps du peintre A. Thiam a été retrouvé, hier à Grand Mbour, dans un état de putréfaction très  avancé. Tout est parti lorsque le nommé Adama a senti qu’une odeur nauséabonde provenait de la chambre de son colocataire.
 
Ainsi, il en a informé les policiers du poste de Diamaguène 2 de Mbour qui ont débarqué sur les lieux, hier, vers 21 h, selon des sources de Seneweb.
 
Après avoir défoncé la porte de la chambre, les limiers ont découvert le corps du quinquagénaire dans un état de décomposition très avancée.
 
Suite au constat effectué par les hommes du lieutenant Moussa Faye en charge de l’enquête, le corps  du peintre A. Thiam  a été acheminé à l’hôpital de Grand Mbour par les sapeurs-pompiers, d’après des sources de Seneweb.

Témoignage de Mariama Ba, sur la souffrance des émigrés : “Je suis rentrée pour ne pas mourir esclave au Maroc…’’

À l’heure de la mondialisation, les murs persistent de se multiplier partout dans le monde contre les phénomènes migratoires. Souvent, les yeux sont braqués sur l’Occident. Mais le mal est jusque dans l’environnement « proche » africain. Le drame de Nador/Melilla rappelle à Mariama Ba son douloureux passage au Maroc. 

Elle était partie pour un long séjour. Mais, très vite, la jeune maman a déchanté. Elle raconte :

« Quand je vois les femmes se ruer vers le Maroc, cela me fait de la peine. Moi, j’ai vécu l’enfer dans ce pays. Avec des salaires misérables, on nous assigne à des travaux très pénibles. Par exemple, j’ai travaillé comme baby-sitter. Non seulement je n’avais pas droit au repos, mais aussi, je devais poser l’enfant qu’il dormait. Et ce n’était pas pour me reposer. Je devais en profiter pour faire les autres tâches ménagères. Dès que l’enfant se réveille, je devais arrêter pour aller le prendre. On était les premiers à se lever, toujours les derniers à se coucher. Et ils ne nous permettent même pas de prendre une minute pour respirer. Tout cela, pour des salaires modiques.”

Fatiguée, Mariama a préféré fuir cet environnement hostile, pour revenir s’implanter dans son pays natal. Elle espère y trouver des conditions meilleures avec les supposées politiques de l’État en faveur des migrants de retour. Mais depuis qu’elle est rentrée, elle n’a même pas d’interlocuteur.

Elle déclare, ironique : « Ici, nous avons au moins la paix. Mais il n’y a pas de travail. Les gens parlent beaucoup, mais les migrants de retour sont laissés à eux-mêmes. Nous ne sentons vraiment pas une volonté étatique de nous accompagner à trouver l’emploi ou au moins des financements pour ceux qui ont des projets. Moi, je suis rentrée parce que je me suis dit qu’au moins, si je meurs, ce sera auprès des miens. Il vaut mieux souffrir ici que de mourir là-bas comme un esclave. Mais d’autres préfèrent retourner et pourquoi pas tenter par tous les moyens de regagner l’Espagne.”

Avant de se rendre au Maroc, l’ancienne actrice avait déjà fait la Gambie. Au pays d’Adama Barrow où elle a vécu pendant près de deux ans, elle a flirté avec plusieurs métiers. Finalement, c’est dans la restauration qu’elle avait réussi à se faire un lieu de choix, en se spécialisant dans les plats sénégalais. Hélas ! À l’instar de beaucoup de compatriotes, la pandémie à coronavirus est venue tout gâcher, selon ses termes. Elle se rappelle :

« Avant la pandémie, ça allait très bien en Gambie. J’avais commencé par de petites tables, mais j’avais réussi à avoir ma propre boutique. Avec la pandémie, nous avons été obligés de fermer. La situation devenait alors intenable et j’ai préféré rentrer, avant de tenter ma chance pour le Maroc. Mais si c’était à refaire, je ne l’aurais pas fait.”

Ancienne employée à la Lonase, ancienne gestionnaire d’une maison meublée à Dakar, connue pour son passage dans la série “Rup Tup”, Mariama Ba est aujourd’hui dans une activité de survie, pour pouvoir préserver sa dignité, subvenir aux besoins vitaux de son petit bout de choux. Mais les temps sont plus que durs, selon cette jeune brave dame qui a du mal à joindre les deux bouts.

« Au Sénégal, insiste-t-elle, l’exploitation est partout. J’ai eu à travailler pendant six ans à la Lonase. Mon contrat, d’abord de scène, puis de prestation, a été renouvelé six fois. Je faisais mon job, mais je n’ai pas été recrutée. J’ai finalement abandonné.

Par la suite, j’ai fait plusieurs jobs, avant d’aller en Gambie, puis au Maroc”. Aujourd’hui, celle qui se dit orpheline de sa tante, sa protectrice, ne demande qu’une chose : “Le soutien de l’État”. Mais pour rien au monde, elle n’envisage pas de retourner au Maroc

AVEC ENQUETE

L’ANACIM annonce des pluies dans les 48h

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) indique que les manifestations pluvio-orageuses prévues durant les 48 heures à venir seront limitées aux régions est et centre sud du pays.

Par contre, indique Rewmi, un temps stable est prévu sur les régions nord et centre pour les prochaines 24 heures, indiquent les prévisionnistes, tout en faisant état de « risques de pluies faibles à localement modérées sur les zones sud » durant cette même période.

Ils annoncent que « la sensation de chaleur humide persistera sur la majeure partie du pays, à l’exception des régions proches du littoral », où le temps sera plus clément. L’ANACIM dit par ailleurs s’attendre à des visibilités « généralement bonnes » et à des vents dominants « de secteur ouest à sud-ouest et d’intensité faible à modérée ».

Golf Sud: Un homme chute mortellement du 3e étage

Horreur à Golf-Sud. Un homme a chuté mortellement du 3e étage. Le drame s’est joué hier vers 18 h. Informés du drame, les éléments du commissariat de Golf-Sud ont rappliqué sur les lieux. Après constat effectué par les policiers, le corps sans vie a été déposé à la morgue d’une structure hospitalière pour autopsie, relate Rewmi.

Mais aucune blessure apparente n’a été constatée sur le corps de la victime. Les membres de la famille éplorée ont confié que M. G. était un déficient mental. D’après leurs témoignages, l’homme âgé de 35 ans a bu une tasse de café avant de chuter du 3e étage. Une enquête est ouverte.

Hydrocarbures : le Sénégal espère 887 milliards FCFA de recettes

L’année prochaine, si tout se passe bien, le Sénégal devrait être producteur de pétrole et de gaz. L’Etat fait déjà ses projections sur les trois prochaines années.

De 2023 à 2025, l’Etat du Sénégal estime à 887 milliards de francs Cfa, ce qu’il devrait tirer de ses deux principaux gisements de Gaz et de pétrole. «Les projections de recettes attendues de l’exploitation des hydrocarbures, provenant des projets GTA et Sangomar, sur la période triennale tablent sur un montant global de 887,68 milliards FCFA», renseigne le ministère des Finances et du Budget.

Pour l’année 2023, ce sont 59,16 milliards FCFA qui sont attendus. 327,28 milliards FCFA pour l’année 2024 et 501,24 milliards FCFA en 2025. Les projections ont été faites sur la base des hypothèses d’un taux de change à 595,6 FCFA le dollar, du prix du baril du pétrole à 90$ et de 10% du cour du Brent pour le gaz, renseigne le ministère des Finances dans son Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2023-2025.

Mais, des risques subsistent. Car, expliquent les autorités, «suite aux aléas liés à la gestion de la Covid-19 en Chine et aux perturbations de la chaine approvisionnement et logistique induites par le conflit russo-ukrainien, des risques de glissement des dates de démarrage de la production pour les projets GTA et Sangomar sont prévisibles avec un décalage potentiel vers 2024.»

Ainsi, ces risques pourraient impacter les premières recettes issues de la production d’hydrocarbures, indiquent les autoristé. «Ce sujet connait un suivi rapproché des services concernés en vue d’une adaptation du cadrage budgétaire», explique le ministère des Finances dans son document.

Ayant suspecté un kidnapping de la part du chauffeur de taxi qui la transportait : la Togolaise pique une crise cardiaque et meurt

Accusé d’avoir abrégé la vie d’une ressortissante togolaise, le chauffeur de taxi Camille Dione est dans un sale pétrin. Le représentant du Ministère public a requis contre lui une peine de 2 ans ferme. Le juge rendra son verdict, le 6 juillet prochain.

En se rendant au restaurant « Plancha » pour assister à une cérémonie religieuse, l’épouse du pasteur Kossi Gawou, la Togolaise Essi, ne savait pas qu’elle avait rendez-vous avec l’ange de la mort. Hélas, elle a piqué une crise cardiaque après une altercation qui l’a opposée au taximan Camille Dione. Son corps sans vie repose dans les tiroirs d’une morgue d’un hôpital de la place.

Les faits se sont passés le 07 juin dernier. La défunte et sa fille adoptive, ChiKa Obi, qui se rendaient ensemble à cette cérémonie ont, à la sortie de leur domicile, hélé un taxi. Ainsi, la victime et le taximan Camille Dione sont tombés d’accord et le chauffeur devait les conduire audit restaurant moyennant la somme de 2000 F Cfa. Mais elles ont regretté d’avoir loué les services de ce chauffeur qui était d’une insolence inouïe tout au long du trajet. Car, non seulement il roulait à vive allure, mais, les deux dames avaient constaté que le taximan qui avait un air bizarre était aussi sur la défensive. Cependant, quand elles sont arrivées en ville, le taximan a dépassé le restaurant dans lequel il devait les conduire sans pour autant leur fournir d’explications. Ce qui a fait que les choses ont dégénéré quand la victime et sa fille lui ont demandé de s’arrêter.

Suspectant un enlèvement, la défunte Essi s’est agrippée sur le volant pour se défendre. S’en est suivie une altercation à l’issue de laquelle, elle a été repoussée par Camille Dionne qui l’a secoué alors que celle-ci traînait une maladie cardiaque. Conduit à l’hôpital, Esso est malheureusement passée de vie à trépas à la suite d’une crise cardiaque. L’infirmière de la clinique “Casa house” a confié qu’elle était dans une détresse respiratoire lorsqu’elle est arrivée là-bas. Dans le certificat de genre de mort, les médecins renseignent que de la salive sortait aussi de la bouche de la défunte qui est, d’après leurs conclusions, morte à la suite d’une crise cardiaque.

Arrêté, le taximan Camille Dione a révélé aux enquêteurs du commissariat central qu’il ne leur avait pas donné d’explications quand il a dépassé le restaurant. Et mieux encore, il avait riposté comme il le pouvait pendant que la défunte lui donnait des coups à la nuque au moment de leur altercation. Prévenu de violences, voies de fait et de coups mortels, le taximan de 42 ans, a fait face hier, au juge de la chambre des flagrants délits du tribunal de Dakar. Entendue à titre de simple renseignement, la fille adoptive de Essi, la Nigériane ChiKa Obi, a enfoncé le taximan.

«Elle était ma mère spirituelle. Elle comprenait le wolof et le français. Quand il nous a conduits sur les lieux, il a accéléré sans nous donner des explications. Paniquée, elle lui a demandé où il nous conduisait parce qu’elle connaît bien les lieux. On suspectait un enlèvement. Mais, il lui a jeté une tasse remplie d’ordures. Il lui a ensuite donné des coups. Quand il a freiné, les passants ont convergé sur les lieux. Là, maman avait commencé à étouffer. Elle m’a même demandé de prier pour elle », a-t-elle confessé.

Interrogé, le taximan a battu en brèche les déclarations de la jeune fille, indiquant que ce n’est pas ce qui s’est réellement passé. Il affirme qu’il était en train de faire demi-tour pour s’arrêter lorsque la dame s’est agrippée au volant de son véhicule. À l’en croire, il a tout justement attrapé ses mains. Avant de la conduire au Commissariat central où elle ne cessait de tousser à leur arrivée. L’époux de la défunte, le Pasteur Kossi Gawou, revenant à la charge, témoigne à la barre : «C’est au moment où j’étais coincé dans les embouteillages que ma femme m’a appelé pour me demander où je me trouvais. Avant de me confier que le taximan était en train de les violenter. Ma fille m’a dit qu’elle avait fait un malaise avant qu’elle ne soit admise dans une clinique. Si elle est énervée, elle fait un malaise».

Me Domingo Dieng, avocat de la partie civile, renseigne que son client qui ne réclame pas de dédommagement prêche le pardon en tant que Pasteur puisque c’est ce que le Seigneur lui recommande. Le procureur a, pour sa part, indiqué que c’est le prévenu qui a mis la femme du Pasteur dans cet état-là. Selon le parquet qui a requis 2 ans de prison ferme contre Camille Dione, ce dernier a eu un comportement qui est à déplorer venant d’un taximan. L’avocat de la défense, Me Adja Fatou Diallo a, à son tour, estimé qu’il n’y a pas eu de coups, ni de blessures au moment des faits puisque son client leur avait demandé de se rendre au commissariat central. Délibéré le 6 juillet prochain.

Tabaski 2022 : deux dates retenues au Sénégal

La Commission lunaire de la Coordination des musulmans du Sénégal a fixé la date de la Tabaski le 9 juillet 2022. « Aujourd’hui, mercredi 29 Juin 2022, correspondant au 30/11/1443 parallèle à la date de la commission lunaire de la coordination des musulmans du Sénégal, et coïncidant au 29/11/1443 en Arabie Saoudite la lune y est aperçue », a-t-elle expliqué dans un communiqué daté ce 29 juillet 2022.

Et d’ajouter : « Demain jeudi 30 juin 2022 sera le 1er du mois de” zul hijja” Tabaski. Par conséquent, vendredi 08 juillet 2022 sera le jour de Arafat donc samedi le 09 juillet 2022 va correspondre à la fête de Tabaski ».

Pendant ce temps, la Conacoc a dévoilé la date de l’Eid El Fitr dite “Tabaski”. La fête du mouton aura lieu le 10 juillet 2022 d’après les prévisions de la commission.

« Après avoir recueilli toutes les informations venant de nos représentants qui sont dans les différentes localités du pays, notamment dans les foyers religieux et après de larges concertations en notre sein, la commission a déclaré : Que le croissant lunaire n’a pas été aperçu dans aucune localité du pays. Par conséquent le vendredi 01 Juillet 2022 sera le premier jour du mois lunaire Tabaski (Dhul Hididia) », a assuré le coordonnateur Général, Imam El Hadji Oumar Diène.

Idem pour la Grande mosquée de Touba, qui sur sa page Facebook, a déclaré que la Tabaski sera fêtée le dimanche 10 juillet prochain.

Moustapha Niasse quitte l’Hémicycle aujourd’hui

Après 12 ans passés au perchoir, Moustapha Niasse fait ses adieux à l’Assemblées nationale. D’après Le Soleil qui a dressé un portrait de trois pages sur l’ancien premier ministre, Niasse quitte aujourd’hui l’Hémicycle.

Son mandat terminé, Moustapha Niasse n’a pas été investi sur les listes de BBY pour les législatives du 31 juillet 2022. Il ne figure ni sur la nationale dirigée par Aminata Touré ni sur la départementale de Nioro dirigée par Aly Mané.

Niasse ne va pas seulement quitter l’Hémicycle. En effet, Moustapha Niass ne sera plus secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès (AFP) à partir du premier trimestre de 2022.

L’adieu aux « armes » d’un monstre sacré qui a consacré une soixantaine (1960-2022) de vie politique.

Malick Gackou allongé sur un lit d’hôpital hors du Sénégal : les secrets d’un voyage qui a mal tourné

On en sait davantage sur les raisons qui ont conduit le leader du Grand Parti hors du pays. Selon ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce jeudi, contrairement à ce qu’il paraît, Malick Gackou était parti en voyage en Europe où il devait se rendre en France, en Angleterre et en Allemagne pour ses affaires perso dans le cadre du négoce international.

Et c’est une fois sur place qu’il est tombé malade. Mais, rassure le journal, il est maintenant sorti de l’Hôpital où il a été pris en charge. Concernant la date exacte de son retour au bercail, c’est encore mystère et boule de gomme. Mais ça ne saurait tarder, vu la fête de tabaski à l’horizon et les élections législatives qui approchent à grands pas.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention