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Réhabilitation du stade Léopold Sédar Senghor : les travaux vont coûter 20 milliards de FCfa

Les travaux de réfection du stade Léopold Sédar Senghor ont été lancés, ce mardi, par le ministre des Sports. Ces travaux vont coûter 20 milliards de FCfa, vont permettre la réhabilitation, le renforcement de la structure principale du stade avec une sécurité garantie, la reconstruction de la charpente de la tribune, la réparation de la tribune et l’installation de 60 000 sièges.

Le projet de réhabilitation de 4 stades au Sénégal est financé par l’Agence de la Coopération Economique Internationale du Ministère du Commerce de la République populaire de Chine, conçu par China Architecture Design & Reserch Group Co. Ltd. Les détails du projet.

Avec la collaboration de China Architecture Design & Research Group Co. Ltd, de CIECC Engineering Management Consulting Co. Ltd en tant qu’établissement gestionnaire du projet et la China State Construction Engineering Corporation Ltd (CSCEC) en qualité d’équipe technique, les travaux du projet ci-dessus mentionnés comprennent ceux de la réhabilitation du stade Leopold Sédar Senghor à Dakar, du stade Ely Manel Fall à Diourbel, du stade Lamine Gueye à Kaolack et du stade Aline Sitoé Diatta à Ziguinchor.

Une fois la réhabilitation terminée, il sera un grand stade multifonctionnel, qui sera le lieu principal pour accueillir les Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2026 et d’autres événements ou compétitions importants. Les détails de la réhabilitation : Réhabilitation et renforcement de la structure principale du stade avec une sécurité garantie, reconstruction de la charpente de la tribune, réparation de la tribune et installation de 60 000 sièges.

Le terrain d’athlétisme sera de Niveau 1 pour répondre aux normes de l’IAAF, le niveau d’éclairage du terrain de football répondra à la norme d’éclairement de classe A de l’UEFA, l’éclairage du terrain d’athlétisme répondra aussi aux exigences des grands matches internationaux télévisés et des grandes compétitions nationales.

Remplacement de l’écran d’affichage de score existant du nord et installation d’un nouvel écran d’affichage de score en parallèle du sud Installation de deux ascenseurs accessibles dans le hall pour faciliter la mobilité et l’accès.

De même,  le remplacement de toutes les portes et fenêtres par celles en alliage d’aluminium, la rénovation de toutes les salles, notamment de la salle d’accueil et du salon VIP. Toutes les portes et fenêtres seront remplacées par des nouvelles en alliage d’aluminium.

Il y aura la mise à niveau du système de climatiseur et d’aération ; la mise à niveau du système de l’électricité fort et faible

Lac Rose : la mer rejette les corps sans vie de cinq candidats au BFEM

D’après Libération, qui donne l’information dans son édition de ce mercredi, le lundi de leur disparition, deux corps sans vie de la bande ont échoué sur la plage du Lac Rose. Hier, mardi, deux autres ont été retrouvés sur la plage de Tivaouane Peul. Le journal rapporte qu’en début de soirée, un cinquième corps a été rejeté par la mer.
Libération informe que les cinq victimes se nomment M. E. M. Samb, A. Sow, P. F. Diallo, S. M. Badji et P. Seck.
Une enquête est ouverte pour d’abord déterminer le nombre de disparus. «Ils étaient au moins sept ou huit. Certains disent même quatorze», rapportent des sources du journal.

Législatives: Voici l’ordre de passage des candidats

Le CNRA a procédé, hier mardi 28 juin 2022, à la publication de l’ordre de passage des partis en lice pour les élections législatives du 31 juillet prochain, le dimanche 10 juillet 2022. Un tirage au sort qui a porté chance à la coalition Bokk Gis – Gis Liggey de l’ancien président de l’Assemblée nationale, Pape Diop. En 2e position arrive la Coalition Benno Bokk Yakaar, la Grande Coalition Wallu Sénégal, la Coalition Naataange Askan Wi, la Coalition Yewwi Askan Wi, la Coalition les Serviteurs – MPR, la Coalition Bunt-Bi et la Coalition Alternative pour une Assemblée de rupture – AAR Sénégal suivront ensuite.

La campagne électorale pour les législatives de 2022 va officiellement démarrer le 9 juillet pour une durée de 21 jours. Ce tirage de passage a été fait en présence des mandataires des listes de candidats, a informé le CNRA. Pour les jours suivants, il est effectué une permutation circulaire. Ainsi, note le communiqué du CNRA, pour le deuxième jour, l’émission de la liste de candidats passée la veille en premier lieu passe en dernier, celle de la liste de candidats passée en second lieu passe en premier lieu ainsi de suite.

Manif’ de Yewwi: Vers un report

La manifestation de l’inter-coalition Yewwi Wallu prévue ce mercredi un peu partout dans le pays a été interdite par les préfets de différents départements (Dakar, Zig…)

Les leaders de l’opposition qui avaient coutume de réagir rapidement ont, cette fois-ci, gardé le silence. La coalition Yewwi Askan Wi invite la presse à une conférence de presse à 11h. De quoi espérer une baisse de tension. Certaines parutions de la presse du jour annoncent déjà un possible dégel.

Quoi qu’il en soit, si le pouvoir n’a pas raison d’interdire la manifestation (le dixième du dispositif déployé suffit pour encadrer une marche pacifique) il y a suffisamment de raisons de la part de l’opposition d’éviter de braver cette interdiction.

Hier, les acteurs de l’école ont appelé à prendre en compte la situation dans laquelle se trouvent les élèves. En effet, le baccalauréat technique a démarré lundi dernier et se poursuit. Or, une manifestation risque de causer des dommages à ces candidats. Dans certaines circonstances, ces derniers pourraient même avoir du mal à se rendre dans les centres d’examen. En plus de ces risques, ils ont besoin de concentration pour mieux traiter les épreuves.

Il faut reconnaître cependant que si on se base sur les examens, l’opposition ne pourra plus organiser de marche d’ici les élections législatives prévues le 31 juillet. Car, après le bac technique, il y a le bac général prévu à partir du 15 juillet. Une semaine après, c’est le Bfem. Si l’on y ajoute les seconds tours des deux examens, cela veut dire que les épreuves iront au moins jusqu’au-delà de la fin du mois de juillet. Chaque partie appréciera donc !

L’autre argument de taille qui pèse sur la balance est le contexte actuel de préparatifs de la tabaski. Il suffit de sillonner les rues de Dakar pour voir que les moutons sont partout exposés. La plupart des propriétaires n’ont pas un endroit où préserver leurs biens en cas de manifestations.

Or, outre les dégâts collatéraux qui peuvent être considérables, il y a le risque d’infiltration de ceux qui voudraient profiter de cette occasion où les biens des éleveurs sont plus que jamais exposés. Tenir cette manifestation en bravant les interdits revient donc à faire courir le risque à ces gens-là de perdre, au meilleur des cas, l’occasion de faire les bénéfices annuels tant espérés, au pire des cas, de perdre le bénéfice et le capital à la fois.

Compte tenu de tout cela, l’opposition serait bien inspirée de surseoir à cette manifestation, sachant que beaucoup parmi ces jeunes sur qui elle compte pour les manifestations sont intéressés par l’opération tabaski. Tout cela sans compter les tailleurs déjà confrontés à des coupures de courant et qui ont besoin de plus de quiétude pour respecter les délais de livraison.

Les prix des produits alimentaires resteront élevés jusqu’en 2024 (BM)

La guerre en Ukraine constitue le choc le plus important « sur les produits de base » depuis les années 1970, alerte la Banque mondiale dans un rapport publié mardi 28 juin 2022.

Le choc majeur provoqué par la guerre en Ukraine sur les prix des produits de base va avoir un effet durable. Dans un rapport publié mardi, la Banque mondiale renseigne que les prix des produits de base «  vont se maintenir à des niveaux historiquement élevés jusqu’à la fin de 2024 », expliquant que le conflit «  modifie la physionomie des échanges, de la production et de la consommation dans le monde ». La tendance à la hausse, à l’œuvre depuis plusieurs mois, tirée par le rebond post-Covid et les contraintes d’offre, s’est accélérée au premier trimestre sous l’effet de l’offensive russe.

Les prix de l’énergie étaient en mars quatre fois plus élevés que leur point bas d’avril 2020, au cœur de la pandémie. Il s’agit de la plus forte hausse depuis 1973. L’augmentation sur les matières premières agricoles – dont la Russie et l’Ukraine sont deux producteurs importants de céréales et d’oléagineux – atteint 80%, au plus haut depuis 2008, tandis que les prix des engrais se sont envolés de 220%. « Globalement, il s’agit du plus grand choc sur les produits de base que nous ayons connu depuis les années 1970 », indiquent les auteurs. Lequel est « aggravé par une recrudescence des restrictions au commerce », surenchérit Indermit Gill, vice-président pour le pôle croissance équitable, finances et institutions. Cette situation fait planer le « spectre de la stag­flation ».

Selon les projections, le cours du pétrole va rester toute l’année 2022 autour de 100 dollars le baril, bien au-dessus de la moyenne de 60 dollars des cinq dernières années, avant une lente décrue à 92 dollars l’an prochain. L’institution multilatérale table sur une envolée de plus de 40% pour le blé et de 16% sur les métaux, qui là aussi s’atténueront légèrement en 2023.

Hausses plus marquées et regain de volatilité

Cette situation pourrait empirer en cas de guerre prolongée ou de nouvelles sanctions contre la Russie, entraînant des hausses plus marquées et un regain de volatilité. La Banque mondiale explique pourquoi les prix vont rester durablement élevés. Premièrement, parce que la hausse est généralisée et limite de facto les possibilités de substitution entre matières premières. Ainsi, rappelle le rapport, lors des précédentes périodes de pics, le charbon et le gaz offraient une alternative car ils étaient moins chers que le pétrole.

La deuxième raison tient à l’effet domino. La flambée dans l’énergie renchérit les coûts de production agricole via les engrais et les carburants. Cela pèse aussi sur le coût d’extraction et de raffinage des métaux, en particulier pour le fer, l’acier et l’aluminium. Les métaux plus chers augmentent par ricochet le coût des technologies d’énergie renouvelable.

Effets pervers

Le rapport met en cause les réponses politiques de court terme axées sur les allégements fiscaux et les subventions, qui ont des effets pervers car ils «  exacerbent les pénuries d’approvisionnement et les pressions sur les prix », au lieu d’envisager des stratégies de long terme visant à réduire la demande et à trouver des alternatives d’approvisionnement.

Autre risque, la guerre conduit à des schémas commerciaux plus coûteux qui pourraient entraîner une inflation plus durable et à moyen terme retarder la transition climatique. « Certains pays cherchent à s’approvisionner en charbon à partir d’endroits plus éloignés », ­illustrent les auteurs.

« Force spéciale» : 8 mandats d’arrêt requis

Le procureur de la République a bouclé son réquisitoire introductif à propos de l’affaire des onze membres de la «Force spéciale» accusés d’avoir voulu semer le chaos à Dakar.

Le procureur a en plus requis le mandat d’arrêt contre huit personnes qui seraient liées à cette affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat mais qui sont dans la nature.

Il s’agit de Aliou dit Dounkhaf, Ousmane Diouf, Yaya Cissé, Khadim Ndiaye, Awa Dia dite Nadine, Babacar Ba, Ousseynou Seck alias Akhenaton et Max Killuminati.

Ces deux derniers sont localisés en Europe. Pour leur arrestation, Interpol a été mis sur le coup. Akhenaton et Killuminati sont présentés comme les bras financiers de la «Force spéciale».

Deux frères Congolais heurtent son bus de service étant ivres : le chauffeur de Locasen les malmène et prend un (1) mois ferme

Prévenu de coups et blessures volontaires, Balla Ndiaye faisait face, hier, aux juges des flagrants délits de Dakar.  Il a finalement écopé d’une peine ferme d’un (1) mois ferme.

Le juge du Tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné, hier, le chauffeur Balla Ndiaye à un mois d’emprisonnement ferme. Ce dernier, reconnu coupable du délit de coups et blessures volontaires ayant entraîné une itt de 7 jours, a été attrait à la barre par les Congolais Osée Moulongo et Marcel Moulongo. Il ressort de la procédure que, le jour des faits, à 5h du matin, le véhicule des frères congolais qui revenaient d’un anniversaire, a heurté celui de Balla Ndiaye.Ce dernier, chauffeur à Locasen, est entré dans une colère noire et s’en est pris à l’un des frères, en l’occurrence Marcel Moulongo. Muni d’une barre de fer et d’un couteau, il a asséné un violent coup à ce dernier à la tête. Saignant abondamment, son frangin Osée Moulongo, paniqué, jette une brique sur le pare-brise du bus que conduisait Balla. Sur ces entrefaites, les rares curieux qui circulaient à cette heure de la matinée viennent encercler les protagonistes avant que Osée ne saisisse le couteau que détenait Balla pour le jeter.Les flics appelés conduisent le blessé à l’hôpital et mettent Balla Ndiaye en garde à vue. Coffré pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une itt de 7 jours, il a répondu de son acte, hier, à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Face au juge, il conteste le délit qui lui est reproché. À l’en croire, il a quitté très tôt Keur Massar, ce jour-là. Une fois à Liberté 6, la voiture des parties civiles a heurté la sienne. Mais quand il est descendu, raconte-t-il, il a constaté qu’ils étaient ivres.«Il m’a donné un coup. Ensuite, ils se sont acharnés sur moi, en me rouant de coups. Ils étaient au nombre de trois et ils étaient tous ivres. Un vigile a tenté de nous séparer en vain. Osée s’est emparé d’une barre de fer qu’il avait gardée dans son véhicule. Son frère est tombé sur la chaussée, quand je lui ai donné un coup. C’est ce qui lui a occasionné des blessures à la tête. Quand il s’est relevé, je lui ai donné encore un coup et le pare-brise l’a blessé à l’avant-bras», a narré le prévenu.

Pourtant, ce dernier a fourni une autre explication à la Police, lors de son audition. Il avait soutenu qu’il avait saisi le couteau, quand il a vu son antagoniste se diriger vers lui avec une barre de fer. Pour les blessures à la tête, il avait révélé lui avoir jeté une pierre.

La partie civile, Marcel Moulongo, renseigne, lui, que Balla n’a pas supporté que leur véhicule ait doublé son bus. «Il s’est emporté. Il s’en est suivi une bagarre. Quand je suis sorti, Balla m’a asséné un coup de sabre à la tête. Interrogé par le juge sur la nature de l’arme, il précise que c’est un gros couteau. Au terme de sa déposition, il dit ne rien réclamer, car le patron de Balla a pris l’engagement de prendre en charge ses frais médicaux.

À la suite de la représentante du Ministère public qui a requis l’application de la loi, Me Alioune Badara Fall, avocat du prévenu, n’a rien réclamé au prévenu Osée, en ce qui concerne la destruction de bien appartenant à autrui. S’agissant des coups et blessures volontaires, la robe noire déclare qu’elle ne doute pas de la matérialité des faits.

«Il ressort des   déclarations de mon client qu’il a asséné des coups à la victime. Il a nié avoir asséné des coups de couteau. En tout cas, il a regretté son geste. Il s’est excusé. Je vous demande de lui faire bénéficier d’une application bienveillante de la loi. C’est un délinquant primaire», a plaidé l’avocat. Après en avoir délibéré, le Tribunal a reconnu Balla Ndiaye coupable et lui a infligé une peine ferme de 1 mois. Quant à Osée, il est condamné à 1 mois assorti du sursis.

Chavirement d’une pirogue à Kafountine : le bilan passe à 14 morts

Le bilan du chavirement d’une pirogue au large de Kafountine s’est alourdi, passant à 14 morts. Le drame survenu, ce lundi, s’est alourdi avec la découverte de 8 nouvelles victimes, ce mardi. Selon les informations, plus d’une centaine de candidats à l’émigration irrégulière étaient à bord de cette embarcation. Par ailleurs, un autre accident a fait des victimes en mer

Lequel a fait deux morts et un pêcheur porté disparu au large des côtes gambiennes. C’est à la suite d’une collision avec un bateau industriel et une pirogue de pêcheurs sénégalais. Le gouverneur de Ziguinchor a annoncé l’ouverture d’une enquête afin de mettre la main sur les convoyeurs de cette pirogue.

Après avoir interdit la manifestation de Yaw : le Préfet vide les casernes pour garder la main sur les rues de Dakar

Le préfet de Dakar a interdit la manifestation de la coalition Yewwi Askan Wi qui était prévue, ce mercredi 29 juin. Mais, précise ‘’SourceA’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce mercredi, Mor Talla Tine a déployé un dispositif sécuritaire de feu, en quadrillant tous les quartiers notamment ceux réputés les plus chauds.

En d’autres termes, renseigne le journal, les leaders de ‘’Yewwi Askan Wi’’ et leurs militants devront se réveiller à la bonne heure, s’ils espèrent pouvoir rallier la Place de la Nation, ex-Place de l’Obélisque. Car les Casernes de la Gendarmerie et de la Police sont presque vidées de leurs occupants dans cette bataille pour le contrôle des rues.

Trafic de drogue :  “Bachir Diop” arrêté aux Maristes, les images de son arrestation (photos)

Bachir Diop, acteur principal de la série ‘’Dérapages’’, adulé par les filles et qui a fasciné le public sénégalais en 2020, a été interpellé par la Police, le 25 juin 2022 aux Maristes.

Il a été arrêté pour l’exploitation d’une information anonyme faisant état de l’existence d’un vaste réseau de culture, de production, de transformation, de détention et de trafic de cannabis de la variété dite ‘’Skunk’’ portant sur 1,538 kg. Cette drogue est une variété de cannabis très violente qui a des effets délirants. D’après nos investigations, les personnes qui en consomment chaque jour sont en effet cinq fois plus susceptibles de développer une maladie mentale.  Fortement dosée en THC (tétrahydrocannabinol), elle est utilisée par les jeunes pour ses effets psychoactifs et addictifs. P.  Salinger, plus connu sous le nom de son personnage de fiction Bachir Diop, mécanicien auto, de nationalité allemande et gambienne, habitait seul dans un immeuble R+2 qui lui servait à la fois de local de production et de distribution, relaie la même source.Tout remonte au 23 juin 2022, jour où les éléments de la Division opérationnelle de la DOCRTIS ont reçu l’information selon laquelle un étranger d’une double nationalité (allemande et gambienne) et très connu dans le milieu du showbiz s’adonne à la culture et à la production de chanvre indien.

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Sur la base de ces informations, une stratégie de surveillance et de filature a été mise sur pied pendant des jours dans le but de déceler son mode opératoire et de cerner les contours de ses activités criminelles. Celle-ci a permis de constater des va-et-vient incessants à toutes les heures dans ladite maison. Ainsi, alors qu’un individu entrait dans l’immeuble, les éléments opérationnels en ont profité pour y pénétrer avant d’y surprendre le trafiquant.

S’étant sans doute senti démasqué, le célèbre acteur les a conduits directement au deuxième étage dans une chambre pour leur montrer sept (07) sachets de cannabis puis un laboratoire installé dans une autre chambre servant de culture et de production de cannabis in vitro (dans crèche) et sous serre type hydroponique. Voulant creuser davantage, ils ont poursuivi leurs investigations, et ont fini par découvrir le pot aux roses. Un impressionnant dispositif (installations, matériels, équipements et produits) ultra moderne, servant à la culture et la production du cannabis de la variété « Skunk ».

Sur le tableau de chasse, l’on dénombre des panneaux LED, de sachets de fertilisants, de semences importées de marque « Northen Light », des boîtes de germination (38 pieds de cannabis), des sceaux contenant des billes d’argile se substituant à la terre ferme, des sacs remplis de terre naturelle, de pompes à air connectées à des vases d’oxygénation, de filtres à air, des brumisateurs, de déshumidificateurs, des bidons de calcium (pour la nourriture des plantes),  des sachets de boules de terre synthétiques, de sonde à PH, de sachet de terpène liquide de marque « 4-PACK 62 % RH » qui donne aux plantes de cannabis leur arôme différent ainsi que du matériel de soutien, tels que les conduites d’air, tuyaux etc.…

La fouille minutieuse de l’appartement a permis, également, mettre la main sur : un (01) pistolet à air de couleur noir et de marque « ZP-09 », des cartouches de CO2, une boîte contenant des billes métalliques, un mini fusil carabine de type artistique, des balances, des documentations pour la culture, la production et la transformation de cannabis.

La liste est loin d’être exhaustive. En effet, les limiers ont aussi découvert un lot de passeports, des téléphones portables, des documents de société, des contrats de prestation de service et des carnets de comptabilité. Interrogé sommairement, le mis en cause a reconnu sans ambages les faits de culture, production, transformation, détention et trafic de cannabis de la variété « Skunk ». Pour l’heure, il a été placé en garde à vue.  Quant à la drogue, le matériel ainsi que les objets saisis, ils ont été consignés aux fins d’être mis sous scellés. Les investigations se poursuivent en vue d’identifier toute autre personne impliquée dans cette affaire.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention