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Trafic de passeports à l’Asepex : le mode opératoire de la mise en cause

Khardiata Tandian, en service à l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (ASEPEX) a été désignée comme le cerveau des faussaires des passeports de service. La juriste a révélé aux enquêteurs comment elle agissait depuis son bureau sis au 3e étage.

Khardiata Tandian cheffe du service juridique à l’ASEPEX et ses complices A. Dramé (informaticienne), et quatre hommes, A. Babou (chef ASP), I. Ndiaye (tailleur), G. Diallo (chauffeur) et T. Ndiaye (commerçant), Ibrahima Ndiaye, brancardier à l’hôpital de Thiaroye, seront édifiés ce mardi 20 décembre 2022, après avoir bénéficié d’un retour de parquet.

Il ressort de l’enquête sur le trafic de passeports de service que les éléments de la Dic (Division des Investigations Criminelles) ont perquisitionné le bureau de Khardiata Tandian à l’Agence sénégalaise pour la promotion des exportations (ASEPEX). D’après Libération, les enquêteurs ont retrouvé dans l’ordinateur de la mise en cause des ordres de mission, des notes verbales et des formulaires à remplir pour les demandes de visas pour les États-Unis.

Elle a confié avoir confectionné tous ces documents (exceptés les formulaires, Ndlr) à partir de son ordinateur qui se trouve dans son bureau. “Je prenais un format d’ordre de mission qui est déjà saisi sur ma machine et dont je changeais le contenu. Après cela j’y collais le cachet du ministère que j’avais déjà extrait d’un autre document avant de l’imprimer et d’y apposer une signature déjà testée”, a-t-elle avoué.

Il a été aussi découvert que Mme Tandian, née en 1987 et domicilié à Sicap Rue 10, est la présidente du Réseau des femmes Renafech. Lors de sa première audition, elle avait confié aux enquêteurs qu’elle connaît parfaitement le circuit des ordres de mission et notes verbales. La dame Tandian présentait ses « candidats » à l’émigration comme des directeurs dans les ministère. La DIC tient une piste, qui mène à l’Asepex et au ministère des Affaires étrangères.

Rappelons que le ministère des Affaires étrangères, a à titre conservatoire, a suspendu tous les passeports de service produits entre le 1er janvier 2021 et le 13 décembre 2022. Il est demandé aux ayants droit réels de se rapprocher dudit ministère pour de nouvelles formalités de dépôt.

Voici deux ministres qui salissent le gouvernement d’Amadou Ba

Amadou Ba a procédé, lundi 12 décembre, à la Déclaration de politique générale (DPG) de son gouvernement formé depuis le 17 septembre dernier. Selon le nouveau Premier Ministre, son gouvernement sera une équipe qui s’attaquera aux priorités et urgences. Mais avec la publication du rapport de la Cour des comptes, l’ancien ministre des Finances traîne deux boulets dans son nouvel attelage gouvernemental. Si le nouvel homme fort de la primature veut aller jusqu’à la fin de sa logique, il doit inviter le président à virer ces deux ministres au cœur du scandale que la presse appelle le «Covidgate»…

Les sénégalais ont été surpris après la publication du rapport de la Cour des comptes sur l’audit de la gestion 2020 et 2021 du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la Covid-19 (Fonds-Force Covid). Des hommes et femmes sans scrupules se sont lâchement servis dans les 1000 milliards devant servir à lutter contre l’impact social de la pandémie. Au ministère du Développement Communautaire, de l’Équité Sociale et Territoriale et celui du Développement industriel et des PME, c’étaient la bamboula. Cet argent a fait des milliardaires.

Au ministère dirigé par Moustapha Diop, l’aide comptable a procédé à 55 retraits dans le compte. Bamba Amar effectuait des retraits quotidiens variant entre 50 et 100 millions F CFA pour un montant total de quatre (4) milliards huit cent quarante-cinq millions, dont deux (2) milliards cinq cent millions sur les fonds Force-Covid-19, selon le document dont Xibaaru tient copie. Des retraits qui se seraient fait sous le nez de son ministre de tutelle. Même un enfant se serait rendu compte des agissements de cet homme. Mais chez certains ministres, l’argent semble ne pas être un problème au point qu’il ne prête pas attention à ce qui se passe autour d’eux.

Mais l’un des plus gros scandales des fonds Force Covid est celui du marché relatif à la surfacturation sur le riz destiné aux populations géré à l’époque par le Ministère du Développement Communautaire, de l’Équité Sociale et Territoriale dirigé par Mansour Faye. La Cour des Comptes a découvert un surplus facturé 2 749 927 498 FCFA au titre de la commande de riz brisé non parfumé. Vue la gravité des faits, la Cour a recommandé l’ouverture d’une information judiciaire contre Aliou Sow, DAGE sortant du ministère.

Chose que le rapport a oublié de mentionner c’est que le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du désenclavement a aussi profité des Fonds Force covid destinés aux conducteurs de motos Jakarta. Le beau-frère du président, qui avait menti au chef de l’Etat, a été démasqués devant les caméras par les gouverneurs. Avec toutes les bourdes qu’il a commises aux différents ministères où il est passé, le maire de Saint Louis reste toujours aux affaires. Le locataire du Palais n’hésite même pas à lui faire des promotions. Lui et Moustapha Diop sont les seuls ministres épinglés qui sont dans l’actuel gouvernement de Amadou Ba.

Macky qui avait vent des agissements de Diouf Sarr, a profité de sa gestion catastrophique pour l’éjecter du ministère de la santé et de l’action sociale (MSAS). Alors, il devient impératif pour lui de sortir ses deux brebis galeuses du nouveau gouvernement d’attaque du Premier Ministre. Mais aussi d’engager des poursuites judiciaires contre les DAGE et toutes les personnes de ces deux ministères mouillés dans ce « Covidgate ». Éjecter Mansour Faye et Moustapha Diop du gouvernement, serait un avertissement pour toute personne qui a participé à ce carnage financier.

En agissant de la sorte, le président et son Premier Ministre feront preuve de bonne foi aux yeux des sénégalais. Malgré la gravité des conclusions de ce rapport, beaucoup estime que le président n’engagera pas de poursuite. Selon eux, ce rapport finira dans les tiroirs de la Présidence. Avec Serigne Bassirou Guèye à la tête de l’OFNAC, le locataire du Palais peut briser ce mythe de l’impunité. Dans le cas contraire, il serait complice. Et peut dire adieu à toute chance pour 2024.

Le nouveau gouvernement est face à son premier défi. Trois mois après la formation de son équipe choc, le premier ministre doit impérativement se démarquer des tous les ministres mouillés dans le rapport de la Cour des comptes. Amadou Ba pourra ainsi garder son intégrité aux yeux des sénégalais qui voient en lui un potentiel candidat présidentiable pour 2024.

Mondial 2022 : Gianni Infantino dresse un bilan positif de la participation des nations africaines

Pendant un mois, le monde a vibré au rythme de la coupe du monde au Qatar. Le dernier match de cette compétition a vu l’Argentine s’imposer lors de la séance des tirs aux buts face à la France. Un jour plus tôt, le Maroc s’inclinait contre la Croatie sur le score de 2 buts à 1 dans un historique match pour la 3e place. Globalement, les nations africaines ont effectué une belle participation avec deux pays qualifiés en huitièmes de finale (le Sénégal et le Maroc). « Je suis ravi car depuis de nombreuses décennies, nous parlons du développement du football africain et l’heure de l’Afrique est venue », estime Gianni Infantino qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse  avant la finale du mondial du dimanche le 18 décembre dernier.  
 
Le président de la FIFA a rendu un hommage appuyé au parcours des lions de l’Atlas qui ont terminé à la 4e place de la coupe du monde. « Je pense que le Maroc a exceptionnellement bien joué, les joueurs ont réalisé de grands succès et ont très, très bien joué », pense-t-il. Le juriste helvético-italien a, par ailleurs, livré les clés du succès des hommes de Walid Regragui : « Ils ont joué avec beaucoup d’envie, de détermination et une qualité indéniable. Atteindre un quart de finale ne peut pas se faire par hasard. C’est le résultat d’un effort de longue haleine, d’un investissement de la fédération marocaine de football, de tout le staff technique, et d’un jeune entraîneur marocain qui a aussi été dans le football de club là-bas. Ils nous ont montré comment jouer un football attrayant et efficace. »
 
Concernant les 4 autres nations présentes à cette fête du football qatari, Infantino s’est montré tout aussi élogieux : « Le Sénégal est sorti de la phase de poules, ce qui n’était pas le cas en 2018, puis s’est heurté à une très forte équipe d’Angleterre. Le Cameroun, le Ghana et la Tunisie ont également très bien joué et jusqu’à la dernière minute des derniers matches, ils avaient une chance de se qualifier, ce qui montre le niveau du football africain. »

Comme annoncé, le mondial 2026 connaîtra des innovations avec notamment l’augmentation du nombre de pays à la phase finale qui passera de 32 à 48 équipes.  Selon Gianni Infantino, le berceau de l’humanité verra son nombre de représentants augmenter considérablement : « Lors de la prochaine Coupe du monde, il y aura le double du nombre d’équipes africaines qualifiées, ce qui signifie qu’il y aura également d’autres équipes africaines, donc nous pouvons nous attendre à d’autres excellentes performances. »

Rapport Cour des comptes : Le ministre de la Justice invité à suivre les recommandations

Cheikhou Oumar Sy, est formel : « Il faut que le ministère de la justice suivent les recommandations issues de ce rapport de la gestion du fond COVID 19 ». Pour lui, cette impunité ne peut continuer de prospérer. Selon l’ancien député, en continuant de lire le rapport de la cour des comptes, il ne peut s’empêcher de penser à tout ceux et celles qui nous ont quitté alors que certains faisaient la bamboula avec le fonds « Force COVID ».

« Le Khalif Général des mourides, Serigne Mountaga Mbacké, a contribué à hauteur de 200 millions au fond soit 500 bœufs d’une valeur de 400 000 fcfa qu’il pouvait mettre à la disposition de ses hôtes durant le magal de Touba. 200 millions peuvent être les contributions de 100.000 jeunes du secteur informel qui cotisent 2.000 FCFA chacun pour donner au Khalif comme hadiya », rappelle-t-il. « Une personne décide de les détourner sans état d’âme sachant qu’elle porte préjudice à 2 000 familles désœuvrées et qui pouvaient recevoir chacune 100.000 FCFA durant la pandémie », dénonce l’ancien député.

Vol HC 4040 d’Air Sénégal : La société se dédouane et présente ses excuses

La direction de Air Sénégal a tenu à apporter quelques précisions sur la desserte à Agadir au Maroc du vol HC 4040 ce samedi. Selon le communiqé, « une urgence médicale d’un passager a fait que l’avion a été contraint de se poser à Agadir, cette ville n’étant pas une destination desservie par Air Sénégal S.A », fait-il savoir. Avant d’avoir des « contraintes professionnelles ».

Pour rappel, le vol HC4040 de l’airbus A330-941 qui devait quitter Roissy Charles de Gaulle pour l’aéroport de Diass, s’est posé en catastrophe à Agadir. Selon les passagers, cela est dû à perte de kérosène.

Oumou Wane : « Notre pays est corrompu mais je ne le pense pas définitivement foutu »

Corrompus, mais pas foutus !…Par Oumou Wane

Le plus triste et choquant avec la corruption c’est qu’elle affecte souvent les populations vulnérables en détournant les fonds indispensables à l’éducation ou à la santé.

Et même si tout cela devient très lassant, nous ne devons jamais cesser de nous indigner contre ce fléau érigé en mode de fonctionnement dans notre pays. Cette fois-ci, c’est du fonds de riposte au Covid-19 qu’il s’agit et le Sénégal vient de toucher le fond !

Dans un rapport récent, c’est la Cour des comptes de notre pays, qui épingle la mauvaise gestion de ces fonds, pour ne pas dire, mais disons-le quand même, leur détournement. Selon la cour, des « fautes et des infractions pénales » présumées ont été commises durant les années 2020-2021 dans la gestion de ce fonds, mis en place par le président Macky Sall, et dont l’objectif était de renforcer en urgence le système de santé défaillant de notre pays, soutenir les ménages, la diaspora et les entreprises privées et maintenir un approvisionnement correct du pays en produits médicaux, pharmaceutiques et denrées de base.

Il est évident que nos gouvernants ne sont pas “tous pourris” et que notre Président qui a lui-même mis en place ce fonds ne peut pas contrôler chacune de nos dépenses publiques, mais enfin à force, il doit savoir que le problème de la corruption est récurrent dans notre pays et qu’il nourrit le ras-le-bol des populations.

La corruption freine la croissance économique, nuit à l’état de droit, met en péril la démocratie et entraîne un gaspillage de précieuses ressources. La corruption, c’est comme un air pollué qu’on respire et malgré les annonces des dirigeants pour l’enrayer, elle persiste et l’exemplarité qui devrait être le socle de l’action publique est responsable au contraire d’une aggravation de la situation.

Évidemment donc que la justice doit se saisir des recommandations de la Cour des comptes sur la gestion des fonds destinés au Covid 19. Notre préoccupation, c’est que les citoyens aient de nouveau un jour confiance en leurs dirigeants. Dans son rapport la Cour relève aussi des conflits d’intérêts et entorses au Code des marchés. Elle réclame l’ouverture d’une information judiciaire contre au moins dix responsables nationaux.

Plus de 700 milliards de FCFA avaient été mobilisés pour la riposte Covid-19 par les bailleurs et les sénégalais, soit plus de 1 milliard d’euros. Sur plus d’une centaine de pages, le rapport de la Cour des comptes charge lourdement la gestion de ce fonds.

Des surfacturations en veux-tu en voilà, des détournements d’objectifs à tout va, du braquage en règle sur cette manne financière.

Comment dans ces conditions, ne pas établir un cercle vicieux entre pauvreté et corruption ?

Pour les pauvres, les femmes et les minorités, la corruption se traduit souvent par un accès encore plus restreint à l’emploi, à l’éducation et aux soins.

La corruption est une maladie politique grave et c’est le rôle de notre Président de sévir à l’égard de ce système et de rétablir l’état de droit dans notre pays en remaniant s’il le faut, pour vider nos institutions de ces délinquants en col blanc.

L’opposition veut se pencher sur le rapport de la Cour des comptes et faire la lumière sur ces « fautes » de gestion. C’est son rôle de faire en sorte que ce débat soit posé à l’assemblée nationale.

Mais au-delà de ces débats, c’est bien une réflexion globale qu’il faudra mener pour lutter contre ce fléau. Une culture de la vigilance qui est l’affaire de tous. Contre les professionnels de la corruption, il faut que tout le monde se mobilise. C’est au peuple et aux jeunes sénégalais aussi de remettre en question cette éducation à la triche et au mensonge. Notre pays est corrompu mais je ne le pense pas définitivement foutu. Nous n’avons plus qu’à le refaire, un peu plus équitable, pour nos petits-enfants.

Audios de Mc Niass: Convoquée dans le bureau du Doyen des Juges, Adji Sarr s’explique…

L’audition est passée presque inaperçue. Adji Sarr était convoquée, ce mardi, par le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo. Au menu des échanges: les audios de Mc Niass. 
 
“Ils sont au nombre de 6” nous renseigne-t-on. Adji Sarr aurait profité de ce face-à-face avec le Magistrat instructeur pour faire “des confidences afin de remettre en question le témoignage de Mc Niass”. 
 
S’agissant de la liste des personnes ayant abusé d’elle et qu’elle aurait citées dans les audios, l’ex masseuse a, là aussi donné “des explications pour justifier ses dires tout en affirmant qu’elle ne les connaissait pas…”, renseigne notre source. L’audition a duré moins d’une heure.

Vente de pommes de terre impropres : Deux personnes arrêtées à Pikine et Keur Massar

Les services départementaux du commerce de Pikine et de Keur Massar ont procédé à la saisie et au retrait du marché d’une importante quantité de pommes de terre impropres à la consommation humaine et exclusivement réservées à la semence. Deux individus impliqués dans cette affaire ont été arrêtés.

Depuis l’entrée en vigueur des nouveaux prix fixés par le Président Macky Sall pour combattre la cherté de la vie, les agents du ministère du Commerce sont à pied œuvre pour faire appliquer les directives du locataire du Palais. C’est dans un contexte que les services départementaux du commerce de Pikine et de Keur Massar ont saisi une importante quantité de pommes de terre impropres à la consommation humaine et exclusivement réservées à la semence. Ce qui a entrainé l’arrestation de deux personnes.

«Le ministère du Commerce, de la Consommation et des PME informe que les services départementaux du commerce de Pikine et de Keur Massar viennent de procéder à la saisie et au retrait du marché d’une quantité de pommes de terre impropres à la consommation humaine et exclusivement réservées à la semence. Deux personnes mises en cause sont actuellement en garde à vue au commissariat de Pikine suite à la réquisition de la Direction du commerce intérieur », renseigne le ministère du Commerce dans un communiqué parcouru par «L’As».

Les faits qui sont reprochés à ces deux individus sont détournement de la destination d’un produit subventionné par l’Etat, infraction aux règles de facturation par l’absence de traçabilité dans les opérations de vente effectuées, tromperie sur la qualité par la mise sur le marché d’un produit impropre à la consommation.

[Vidéo ] Émigration et sécurité : La France et le Sénégal accordent leurs violons

Le ministre français de l’Intérieur, en visite à Dakar, s’est entretenu avec son homologue sénégalais ce mardi 20 décembre. L’émigration et la sécurité ont été au cœur des discussions. 
 
Gérald Darmanin est revenu sur les efforts consentis par son pays afin de faciliter l’obtention de visas notamment pour les étudiants.
 
De son côté, Antoine Diome a émis le souhait de voir  l’obtention des titres de séjour facilitée pour les Sénégalais vivant en France. 
 
Les deux ministres ont, également, promis un renforcement de la collaboration entre les deux pays sur le plan sécuritaire.

Réquisitoire Introductif, Supplétif, Définitif : Ce qu’il faut savoir sur ces termes juridiques

Certains termes juridiques reviennent souvent dans la presse quand il y a une nouvelle affaire ou un dossier pendant en justice. Le journaliste se met, parfois, dans la peau d’un juriste pour rapporter les faits en utilisant le jargon judiciaire. Consultant en droit Spécialiste du Contentieux des Affaires, El Amath Thiam a expliqué, ici,  des termes pour une meilleure compréhension.
 
Le réquisitoire introductif est une pièce de procédure écrite par laquelle le Ministère Public saisit un Juge d’instruction. Le Juge d’instruction ne peut informer qu’en vertu d’un réquisitoire du Procureur de la République.
Il existe trois (03) types de réquisitoires écrits que sont le réquisitoire introductif, le réquisitoire supplétif et le réquisitoire de règlement.
Le Réquisitoire introductif indique les faits et la qualification juridique des faits, le nom de l’auteur présumé s’il est connu. Sinon, il est requis contre X.
 
Il doit être daté et porter le nom et la signature du représentant du Parquet qui l’a rédigé.
Le Réquisitoire supplétif est un acte par lequel le ministère public requiert le juge d’instruction d’informer sur des faits nouvellement portés à sa connaissance (donc non visés dans le réquisitoire introductif) et ayant un lien avec une information déjà en cours.
 
Le Réquisitoire définitif, appelé réquisitoire de règlement, est une pièce de la procédure écrite par laquelle le ministère public décide, à la fin de l’instruction, de la suite qu’il entend donner au dossier. Il porte ainsi à la connaissance du juge d’instruction, après avoir exposé les faits, son avis motivé sur la suite à donner à l’affaire.
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