jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1545

Covid-19 : la Cour des comptes doute des chiffres du ministère de la Santé

Épluchant les données de la lutte contre la Covid-19 en 2020 et 2021, la Cour des comptes a détecté des écarts entre les chiffres officiels du ministère de la Santé et ceux des régions médicales.
 
D’après les vérificateurs, en 2020, le cumul des données mensuelles au plan national indiquait 279 552 tests réalisés, dont 19 140 positifs, 17 254 patients guéris, 377 cas graves et 410 décès. Pourtant, durant la même période, rapporte Libération, le cumul des données des régions médicales faisaient état de 164 236 tests réalisés, contre les 279 552 annoncés par le ministère, soit un écart de 115 316.
Pour les tests positifs, un écart de moins 10 696 a été noté. Sur les données relatives aux patients guéris, la différence est estimée à 5 111. Pour les cas graves, c’est 1 086 et, moins 260 pour les décès.
 
Près de 800 000 vaccins périmés dans les régions
 
Selon le journal, le nombre de vaccins périmés (798 278 pour l’ensemble des régions), chiffre de loin supérieur aux 418 210 donnés au niveau national, a alerté la Cour. Qui indique : « au-delà du gaspillage des ressources, (leur nombre) pose aussi le problème des choix et de la qualité de communication. »
 
En définitive, a-t-elle conclu : « l’existence de données incohérentes et/ou non concordantes ne renforce pas la transparence et rend difficile la prise de décisions. » Il s’y ajoute, ont signalé les vérificateurs, « que le manque de maîtrise des données sur les prélèvements et le nombre de tests réalisés ne permet pas d’apprécier de façon objective et concrète l’engagement et les efforts fournis par les laboratoires dans ces domaines ».

 

 

 

ART- CULTURE- ECONOMIE : BAOBAB D’OR À L’ASSAUT D’UN GRAND DEFI

“À l’initiative d’homme de Culture, cette cérémonie de consécration des acteurs de la région de Dakar et autres régions  , les  lauréats serons des dizaines à bénéficier de cette prestigieuse distinction honorifique, exerçant dans les domaines d’activités,pour l’amélioration des conditions de vie l’enrôlement,la formation et l’organisation d’une chaîne de valeur pour le développement socioéconomique et Culturel du Sénégal.
BAOBAB D’OR le 1er Prix de l’engagement citoyen
Le comité scientifique DAKAR AWARDS TOURS ET C.A” , a semblé déclaré Dada Mbengue par ailleurs membre de la cellule de communication du festival Baobab d’or.

Ils piratent le système de Orange et pompent près de 12 millions des clients

Malgré les multiples alertes et messages de sensibilisation diffusés par l’opérateur téléphonique «Orange SN», le nombre de personnes qui se font arnaquer en ligne ne cesse d’augmenter. C’est précisément le cas dans la capitale du Rail où le dernier coup de maître à l’actif des faussaires a perdu 119 clients naïfs de «Orange».

M. Kane, Mb. Ndiaye et Nd. Ndiaye font partie de ces victimes des agissements d’un étudiant véreux qui a réussi à craquer le système informatique de «Orange». Marié et père d’un enfant, l’étudiant escroc a été identifié sous le nom de Ch.B. Niang. Venu à Thiès pour suivre une formation pro-fessionnelle, cet étudiant, pour qui l’outil informatique n’a aucun secret, a fini par verser dans des pratiques de cybercriminalité. As des Ntic; il parvient à accéder au système informatique de l’opérateur «Orange-Sn».

Tel un ingénieux hacker informatique, l’étudiant va jeter son dévolu sur des numéros de téléphone fixe qu’il composait et sommait les propriétaires de solder leurs factures de télé-phone, menaçant de résilier l’abonnement… Très fin d’esprit, il avait choisi d’opérer entre 10 et 11H, un moment où les chefs de famille sont d’habitude au travail. Ainsi, il tombait généralement sur les :domestiques ou les-enfants-auprès de qui il-usait d’ur ton autoritaire sur fond de menaces de couper aussitôt la ligne téléphonique. Il profite de la panique pour simuler une médiation et demande à son interlocuteur de lui transférer un montant qu’il indiquait.

Pour joindre ses cibles qui n’ávaient pas encore payé leurs factures, Tétudiant escroc utilisait 4 téléphones portables dotés chacun d’une puce téléphonique. Les investigations, menées plus tard par les li-miers, vont révéler l’ampleur des victimes grugées par CH.B. Niang. Selon des sources de l’enquête, le nombre de victimes bernées par l’étudiant est estimé à 119 personnes, dont plus d’une dizaine vont porter plainte. L’enquête a aussi permis de s’avoir que Niang parvenait à soutirer à ses victimes, des sommes allant de 100 000 à 1 700 000 FCfa. Au total, il va empocher indument 11 800 000 FCfa.

Arrêté, puis placé sous mandat de dépôt, Ch.B. Niang a été jugé hier devant le Tribunal correctionnel de Thiès. A la barre, il a reconnu les faits. «Jai commencé mes manœuvres en août 2022. Je choisissais des numéros par hasard et je disais aux propriétaires qu’ils devaient payer leurs factures avant qu’on suspende la ligne. Je n’ai arnaqué qu’une seule personne à qui j’ai pris 500 000 FCfa. Les puces que j’utilisais pour appeler mes cibles sont enregistrées avec des cartes d’identité ramassées. Je regrette», a confié le prévenu.

Un Magistrat victime d’escroquerie

Personne n’est à l’abri d’une escroquerie ! Même les juges ne sont pas épargnés de cette pratique délictuelle. Un magistrat a été délesté d’un montant de 5 millions francs cfa à Diourbel selon des sources de Seneweb proches du parquet. L’auteur de ce forfait a été arrêté par les gendarmes de la brigade territoriale locale. Détails !
 
Un magistrat répondant au nom de  Ndiaye  a été dupé d’une somme de cinq millions francs CFA, selon des sources de Seneweb proches du parquet. 
Tout est parti lorsque le plaignant a échangé avec le présumé escroc A.B.Diop pour se procurer un véhicule. Après marchandage, les deux parties  sont tombées d’accord sur 5 millions francs CFA. 
 
Mais le rabatteur incriminé a disparu dans la nature lorsqu’il a encaissé le prix du véhicule qui devait venir de l’étranger. 
 
Malgré les appels insistants du magistrat, l’escroc présumé a changé de numéro de téléphone avant de se réfugier dans la capitale sénégalaise. 
 
Ne sachant plus à quel saint se vouer, le plaignant […] Ndiaye a saisi le procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Diourbel à travers une plainte formulée contre le fugitif. 
 
Aussitôt, le Parquet a adressé un soit-transmis à la Brigade de gendarmerie locale pour enquête. Agissant sur instruction du Procureur, le commandant B.M.Diallo a mis en branle ses hommes. La consigne est claire: traquer le fugitif jusqu’à son dernier retranchement pour  l’interpeller. 
Il a fallu quatre jours aux enquêteurs pour localiser le présumé escroc à Ngor. Selon des sources de Seneweb proches du parquet, les gendarmes de Diourbel ont sollicité le concours de leurs collègues du Poste de Ngor pour mettre fin à la cavale du mis en cause. 
 
Arrêté à Dakar par les hommes du commandant Khady Gningue, A.B.Diop a été mis à la disposition de la Brigade de Diourbel pour les besoins de l’enquête. 
 
Mis devant le fait accompli, le présumé escroc a reconnu sans ambages les faits qui lui ont valu son arrestation. A l’issue de cette procédure diligentée par les hommes du commandant Diallo, il a été présenté hier vendredi au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance local.

Mac de Thiès : Les raisons profondes du transfèrement du “tueur” de Mbour

Aly Kouyaté, l’homme qui avait tué deux personnes au marché de Mbour, le week end-dernier, a été arrêté et emprisonné à la prison de Mbour. Mais, les autorités pénitentiaires ont été obligées de le transférer dans un autre centre de détention.

Après son emprisonnement à la prison de Mbour, Aly Kouyaté, le “tueur de Mbour”, a été nuitamment transféré sous bonne escorte à la maison d’arrêt et de correction (Mac) de Thiès.

D’après l’Observateur, les raisons du transfert du tireur de Mbour vers la prison de Thiès, résident dans le fait que les populations mbouroises, n’ont pas encore avalé la pilule amère des actes de barbarie exercés sur leurs concitoyens par le détenu. Et elles peuvent à tout moment prendre d’assaut la prison pour se venger. Elles le décrivent  comme un monstre ambulant.

Aussi, l’administration pénitentiaire a été bien informée du lynchage que les autres détenus de la prison comptent réserver à Aly Kouyaté. Ainsi pour le mettre à l’abri du danger afin de lui sauver la vie, le chef de Cour et ses collaborateurs l’ont conduit dare-dare à la prison de Thiès.

Yeumbeul: un apprenti car rapide condamné pour vol de perruque

Modou Ndiaye, apprenti chauffeur de son état, a été condamné à 2 ans de prison ferme pour avoir volé la perruque de cheveux naturels d’une passagère dans un véhicule de transport en commun.

Les faits se sont déroulés à l’arrêt Fatou Laobé de Yeumbeul, nous apprend le journal Les Échos dans sa livraison de ce samedi.

A la barre du tribunal de Pikine / Guédiawaye, fait savoir le journal: « la plaignante a confié que dès qu’il a arraché sa perruque, il l’a remise à une autre personne, qui se tenait sur le marchepied du car rapide, et qui a fuit avec. »

Elle poursuit : « C’est quand (Modou Ndiaye) est descendu et a traversé la rue pour passer sur l’autre trottoir que je l’ai suivi et attaqué. Ce, avant qu’un policier n’intervienne ».

L’apprenti se défend en prétextant que : « ce n’est pas moi qui ai arraché sa perruque. Elle m’a pourchassé quand le car s’est garé parce que je suis descendu pour aller remettre le versement que je détenais par devers moi au chauffeur avec qui je travaille ». Ce qui n’a pas convaincu le juge qui a suivi le réquisitoire du Procureur. Qui condamne le mis en cause en deux ans de prison.

Rapport de la Cour des comptes : les curieuses irrégularités sur la dette publique 2019

L’encours de la dette de 2019 présente des écarts et non des moindres, révèle le rapport de la Cour des Comptes. Et malgré les justifications du Ministères des Finances et du Budget, la Cour, sous réserve de la fiabilité des nouveaux chiffres sur l’encours de la dette, maintient son constat sur les écarts signalés.

En effet, il est constaté par la Cour des comptes des écarts importants entre la situation de l’encours de la dette figurant dans les documents du Ministère des Finances et du Budget (DGCPT : Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor / DDP : Direction de la Dette publique) à la date du 31 décembre 2018 et la date du 1er Janvier 2019 (comme le montre le tableau n°15 du rapport : NDLR).

Pour justifier les écarts constatés entre l’encours de la dette publique au 31 décembre 2018 et celui établi au 1er janvier 2019, le MFB a produit une nouvelle situation de l’encours de la dette au 31/12/2018, mise à jour après dépôt de la loi de règlement à la Cour des Comptes, a précisé le rapport. La Cour, sous réserve de la fiabilité des nouveaux chiffres sur l’encours de la dette, maintient son constat sur les écarts signalés.

Pour rappel, la dette publique comprend la dette extérieure et la dette intérieure. L’encours de la dette publique en 2019 s’élève à 7 825,29 milliards de FCFA comme indiqué dans le PLR. Il représente 56,64% du PIB et respecte ainsi le critère de convergence de l’UEMOA fixé à 70%.

Néanmoins, la Cour demande au Ministre des Finances et du Budget de transcrire dans les documents de reddition des informations exhaustives et définitives.

Fin de cavale pour “l’intouchable” Mourad Touré, trafiquant de drogue notoire

La Brigade Régionale des Stupéfiants de Kaolack a procédé dans la nuit du vendredi vers 22 heures à l’arrestation de Mourad Touré. Le natif  de Kaolack,  cultivateur dans son village a été alpagué à la suite d’une opération coup poing. Le sieur Touré  était au cœur d’un grand réseau familial de trafic de drogue, établi au quartier Thioffack de Kaolack et qui rayonnait dans toute la zone centre du pays. A la suite d’actions conjuguées des Brigades Régionales des Stupéfiants de Diourbel et de Kaolack, ses principaux lieutenants dont sa mère avaient été arrêtés et placés sous mandat de dépôt. Mourad Touré était alors en cavale entre Touba et des  villages reculés des régions de Diourbel et de Kaolack, avant d’être appréhendé cette nuit. Son arrestation “ferme une page  du rayonnement maléfique de quelqu’un qui était considéré depuis longtemps comme un intouchable”, renseigne une source policière.L’arrestation de Mourad Touré est une belle victoire des forces de sécurité à Kaolack et environs et  un grand soulagement pour les populations du Quartier Thioffack.

Moussa Sène Absa sur l’affaire Sonko-Adji Sarr : “une affaire de fesse mal ficelée”

Le cinéaste sénégalais ne semble pas convaincu par la thèse du viol dans l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko.  Le réalisateur de “Madame Brouette” regrette que le Sénégal soit “pris en otage pour une affaire de fesse mal ficelée : mauvais casting, mauvais décors, mauvaise réalisation, mauvais scénario, mauvais timing”. “Un vrai navet qui risque de brûler le pays après les 14 morts déjà enregistrés”, fustige Moussa Sène Absa, dans un post sur sa page Facebook. 
 
Le cinéaste a déjà trouvé un titre pour une éventuelle adaptation cinématographique : “La putain de la République”. Propos qui ne manqueront pas assurément d’alimenter la controverse. 

Panel sur l’héritage d’Ousmane Sembène : L’homme de ‘’Guelwaar’’ ressuscité

L’éclairage est tamisé, accompagné de jeux de lumière dans un cadre moderne, chaleureux et très convivial. Des notes de kora accueillent les convives. Le présidium a l’allure d’un salon où se feront des confidences nocturnes sur l’homme de ‘’Fatou Kiné’’. Il a aussi été le théâtre d’une transmission entre le public et les panélistes. Promesse tenue !
 
«Les morts ne sont pas morts», disait Birago Diop. Assurément. De là où il est, Ousmane Sembène a dû poser un regard bienveillant sur cette salle de la maison de la culture Douta Seck. C’est loin d’être du cinéma. L’esprit de l’artiste a plané tout au long du troisième numéro des conférences ‘’lenge’’ (lingué) sur l’héritage de Sembène Ousmane. Après tout, ne dit-on pas que les œuvres rendent immortelles l’artiste ? Cette rencontre le confirme encore aujourd’hui.
 
Cinq ans après avoir cassé sa pipe, l’auteur du livre ‘’Les bouts de bois de Dieu’’ continue de faire parler de lui. Un paradoxe pour celui qui voulait faire parler à travers le 7e art. Mais il ne se limitait pas à cela. L’écrivain, poète et cinéaste décédé à l’âge de 84 ans, a laissé plusieurs œuvres à toutes les générations.
Cependant, son immersion dans le cinéma continue de susciter des réflexions.
 
Entre héritage et legs
 
La transmission relève du devoir de mémoire. Une mémoire qui ne veut point oublier. C’est tout le sens de ‘’lenge’’ (lingué).Il est donc un devoir de perpétuer l’héritage. Un mot qui a alimenté les débats entre le professeur Maguèye Kassé et le critique de cinéma Baba Diop, comme pour dire que tout le monde peut s’approprier ou se réapproprier l’œuvre de Sembène.
 
Il est quelqu’un qu’on ne présente plus. Mais qu’on n’a pas fini de le présenter, pour paraphraser le Pr. Kassé, Président de l’association Sembène Ousmane. «Nous n’avons pas suffisamment creusé du point de vue de l’ensemble des sciences», juge-t-il, faisant référence aux œuvres du cinéaste. Il est revenu sur les réalisations de l’artiste, en affirmant que ce dernier faisait dans la provocation salutaire. Le cinéaste dénonçait l’hypocrisie sociale et avait une originalité dans la manière de faire les choses. «Il avait une façon de dire au spectateur de regarder de plus près», dit-il ému.
 
Ousmane Sembene voyait ses films comme des visions sur la manière dont les sociétés vont évolution, selon le Pr. Maguèye Kassé. Il décrit l’artiste pluridisciplinaire comme un homme qui voulait agir sur ce monde au vu de sa transformation. Une action comme héritage pour les générations.
«Je ne parlerai pas d’héritage, mais de legs», a affirmé d’emblée Baba Diop, journaliste et critique de cinéma. Il est largement revenu sur les legs de l’homme de ‘’Thiaroye 44’’. Baba Diop parle d’abord de Sembène comme un homme d’action. Un engagement qui s’est ressenti à travers ses dix romans et douze films. Ousmane Sembène était «constant dans son engagement» et cherchait à  connaitre  sa société. «C’était un cinéaste de l’action qui mettait en pratique sa propre théorie du cinéma», a soutenu le journaliste.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention