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Présence de Benzema en finale ? La réponse de Deschamps

De retour à l’entraînement cette semaine, Karim Benzema retrouve doucement les terrains après sa blessure intervenue avec l’équipe de France juste avant le début du Mondial. Son départ avait donné lieu à quelques réactions au sein du vestiaire. Des rumeurs donnaient la possibilité de revoir le Madrilène avec les Bleus car il est toujours inscrit sur la liste donnée à la FIFA.

Il ne reviendra vraisemblablement pas pour la finale. Interrogé à ce sujet en conférence de presse après la victoire face au Maroc, Didier Deschamps a eu une réponse laconique. «Je ne préfère pas répondre. Question suivante.» Des mots qui en disent long sur cette situation qui a toujours semblé un peu floue. En revanche, cela ne devrait pas empêcher l’attaquant d’assister à la finale.

France-Maroc : la Fédération marocaine va déposer une réclamation contre l’arbitrage

Ce mercredi soir, le Maroc a été éliminé de la Coupe du Monde 2022 aux portes de la finale, en s’inclinant face à l’équipe de France (2-0). Cette demi-finale assez intéressante sur le papier a, par contre, fait beaucoup parler sur les réseaux sociaux notamment en raison de l’arbitrage. L’arbitre mexicain de la rencontre Cesar Ramos a été au centre des débats puisqu’il a plusieurs fois eu des décisions assez incompréhensibles. Et plusieurs faits de jeu ont fait parler aussi bien les supporters français que les supporters marocains.

L’une des premières actions très litigieuses s’est déroulée en première période. Après une glissade dans sa propre surface, Théo Hernandez vient ainsi faucher littéralement Sofiane Boufal. Si certains supporters marocains s’attendaient à un penalty, ce n’était pas le cas de Monsieur Ramos qui a décidé de siffler faute pour la France et de donner un carton jaune assez sévère à Sofiane Boufal. Malgré cette erreur, il n’a pas non plus été interpellé par le VAR sur cette action. Une décision qui ne passe pas pour la FRMF (Fédération Royale Marocaine de Football).

Une contestation envoyée à la FIFA

Selon nos informations, la FRMF a tout simplement décidé de déposer une contestation officielle auprès de la FIFA par rapport à l’arbitrage de cette demi-finale. «Une protestation qui fait suite aux deux penaltys non sifflés pour le Maroc en première période», nous confie ainsi une source au sein de la FRMF. Le deuxième penalty en question concerne Selim Amallah. Le milieu de Standard de Liège s’est écroulé dans la surface sur un coup de pied arrêté sans que l’arbitre ne siffle quoi que ce soit.

Cette réclamation, comme toutes les réclamations après des décisions arbitrales, a très peu de chances d’aboutir, surtout dans un délai très court puisque la France affronte l’Argentine en finale du Mondial ce dimanche. L’arbitre du match, qui a d’ailleurs répondu aux nombreux supporters marocains sur son compte Instagram, a également eu des décisions discutables côté marocain avec l’absence de carton après des interventions limites d’Achraf Dari par exemple.

 

Tuerie du Marché central de Mbour : l’itinéraire de l’arme du crime

L’enquête sur la tuerie du Marché central de Mbour avance à grands pas. Les policiers chargés du dossier ont déféré au parquet une dizaine de personnes liées à l’affaire, dont l’assaillant, Aly Kouyaté.

Libération informe que les enquêteurs ont retracé l’itinéraire de l’arme du crime. Lors de son arrestation, le tueur avait déclaré avoir acheté le pistolet à Touba pour 150 000 francs CFA.

Manifestement, l’arme a été volée au cours du cambriolage du domicile d’un Franco-Sénégalais nommé A. S. K. Basse à Thiès. De l’argent avait été volé au cours de ce forfait. Le pistolet a ensuite transité chez A. Ndiaye puis entre les mains de P. Bakhoum.

Libération rapporte que Basse, bien que victime de vol, ainsi que Ndiaye et Bakhoum ont été arrêtés et déférés au parquet de Mbour. Ils sont poursuivis pour détention d’arme sans autorisation.

Mbour : Elle traite le grand frère de son mari d’homosexuel, qui lui assène un tesson de bouteille

Coups et blessures volontaires avec une itt de 21 jours : ce sont les griefs reprochés à A.L. M. Sarr. 
 
Il a été attrait à la barre du tribunal de grande instance de Mbour par la femme de son petit frère. Entre eux, les relations ne sont pas au beau fixe.

K. Sene a même traité son beau frère d’homosexuel. Ce dernier qui en avait marre d’être traité ainsi n’a rien trouvé de mieux que de la gifler. Une bagarre s’en est suivie et la dame s’est agrippée aux parties intimes de son protagoniste.

Pour se dégager, A. L. M. Sarr a saisi une bouteille, l’a cassée et a asséné plusieurs coups à sa belle-sœur.
La partie civile a réclamé la somme de 300.000 frs pour des dommages et intérêts.

Me Abdoulaye Tall, avocat du prévenu, a demandé au juge d’accompagner cette famille dans une dynamique d’apaisement.

“On ne peut s’agripper sur les parties d’un homme et qu’il reste zen. C’est compliqué, il faut qu’il réagisse”, défend Me Tall.

Le délibéré est fixé pour mardi prochain.

Le programme Nekkal veut contribuer au respect des droits des personnes liées à la reconnaissance de leur identité par l’amélioration du système d’information de l’état-civil et la consolidation d’un fichier national d’identité biométrique sécurisé.Ainsi le processus pour la mise en œuvre de la stratégie nationale est entamé depuis 2019.Le projet est financé à hauteur de 18 milliards par l’Union européenne et va consolider le fichier national de l’état-civil biométrique.

Les maires sont les principaux bénéficiaires du Projet de modernisation de l’état civil selon le Président de l’association des maires du Sénégal (AMS), Oumar Ba, qui a pris part à la cérémonie.
 
Il a souligné que dans le cadre du programme d’équité territoriale et sociale,  “l’état-civil est un facteur important tout comme la biométrie qui est la base du développement durable”. Il invite à chercher une stratégie pour connecter les postes de santé aux lieux d’enregistrement des naissances et autres actes d’état-civil pour atteindre les objectifs visés par le projet.
 
Dans la même dynamique l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal, Jean-Marc Pisani,  relève que  “l’absence d’acte de naissance rend difficile la participation aux examens et concours, et la confection de pièces d’identités et de passeports”.  “L’état civil moderne est au cœur d’un développement économique, a-t-il ajouté. Et le Sénégal dispose désormais d’une stratégie nationale avec un seul référentiel”.
 
Pour la secrétaire générale du ministère des collectivités territoriales, du développement  et de l’aménagement des territoires, Mame Sané Ndiaye, “un état civil fiable et exhaustif a un caractère fondamental pour un pays surtout dans un contexte de territorialisation où tout se fait à la base”.  “Cela garantit aux citoyens une existence judiciaire et la possibilité de circuler à travers les frontières”, a-t-elle observé.

 

 

Mondial : La France défendra son titre contre l’Argentine dimanche

La France défendra dimanche contre l’Argentine de Lionel Messi son titre en finale du Mondial-2022 pour laquelle elle s’est qualifiée en battant dans la douleur le Maroc (2-0) mercredi au stade al-Bayt à al-Khor.
 
Les Bleus de Didier Deschamps peuvent entrer un peu plus dans l’histoire: seules deux nations ont réussi à conserver leur couronne, le Brésil de Pelé (1958 et 1962) et l’Italie à l’époque fasciste (1934 et 1938), à une époque où seules seize équipes prenaient part au tournoi.
 
Mais malgré la défaite, les Marocains eux aussi sont entrés dans l’histoire: aucune nation africaine n’était jamais entrée en demi-finale, le Cameroun, le Sénégal et le Ghana ayant échoué in extremis en quarts.
 
Un parcours dont peuvent être fiers les Marocains mais sur lequel ils peuvent bâtir l’avenir.
 
Encouragés par le public, où leurs supporteurs étaient nettement majoritaires, ils auraient pu espérer mieux.
 
Très vite menés au score sur un but de Théo Hernandez (5e), les hommes de Walid Regragui ont ensuite souvent dominé, notamment en seconde période, face à une équipe de France qui a semblé usée physiquement.
 
Privés du milieu Adrien Rabiot et du défenseur Dayot Upamecano, malades, les Bleus, sous les yeux de leur président Emmanuel Macron, se sont mis à l’abri sur un but de Randal Kolo Muani qui a poussé dans le but le ballon après un numéro et une frappe déviée de Kylian Mbappé (79e).
 
– Rencontre très attendue –
La rencontre était très attendue, au Maroc mais aussi dans l’importante communauté d’origine marocaine installée en France, où beaucoup avaient expliqué avant le match être partagés.
 
Des milliers de policiers et gendarmes ont été mobilisés en France dans la perspective de voir les supporters des deux équipes déferler dans les rues, notamment sur les Champs-Elysées à Paris, théâtre de quelques incidents samedi dernier après les qualifications française et marocaine.
 
Sur les 64 matches de ce Mondial très controversé, ouvert sur fond de critiques occidentales sur le respect des droits humains dans le petit émirat gazier, il n’en reste donc que deux à jouer.
 
Il y aura d’abord la petite finale, qui se jouera samedi entre le Maroc et la Croatie et pourrait avoir plus de sel que d’ordinaire. Les Croates ont dit en effet leur intention de jouer le coup à fond, et auront à coeur d’offrir une sortie digne de son rang à leur génial meneur de jeu Luka Modric, 37 ans, dont c’est à coup sûr la dernière Coupe du monde.
 
Mais aussi pour le Maroc: une troisième place rehausserait le parcours des Lions de l’Atlas, qui ne comptent à leur palmarès qu’une Coupe d’Afrique des nations (1976).
 
– Sommet Messi-Mbappé –
Mais le grand match, ce sera pour dimanche avec le face à face entre deux équipes qui apparaissaient comme des favorites naturelles, et entre deux stars du jeu, coéquipiers au Paris SG.
 
D’un côté, Lionel Messi, septuple Ballon d’Or, dont une grande partie de la planète rêve qu’il inscrive à son palmarès le plus beau des titres.
 
De l’autre, Kylian Mbappé, qui confirme son statut de phénomène, avec ses cinq buts dans le tournoi (neuf en tout avec les quatre inscrits en 2018), et peut devenir le premier joueur double champion du monde avant ses 24 ans, depuis… le roi Pelé.
 
Argentine-France, c’est aussi le souvenir de ce qui fut sans doute, avec Brésil-Belgique, le plus grand match du Mondial-2018, en huitième de finale, soldé par une victoire 4-3 des Bleus.
 
Pas sûr que cette édition qatarie de la compétition reine du football ait pour le moment accouché d’un match de ce calibre. Ce sera donc peut-être pour la finale…
 
D’autant que Messi a de nouveau fait étalage de son génie en demi-finale contre la Croatie.
 
Cette Coupe du monde sera quoi qu’il arrive historique. Ce fut la première organisée dans le monde arabe, la première jouée à l’entrée de l’hiver, en pleine saison sportive, pour éviter les chaleurs insupportables de ce pays désertique.
Ce fut aussi l’un des événements sportifs les plus décriés de l’histoire, avec des accusations de corruption pour obtenir l’organisation à la surprise générale en 2010, des accusations que Doha dénonce avec véhémence.
 
Les autorités qataries ont été aussi critiquées pour le traitement réservé aux travailleurs migrants, notamment sur les chantiers du Mondial, sur les droits des personnes LGBTQ+, et l’impact environnemental de la compétition.

Comptabilité publique et Trésor du Sénégal : La Direction générale annonce de vastes chantiers

La Comptabilité publique et trésor va vers une grande réforme. En ce sens, des projets de textes sont soumis à l’autorité à la suite des travaux de réflexion menés suivant une démarche participative avec l’implication de toutes les parties prenantes du Trésor, y compris l’Amicale des contrôleurs du Trésor (Acts), selon le coordonnateur de la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor, qui présidait le week-end dernier, la 5e Assemblée générale de l’Acts.
Cheikh Ndiaye explique que «les choix retenus à travers ces textes portent notamment sur la création de directions comptables ministérielles, afin d’assurer l’alignement stratégique de la Dgcpt aux effets de la déconcentration de l’ordonnancement marqués par la multiplication des ordonnateurs et une plus grande célérité des opérations précédant la phase de paiement des dépenses. Les options de réorganisation des services du Trésor portent également sur la séparation des fonctions de Trésorier général et d’agent comptable central du Trésor (Acct)».

Cette mesure, d’après l’inspecteur du Trésor, «s’impose au regard des enjeux du moment, en ce sens qu’elle permettra d’assurer une gestion optimale de la trésorerie pour favoriser le développement de la fonction bancaire du Trésor et une meilleure couverture des besoins de trésorerie de l’Etat et des autres organismes publics.

En d’autres termes, la séparation des fonctions de Trésorier général et d’Acct facilitera, entre autres, l’achèvement de la mise en place du compte unique du Trésor, et la promotion d’une bonne gouvernance dans la gestion des organismes du secteur parapublic et de tous les autres organismes publics bénéficiant du concours financier de l’Etat». D’ailleurs, il a déclaré que la réforme de la Trésorerie générale permettra également de renforcer la qualité des services rendus aux collectivités territoriales, à travers notamment la couverture de leurs besoins de trésorerie et un appui plus consistant en termes d’avance de trésoreries pour celles qui en auraient besoin.

Se réjouissant de la  contribution de l’Acts à ce projet de réforme, à la lutte contre le Covid-19… M. Ndiaye a exhorté les contrôleurs du Trésor à rester unis et solidaires pour consolider les acquis du cycle finissant…
Pour lui, «la réalisation de ce futur voulu pour la Dgcpt passe par la maîtrise des enjeux relatifs à la digitalisation des procédures métiers et au renforcement de la sécurité informatique, l’amélioration de l’offre de services offerts aux collectivités territoriales et à la réalisation des objectifs déclinés à travers la  loi d’orientation 2022-08 du 19 avril 2022 relative au secteur parapublic, au suivi du portefeuille de l’Etat et au contrôle des personnes morales bénéficiant du concours financier de la puissance publique. La modernisation du Trésor implique également, la gestion dynamique de la Trésorerie, le développement du capital humain et l’adaptation organisationnelle des services du Trésor».

Equipe nationale : Une fin de cycle, mille interrogations !

De cette coupe du monde 2022, le Sénégal est considéré comme la cinquième nation possédant l’effectif le plus jeune soit une moyenne d’âge de 26,2 ans. Mais dans les faits, l’ossature de cette équipe nationale reste vieillissante et la transition générationnelle, un processus lent. Round Up des maux de la sélection avec les analyses de Cheikh Sidy Ba.

Les Three Lions avaient bien plus de mordant que les Lions du Sénégal. Aliou Cissé et ses hommes ont pris la porte de cette coupe du monde 2022 en 8es de finale en s’inclinant sur le score de 3 buts à 0. Kalidou Koulibaly et ses coéquipiers ont littéralement bu la tasse -de thé- devant le raz-de-marée British. Outre cette défaite salée, ce mondial a permis de remettre sur la table la question de la transition générationnelle de l’équipe nationale. L’illustration la plus fraîche dans les mémoires reste ce même match contre l’Angleterre où les absences de quelques cadres de cette équipe -Cheikhou Kouyaté (32 ans) et Idrissa Gueye (33 ans)-, ajoutées à la prestation décevante de Kalidou Koulibaly (31 ans), ont été préjudiciables à l’ensemble du groupe. Sans pour autant nier la supériorité des Anglais, cette donnée fait ressortir deux hypothèses : la première est que l’équipe nationale du Sénégal reste dépendante de ses « vieux » et la deuxième, concerne la relève qui paraît avoir encore les épaules frêles.

A la genèse d’une colonne vertébrale indéboulonnable

On est à des années lumière de la crise que le football sénégalais a connue après la coupe du monde de 2002 où la génération d’El Hadji Diouf avait terminé en quarts de finale. Une situation qui, on le rappelle, a entraîné une refonte du football sénégalais en 2008 menée d’une main de maître par Mamadou Diagna Ndiaye à travers le comité de normalisation. Les fondements posés en ce temps tiennent bien jusqu’à présent. C’est d’ailleurs ce soubassement qui a permis l’éclosion de la génération des Sadio Mané and Co lors des JO de Londres de 2012, bien encadrée par le défunt Karim Séga Diouf et un certain Aliou Cissé. Dans la continuité, ces jeunes loups vont connaître des entrées progressives dans la tanière après la débâcle de Bata (CAN 2012 Gabon-Guinée. Ils vont être rejoints en 2015 par Aliou Cissé qui va fortement s’appuyer sur ces ex « olympiens » pour bâtir son groupe. De 2015 à nos jours, 4 joueurs constituent le noyau sur lequel gravite le reste de l’équipe : Sadio Mané, Cheikhou Kouyaté, Idrissa Gana Gueye et Saliou Ciss. Pour le dernier cité, n’eut été son manque de compétition, il ne fait aucun doute qu’il aurait pu être de la fête au Qatar en 2022. A côté d’eux, d’autres footballeurs ont pu, au fil des années, conquérir des places de titulaires indiscutables dans cet effectif. A l’exemple d’un Kalidou Koulibaly, Ismaila Sarr, Edouard Mendy, Youssouf Sabaly et Bouna Sarr. Depuis son accession à la tête de la tanière, Aliou Cissé a toujours conservé la même ossature si bien que l’absence de l’un de ses indéboulonnables est perçue comme un vide difficile à combler.

Une relève bien trop tendre et inconstante

Il faut aussi dire que « El Tactico » n’a pas l’embarras du choix niveau qualitatif chez les jeunes. Pour preuve, en l’absence de Sadio Mané, le rôle de leader de l’attaque avait été confié à Ismaila. Une consécration naturelle pour celui qui était un peu comme le Robin, le lieutenant de cette équipe sur le plan offensif pour son cheminement dans l’ombre du « Nianthio » au cours des dernières années. Mais les étincelles d’Izo sur certaines rencontres dans ce mondial 2022 n’ont pas suffi à entretenir la flamme de l’espoir. Le Ismaila Sarr rapide, technique et surtout nonchalant connu depuis la CAN de 2017 a conservé depuis lors le même potentiel. Toujours en attaque, le monde du football africain se souvient encore de la révélation de la CAN 2019 en Egypte : Krépin Diatta. Le virevoltant numéro 10 avait ébloui la compétition de son talent, laissant ainsi penser des lendemains radieux pour le Sénégal. Mais c’était sans compter le facteur blessure qui a eu un impact négatif sur son évolution notamment sur le plan mental. Cela s’est constaté pendant les matchs du Sénégal dans cette coupe du monde où le « Krépinho » entreprenant des années précédentes a laissé place à un joueur prudent soucieux d’éviter au maximum les contacts par peur de se blesser à nouveau.

A côté de ceux qui stagnent et des joueurs à l’apport décroissant, il y a ceux qui n’ont plus la chance de progresser en club. C’est le cas de Pape Matar Sarr et Pape Gueye. Pour le deuxième cité du côté de l’Olympique de Marseille, bien qu’il n’occupe plus une place de pilier dans le cœur du jeu, comme ce fut le cas avec Jorge Sampaoli, il peut s’estimer heureux d’être aligné sur certaines rencontres ou même être souvent utilisé dans la rotation. Un temps de jeu, certes, réduit mais qui a de quoi faire pâlir d’envie Pape Matar Sarr. L’ancien milieu du FC Metz, qui a rejoint Tottenham, cet été n’a tout simplement pas été utilisé par Antonio Conté en match officiel au cours de cette saison. Plus qu’un choix tactique, le jeune sénégalais souffre de la forte concurrence dans ce secteur du jeu, avec la présence d’un Yves Bissouma, par exemple. Sarr paie aussi son gabarit pas encore taillé pour la Premier League. Celui qui était plutôt sur une courbe ascendante du côté de Metz voit donc sa progression freinée. Conséquence en équipe nationale, les « Papis » Cheikhou Kouyaté et Idrissa Gueye sont poussés à faire de la résistance.

« Nos jeunes ont besoin de plus de maturité », Cheikh Sidy Ba

Pour Cheikh Sidy Ba, ancien international sénégalais et consultant, la barre était bien trop haute pour la nouvelle génération : « Un joueur comme Pape Matar Sarr sur qui les gens fondait beaucoup d’espoir,    quand il est entré contre l’Angleterre  n’était pas à la hauteur et il a été dépassé par le rythme et l’intensité. On a vu qu’à chaque fois qu’il avait le ballon, les joueurs anglais lui mettait des impacts physiques qu’il ne pouvait pas contenir. Donc, ça veut dire que nos jeunes joueurs sont encore un peu tendres et ils ont besoin de plus de maturité, de plus d’expérience, de plus de volume physique. C’est à cause de ça que Aliou n’a pas voulu les responsabiliser très tôt ».

Quid du fond de jeu de l’équipe nationale

Si le niveau de ces jeunes est pointé du doigt, il serait important de se pencher sur les facteurs qui ne favorisent pas leur épanouissement et parmi eux, on retrouve l’identité de jeu. Depuis 2015, marquant l’arrivée d’Aliou Cissé, il est impossible de décrire exactement le fond de jeu sur lequel cette sélection s’appuie. Les quelques certitudes qui ressortent après leurs matchs sont leur solidité défensive et l’animation sur les ailes bien emmené par le maître à jouer Sadio Mané. Pour le reste, c’est un manque d’organisation du jeu notamment au milieu de terrain. Selon Cheikh Sidy Ba, la solution à ce problème passe par une refonte profonde. « Il faudrait qu’on ait un fond de jeu pour que toutes les équipes nationales jouent de la même façon. Quand tu vas chez les U17, c’est différent, quand tu vas chez les U20, c’est autre chose. Idem pour les U23, ne parlons même pas de l’équipe nationale locale. Mais là, quand un jeune quitte l’équipe nationale U23 l’équipe nationale locale et il va en A, il va trouver là-bas un autre système de jeu, une autre identité de jeu où il faudra qu’il s’adapte », estime-t-il.

Après le scandale de passeports diplomatiques, celui des passeports de service

Des trafiquants de passeports de service ont été démasqués au ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur. «Une enquête a été diligentée et le réseau démantelé, avec l’arrestation des principaux mis en cause», renseigne le ministère dans un communiqué repris par Les Échos.

En attendant «le traitement judiciaire de l’affaire (qui) suit son cours», les services de Aïssata Tall Sall, la chef de la diplomatie sénégalaise, ont décidé d’annuler «tous les passeports de service délivrés entre le 1er janvier 2021 et 13 décembre 2022». Il est demandé aux ayants droit reconnus de se rapprocher du ministère pour une nouvelle demande.

Ce scandale éclate un an après celui des passeports diplomatiques qui avait éclaboussé des agents de la Présidence et du ministère des Affaires étrangères. L’affaire a été jugée récemment et les principaux mis en cause condamnés.

Nigeria: un imam controversé condamné à mort pour “blasphème”

Un tribunal islamique du nord du Nigeria a condamné à mort jeudi un célèbre imam controversé pour “blasphème” contre le prophète Mahomet, une sentence rare contre un religieux.
 
Le juge du tribunal supérieur de la charia a reconnu le cheikh Abduljabbar Nasiru Kabara coupable de “blasphème” pour ses prêches “révisionnistes” qui, selon le tribunal, interprétaient de manière erronée certains textes religieux dépeignant le prophète sous un mauvais jour.
 
“Cette cour a retenu tous les chefs d’accusation portés contre vous et vous condamne par la présente à la mort conformément aux dispositions de la charia sur le blasphème”, a déclaré le juge Abdullahi Sarki Yola au cours de l’audience.
 
Dans l’islam, le blasphème, en particulier contre le prophète, est passible de la peine de mort selon la charia, qui s’applique parallèlement au droit commun dans plusieurs Etats du nord du Nigeria.
Détenu depuis son arrestation en février dernier, M. Kabara s’est opposé à la demande de clémence de son avocat, réaffirmant son innocence et appelant ses partisans à rester calmes.
 
Des dizaines de policiers armés et d’autres personnels paramilitaires montaient la garde à l’extérieur de la salle d’audience.
 
M. Kabara, qui appartient à l’ordre soufi Qadiriyya, est en désaccord avec d’autres religieux musulmans sunnites du nord du Nigeria, en particulier les salafistes radicaux.
 
Plusieurs religieux musulmans jugent qu’il a une approche “révisionniste” de l’histoire et de la théologie islamiques qui, selon lui, regorgent de mythes et de mensonges.
Ses détracteurs l’accusent d’insulter les compagnons du Prophète et de dépeindre celui-ci sous un mauvais jour.
 
Le blasphème est un sujet très sensible et source de tensions dans le pays le plus peuplé d’Afrique, divisé entre un sud majoritairement chrétien et un nord principalement musulman.
 
C’est la troisième fois qu’une peine de mort est prononcée pour blasphème au cours des dernières années.
 
En avril 2022, un célèbre militant athée nigérian Muhammad Mubarak Bala avait été quant à lui condamné à 24 ans de prison par un tribunal de droit commun du nord pour avoir écrit des messages sur Facebook critiquant l’islam et son prophète.
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