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Mondial 2022 : les primes polluent la Fédération, à l’origine une «tontine» de centaines de millions

La question des primes du Mondial 2022 pollue l’atmosphère à la Fédération sénégalaise de football (FSF). Le problème : d’après le quotidien sportif Record, les sept membres du Comité exécutif de l’instance qui faisaient partie de la délégation officielle du Sénégal n’ont pas encore reversé, comme prévu, les montants reçus dans la caisse devant permettre à l’ensemble des 33 membres de l’organe fédéral d’être servis.

Les sept membres concernés sont le président de la FSF, Augustin Senghor, Djibril Wade, Abdoulaye Sow, Mame Adama Ndour, Amadou Kane, Cheikh Seck et le DTN, Mayacine Mar. En dehors de ce dernier, qui a reçu globalement 140 millions de francs CFA compte tenu de son statut, chacun a encaissé 65 millions.

Cette somme est composée, selon Record, des primes de participation (30 millions) et de qualification en huitièmes (15 millions) et en quarts de finale (20 millions). Cette dernière prime est offerte par le Président Macky Sall malgré l’élimination par l’Angleterre.

Selon un protocole signé avant le Mondial par les concernés, les fédéraux membres de la délégation officielle devaient reverser leurs primes dès leur retour. Mais depuis qu’ils sont rentrés au bercail, les ayants droit n’ont pas envoyé l’argent. Pourtant, signalent des sources de Record, ils sont passés à la caisse.

Leurs collègues s’inquiètent. Ils ont tenu une réunion au sortir de laquelle ils ont chargé Louis Lamotte et Élimane Lam de relancer Augustin Senghor et Cie. Le quotidien sportif rapporte que le premier a envoyé un SMS au patron du football sénégalais pour prendre rendez-vous. Mais ce dernier n’a pas encore répondu, d’après la même source.

Le sélectionneur portugais Fernando Santos sur la sellette, José Mourinho pour le remplacer?

Le sélectionneur du Portugal, Fernando Santos, serait sur le départ après l’élimination surprise de la Seleçao face au Maroc en quarts de finale du Mondial, rapporte A Bola. La Fédération pourrait frapper un grand coup en nommant José Mourinho à la tête de l’équipe portugaise, selon Il Corriere dello Sport.
 
Battu par le Maroc à la surprise générale, le Portugal a quitté le Mondial-2022 sur l’image des larmes de Cristiano Ronaldo, son héros déclassé, et la Seleçao, qui peut compter sur une génération prometteuse, va désormais devoir se réinventer, avec ou sans sa star. Selon plusieurs médias portugais, la mue pourrait s’opérer sans Fernando Santos, le sélectionneur de 68 ans qui possède un contrat jusqu’à l’Euro-2024 en Allemagne.
 
Deux successeurs potentiels auraient été désignés. La Fédération pourrait promouvoir l’entraîneur des espoirs Rui Jorge ou proposer le poste à José Mourinho. Actuellement à l’AS Roma, le “Special One” enfilerait deux casquettes, celle de coach des Giallorossi et de la Seleçao.
 
L’entraîneur portugais de 59 ans ne serait pas contre cette proposition. Il faudra également convaincre les dirigeants de la Roma pour mettre en place ce plan.

[Vidéo] Agression spectaculaire aux Maristes: Comment Kaliphone a neutralisé deux bandits

Trois agresseurs ont semé,  hier mardi, la terreur aux Maristes. Le trio à bord d’une charrette a tenté de dépouiller des citoyens sous la menace d’un couteau. 
Mais il a fallu l’intervention de Kaliphone Sall pour neutraliser deux des malfaiteurs. L’influenceur, à bord de sa moto, a traqué les trois délinquants de Maristes à Dalifort. 
Selon Kaliphone Sall, l’un des bandits avait dégainé un couteau contre lui. Mais l’influenceur a riposté avec une pierre avant de neutraliser deux bandits avec l’aide des populations. 
 
Les mis en cause  ont été mis à la disposition du Poste de Gendarmerie de Maristes. La charrette servant à la commission des forfaits et un couteau ont été mis sous scellé par les enquêteurs, selon une source de Seneweb. Le troisième membre de ce gang, en cavale, est activement recherché par les pandores. 

Meurtre de Abdou Faye par des bergers : Vive tension à Thiambokh, la gendarmerie déployée

A Thiambokh, la population est dans le désarroi total. Depuis hier soir, elle est sur le qui-vive. Le village a été attaqué par des individus suite au décès d’un jeune du village de Souk à Kirène.
 
Le village est en fumée, les femmes n’ont pas le temps de s’occuper des tâches ménagères. Elles sont toutes regroupées sous un arbre. Certaines parlent à tue-tête, d’autres plus émotives sanglotent. Les téléphones ne cessent de sonner. Les parents des villages environnants arrivent en renfort à bord de motos et de voitures. 
“Notre communauté est là assise, désespérée. Les femmes n’ont rien sauvé du matériel. On n’a plus d’habits. Les deux boutiques ont été incendiées, il ne reste plus rien”, assure Issa Ka.
 
Il explique que ce matin, l’école du village a failli être brûlé mais la gendarmerie s’est déplacée sur les lieux pour sécuriser la zone.
 
D’ailleurs, des éléments de la gendarmerie sont en  renfort sur place. Ils ont encerclé le village. 
Des individus balançaient des coups de pierre en direction du village.
Des lacrymogènes ont été lancés pour faire reculer les assaillants. Une situation que Seneweb suit de près.

Kirène : Le village de Thiambokh incendié après le meurtre de Abdou Faye par des bergers

Le village de Thiambokh a été incendié hier vers les coups de 19 h, après le meurtre du jeune Abdou Faye, habitant à Souk.
 
“Un groupe d’individus est arrivé dans le village et a mis le feu dans toutes les maisons. Ces gens ont battus Djiba Dia, un vieux de 60 ans. Il a été évacué à l’hôpital. Mon frère Souleymane Diaw a été lui aussi battu. Ils lui ont fracturé les bras et la tête. Les femmes du village ont pris la fuite en passant dans les champs”, raconte Diouma Diaw.
 
Actuellement, la gendarmerie est venue en renfort pour sécuriser la population. 
 
Pour rappel, Abdou Faye a été tué à coups de machette par des bergers. Atteint au cou, il rendra l’âme. Un décès qui a soulevé l’ire de la population.

Mondial: des supporters marocains bloqués au Qatar sans les tickets promis

La compagnie aérienne nationale marocaine a annulé mercredi des vols prévus entre Casablanca et Doha pour les supporteurs désireux d’assister à la demi-finale du Mondial entre le Maroc et la France après que d’autres déjà arrivés au Qatar n’ont pu obtenir les tickets promis sur place pour ce match.

“Suite aux dernières restrictions imposées par les autorités qataries, Royal Air Maroc a le regret d’informer les clients de l’annulation de leurs vols opérés par Qatar Airways”, a indiqué la RAM dans un communiqué, sans détailler les raisons de cette annulation.

Les sept vols annulés impactent “2.100 passagers. Les 23 autres vols opérés par la RAM sont toujours maintenus”, a déclaré à l’AFP une source proche du dossier.

La RAM avait annoncé lundi avoir décidé d’opérer 30 vols spéciaux mardi et mercredi entre Casablanca et Doha pour acheminer les supporteurs en vue de la demi-finale.
 
A Doha, des supporters marocains arrivés à bord des premiers vols de ce pont aérien et rencontrés par l’AFP en fin d’après-midi mardi ont expliqué que la Fédération marocaine de football (FRMF) leur avait promis des billets dont ils ne disposaient pas encore à leur arrivée.
 
Des vidéos postées mercredi sur les réseaux sociaux montrent des groupes de supporters marocains bloqués par les forces de l’ordre qataries à l’aéroport Hamad.
 
D’après des témoignages sur Twitter, ces supporters refusaient de quitter l’aéroport tant qu’ils n’avaient pas de billets pour la demi-finale.
“Nous avons décidé de voyager hier soir après que la RAM a décidé de proposer des billets (d’avion) au prix symbolique de 5.500 dirhams (450 EUR)”, a expliqué à l’AFP Amjad Larbi, 25 ans, qui a voyagé sans ticket pour le match.
 
Anas Kolfa, 31 ans, arrivé à Doha mardi, a pu récupérer gratuitement le précieux sésame en fin de soirée auprès de la FRMF qui avait acheté des tickets à la FIFA, selon lui.
 
Mourad Louerad, 21 ans, lui, n’a pas obtenu de ticket.
 
“J’ai pris l’avion parce qu’on nous a dit que les tickets étaient disponibles à l’aéroport de Doha”, a-t-il confirmé à l’AFP.
“On nous a promis au Maroc qu’ils allaient être distribués à l’aéroport aux personnes arrivés à bord des vols de la RAM. Après, on nous a demandé d’aller au stade al-Janoub mais nous n’avons rien trouvé”, a-t-il encore témoigné.
 
“Marché noir”
Selon un autre supporter, Amine Farid, un informaticien de 31 ans, “le grand problème, c’est le marché noir… Les tickets sont vendus quatre ou cinq fois leur prix”.
 
D’autres ont dénoncé le clientélisme et le favoritisme des officiels de la fédération qui “donnent des tickets à leurs amis et connaissances”.
 
Il n’a pas été possible de joindre la FRMF.
 
Un message appelant les supporters “à ne pas se rendre dans les deux aéroports (de Doha) jusqu’à ce qu’ils aient obtenu des billets pour les matches”, a été posté mercredi matin sur le compte Twitter de l’aéroport international Hamad, où arrivent les vols en provenance de Casablanca.
 
“Nous rappelons aux supporters que l’aéroport international Hamad et l’aéroport de Doha ne sont pas des sites officiels pour obtenir des billets pour les matches de la Coupe du monde”, spécifie également ce message.
Dans l’après-midi, l’aéroport Hamad était calme, quelques supporters marocains débarquaient munis de leur carte Hayya, faisant office de visa d’entrée, certains avec billet, d’autres sans billet mais espérant en trouver.
 
Contactées par l’AFP, les autorités qataries n’ont pas donné suite.
 
A la veille de la demi-finale, le comité chargé de la sécurité du tournoi avait rappelé sur Twitter que “les fans sans billet ne seront pas autorisés dans l’enceinte et autour des stades” et que tous les billets “scannés (à l’entrée, ndlr) sont enregistrés et ne peuvent donc pas être réutilisés pour accéder au stade”.

Bal 2023 : L’ouverture de la saison 3 prévue le 11 mars à Dakar

Après deux saisons réussies, la 3e édition de la Ligue africaine de basket (Bal 2023) sera lancée le 11 mars 2023, à Dakar. L’annonce a été faite par le président Amadou Galo Fall, lors d’une rencontre avec la presse. La finale de cette édition est prévue le 27 mai à Kigali.
 
Comme l’année dernière, les organisateurs de la Bal ont encore choisi Dakar (Sénégal), Le Caire (Égypte) et Kigali (Rwanda) pour la 3e saison de cette compétition qui vise à rendre plus alléchante la discipline dans le continent.

Les 12 clubs champions qualifiés pour cette saison seront répartis en deux conférences. La Conférence du Sahara, prévue au Dakar Arena, disputera une phase de groupes de 15 matchs, du 11 au 21 mars, et la Conférence du Nil disputera autant de rencontres au complexe sportif intérieur Hassan Mostafa du Caire, du 26 avril au 6 mai.
 
Les quatre meilleures équipes de chaque conférence se qualifieront pour des éliminatoires des finales de huit matchs à élimination simple au BK Arena de Kigali, du 21 au 27 mai.

Conflits éleveurs-agriculteurs : La révision du Code pastoral réclamée

Alors que les conflits communautaires entre éleveurs et agriculteurs ne cessent de faire des victimes, le mouvement Aynabé Sénégal Tampi réclame la révision du Code pastoral et son vote à l’Assemblée nationale.
En effet, frustrés, ces éleveurs transhumants déplorent leur manque de liberté. Selon eux, les subventions de l’État profitent à un petit groupe d’éleveurs. En assemblée générale hier à Fatick, ils ont menacé de porter des brassards rouges devant le chef de l’État, lors de Journée nationale de l’élevage prévue le 29 décembre prochain à Tambacounda.
“Nous avons tenu cette assemblée générale pour exprimer nos doléances. Nous, les éleveurs transhumants, sommes très fatigués. Nous rencontrons d’énormes difficultés dans la prise en charge de nos bétails. Nous n’avons pas de liberté dans ce pays. Nous ne pouvons plus nous déplacer avec nos troupeaux sans que des personnes nous interpellent. Nous n’avons plus d’espaces pour pâturer. Toute la forêt est cédée aux agriculteurs qui nous fixent des limites à chaque fois et si on refuse, ils interpellent les gendarmes pour nous arrêter. De plus, nous avons constaté que les éleveurs sont laissés en rade dans les subventions de l’État, parce que les 675 millions subventionnés ne profitent qu’à un petit groupe d’éleveurs. Nous souhaitons que tous les éleveurs sentent cette subvention-là”, a fustigé Mbaye Ka, le président de la fédération Aynabé Sénégal Tampi sur Rfm.
Cependant, ces éleveurs demandent à l’État du Sénégal de revoir le Code pastoral et de le faire voter à l’Assemblée nationale. “Nous avons des problèmes avec les arrêtés pendant l’hivernage. Il y a un Code pastoral qui n’est pas voté à l’Assemblée nationale. Il y avait des lois d’orientation et un projet de loi, mais on n’a pas encore voté le Code pastoral. Le code existe depuis 1973. Nous prions le président de la République de revoir ce code pour régler les conflits entre éleveurs et agriculteurs, parce que tout le problème, c’est ce Code pastoral”, ajoute Abdoulaye Ka, membre de la fédération.

Liberté provisoire pour Pape Alé Niang

Le journaliste va enfin pouvoir rentrer chez lui après deux semaines de séjour en prison. Le demande de liberté provisoire, déposée par ses avocats, a été acceptée par le Juge d’après Me Moussa Sarr, l’un de ses conseils. 
 
Ce dernier se dit  d’ailleurs « soulagé par la nouvelle ». Les avocats du journaliste ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Ils prévoient de continuer le combat afin « d’obtenir un non-lieu ».
 
Rappelons que Pape Alé a été arrêté le 06 novembre dernier. Depuis lors, les organisations de presse n’ont cessé de réclamer sa libération. Pas plus tard qu’hier, le plaidoyer avait été porté par la convention des jeunes reporters devant le ministre de la Communication.

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Ce dernier se dit  d’ailleurs « soulagé par la nouvelle ». Les avocats du journaliste ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Ils prévoient de continuer le combat afin « d’obtenir un non-lieu ».
 
Rappelons que Pape Alé a été arrêté le 06 novembre dernier. Depuis lors, les organisations de presse n’ont cessé de réclamer sa libération. Pas plus tard qu’hier, le plaidoyer avait été porté par la convention des jeunes reporters devant le ministre de la Communication.
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