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Vélingara : Un jeune homme retrouvé mort par pendaison

Les  populations de Vélingara sont dans l’émoi et la consternation. Selon le journal «Walf Quotidien», Mamadou Lamine Diallo, un jeune homme âgé de 40 ans, s’est donné la mort par pendaison, samedi passé à Kolo, localité située dans la commune de Paroumaba.
 
Accompagné  de son berger, il s’était rendu en brousse pour détacher ses vaches. Une fois rentré à la maison, vers 11 h, il avait pris une corde qu’il a enfilée dans un sachet avant de rebrousser chemin en brousse. Ce qui fait penser qu’il avait déjà préparé son plan pour mettre fin à ses jours.
C’est ainsi que vers 13 h, il a été retrouvé mort, la corde autour du cou. Avisés, les pandores de Kalifourou Linkering se sont dépêchés pour  le constat d’usage.
 
Le défunt a été inhumé le lendemain dimanche dans son village natal. Il laisse derrière lui une femme et quatre enfants.
 
Les raisons de son suicide ne sont toujours pas connues. La gendarmerie a ouvert une enquête.

CHEZ LE DOYEN DES JUGES : CAPITAINE TOURÉ CAMPE SUR SA POSITION ET ENFONCE L’EX PROCUREUR

Seydina Oumar Touré alias Capitaine Touré, entendu lundi 12 décembre, par le Doyen des juges, dans l’affaire Sweet Beauté, n’a pas varié dans ses déclarations.

Le dossier de viol présumé opposant Adji Sarr, accusatrice et favorable à un procès public, à Ousmane Sonko, qui parle de complot contre sa candidature en 2024, avance à grands pas.

Seydina Oumar Touré, de passage lundi au 1er le cabinet, a maintenu devant le juge-instructeur, Maham Diallo, ses déclarations.

Au-delà, rapporte Libération, l’ex Capitaine de la gendarmerie nationale, le premier à entendre Adji Sarr après le dépôt de sa plainte, a mis en cause la conduite de l’ancien procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye.

Le Doyen des juges qui poursuit ses instructions, va entendre, aujourd’hui mardi, le guide religieux de Adji Sarr, Mc Niasse. Et une certaine Madame Tall, ancienne patronne de la masseuse, se prépare.

En attendant, le Doyen des juges a adressé une réquisition à la Sûreté urbaine pour disposer du carnet des déclarations faites le jour où Adji Sarr a déposé plainte. Une autre déposition a été aussi à l’ex Cto.

Des nouvelles du roi Pelé

Hospitalisé depuis deux semaines pour une infection respiratoire, Pelé va mieux selon l’hôpital Albert Einstein de Sao Paulo.
 
« Aucune prévision de sortie n’a été établie mais le patient continue à présenter une amélioration de son état clinique, notamment en ce qui concerne l’infection respiratoire », fait savoir ce lundi l’établissement brésilien, dans un communiqué.
Atteinte d’un cancer du côlon, la légende du football auriverde, 82 ans, a quitté l’unité de soins intensifs et présente des « signaux vitaux stables », selon ses médecins.
 
L’intéressé communique en cette période de Coupe du monde via ses réseaux sociaux, avec notamment des messages directement adressés à Neymar et Cristiano Ronaldo après les éliminations de la Seleçao et du Portugal.

Sonko-Adji Sarr : le Doyen des juges ouvre quatre nouvelles pistes

L’enquête sur l’affaire Sweet Beauty semble avoir pris un coup d’accélérateur depuis la confrontation entre Adji Sarr et Ousmane Sonko, jeudi dernier. Le Doyen des juges a entendu hier, lundi, l’ex-capitaine de la gendarmerie Seydina Oumar Touré. Ce dernier, alors en poste à la Section de recherches, était chargé du dossier.

Libération informe que la gendarme radié n’a pas varié dans ses déclarations. Le journal rapporte qu’il aurait réitéré ses propos remettant en cause, notamment, la conduite de Serigne Bassirou Guèye, procureur de la République au moment de l’éclatement de l’affaire.

Le Doyen des juges compte aller plus loin. Quatre nouvelles pistes sont annoncées. Libération précise que le magistrat va entendre tour à tour le marabout «MC Niasse», ce mardi, et, avant la fin de la semaine, «Madame Tall». Cette dernière s’était présentée comme l’ancienne patronne de Adji Sarr.

Ce n’est pas tout. La même source annonce que le juge a émis deux réquisitions dans le but d’éclairer davantage sa lanterne. L’une a été adressée à la Section de recherches, pour obtenir les déclarations de Adji Sarr le jour du dépôt de sa plainte, et l’autre à l’Hôpital Général Idrissa Pouye (ex-CTO).

Alliance des Syndicats Autonomes de la Santé (ASAS) SUTSAS-SUDTM-SAT Santé/D-CNTS Santé-SAT/CL AND GUEUSSEUM soutient le GROUPE DMEDIA

Le Directoire
Motion de soutien au personnel du Groupe DMEDIA
Fidèle et constante dans sa lutte contre l’injustice et l’iniquité pour la protection et la promotion des travailleurs l’ASAS And Gueusseum s’indigne à nouveau devant le sort du personnel du Groupe DMEDIA privé de salaire à cause de la fermeture des comptes de leur entreprise.
Réitérant son soutien permanent à ces innocents et vaillants travailleurs pour la 3ème fois à la suite du 1er soutien relatif à la coupure du signal de SenTv le 04 janvier 2020 déjà et celui du 09 octobre 2021 consécutif à la 1ère fermeture des comptes et aujourd’hui avec celle des comptes de Zikfm et de Tribune, And Gueusseum reste encore solidaire des agents face à leurs droits et devoirs surtout dans un contexte économique très difficile à tous points de vue
And Gueusseum en appelle encore à plus de responsabilité, d’équité et de générosité des services fiscaux et de DMEDIA en conflit permanent au détriment des 586 agents et familles, des téléspectateurs, des auditeurs et des lecteurs entre autres victimes qui en font désolément toujours les frais.
Dakar le 12 décembre 2022.
Pour le Directoire
Le Président de l’ASAS

Amadou DIAGNE Président du FOGECA honoré au Mali

Le Président de la transition au Mali a  décore le président du FOGECA Amadou Diagne au grade de chevalier de l’ordre du Mali par décret présidentiel pour ses actions en faveur du continent et du Mali.
La cérémonie a lieu hier  à la présidence au Mali.
En présence des autorités civiles et militaires.

Fonds Covid-19 : comment on se gavait de milliards et de millions dans huit ministères

Les importants moyens financiers mobilisés par le gouvernement pour la riposte contre les effets de la pandémie ont permis de soulager de nombreux ménages et entreprises. Manifestement, ils ont en même temps permis à certains de leurs gestionnaires de se remplir les poches. La Cour des comptes a produit son rapport sur la gestion du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la Covid-19 (Force Covid). Celui-ci est assorti de douze demandes d’ouverture d’une information judiciaire contre des agents suspectés de détournement de l’argent public. D’après Libération, qui a exploré le rapport de la Cour des comptes, huit ministères et l’Hôpital de Kaffrine sont concernés. Au ministère du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, renseigne le journal, Aliou Sow, qui occupait à l’époque le poste de Directeur de l’administration générale et de l’équipement (Dage), est épinglé pour une surfacturation sur le prix du riz. Montant en cause : 2 milliards 749 millions 927 mille 498 francs CFA. Pour le même motif, la Cour des comptes a également demandé l’ouverture d’une information judiciaire contre les Dage du ministère de la Jeunesse, Mouhamadou Sène, et du ministère du Commerce et des Petites et Moyennes entreprises, Madeleine Suzanne Lô. Les mis en cause sont soupçonnés d’avoir gonflé des prix pour du gel hydro-alcoolique pour, respectivement, 41 millions 217 mille 580 et 805 000. 55 retraits de chèques Au niveau du ministère du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries, trois personnes sont visées par les demandes d’ouverture d’une information judiciaire. Il leur est reproché des irrégularités concernant des dépenses estimées à 2,5 milliards. Il s’agit de l’aide-comptable Mouhamadou Bamba Amar, du Dage Ndèye Aminata Loum Ndiaye et du gestionnaire du compte bancaire «Fonds d’appui à la Petite et Moyenne entreprise» dudit ministère, Moustapha Diop. Il est reproché au premier 55 retraits de chèques signés par le troisième, entre le 3 mars et le 21 août 2020, pour le paiement en espèces des fournisseurs de masques du département concerné. Les auditeurs de la Cour des comptes estiment que ces paiements auraient dû être effectués par chèques bancaires ou par ordres de virement. Il est en outre reproché à Bamba Amar d’avoir puisé dans les fonds réservés à la promotion des petites et moyennes industries pour des dépenses non éligibles. Concernant Ndèye Aminata Loum, la Cour des comptes pointe le paiement en espèces de fournisseurs de masques sur la base de simples décharges. Plus grave, signalent les auditeurs, ces décharges sont truffées d’anomalies. En tant que gestionnaire du compte bancaire «Fonds d’appui à la Petit et Moyenne industrie», Moustapha Diop, pour sa part, devra s’expliquer sur l’ensemble de ces dysfonctionnement. Un Dage, trois plaintes Le Dage du ministère de la Femme, de la Famille et du Genre, Djiby Diakhaté, de son côté, fait l’objet de trois demandes d’ouverture d’une information judiciaire. Celles-ci portent sur des dépenses non justifiées pour 93 millions 209 mille 500. Au niveau du ministère des Mines, c’est le Dage de l’époque, Alassane Diallo, qui est épinglé pour le paiement d’un service non effectué. Celui du ministère de la Communication et de la Culture, Léons Nzalley devra également justifier devant la justice des dépenses pour un montant de 1 milliard 120 millions. Idem pour le directeur du Fonds d’impulsion de la Microfinance, Ndiamé Ndiaye, qui gérait les fonds Covid-19 au niveau du ministère de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire. Il n’a pas pu justifier un trou de 11 millions 191 mille 532. La Cour des comptes a demandé au ministère des Finances et du Budget d’enclencher les procédures appropriées pour le remboursement de 10 millions 740 mille décaissés et non justifiés par le directeur de la Prévention au ministère de la Santé et de l’Action, Dr Mamadou Ndiaye. Les auditeurs reprochent en outre à ce dernier d’avoir libellé des chèques au nom de trois personnes physiques différentes alors que le créancier de l’État, destinataire des paiements concernés, est une entreprise (Dina Famili). Ex-comptable de l’Hôpital de Kaffrine, Lamine Diallo n’a pas échappé aux foudres de la Cour des comptes. Les auditeurs ont demandé au ministère de la Justice d’ouvrir une information judiciaire contre lui pour défaut de pièces justificatives de dépenses estimées à 45 millions et supportées par le fonds Covid-19.

Sommet États-Unis – Afrique : Ces chefs d’État zappés par Joe Biden

Joe Biden accueille à Washington du 13 au 15 décembre un Sommet États-Unis – Afrique, riche en enjeux.

Lors de de ce rendez-vous, les Etats-Unis ont invité tous les pays membres de l’Union africaine et, il faut le préciser en “bons rapports” avec l’Union Africaine. Car des chefs d’État ont été zappés. Le Capitaine Ibrahim Traoré du Burkina Faso, Mamady Doumbouya de la Guinée, Assimi Goïta du Mali et Abdel Fattah Abdelrahmane al-Burhan, du Soudan. L’Érythrée, avec qui Washington n’entretient pas de relations diplomatiques, n’a pas été conviée.

Parmi les dirigeants attendus figure, bien évidemment le Président de la République sénégalaise, Macky Sall. Il y a aussi le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, un peu plus d’un mois après la signature d’un accord de paix avec les rebelles tigréens, ainsi que les présidents rwandais et de la République démocratique du Congo, en plein conflit dans l’est du pays face à la rébellion du M23.

Mais aussi les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et tunisien Kais Saied, aux prises avec une forte contestation, ainsi que le président de Guinée equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, quelques jours après que les Etats-Unis ont qualifié sa réélection de “simulacre”.

Seul absent de marque, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui est en difficulté dans son pays sur fond d’accusations de corruption.

“Il est clair qu’on est critiqués par ceux qui s’interrogent sur le fait de savoir pourquoi on a invité tel ou tel gouvernement avec qui on a des soucis”, admet Molly Phee, du département d’Etat.

“Mais cela reflète la volonté du président Biden et du secrétaire d’Etat Blinken d’avoir des discussions respectueuses y compris avec ceux avec qui on a des différences”, ajoute-t-elle.

La haute diplomate a dit notamment s’attendre à une “discussion robuste” sur la loi de programmation sur la “croissance en Afrique” votée en 2000 et liant la levée de tarifs douaniers aux progrès démocratiques. Cette loi arrive à échéance en 2025.

Pour Mvemba Phezo Dizolele, qui dirige le programme Afrique au Center for Strategic and International Studies à Washington, le sommet “présente de réelles opportunités mais aussi certains risques”.

“C’est l’occasion de montrer à l’Afrique que les Etats-Unis sont vraiment à l’écoute”, observe-t-il. “Mais l’attente étant très forte, la question sera de savoir si les choses vont réellement changer”.

Maroc-France : La Maire du 8e arrondissement de Paris craint “une guerre civile”

Après les violences de ce week-end, la Maire du 8e arrondissement de Paris craint “une guerre civile, mercredi soir, sur les Champs-Elysées après le match France/Maroc”. Jeanne d’Hauteserre était l’invité de CNews ce matin et elle a exprimé sa colère face à tous ces gens qui débarquaient sans aucun contrôle sur les Champs Elysées, alors que pour le 31 décembre ou le 14 juillet, on parvient à contrôler les accès à la plus belle avenue du monde : “Quand on veut fêter la victoire, on ne vient pas avec des mortiers. Or ces personnes ne viennent en réalité” que pour casser avec des barres de fer. Pour mercredi, tout le monde à peur d’une guerre, d’une guérilla, d’une guerre civile, et on ne veut pas que les Champs Elysées soient transformés en champ de bataille !”

Transfert du consulat général à Barcelone : Des Sénégalais de la diaspora interpellent le chef de l’État

“Non pour le transfert du consulat général à Barcelone !” et “Oui pour un consulat à Barcelone et l’implantation des bureaux consulaires !”. C’est la demande que des Sénégalais de la diaspora ont faite au chef de l’État, à travers une lettre ouverte transmise à Seneweb.
“Cri du cœur à Son Excellence le Président Macky Sall, pour éviter une erreur diplomatique stratégique”
 
Monsieur le Président, c’est un cri du cœur d’une importante partie de la diaspora que vous recevez en écho à travers cette lettre ouverte…
 
Monsieur le Président, le Sénégal émergent rime avec la consolidation des acquis.  C’est pourquoi, en porte-voix de nos compatriotes, nous disons «Non pour le transfert du consulat général à Barcelone !» et «Oui pour un consulat à Barcelone et l’implantation des bureaux consulaires ! ». Pourquoi ?
 
Lors de votre dernière visite en décembre 2015, vous aviez promis,  Monsieur le Président,  d’implanter  un Consulat  à Barcelone  une manière  de décongestionner  le Consulat  général qui a largement  dépassé  sa capacité  d’accueil. Promesse  accueillie en grande pompe, mais  avec l’usure du temps  la montagne semble avoir malheureusement  accouché  d’une souris.
 
Depuis sa création avec l’avènement de l’alternance  en septembre  2002 le Consulat général sis à la calle Ayala,  a favorablement  répondu  aux multiples  sollicitations de nos compatriotes faisant de cette juridiction  une de référence dans le monde, car n’oublions pas que nos compatriotes  du Portugal  dépendent  également de celle-ci.
Son seul et unique handicap était la non-stabilité des chefs de juridiction, et permettez-nous de le dire :  c’est le lieu de rendre un vibrant hommage à tous les consuls généraux qui ont eu à diriger cette juridiction, car de  Ndeye Fatou  Mbengue,Abdourakhmane Barro, Alassane Cisse à Ibrahima Diallo en passant par Assane Ndoye , Mouctar Belal Ba , Abdou Khadre Agne et Moustapha Loum (actuel Consul général)  beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, car chacun en ce qui le concerne a tenté de maintenir comme il se doit le flambeau avec des moyens très limités.
 
Monsieur le Président, vous avez clamé haut et fort que le plan Sénégal émergent a enregistré des performances de qualité dans presque tous les domaines, mais nous sommes tentés de vous Monsieur le Président au crépuscule de votre seconde mandature si vous n’êtes pas en mesure de consolider les  acquis de notre Gorgui National s’il vous plaît ne les détruisez pas. 
 
Nous sommes tous d’avis  que  Barcelone doit avoir un consulat, car au niveau  de la Catalogne vivent plus de 25 000 Sénégalais.
Les consulats  honoraires de Barcelone, de Las Palmas et de  Malaga  ont démontré  leurs limites  en plusieurs occasions d’où  la nécessité  d’implanter des Consulats et /ou des   bureaux  consulaires  renforcés dans les zones  de forte concentration sénégalaise en Andalousie, aux Iles Canaris et Baléares , entre autres comme  en France  et en Italie, car il faut le rappeler,  l’Espagne  abrite  la troisième  plus forte  colonie sénégalaise  derrière  ces pays précités et aucune initiative n’a été prise dans ce sens et la communauté ne cesse d’augmenter avec surtout le phénomène de l’immigration irrégulière et les déplacements de nos compatriotes vers l’Espagne constatés ces dernières années.
 
Vouloir transférer le consulat à Barcelone est perçu comme une volonté indirecte  de créer une scission  en notre sein  et c’est pourquoi  la Diaspora, cet important poumon économique et social  dit  NON à  la division de notre communauté souvent laissée  en rade vos politiques.
 
Ces décisions injustes et  impopulaires prouvent à suffisant notre faiblesse diplomatique et donne à la Diaspora un arrière-goût que votre régime n’a aucune considération pour les Sénégalais d’Espagne et que le  pilotage à vue est comme par le passé votre domaine de prédilection et  d’excellence.
Si le passage de Madame Aissata Tall Sall était très attendu  par bon nombre de nos compatriotes, nous sommes au regret de vous dire Monsieur le Président  que nous sommes restés sur notre faim, car aucune décision  de grandes envergures n’a été prise si ce n’est cette mesure impopulaire, car aucune de nos parties prenantes (administrateurs et administrés) n’a été associée en amont comme aval.
 
Le sentiment partagé est que «si en politique  les erreurs  se paient cash, Madrid  ne devrait pas pour autant payer les contre-performances de la coalition Benno. Les Sénégalais d’Espagne devront encore prendre leur mal en patience en attendant de voir jaillir des lueurs d’espoir en  2024 ».
C’est pourquoi nous demandons plus de respect et de considération  pour les Sénégalais d’Espagne presque oubliés dans votre stratégie diplomatique et qui ont déjà trop souffert sous votre magistère.
 
Déterminée, la Diaspora dit «oui pour des actions unitaires et concertées pour faire face à ce qui ressemble à une forfaiture !»
 
Monsieur le Président, redressez la barre avant qu’il ne soit trop tard !
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention