Vélingara : Un jeune homme retrouvé mort par pendaison
CHEZ LE DOYEN DES JUGES : CAPITAINE TOURÉ CAMPE SUR SA POSITION ET ENFONCE L’EX PROCUREUR
Seydina Oumar Touré alias Capitaine Touré, entendu lundi 12 décembre, par le Doyen des juges, dans l’affaire Sweet Beauté, n’a pas varié dans ses déclarations.
Le dossier de viol présumé opposant Adji Sarr, accusatrice et favorable à un procès public, à Ousmane Sonko, qui parle de complot contre sa candidature en 2024, avance à grands pas.
Seydina Oumar Touré, de passage lundi au 1er le cabinet, a maintenu devant le juge-instructeur, Maham Diallo, ses déclarations.
Au-delà, rapporte Libération, l’ex Capitaine de la gendarmerie nationale, le premier à entendre Adji Sarr après le dépôt de sa plainte, a mis en cause la conduite de l’ancien procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye.
Le Doyen des juges qui poursuit ses instructions, va entendre, aujourd’hui mardi, le guide religieux de Adji Sarr, Mc Niasse. Et une certaine Madame Tall, ancienne patronne de la masseuse, se prépare.
En attendant, le Doyen des juges a adressé une réquisition à la Sûreté urbaine pour disposer du carnet des déclarations faites le jour où Adji Sarr a déposé plainte. Une autre déposition a été aussi à l’ex Cto.
Des nouvelles du roi Pelé
Sonko-Adji Sarr : le Doyen des juges ouvre quatre nouvelles pistes
L’enquête sur l’affaire Sweet Beauty semble avoir pris un coup d’accélérateur depuis la confrontation entre Adji Sarr et Ousmane Sonko, jeudi dernier. Le Doyen des juges a entendu hier, lundi, l’ex-capitaine de la gendarmerie Seydina Oumar Touré. Ce dernier, alors en poste à la Section de recherches, était chargé du dossier.
Libération informe que la gendarme radié n’a pas varié dans ses déclarations. Le journal rapporte qu’il aurait réitéré ses propos remettant en cause, notamment, la conduite de Serigne Bassirou Guèye, procureur de la République au moment de l’éclatement de l’affaire.
Le Doyen des juges compte aller plus loin. Quatre nouvelles pistes sont annoncées. Libération précise que le magistrat va entendre tour à tour le marabout «MC Niasse», ce mardi, et, avant la fin de la semaine, «Madame Tall». Cette dernière s’était présentée comme l’ancienne patronne de Adji Sarr.
Ce n’est pas tout. La même source annonce que le juge a émis deux réquisitions dans le but d’éclairer davantage sa lanterne. L’une a été adressée à la Section de recherches, pour obtenir les déclarations de Adji Sarr le jour du dépôt de sa plainte, et l’autre à l’Hôpital Général Idrissa Pouye (ex-CTO).
Alliance des Syndicats Autonomes de la Santé (ASAS) SUTSAS-SUDTM-SAT Santé/D-CNTS Santé-SAT/CL AND GUEUSSEUM soutient le GROUPE DMEDIA
Amadou DIAGNE Président du FOGECA honoré au Mali

Fonds Covid-19 : comment on se gavait de milliards et de millions dans huit ministères
Sommet États-Unis – Afrique : Ces chefs d’État zappés par Joe Biden
Joe Biden accueille à Washington du 13 au 15 décembre un Sommet États-Unis – Afrique, riche en enjeux.
Lors de de ce rendez-vous, les Etats-Unis ont invité tous les pays membres de l’Union africaine et, il faut le préciser en “bons rapports” avec l’Union Africaine. Car des chefs d’État ont été zappés. Le Capitaine Ibrahim Traoré du Burkina Faso, Mamady Doumbouya de la Guinée, Assimi Goïta du Mali et Abdel Fattah Abdelrahmane al-Burhan, du Soudan. L’Érythrée, avec qui Washington n’entretient pas de relations diplomatiques, n’a pas été conviée.
Parmi les dirigeants attendus figure, bien évidemment le Président de la République sénégalaise, Macky Sall. Il y a aussi le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, un peu plus d’un mois après la signature d’un accord de paix avec les rebelles tigréens, ainsi que les présidents rwandais et de la République démocratique du Congo, en plein conflit dans l’est du pays face à la rébellion du M23.
Mais aussi les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et tunisien Kais Saied, aux prises avec une forte contestation, ainsi que le président de Guinée equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, quelques jours après que les Etats-Unis ont qualifié sa réélection de “simulacre”.
Seul absent de marque, le président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui est en difficulté dans son pays sur fond d’accusations de corruption.
“Il est clair qu’on est critiqués par ceux qui s’interrogent sur le fait de savoir pourquoi on a invité tel ou tel gouvernement avec qui on a des soucis”, admet Molly Phee, du département d’Etat.
“Mais cela reflète la volonté du président Biden et du secrétaire d’Etat Blinken d’avoir des discussions respectueuses y compris avec ceux avec qui on a des différences”, ajoute-t-elle.
La haute diplomate a dit notamment s’attendre à une “discussion robuste” sur la loi de programmation sur la “croissance en Afrique” votée en 2000 et liant la levée de tarifs douaniers aux progrès démocratiques. Cette loi arrive à échéance en 2025.
Maroc-France : La Maire du 8e arrondissement de Paris craint “une guerre civile”
Après les violences de ce week-end, la Maire du 8e arrondissement de Paris craint “une guerre civile, mercredi soir, sur les Champs-Elysées après le match France/Maroc”. Jeanne d’Hauteserre était l’invité de CNews ce matin et elle a exprimé sa colère face à tous ces gens qui débarquaient sans aucun contrôle sur les Champs Elysées, alors que pour le 31 décembre ou le 14 juillet, on parvient à contrôler les accès à la plus belle avenue du monde : “Quand on veut fêter la victoire, on ne vient pas avec des mortiers. Or ces personnes ne viennent en réalité” que pour casser avec des barres de fer. Pour mercredi, tout le monde à peur d’une guerre, d’une guérilla, d’une guerre civile, et on ne veut pas que les Champs Elysées soient transformés en champ de bataille !”









