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Chambre criminelle de Tambacounda : A la barre, 11 affaires et 16 accusés dont des acolytes d’Amadel, mort en détention

Pour la dernière session de l’année 2022 de la Chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Tambacounda qui s’ouvre ce mercredi 7 décembre 2022, 11 affaires impliquant 16 accusés dont des éléments du défunt Amadou Kâ dit Amadel, décédé à la prison de Louga, sont inscrites au rôle. Le viol occupe la première marche du podium avec 5 dossiers.                   
 
La dernière session de l’année 2022 de la Chambre criminelle de Tambacounda a démarré ce mercredi 7 et ce jusqu’au vendredi 9 décembre prochain. Au total, 11 dossiers seront examinés par les juges du Tribunal de grande instance de Tambacounda. Ces affaires impliquent, au total 16 accusés. Cette session reste marquée par la prédominance des dossiers liés au viol, pédophilie et détournement de mineure, avec 5 cas y afférents. Les autres crimes reprochés aux accusés sont relatifs au «trafic intérieur de drogue et contrebande», «Meurtre », entre autres. Aucune femme ne figure parmi les 16 détenus qui vont défiler à la barre. Les accusés vont devoir répondre présents à leur jugement, exception faite pour l’accusé Amadou Kâ dit Amadel, mort en cours de détention à la prison de Louga. Il devait comparaitre en même temps que ses acolytes Diogoye Bâ dit Bélel, Seydina Aliou Kâ dit Gorgui et Amadou Kâ dit Bambel poursuivis pour association de malfaiteurs, vol de bétails commis la nuit en réunion avec usage de moyen de locomotion.
 
A rappeler que tous les accusés seront assistés chacun d’un avocat commis d’office par l’Etat. A l’instant, ce sont les accusés Malick Gningue, berger âgé de 33 ans, Assane Tine, berger de 35 ans et Ibrahima Sarr, 34 ans, qui sont devant la barre. Ils sont accusés de braquages multiples à Makacolibantang et Bamba Thialène dans la nuit du 15 au 16 juin 2022.      

Les agents de la Senelec réclament une hausse de salaires de…

Les travailleurs de la Senelec veulent gagner plus. D’après Les Échos, les syndicalistes de la société d’électricité sont à la manœuvre pour obtenir cette faveur de leur direction.

Le journal précise que les agents visent une augmentation de 6%. Mais, souligne la même source, ils souhaitent que le calcul soit fait sur le salaire net et non le brut comme lors de la précédente revalorisation.

Les Échos rappelle que les revenus des travailleurs de la Senelec avaient été boostés récemment de 15%, mais que cette hausse portait sur le brut. Ce qui s’avérait insignifiant lorsque l’on sait qu’il fallait déduire les cotisations sociales et les impôts.

Filière Anacarde : Sur 82.000 tonnes exportées, seuls 3% valorisés au Sénégal

Trois pour cent seulement de la production de l’Anacarde valorisés au Sénégal, sur au moins 82.000 tonnes exportées en 2021. Une affirmation du président de l’interprofession Cajou du Sénégal, Boubacar Konta. Propos tenus à l’issue de la rencontre de validation du plan stratégique de développement de la filière anacarde et manuel de procédure de l’ICAS, hier à Ziguinchor entre les différents acteurs de la filière et les autorités administratives.

Pour le président de l’interprofession de Cajou du Sénégal, la validation du plan stratégique de développement de la filière anacarde va permettre de soutenir la compétitivité de l’anacarde sénégalaise, sur la production et la productivité. Il va permettre, ce plan, une meilleure maîtrise de la filière anacarde au Sénégal et booster la transformation, qui représente 3% des produits exportés, selon Boubacar Konta. ” Depuis l’arrêté ministériel 2018 jusqu’à aujourd’hui, le Sénégal en 2021 a pu exporter 82.000 tonnes, soit 54 milliards de chiffres d’affaires. Mais au constat, il y a que 3% seulement de ce produit qui sont valorisés au niveau du Sénégal “, confie Boubacar Konta. 

Ainsi, le président de l’interprofession Cajou croit fermement que ce plan va favoriser la valorisation de la filière anacarde et aller vers la transformation au niveau des différentes régions, en plus d’une meilleure maîtrise de la commercialisation de l’Anacarde. Une cmmercialisation dominée depuis quelques années par ” les Indiens et les Vietnamiens “. Chose qui n’encourage pas la politique économique du Sénégal, dixit Boubacar Konta.

« La victoire est pour les arabes » : Sofiane Boufal se fait démonter après sa déclaration

« On a marqué l’histoire, celle-là elle est pour tous les marocains, tous les africains, tous les pays arabes et surtout pour tous les pays musulmans », a lancé Sofiane Boufal après le match entre l’Espagne et le Maroc, ce mardi remporté par les Lions de l’Atlas aux tirs au but.

Cette déclaration du joueur marocain exclut, selon certains internautes, le reste du continent. Lequel était pour la plupart derrière les hommes de Walid Regragui. Ils s’offusquent du fait que le jouer ait fait preuve d’une grosse maladresse.

Son entraîneur avait déjà évoqué le sujet. « Nous, au départ, sans faire de politique, on va déjà parler football et on défend le Maroc et les Marocains. C’est la première des choses. Ensuite, forcément, on est aussi africains et c’est la priorité », avait notamment lancé le sélectionneur marocain.

 

 

 

 

 

 

 

Qatar 2022 : Cristiano Ronaldo prédit le pays qui va remporter la Coupe du monde

Le journaliste britannique Piers Morgan a révélé que Cristiano Ronaldo lui a déjà indiqué le pays qui remporterait la Coupe du monde au Qatar cette année.

Selon Morgan, Ronaldo lui a dit que son équipe nationale, le Portugal, pourrait remporter la Coupe du monde de la FIFA 2022.La Selecao a battu la Suisse 6-1 pour se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe du monde mardi.

Les buts du Portugal ont été marqués par Goncalo Ramos, qui a réalisé le premier triplé de la Coupe du monde. Pepe, Rafael Guerreiro et Rafael Leao ont également trouvé le chemin des filets.

« Le Portugal a été sensationnel ce soir. Ronaldo m’a dit qu’il pensait qu’ils pouvaient gagner la Coupe du monde, et ils pourraient le faire », a tweeté Piers Morgan, ami et supporter inconditionnel de Ronaldo.

Le prochain match du Portugal est contre le Maroc en quart de finale de la compétition.

Le verdict est tombé pour Nicole Faye, la juriste qui avait étranglé à mort son bébé

Le verdict est tombé pour Nicole Faye, juriste et étudiante en master 2 à la faculté des sciences juridiques et politiques de l’Ucad.

En détention préventive depuis deux ans, Nicole Faye a écopé hier, de cinq ans de réclusion criminelle. La jeune juriste a été arrêtée pour avoir étranglé à mort son nouveau-né avec un foulard.

Au bout de 21 mois, la jeune juriste tombe enceinte. Le papa du bébé fuit ses responsabilités. Et pis, ce dernier va la lâcher pour se marier une autre femme. Malgré tout, elle décide de tenir le coup. Elle a fini par accoucher dans les toilettes avant de tuer son nourrisson étranglé à mort à l’aide d’un foulard.

Très vite, une perquisition a été effectuée au domicile de la trentenaire à Ouest Foire, permettant de faire la découverte macabre. Lors de son face-à-face avec le juge de la chambre criminelle de Dakar, l’accusée a dégagé en touche le crime d’infanticide, affirmant qu’elle avait accouché d’un mort-né à huit mois de grossesse.

« J’étais agrippée au lavabo au moment où le bébé tombait sur les carreaux. Au moment de la soulever, j’ai enroulé un morceau de tissu à son cou. Car je ne voulais pas la toucher. Elle avait la peau très foncée », a-t-elle confessé.

D’après nos confrères du journal « Source A », le père de l’enfant qui se nomme M. L. B., est un responsable de l’Alliance pour la République (Apr) de Djidah Thiaroye Kaw. Lequel avait promis de faire une sortie après le délibéré.

Affaire Amy Ndiaye : Les Moustarchidines contre-attaquent

Dans un communiqué, parvenu à Seneweb, des membres du dahira Moustarchidine wal Moustarchidate ont annoncé avoir déposé des plaintes contre la députée Amy Ndiaye.  Ces disciples de Serigne Moustapha Sy considèrent que « les religieux subissent toutes formes de dérives depuis l’arrivée au pouvoir du régime de Macky Sall ». Ils ont, notamment, mis en lumière que le président Macky Sall avait « traité les chefs religieux de simples citoyens ». Un prétexte suffisant selon eux pour que les religieux se lèvent  et demandent « des excuses publiques à la députée Amy Ndiaye et à son Président Macky Sall qui l’a investie sur la liste ».

Les Moustarchidines estiment que les propos de la maire de Gniby peuvent entraîner des conséquences graves dans la cohésion sociale de ce pays.

Ils ont, par ailleurs, dénoncé « la manipulation de l’opinion. « Le plus déplorable dans cette histoire est que l’opinion a été manipulée par le régime de Macky et ses lobbies tapis dans l’ombre en voulant jouer sur la sensibilité de la population féminine avec des théories non aux violences faites aux femmes ».

Rappelons que la députée Amy Ndiaye a été internée à la maternité de l’hôpital principal de Dakar après avoir reçu une gifle et un coup de pied au ventre de la part de deux députés du Parti de l’Unité Rassemblement (PUR), une formation politique fondée par Serigne Moustapha Sy, guide religieux des Moustarchidines.

[Focus] Arnaque, détournement, addiction : Parifoot, une drogue aux effets incontrôlés

L’appât du gain pousse certains jeunes à s’adonner au parifoot. Mais entre perte d’argent, détournement et dépendance, ils y voient un moyen de se faire de l’argent facilement.

Le 13 octobre, Galaye Fall, grand commerçant à Louga, remet à son petit-frère et agent commercial, Mor Fall, 10 millions de francs CFA à déposer à la banque. Il manque de tomber des nues lorsqu’il apprend, après quelques jours sans nouvelles de son envoyé, que l’argent n’a jamais atterri dans son compte. Arrêté par la police, Mor Fall est localisé à Tamba. «Le mis en cause déclare avoir pris la fuite après avoir perdu au pari-foot une mise de 2 millions tirée de l’argent qu’il devait déposer à la banque», lit-on sur le site de Seneweb.

Les histoires de parifoot continuent d’alimenter la rubrique ‘faits divers’ des médias. Dans certains des cas, elles dépassent même  le cadre familial. En avril dernier, un vigile d’une école détourne les salaires et mise 240 000 au Pari Foot. Ayant perdu sa mise et conscient qu’il lui faudra s’expliquer, il a simulé une agression et, pour être plus crédible, s’est infligé lui-même quelques blessures.

Comme disait Bill Gates : «Pour gagner gros, il faut parfois prendre de gros risques». Reste à savoir si le jeu en vaut la chandelle !

Par amour du jeu et du gain

L’établissement peint entièrement en vert refuse du monde en ce début d’après-midi. Plus d’une dizaine de jeunes, en rangs désordonnés, s’entassent devant  la grille qui les sépare de la caissière. Elle semble débordée et tente de répondre à la demande des parieurs. Ces derniers, les yeux rivés sur les deux écrans géants, viennent tenter leur chance. La devanture de la salle de jeux située à la Sicap Liberté 4 est déjà bondée. Ils sont plus d’une vingtaine à se prêter aux jeux de hasard. Le parifoot damne le pion à tous les autres « games ». Il demande beaucoup de concentration aux turfistes. Un véritable casse-tête pour un novice. «Le parifoot est un jeu de hasard basé sur les résultats des matchs de football. On peut remporter une somme comprise entre 5.000 Fcfa et 10.0000 Fcfa pour une mise de 300 Fcfa », a tenté de nous expliquer Idrissa Sène. Un stylo à la main, ce jeune sans emploi est venu se faire un peu de sous. Cet habitué connaît mieux que personne les rouages du parifoot. «Le jeu existe sous diverses formes. Par exemple, si le Barça joue contre le Real, le parieur peut parier sur le Barça. Il peut préciser le nombre de buts inscrit  par les deux équipes, le nombre de buts inscrits  à la mi-temps. Il y a beaucoup de combinaisons », a fait savoir le jeune homme à la forme longiligne.

Le jeune de 27 ans a plus de dix ans d’expérience dans les jeux de hasard. Un penchant qui lui joue parfois de vilains tours : «je perds souvent beaucoup d’argent. Mais c’est le jeu!», relativise-t-il. Néanmoins Idrissa Sène a déjà eu à faire fortune grâce au parifoot. « Je me rappelle avoir gagné 300.000fcfa. Depuis lors, j’ai vraiment commencé à prendre ce jeu au sérieux», admet-il avec un sourire en coin. Le parieur  se dit « être un accroc » du parifoot. Tout de même, il est bien conscient des inconvénients de ces jeux de fortune. « Il y a des risques d’endettement  et  on perd beaucoup de sous», déclare-t-il. Pour l’heure, Idrissa ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et veut continuer de parier pour l’amour du jeu  et surtout celui du gain.

Ababacar Sarr est lui aussi parieur. Habillé d’un t-shirt rouge et d’un jean déchiré, le jeune homme a les yeux rivés sur les écrans plats. Cet habitué connaît tous les jeux. «Il n’y a pas que le parifoot. La salle de jeux propose aussi des courses de chiens et le jeu des numéros. Tu choisis un numéro de 1 à 32. La mise commence à 200 fcfa», affirme-t-il. Selon le jeune homme âgé de 25 ans, les gains dépendent des mises. Mais il peut gagner entre 7.000fcfa et 18.000fcfa. Une aubaine pour ce jeune désœuvré qui avoue son penchant pour ces jeux.

Une addiction incontrôlée

Le jeu est par essence source de plaisir et d’amusement. Mais il peut dans bien des cas créer une dépendance comme le cas des jeux de hasard et d’argent. Cette addiction peut être liée à un conditionnement  selon le site aide-jeu. Les jeux de hasard et d’argent exposent le joueur dès le début à une  forme de conditionnement. Les récompenses du jeu contribuent au développement d’erreurs de pensée qui modifient la  perception et l’expérience du joueur. C’est d’autant plus vrai lorsque ses premières parties se soldent par une série de gains plus ou moins élevés, une phase souvent appelée « chance du débutant ». Cette illusion de chance crée un sentiment d’euphorie dès sa première expérience avec le jeu et  incite le parieur  à recommencer. En réalité, le cerveau mémorise plus facilement les gains que les pertes et vous êtes rapidement convaincu que la chance va bientôt tourner à nouveau. Le début d’un cercle vicieux.

L’environnement est aussi un facteur à prendre en compte. La présence  accrue de l’offre de jeu contribue à façonner un environnement où le jeu est socialement acceptable, encouragé et même promu.

L’offre des jeux de hasard et d’argent en ligne participe également au développement de la dépendance, puisque tout ordinateur ou téléphone permet de jouer depuis le confort de son chez-soi, à toute heure du jour et de la nuit.

L’autre facteur est l’influence des joueurs. D’après le site d’informations sur l’aide aux jeux, si quelqu’un de l’entourage joue, le risque que l’autre s’y mette aussi est plus grand. Or, l’apprentissage du jeu par des proches se fait généralement sans mesures de prévention des risques. Le novice peut  donc être rapidement influencé par le discours de son proche, qui, par exemple, va se vanter  plus facilement de ses gains que de ses pertes pour le convaincre de jouer, lui aussi.

Lexique de termes juridiques : Voici la différence entre la Relaxe et l’Acquittement

Certains termes juridiques reviennent souvent dans la presse quand il y a une nouvelle affaire ou un dossier pendant en justice. Le journaliste se met, parfois, dans la peau d’un juriste pour rapporter les faits en utilisant le jargon judiciaire. Consultant juridique et contentieux de «A vos cas consulting », El Amath Thiam a expliqué, ici,  des termes pour une meilleure compréhension.

Relaxe : La relaxe est une décision prise par une juridiction pénale de jugement autre que la cour d’assises devenue la Chambre criminelle au Sénégal (par exemple, un tribunal correctionnel ou un tribunal de police), qui déclare non coupable le prévenu traduit devant elle. Par la relaxe, la personne poursuivie est mise hors de cause.

L’acquittement : C’est la décision de la Chambre Criminelle déclarant non coupable l’accusé traduit devant elle.

Bon à savoir : La relaxe ne doit pas être confondue avec l’acquittement même si en pratique les deux termes sont souvent employés indifféremment et la décision de non-lieu (Voir Ailleurs).

En outre, la relaxe ne doit pas être confondue avec le classement sans suite qui est une décision prise par le ministère public (le procureur de la République) écartant momentanément la mise en mouvement de l’action publique.

Cette décision est prise en vertu du principe de l’opportunité des poursuites : la liberté reconnue au procureur de la République de ne pas déclencher de poursuites pour un fait présentant toutes les caractéristiques d’une infraction.

« Maladie de la honte » : La fistule obstétricale, un problème de santé publique au Sénégal

La fistule obstétricale est un problème de santé publique au Sénégal. Qualifiée de « Maladie de la honte », elle affecte la santé de nombreuses femmes au Sénégal. Elle a ainsi fait l’objet d’une consultation à Tambacounda où une trentaine de femmes ont été confirmées puis opérées gratuitement, sous la supervision du Directeur de la santé de la mère et de l’enfant au ministère de la Santé et de l’action sociale.

La fistule obstétricale est un véritable problème de santé publique et constitue un véritable drame social au Sénégal où la prévalence tourne autour de 400 par an. Elle est une communication anormale et se manifeste par une perte prolongée et continue des urines et des selles. Elle provoque une souffrance atroce et muette qui met la fistuleuse en marge de la société. Cette maladie survient généralement après mariages et grosses précoces et des accouchements difficiles à domicile, conséquence de l’inaccessibilité des structures sanitaires.

La fistuleuse est souvent victime d’abandon et d’exclusion sociale. A défaut d’une auto-exclusion sociale, la patiente est souvent en marge de la société. Certaines sont rejetées par leurs familles, d’autres par leurs maris. Pourtant, le mari d’une fistuleuse ne court aucun risque d’infection, sinon la forte puanteur des urines que la victime ne peut plus retenir, souligne le Directeur de la Santé de la mère et de l’enfant. Suffisant pour que le comité de lutte contre les violences faites aux femmes dans la région de Tambacounda s’investisse pour la sensibilisation et l’information des populations de Tambacounda. C’est ainsi que 25 femmes dont 05 originaires de Kédougou ont été référées au centre hospitalier régional de Tambacounda en collaboration avec le ministère de la Santé. 12 femmes dont 01 jeune fille de 16 ans ont été entièrement prises en charge et opérées gratuitement par des médecins experts de renommée internationale de la chaire d’urologie de l’université de Saint-Louis, d’urologie de l’université de Dakar et la chaire de gynécologie de l’université de Dakar. Le directeur de la Santé, de la mère et de l’enfant a saisi l’occasion pour annoncer qu’à partir de janvier, les camps de chirurgie réparatrice vont devenir une routine dans la région de Tambacounda pour une prise en charge gratuite du maximum de femmes. Aussi, les blocs de soins obstétricaux de Goudiry, Koumpentoum, Makacolibantang et Bakel vont être renforcés pour une prise en charge précoce et correcte de cette maladie.

« L’objectif est de renforcer le personnel de dépistage et de prise en charge pour que les femmes soient traitées là où elles habitent », a-t-il souligné.

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