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Bambey: Une étudiante en 3ème année retrouvée morte dans sa chambre

L’université Alioune Diop de Bambey est sous le choc. En effet, Fatou Thialaw, étudiante en 3ème année du système des réseaux télécommunications a été retrouvée morte dans sa chambre hier vendredi vers treize heures. Sa dépouille a été acheminée au centre de santé de Bambey puis à l’hôpital régional de Diourbel pour autopsie.
 
Selon des témoignages recueillis auprès de ses camarades, la victime qui souffrait d’asthme se trouvait seule dans sa chambre au moment des faits.
 
La police de Bambey a ouvert une enquête pour tirer au clair cette affaire qui secoue toute la ville de Bambey.

Candidats au pèlerinage arnaqués : Le patron de Conciergerie voyages arrêté

Une cinquantaine de candidats au pèlerinage à La Mecque n’ont pas pu voyager, alors qu’ils avaient déjà versé leur argent. Le patron de l’agence Conciergerie voyages, Ibrahima Opa Diallo, rattrapé par cette affaire, a été arrêté par la Section de recherches. Accusé d’escroquerie, le mis en cause risque d’être placé sous mandat de dépôt.
 
Selon Les Echos, qui donne l’information, il doit 18 millions F CFA aux candidats laissés en rade.
 
D’après la Délégation générale au pèlerinage, Conciergerie Voyages n’a pas d’agrément, encore moins de quotas. Ibrahima Opa Diallo serait un usurpateur.

Fonction publique : 1169 fonctionnaires fictifs débusqués

1169 fonctionnaires fictifs ont été débusqués du fichier solde de l’Etat. C’est ce qu’affirme le ministre de la Fonction publique Gallô Bâ qui faisait face aux députés lors du vote du budget de son département.

Plusieurs irrégularités ont été révélées : des salaires encore versés à des agents de l’Etat décédés ou résidant à l’étranger, des cas d’abandon de poste et de salaires virés sur les comptes bancaires de citoyens n’étant pas Sénégalais et des déclarations de maladies de longue durée sans justification, sont autant de fraudes découvertes par les enquêteurs.

Le ministre Gallô Bâ a informé que des audits mensuels effectués par le Gouvernement sur la masse salariale de notre pays, à la suite des résultats de l’audit physique et biométrique des agents de l’État, en 2012.

Ces agents de l’Etat fictif ont coûté aux contribuables sénégalais 5 700 milliards FCFA par an. En outre, indique-t-il, «des missions de vérification de la masse salariale sur la période 2015-2018 ont été effectuées au niveau de la Direction de la Solde par la Cour des comptes, en 2020-2021 ; le rapport définitif est disponible».

Saint-Louis : S. Niang condamné à 2 mois de prison pour avoir charcuté la main de sa mère

S. Niang a été condamné à 2 mois de prison ferme par le Tribunal de grande instance de Saint-Louis. Visage sombre, main bandée, sa mère, M. Gaye, qui l’a attrait à la barre a demandé au juge à ce que son fils soit interdit de remettre les pieds à la maison.
 
D’après le récit de L’Obs, les faits remontent à octobre dernier. S. Niang, qui n’habite pas dans la demeure familiale, se présente à l’improviste et va directement dans la chambre de sa sœur. Sa mère lui demande de quitter les lieux. S. Niang refuse. Il finit par la blesser à la main avec un couteau. La veuve a dû faire appel à des jeunes du quartier pour maîtriser son fils avant de le conduire au commissariat.
« Son père est décédé et il n’y a que des femmes à la maison, a plaidé la mère, face au juge. Quand il est ivre, il menace tout le monde. Il a une fois fait la prison pour les mêmes faits. Je sais qu’il va passer à l’action. Ce n’est qu’une question de temps. »
 
Son fils, qui nie en bloc, lui reproche de l’avoir abandonné à bas âge.
 
Le procureur a décrit le prévenu comme un danger pour sa famille.

[Focus] Restaurants ambulants : Une affaire qui roule

Un camion en cuisine mobile est un concept qui fait ses débuts dans les artères de la capitale. Hamburgers, crêpes ou encore paninis, les vendeurs, en mode diesel, arrivent à séduire par leur cuisine mais aussi  par l’originalité du «restaurant». Le fait de cuisiner dans une voiture paraît insolite pour bon nombre de clients. ‘Food truck’, une expression anglaise qui peut se traduire par «restaurant ambulant» est tout droit importé des Etats-Unis. Le camion restaurant est un mix entre le restaurant traditionnel et le fast-food. Un concept  encore peu répandu au Sénégal. Mais qui roule doucement et sûrement en direction du cœur  des Dakarois. Philippe Deberly, l’un des tout premiers propriétaires de camion restaurant, essaie de le vulgariser via les réseaux sociaux. La chaleur est étouffante aussi bien pour les riverains de Liberté 6 que pour le chef cuisinier en cette matinée. Derrière les fourneaux, le Français s’applique à finir quelques plats. Pas de clients en vue et pourtant son food truck ne passe pas inaperçu. Stationné en face du terrain de Liberté 6, au bord de la route, le véhicule bénéficie d’une position stratégique. Mais ce commerce est loin d’être connu. Pour mettre un coup d’accélérateur sur son concept qu’il juge «original», Philippe a fait appel à une community manager pour une séance de shooting. Les plats doivent donner à voir et à manger. Le dressage d’une assiette de crêpe au chocolat se fait donc  avec beaucoup de soin pour le plaisir des yeux. La community manager ne rate aucune étape de cet art culinaire. Accompagnée de son équipe, elle prend différents clichés destinés aux réseaux sociaux. Une solution marketing digital qui a déjà  fait ses preuves. «Les gens sont très réceptifs, les promos marchent bien et le concept est bien accueilli », déclare Zenab. Selon elle, le business a tout pour plaire et elle espère aider Philippe à obtenir une large clientèle. C’est donc avec plein d’entrain que ce dernier s’active à concocter crêpes et paninis, les spécialités de la maison. Le restaurant ambulant fait dans le sucré-salé et les prix varient de 1.000 F CFA à 4.000 F CFA avec des garnitures différentes.
Le camion s’est garé à Liberté 6 depuis plus de deux ans. Il a tout l’équipement nécessaire digne de la cuisine d’un chef. Le foodtruck est composé de frigos, de grills, de machines à granitas pour les jus en paillettes de glaces, de crêpières et d’une réserve d’eau. Ce restaurant ambulant bien équipé fait la fierté de son propriétaire. Philippe a débuté avec 12.000€ et grâce au food truck, il a pu ouvrir un autre restaurant. Le cuistot a fait du chemin avant de s’installer au Sénégal. Ingénieur en mécanique puis courtier, il s’est finalement reconverti dans la restauration rapide avec plus de dix ans d’expérience. « Il y a trois ans de cela grâce à un ami sénégalais, j’ai décidé de créer ma propre boîte de  food truck», explique le quadragénaire. Le sieur paie une patente à 80.000 FCFA par an à la mairie et a engagé des salariés rémunérés entre  80.000FCFA et 150 .000 FCFA. Une somme dérisoire comparée à ce qu’il gagne. Un projet qui lui rapporterait 200.000 F CFA par mois. 
 
L’originalité et la créativité sont très importantes pour l’ancien ingénieur en mécanique. «Nous nous sommes adaptés aux réalités du pays tout en apportant notre petite touche». C’est donc grâce à son innovation  que Philippe a conquis le cœur des Sénégalais.  
 
Des prix alléchants
 
Un autre food truck trône fièrement au niveau du parking sis en face du Lycée Thierno Seydou Nourou Tall à quelques mètres de Philippe. C’est déjà l’heure de la pause pour les jeunes lycéens. Selbé et sa bande d’amies convergent vers le camion-restaurant. La devanture du véhicule refuse du monde. Ce food truck dépasse de loin en termes de taille celui du Français. A l’extérieur, les tarifs des sandwichs, hot-dogs, norvégiennes et hamburgers sont inscrits sur une petite ardoise. Ils varient de 5.00 FCFA à 1.500 FCFA. Des prix qui attirent les clients. 
 
Deux bancs sont mis à leur disposition devant le camion. Dès leur arrivée, les lycéennes s’assoient tandis que l’une d’elle passe la commande. Les jeunes filles en classe de quatrième sont friandes des hamburgers et elles ne sont pas les seules. En effet, des élèves  du Lycée Galandou Diouf viennent aussi faire ripaille. 
Amadou Baldé et ses deux collègues appuient sur le champignon afin de répondre au plus vite à la demande. A l’intérieur du camion restaurant, ils ne semblent point se soucier de la chaleur. Le véhicule est composé d’une friteuse, d’une plancha, d’une alimentation gaz et d’un plan de travail muni de compartiments où sont rangés les couverts. Il est alimenté par des panneaux solaires  et des bouteilles d’eau de 10 litres sont disposées dans un coin. Le service est assez rapide et le travail se fait à la chaîne. Si Amadou surveille les frites, l’un de ses assistants sort la viande hachée du frigo-bar tandis que l’autre s’occupe d’éplucher les oignons. Quelques minutes d’attente plus tard, Selbé et ses amies sont enfin servies. Ces jeunes filles apprécient particulièrement le camion-restaurant. «Je viens tous les jours. C’est propre et ce n’est pas cher. Par exemple, dans un fast-food, les norvégiennes peuvent coûter jusqu’à 1.500 FCFA alors qu’ils les vendent à 900 FCFA». 
 
Plus de trois food trucks 
 
Un rapport qualité-prix qui fait aussi le bonheur de son amie Mame Diarra : «Les prix sont très abordables. En plus, l’eau nous est offerte». Un petit plus qui ne déplait pas aux clients et aux vendeurs qui se frottent les mains. «Nous avons trois food-trucks», a expliqué Amadou  Baldé, le gérant. Ce qui permet de faire plus de profits. L’un des camions est situé sur les deux voies Camp pénal et l’autre sur les deux voies Sacré-Cœur. 
 
«Il nous arrive aussi de nous déplacer dans d’autres zones afin d’augmenter nos chiffres d’affaires», fait savoir le manager. Ce dernier  travaille en collaboration avec une Sénégalaise basée en France. Celle-ci a confié la tâche au patron de Baldé qui s’est occupé de faire démarrer le food truck. A l’époque, le  trentenaire travaillait depuis six ans avec son patron dans la restauration. Par la suite, son employeur lui a fait part de l’idée de la dame. Quelque temps après, Baldé fait ses débuts dans ce projet. Un projet qui  l’a fait passer  de vendeur à gérant de food-truck. Un business neuf qui, selon le sieur, rapporte quelques bénéfices. On peut dire que ça roule !
 
Un nouveau concept qui trouve acheteurs
 
La profusion de ces genres de business s’explique d’abord par le fait que nous sommes dans une forme de transformation de notre économie. Elle  devient une économie de services. C’est ce qu’avance Souleymane Astou Diagne. Selon le maître de conférences en économie à l’université Alioune Diop de Bambey, ils ont toutes les chances de trouver des clients car ce sont les jeunes qui s’adonnent à ces alimentations. «Le marché est là et l’alimentation est un secteur assez dynamique», affirme-t-il. Il va plus loin en soutenant que les gens sont de plus en plus tentés par ces aliments tels que les hot-dogs, sandwichs, paninis etc. Des produits que nous vendent les USA, la France, les réseaux sociaux pour montrer qu’on est dans l’ère du temps avec des jeunes comme principale cible. 
 
L’émergence de ces foods trucks s’explique aussi, d’après l’économiste, par les mutations profondes de la mondialisation. Cela fait qu’on transfère les modes de vie de l’occident au niveau de nos pays.  Les gens ont donc trouvé des astuces comme cela se fait aux Etats-Unis et en France de mettre en place un système de restauration pour mieux capter des évolutions spécifiques de la demande. «C’est une forme d’alimentation assez spécifique et très rapide moyennant un coût très accessible pour les couches moyennes», a fait savoir Souleymane Astou Diagne. Il parle notamment de l’aspect qualité/prix par rapport aux autres services qui sont dans l’alimentation. «Cela explique aussi la raison pour laquelle cela prospère dans nos pays», renseigne-t-il. Des prix alléchants au grand bonheur des acheteurs.

Faux projet d’industrie pharmaceutique : Comment le comédien Amdy mignon et plusieurs victimes sont tombés dans le piège

Entre 2018 et 2022, la cybercriminalité a reçu plus de 40 plaintes de victimes escroquées de sommes comprises entre 5 et 100 millions F CFA. Le comédien Amdy mignon fait partie des plaignants, révèle L’Obs.
 
Selon le journal, le mode opératoire est le suivant : Aramata Diédhiou, hôtesse de caisse, dans plusieurs hôtels de la place, fournit à la bande le numéro des grands businessmen du pays, entre autres profils capables de dégainer de fortes sommes d’argent.
 
C’est après qu’Aïssata Diallo entre en jeu. La femme divorcée enquête sur la situation socio-économique de leurs cibles, leurs entourages et leurs fréquentations. Après une bonne maîtrise du terrain, Lamine et Sanogo déroulent le plan sur les réseaux sociaux. Avec des numéros de téléphones étrangers, ils contactent la cible, se faisant passer pour une connaissance ou font croire qu’ils ont les coordonnées par l’entremise d’un ami ou parent proche.
Une fois que la cible a pris à l’hameçon, ils présentent leur faux projet, expliquant qu’ils travaillent avec des Européens dans une industrie pharmaceutique. Documents à l’appui, ils vous demandent d’investir dans le marché « très porteur » de la vente d’Aléo vera et de graines de moringa.
 
L’arnaque découverte, la police a fini par les arrêter. Il s’agit des instigateurs, Mamadou Lamine Solly, Abdoulaye Sanogo, et leurs complices, Aïssatou Diallo, et Aramata Diédhiou.
 
Une perquisition dans leurs domiciles respectifs a permis de mettre la main sur 40 téléphones avec puces étrangères. L’exploitation de ces téléphones a conduit à l’arrestation de Mame Diarra Fall, femme de ménage de Sanogo, Astou Sène, épouse de Solly, et Salimata Diallo, épouse de leur complice basé au Togo.
 
Ils risquent entre 7 ans et 1 an ferme de prison, selon leur degré d’implication. Ils seront fixés sur leur sort le 5 janvier prochain, date du délibéré du procès.

Sergent Fulbert Sambou : Ses proches exigent une autopsie

Les proches du Sergent Fulbert Sambou ne sont pas convaincus par la thèse de la mort par noyade. L’Adjudant-chef Didier Badji en service en l’inspection générale d’État (IGE) et le Sergent Fulbert Sambou, de la Direction des Renseignements militaires, n’ont plus fait signe de vie depuis la soirée du samedi 19 novembre.
D’après Source A, le corps était jusqu’à hier entre les mains de l’Armée. Sa famille exige une autopsie.
Aux dernières nouvelles, l’autopsie a été abandonnée. L’état de putréfaction du corps repêché mercredi ne permettant pas une telle intervention, d’après Libération.
Leurs proches estiment qu’ils connaissaient les moindres recoins du site sur lequel ils effectuaient une partie de pêche avant qu’ils ne soient portés disparus.
Une rencontre est prévue ce samedi pour voir la suite à donner au dossier. Comme lors du point de presse tenu jeudi par les ressortissants des îles Bliss Kassa, de la commune de Kafountine, où sont originaires l’adjudant-chef Didier Badji et le sergent Fulbert Sambou, une déclaration est attendue.

Selon le ministre de la Fonction publique : La masse salariale des fonctionnaires s’élève à 1097 milliards Cfa​

Lors du passage du ministre de la Fonction publique à l’Assemblée nationale pour le vote de son budget au titre de l’exercice 2023, Moustapha Bâ, ministre des Finances et du budget, est revenu sur la masse salariale des fonctionnaires. D’après lui, elle s’élève à 1097 milliards Cfa à fin octobre 2022. «En 2011, les fonctionnaires étaient au nombre de 91.401 pour une masse salariale de 428 milliards et un ratio de 4.682.266 Cfa par agent public par an. Au mois d’octobre 2022, ils sont 165.191 agents publics pour une masse salariale de l’ordre de 1097 milliards à peu près, pour 6.440.797 Cfa par agent public et par an», a fait savoir le ministre des Finances et du Budget.

Leur rassemblement interdit : Les taximen descendent le préfet de Dakar

2022, ils sont 165.191 agents publics pour une masse salariale de l’ordre de 1097 milliards à peu près, pour 6.440.797 Cfa par agent public et par an», a fait savoir le ministre des Finances et du Budget.​

 

 

LEUR RASSEMBLEMENT INTERDIT…​

 

 

Les taximen descendent le Préfet de Dakar​

 

 

Le rassemblement du Regroupement des taxi du Sénégal prévu ce vendredi, au Conseil exécutif du transport durable (Cetud), a été interdit par le préfet de Dakar, pour risque de trouble à l’ordre public et risque d’entrave à la libre circulation, a-t-on évoqué. Les taximen ne décolèrent pas après que le préfet de Dakar a interdit leur manif ce vendredi. Ils voulaient ainsi dénoncer le système de clando en ligne mis en œuvre par de nouvelles sociétés de la place, Yango, Yassir etc. Malick Diop, qui a porté leur parole,​ parle de «motifs trop légers. Le préfet est coutumier des faits, à​ chaque fois que nous voulons manifester, il prend ces genres de décision». Ces taximen dénoncent, entre autres, l’attitude du gouvernement, notamment la tutelle qui favorise le transport irrégulier au Sénégal. Aussi, réclament-ils​ l’arrêt immédiat du clando en ligne, des tiak tiak et autres clandos classiques.

Université Alioune Diop de Bambey : Une étudiante retrouvée morte dans sa chambre

Une étudiante en 3ème année en SRT (Systè­me des réseaux téléc­ommunications) à l’U­niversité Alioune Di­op de Bambey du nom de Fatou Thialaw, a été retrouvée morte dans sa chambre. La découverte macabre a eu lieu dans la jou­rnée de ce vendredi 25 novembre 2022. Selon les témoignages de ses camarades de promotion, la vict­ime était seule dans sa chambre au moment du drame. Fatou Th­ialaw, qui avait une crise d’asthme se serait enfermée dans sa chambre. Un fait qui laisse croire que l’étudiante sera­it morte dans des ci­rconstances où elle se trouvait sans ass­istance. Fatou Thial­aw est décrite comme une étudiante modèl­e, calme et travaill­euse. La dépouille serait transportée da­ns un hôpital de la place pour les besoi­ns de l’autopsie. Une enquête a été ou­verte.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention