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Vers la hausse du prix de l’électricité, du carburant…

En annonçant la réduction de la subvention sur l’énergie à 2 pour cent du produit intérieur brut, Moustapha Ndjek Sarre, le ministre de la formation professionnelle et porte-parole du
gouvernement ne l’a pas dit. Mais une telle réduction va impacter sur le coût de l’électricité, du carburant et du gaz butane. Le gouvernement du premier ministre Ousmane
Sonko a décidé selon le ministre de la formation professionnelle et porte-parole du gouvernement de limiter les subventions énergétiques à 2 % du produit intérieur brut JB (PIB) d’ici 2025.

La réduction des subventions sur l’énergie va augmenter les factures d’électricité

Moustapha Njek Sarré, ministre de la Formation professionnelle et porte-parole du gouvernement qui a fait l’annonce justifie cette réduction par la « rationalisation
stricte des subventions énergétiques”. L’objectif étant pour ce ministre, un meilleur accès des populations à l’énergie. En tout cas si les subventions sont réduites, entraînant une hausse sur les prix des produits concernés, l’accès à l’énergie sera plus difficile pour les
consommateurs qui devront débourser plus.

Peut-il y avoir meilleur accès à l’énergie si les
subventions sont réduites ?

Pour cette réduction, le ministre Sarre cite la Direction générale de la planification et des politiques économiques, évoquant son rapport du mois de mai 2024. Le ministre de renseigner sur les « subventions à l’énergie représentent actuellement plus de 4 % du PIB».

Les subventions vont être réduite de moitié sur
l’électricité, le carburant et le gaz

Et que cela concerne « l’électricité, l’essence, le supercarburant, le gasoil et le gaz butane ». Comme l’a fait savoir le ministre de la formation professionnelle et porte-parole du gouvernement, les aides sur ces produits vont r être réduites d’ici fin 2025. Dans ce cas leur coût va inéluctablement connaître une hausse même si pour l’électricité le ministre prévient que les impacts sociaux seront pris en compte pour les ménages vulnérables.

Les deux premières dames à fond dans des actions sociales et œuvres caritatives : pour quel coût ?

Ce n’est pas un délit pour un Président sénégalais que d’avoir deux épouses. C’est seulement inédit au Sénégal avec l’avènement de Bassirou Diomaye Diakhar Faye, élu président de la République à seulement 44 ans souligne Actusen. Dans la pauvreté et la richesse, dans la santé et la maladie, dans le pouvoir, tout comme dans l’impuissance ou la subordination, bref dans les liens sacrés du mariage, Marie Khone Faye et Absa Faye ont le privilège de partager leur vie avec le premier des Sénégalais.

Si elles n’étaient pas connues du grand public avant l’arrivée de leur époux au pouvoir ; elles étaient pour rappel présentées par Ousmane Sonko lors du meeting de clôture, le vendredi 22 mars 2024, de la coalition Diomaye Président au Stade Caroline Faye de Mbour, Marie Khone Faye et Absa Faye sont déjà bien et à fond dans leurs rôles de Premières dames, dont la réputation a toujours été, ici et ailleurs, d’assister son époux de Président dans sa politique sociale.

Marie Khone Faye, ou la première dame s’est déplacée à Ndiaganiao pour assister les siens en denrées alimentaires et matériels sanitaires ; 920 sacs de riz, 184 cartons de sucre, 231 cartons d’huile, ainsi que des nattes, des sachets de lait en poudre, des paquets de dattes et entres autres produits essentiels pour les ménages ont été déchargés dans 3 camions remplis de vivres

Commençons par Marie Khone Faye, la première Dame. La maman de Ousmane Sonko Faye s’est rendue, il y a une semaine, le jeudi 27 février dernier, à Ndiaganiao, sa commune d’origine, à quelque 115 Km de Dakar, pour apporter son soutien aux siens. Selon plusieurs sources, la visite a été marquée par la distribution de denrées alimentaires et de matériels sanitaires. Il a ainsi été déchargé dans trois camions, 920 sacs de riz, 184 cartons de sucre, 231 cartons d’huile, ainsi que des nattes, des sachets de lait en poudre, des paquets de dattes et entres autres produits essentiels pour les ménages. « Je suis ici pour rendre visite à cette population de Ndiaganiao à laquelle j’appartient. Mais aussi pour vous remettre ce don qui vous sera utile dans les jours à venir », dira-t-elle à la fin de la cérémonie de remise de dons, au micro de la chaîne nationale, la RTS.

Quant à elle, Absa Faye, la deuxième Première dame a choisi Mbour pour apporter son soutien à tous les orphelins mineurs du Sénégal, non sans s’engager à faire le plaidoyer auprès de son époux de Président pour la vulgarisation des pouponnières à travers le pays

Pour sa part, Absa Faye, qui était empêchée jusque-là par son état de santé, avant de donner naissance récemment à une mignonne fille qui portera le nom de Khady Ngom Faye, a également repris du service en tant que deuxième Première dame. La seconde épouse du Président Diomaye était avant-hier aux côtés des enfants de la pouponnière de Mbour. Dans son discours, elle a salué la prise en charge dont bénéficie sur place les enfants orphelins. Mais ce n’est pas car Absa Faye s’engage à faire le plaidoyer, auprès de son époux et d’autres partenaires sociaux, pour vulgariser davantage les pouponnières à travers le territoire national. “Je soutiens la nécessité d’étendre et de renforcer le réseau des pouponnières à travers le pays, afin que chaque enfant privé de soutien familial puisse grandir dans un environnement aimant et sécurisé”, a-t-elle promis devant les bouts de bois de Dieu. En réitérant son engagement auprès de son époux, pour soutenir les initiatives visant à renforcer la prise en charge des orphelins au Sénégal, Absa Faye dira que l’État et les institutions doivent continuer à œuvrer pour la construction d’un environnement social et sécuritaire favorable à la croissance de ces enfants, en mettant l’accent sur la solidarité et l’action collective.

Même si elles n’ont pas annoncé officiellement, la création d’une Fondation, en synergie ou séparément, Marie Khone et Absa Faye s’inscrivent dans la conduite de leurs prédécesseurs 

Même si officiellement, les Premières Dames n’ont pas annoncé la mise en place d’une Fondation caritative, leurs actions entrent quand même dans ce cadre. Porter secours et assistance aux communautés dans le besoin. En effet, s’il est de coutume de voir une première dame mettre en place une Fondation, dès l’accession de son époux au pouvoir, il convient de reconnaître que c’est une grande première d’assister à l’avènement de deux Premières dames à la fois, et qui s’inscrivent toutes dans la ligne déjà tracée par leurs prédécesseurs. Une question vaut tout son pesant d’or avec ce cas de figure. Quelles soient conjointes ou séparées, les activités sociales de nos deux first ladies vont-elles coûter combien au contribuable sénégalais durant ce quinquennat ? Difficile de répondre à cette question, certes, même si les nouvelles autorités ont manifesté leur volonté de rationaliser les dépenses de l’État, invitant même les populations à se serrer la ceinture pour un moment.

En Afrique du Sud sous l’ère Zuma, l’enveloppe allouée par l’État à la famille présidentielle avait rapidement pris l’ascenseur quand l’ancien Président avait choisi d’être polygame, avec… 5 épouses 

L’Afrique du Sud, sous l’ère Zuma, pourrait bien illustrer l’entretien des compagnes présidentielles aux frais de l’État. En quatre ans, depuis 2008, Jacob Zuma a épousé trois femmes : Nompumelelo Zuma, Thobeka Zuma et Bongi Ngema-Zuma, alors qu’il était déjà marié depuis longtemps à Sizakelle Zuma. Selon la loi en vigueur en Afrique du Sud, l’Etat prend à sa charge les frais d’éducation des enfants présidentiels jusqu’à l’âge de 27 ans s’ils poursuivent des études, ainsi que les dépenses en secrétariat, déplacements et forfait journalier des premières dames.  L’enveloppe allouée par l’Etat à la famille du président Zuma, avait dépassé 15,5 millions de rands [1,5 million d’euros], soit 975 000 000 de nos francs. Sous la présidence de Thabo Mbeki (1999-2008), elle était de 8 millions de rands.  Cette somme a doublé depuis l’arrivée au pouvoir de Jacob Zuma en avril 2009. De quoi alimenter le mécontentement des contribuables, avait expliqué le Mail & Guardian à l’époque.

Au Nigéria, l’ancien Président Buhari avait supprimé le poste de Première dame, estimant que c’était contraire à la Constitution, et un gaspillage de l’argent public ; non sans dire, plus tard, que la place de sa femme était à la cuisine, dans le salon et l’anti-chambre

Dès son accession à la magistrature suprême, en mai 2015, l’ancien Président nigérian,  Muhammadu Buhari a d’ailleurs supprimé le poste de Première Dame dans le pays. C’était, selon lui, contraire à la Constitution, et un gaspillage de l’argent public. Il n’avait pas manqué de dire aux détracteurs de son épouse, Aïcha Buhari, que “sa place est à la cuisine, dans le salon et l’autre chambre.”

Pendant 12 ans d’existence, jamais la Fondation Servir le Sénégal n’a été auditée par les corps de contrôle, en violation flagrante de la Loi

Si le Premier ministre, lors de son dernier passage à l’Assemblée nationale, a annoncé l’auto-audit de la Présidence, estimant que c’en est une grande première, ce n’est pas sûrement pas Bassirou Diomaye Faye qui s’opposera à l’audit des activités onéreuses de ses épouses, Marie Khone et Absa Faye comptaient bien s’investir dans le social.

Car, par le passé, il a été reproché à l’Inspection Générale d’État de n’avoir pas auditer la Fondation Servir le Sénégal avant sa dissolution.  “On n’a jamais vu un rapport de l’Inspection générale d’Etat sur la fondation Servir le Sénégal”, avait constaté, en 2020, le Coordonnateur du Forum civil, dans l’émission “Grand Jury” de la RFM.  Birahime Seck, Coordonnateur du Forum Civil.

 

Même si l’IGE est compétente pour vérifier tous les organismes qui sont dans la générosité publique, conformément à l’article 6 de la loi 2011-14 du 8 juillet 2011, la Fondation Servir le Sénégal n’a jamais été soumise à cet exercice, durant ses 12 ans d’existence. La fondation Solidarité-Partage de l’ancienne première dame Elisabeth Diouf, comme de l’ex-première dame Viviane Wade, ont fait l’objet de contrôles de la Cour des comptes, avait rappelé M. Seck. Si Colette Senghor était beaucoup plus préoccupée, visiblement, par l’héritage de son époux de poète-président, notamment ses archives, Elisabeth Diouf a été la première Première dame à se faire remarquer comme telle. A travers sa Fondation Solidarité-Partage, Mme Diouf faisait bénéficier de nombreux moulins à céréales aux femmes, alors que son époux, dans sa politique sociale, avait fait de l’accès à l’eau potable une priorité. Ce qui avait permis à raccorder les grandes villes du pays au réseau de distribution d’eau et de doter les zones rurales en forages. Le couple présidentiel Abdou-Elisabeth, rappelle BBC, a été surnommé “M. Forage et Mme Moulin” par Me Abdoulaye Wade, le leader de l’opposition à l’époque qui succédera à Abdou Diouf en 2000.

D’un hôpital moderne, l’hôpital de Nénéfécha de Kédougou, dont le financement a été estimé à 200 millions FCFA, est passé d’un poste de santé au fil des années par défaut d’entretien 

Quant à Viviane Wade, elle a été la promotrice de l’hôpital de Nénéfécha, un village Bedik situé à 40 kilomètres de Kédougou, près de Bandafassi. Cet hôpital moderne, dont le financement a été estimé à 200 millions FCFA, a été inauguré le 6 novembre 2002. Il comprenait un bloc opératoire, une maternité, une case de soins et des logements pour les médecins et les infirmiers. Complètement en ruine, quelques années plus tard, il a été fermé le 30 juin 2013 avant de rouvrir ses portes en 2014, avec l’aide de l’ONG Vision mondiale, puis érigé en poste de santé. Parallèlement, Mme Wade faisait également la promotion de l’éducation…

Maroc – L’ancien président Macky Sall n’a reçu aucune notification du cabinet royal chérifien de quitter le territoire

Un pétard mouillé. L’extradition de l’ancien président sénégalais Macky SALL vers Dakar n’est pas à l’ordre du jour. Confirmée par des sources autorisées à Confidentiel Afrique en exclusivité, Rabat confirme qu’aucune procédure administrative ou pénale n’est en cours de traitement. Détails exclusifs.

Une information circule sur la toile depuis ce mercredi, reprise par plusieurs médias dakarois et qui fait état d’une demande du Maroc à l’ancien président du Sénégal, Macky SALL ( (2012- 2024) de quitter son territoire. En exclusivité, Confidentiel Afrique qui s’est rapproché du cabinet-shadow chérifien pour en avoir le cœur net, peut révéler que cette sortie surprenante est un gros « pétard mouillé » qui cache mal des intentions visant à nuire et à fragiliser les relations diplomatiques sénégalo- marocaines au beau fixe.

Comme un harpon jeté en haute mer, des informations sur un « éventuel départ » de l’ancien président Macky SALL du territoire marocain, sur la demande des autorités du Royaume Chérifien, ont été distillées sur la toile via le portail mauritanien Cridem.Org et reprises largement par des médias sénégalais. Après plusieurs recoupements, Confidentiel Afrique pour en avoir le coeur net, peut confirmer de l’inexistence d’une quelconque requête du Maroc à faire extrader l’ancien président Macky SALL de son territoire vers le Sénégal.  « C’est vous qui me l’apprenez, je ne sais pas vraiment  d’où vient cette information. A l’heure où je vous parle, aucune procédure administrative ou pénale allant dans le sens d’extrader Macky SALL vers Dakar n’est à l’ordre, encore en instance de traitement. Les autorités sénégalaises ne nous ont pas saisies » confirment des sources marocaines autorisées, proches du cabinet royal à Confidentiel Afrique. Et de poursuivre: « l’ancien président Macky SALL qui vit à Marackech depuis son départ du Sénégal jouit toujours de la confiance et est bien traité comme un résident de marque, ami du Roi Mohamed VI et du peuple marocain ».

Cette sortie médiatique toutefois surprenante, est perçue auprès du premier cercle du Roi Mohamed VI comme une sorte de ballon de sonde, pour jauger la capacité de résilience de survie encore sur le territoire marocain de l’ex-président SALL face aux dégâts financiers « énormissimes » commis par les anciens dignitaires du régime Macky SALL. Pour l’instant, Rabat reste éloigné des affaires dites « scrabeuses », qui ont ouvert le mercato des auditions et des emprisonnements et garde sa sérénité diplomatique envers Dakar.

(Actunet avec Confidentiel Afrique)

Macky a-t-il vraiment été déclaré persona non grata au Maroc ? Ce qu’en dit Papa Malick Ndour

Le président Macky Sall a-t-il vraiment été déclaré persona non grata par les autorités marocaines qui lui auraient dit de quitter leur pays ?

«Quand le porte-parole d’un gouvernement se permet de condamner le président Macky Sall avant même de trouver des griefs contre lui, ça n’étonnerait pas que notre diplomatie se ridiculise ainsi en demandant l’extradition d’un président qui n’est pas condamné. Donc de notre point de vue, ce n’est pas une information sérieuse», a réagi Papa Malick Ndour, membre de l’Alliance pour la République (Apr).

L’ancien ministre se demande sur quelle base le Sénégal demanderait au Maroc une collaboration judiciaire concernant le président Macky Sall. Et surtout, pour quel délit ou pour quel crime. «Un président de la République ne peut être poursuivi que pour haute trahison, et Macky Sall n’a pas été mis en accusation. Donc cette requête serait basée sur quoi ?», interroge-t-il dans L’Observateur.

Pour le responsable de l’Apr, tout ceci est fait à dessein et ne vise qu’à ternir l’image et le leadership du président Macky Sall : «Ils veulent salir son nom et son image, mais c’est peine perdue. Ce n’est rien d’autre que de la méchanceté de la part de ceux qui, au contraire, devraient plutôt profiter de l’aura de Macky Sall pour parfaire leur image à l’international.»

Pape Malick Ndour s’étonne surtout que cette information n’ait été publiée que par un site mauritanien.

le chargé de communication de Farba Ngom, Abdoulaye Ndiaye condamné à 6 mois de prison

Le verdict est tombé ce mercredi 5 mars 2025. Le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné Abdoulaye Ndiaye à six mois de prison ferme et à une amende de 200 000 FCFA. Chargé de communication de Farba Ngom, il était poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et propos contraires aux bonnes mœurs. Ses déclarations tenues lors d’un live avec Kaliphone lui ont valu sa condamnation. En effet, il y affirmait qu’un scandale entourait le voyage du Premier ministre Ousmane Sonko en Mauritanie à bord de l’avion présidentiel. Il soutenait également que l’arrestation de Samuel Sarr visait à entraver un projet de centrale électrique, avant d’appeler les populations du Fouta à se mobiliser contre le régime en place, qu’il accusait de les marginaliser. Ces propos lui ont valu une arrestation par le Pool judiciaire financier, dans le cadre de l’inculpation de son mentor, Farba Ngom.

Devant la cour, Abdoulaye Ndiaye a assumé ses déclarations, tout en insistant sur leur dimension politique. «J’ai parlé sous le coup de l’émotion, car l’arrestation de Farba Ngom m’a profondément touché. Cela m’a rappelé ce qu’Ousmane Sonko a vécu lorsqu’il était poursuivi. Je ne pensais pas que mes paroles pourraient me valoir des poursuites, surtout en voyant d’autres personnes tenir des discours similaires sans conséquence. Mais si cela a pu heurter, je présente mes excuses», a-t-il expliqué. Le procureur de la République a vu dans ces propos une atteinte grave à la stabilité nationale et a requis six mois de prison, dont trois ferme, estimant qu’une sanction exemplaire était nécessaire. La défense, assurée par Me Ousmane Thiam, a reconnu que son client avait pu dépasser certaines limites, tout en plaidant la clémence et en insistant sur l’absence d’intention malveillante. Après avoir délibéré, le tribunal a condamné Abdoulaye Ndiaye à six mois de prison ferme assortis d’une amende de 200 000 FCfa.

actunet.net avec  Aïssatou TALL 

Direction de PETROSEN : Thierno Seydou LY viré

Le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines connaît un remaniement important, marqué par plusieurs nominations annoncées lors du conseil des ministres de ce mercredi. Ces nouvelles affectations visent à renforcer la gouvernance et l’efficacité des structures stratégiques du secteur.

Fatou Mbow LY a été nommée Directeur général de l’Énergie. Ingénieure en génie électrique, elle était jusqu’ici Directeur principal Équipement à la Société nationale d’électricité (SENELEC).

Papa Samba BA, ingénieur pétrolier (matricule de solde n° 740089/H), précédemment Directeur des Hydrocarbures, devient Directeur général du Contrôle et du Suivi des Opérations.

Talla GUEYE, également ingénieur pétrolier, prend la tête de PETROSEN Exploration et Production, en remplacement de Thierno Seydou LY, appelé à d’autres fonctions.

Lamine DIOUF, ingénieur géologue (matricule n° 674 982), accède au poste de Directeur du Contrôle et de la Surveillance des Opérations Minières à la Direction générale du Contrôle et du Suivi des Opérations.

Ibrahima NOBA, ingénieur pétrolier et ex-conseiller technique du Directeur général de PETROSEN, est désigné Directeur Exploration et Production à la Direction générale des Hydrocarbures.

Babacar CISSE, juriste et expert de l’aval pétrolier, prend le poste de Directeur de l’Approvisionnement, Transformation et Distribution à la même direction.

En matière de transition énergétique, Yaye Catherine DIOP, ingénieure énergéticienne, devient Directeur de la Transition énergétique. Elle était auparavant chef de la Cellule Transition énergétique.

La Direction de la Stratégie et de la Réglementation est désormais dirigée par Aminata Seck NDAO, juriste (matricule n° 740 807/K), qui occupait jusqu’ici la fonction de Directeur de la Réglementation, de la Production Minière et des Statistiques.

Fatou Thiam SOW, ingénieure statisticienne (matricule n° 617 898/E), est promue Directeur de la Planification, des Études et du Suivi-Évaluation, après avoir assuré la direction de la Planification, des Études et du Système d’information énergétique.

Le Comité d’Orientation stratégique du Pétrole et du Gaz « GES-PETROGAZ » sera désormais dirigé par Fodé NDAO, expert juriste, nommé Chef de l’Unité d’Exécution et de Gestion, en remplacement de Philippe Bacoumba FAYE.

Enfin, Saliou SAMB, ingénieur géologue (matricule n° 670 434), est nommé Directeur de la Géologie à la Direction générale des Mines et de la Géologie.

Ces nouvelles nominations s’inscrivent dans une dynamique de renforcement des compétences et de redynamisation des différents départements stratégiques du secteur énergétique, minier et pétrolier national.

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