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Mondial: homosexuel assumé, le footballeur australien Josh Cavallo fustige la Fifa
Pourquoi il faut bien choisir son école de formation professionnelle
Les écoles de formation professionnelle et technique poussent comme des champignons. Mais une bonne partie n’a pas le droit de dispenser des enseignements.
C’est le résultat d’un audit du secteur qui vient d’être bouclé par le ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion.
D’après Le Soleil, qui la cite dans son édition de ce mardi, l’étude concerne 447 établissements dont 70% sont concentrés entre Dakar et Thiès. Elle révèle aussi que seuls 43,75% des écoles ont une autorisation définitive.
Les auditeurs ont ainsi découvert que 46,19% disposent d’autorisation provisoires et 8,6% sont dans l’illégalité puisque n’ayant reçu aucun agrément.
Autre problème relevé par l’audit : 16% des filières enseignées ne sont pas autorisées au Sénégal.
Les infections bactériennes, deuxième cause de décès dans le monde
Mondial 2022 : la vérité sur la «brouille» entre Yankhoba Diattara et Abdoulaye Sow au Qatar
D’après une information parue jeudi dernier, le ministre des Sports, Yankhoba Diatta, a été viré de l’hôtel des Lions au Qatar par son collègue de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, Abdoulaye Sow, par ailleurs vice-président de la Fédération sénégalaise de football (FSF). Le ministre du Commerce et des PME, Abdou Karim Fofana, porte-parole du gouvernement, laisse entendre que c’est faux. «Il faut comprendre que nous sommes à l’époque des fake news, rappelle-t-il dans un entretien avec Wal fadjri. Je ne pense pas que cela soit une information avérée pour avoir rencontré les concernés. On a discuté de beaucoup de choses et ils m’ont confirmé que cela n’est pas avéré.»
Abdou Karim Fofana martèle : «Nous sommes à une époque- que ce soit nous les hommes politiques, le grand public ou la presse- où nous sommes victimes de désinformation. Quelques fois les propos que je tiens en tant que porte-parole du gouvernement, dans leur transcription par les médias, sont déformés. On a envie de corriger mais si l’on corrige, on change la posture. Nous en sommes tous victimes. Les deux ministres m’ont assuré qu’il n’y a jamais eu de difficultés de cette nature.»
Un «secret» à propos de la subvention sur le riz
Lors des concertations sur la vie chère, il n’était pas question de subventionner le riz. Les participations aux assises ont estimé correct le prix de 350 francs CFA pour le kilo du non parfum importé d’Asie. Ils étaient arrivés à cette conclusion après avoir comparé avec les prix appliqués pour la même denrée au niveau des pays de la sous-région.
Mais le Président Macky Sall a posé son véto, demandant aux acteurs des concertations de baisser le prix du kilo. «Le président de la République a (avancé comme argument) que le riz est la denrée la plus consommée par les Sénégalais. Donc, il a insisté», a révélé dans Wal fadjri Abdou Karim Fofana, le ministre du Commerce et des PME.
«Et je rappelle que ce n’est pas la première baisse, s’est empressé d’ajouter ce dernier. Parce que normalement le riz aurait dû être à 350 francs CFA le kilo. Mais on a fait un premier effort avec les droits de douane et autres. Nous sommes aujourd’hui à zéro droit de douane et zéro fiscalité (sur le riz). Nous sommes même allés jusqu’à faire des chèques aux importateurs. Et aujourd’hui (hier, lundi 21 novembre), nous avons une réunion pour définir les critères d’éligibilité.»
Énergie durable : L’Union européenne et la CEDEAO initient un programme de bourses pour les étudiants post-diplômés
Air Sénégal : un vol annulé cinq fois, 40 heures d’attente, 200 passagers en colère
Plus de 200 passagers d’Air Sénégal ont manifesté leur colère hier, lundi, à l’AIBD avant d’embarquer pour New York puis Baltimore. D’après Les Échos, qui raconte leur mésaventure dans son édition de ce mardi, leur vol était initialement prévu dans la nuit du dimanche au lundi à 2 heures du matin. Une heure et trente minutes après le moment initialement fixé pour le décollage, les responsables de la compagnie annoncent le report du vol.
Le journal rapporte que plusieurs passagers ont affiché leur déception sur le champ. Mais ils n’étaient pas au bout de leur peine. En effet au lieu de décoller aux aurores, comme promis par Air Sénégal, les passagers apprennent que le vol est une nouvelle fois décalé à 8 heures. Et ce n’était pas fini.
Les plus de 200 infortunés seront ensuite informés qu’ils partiront finalement à 12 heures puis à 13 heures. Il ne s’envoleront qu’à 15 heures. Et il a fallu qu’ils manifestent bruyamment leur courroux dans la salle d’embarquement, indiquant qu’ils n’accepteraient aucun nouveau report, pour qu’Air Sénégal décide de faire décoller le vol HC407.
Les Échos rapporte que ce weekend la plupart des vols de la compagnie ont subi des retards. Ce qui a causé beaucoup de dommages aux passagers, surtout ceux qui devaient prendre des correspondances.
Les lions privés de Kouyaté pour le reste du premier tour
Au-delà de la défaite (0-2) concédée face aux Pays-Bas, les lions ont perdu deux cadres lors de la rencontre. Abdou Diallo a subi une blessure musculaire, et on n’en sait pas encore plus sur la durée de son indisponibilité.
Quant à Cheikhou Kouyaté, nos confrères de E-media rapportent qu’il souffre d’une déchirure de la cuisse et qu’il sera absent lors des deux prochains matchs contre le Qatar et l’Équateur.
Kouyaté est sorti à la 70ème minute du match après être mal retombé lors d’un duel aérien.
Affaire des 6 milliards F CFA volés : Orabank sur les traces d’une mafia
Le détournement de plus de 6 milliards F CFA à Orabank est loin de son épilogue. Selon “Libération” qui rapporte l’information dans son édition du jour, il s’agit d’un banditisme financier sans précédent bâti sur un système de flux financiers bidon, de prête-noms, de complicités internes, de clients fictifs, de sociétés-écrans…
L’enquête sur le détournement au préjudice d’Orabank suit son cours. Il s’est avéré que Moussa Ndiaye de la société Sam Sam SARL, le beau-fils d’un haut dignitaire d’une grande confrérie religieuse, est le présumé cerveau de cette affaire de plus de six milliards F CFA.
Selon nos confrères, l’opérateur économique a été interpellé par la banque avant le dépôt de la plainte. Moussa Ndiaye a prétendu que les sommes tirées des chèques reçus de ses supposés clients, notamment la Compagnie de commerce et d’industrie SA, Tiema Transit et Sogeci Company SA étaient destinées à l’achat d’huile à un prix intéressant, puis à la revente pour réaliser ainsi des marges importantes, alors que la situation des comptes des tirés ne permettent pas la couverture de l’ensemble des chèques remis à l’encaissement avec crédit immédiat, lesquels, du reste, ont tous fait l’objet de rejet pour défaut de provision à la même période, informe-t-elle.
Les mis en cause ont commencé à solliciter des remises de chèque avec crédit immédiat et procédé à des retraits d’espèces qu’ils prétextaient remettre à leurs prétendus fournisseurs, mais qui, en réalité, servaient à rembourser les emprunts antérieurs de leurs complices et co-auteurs.
Ainsi, après avoir amadoué leur chargé de compte, les présumés coupables ont commencé à multiplier les prêts transactions sur une période de quatre mois, faisant ainsi croire que leurs activités étaient florissantes avec des mouvements de crédits de plus de 40 milliards F CFA sur les différents comptes ouverts à Orabank.
À en croire le journal, ce procédé n’était qu’un écran servant à dissimuler les opérations commerciales et de faire passer pour des gains des sommes issues de nouvelles remises de chèques avec crédit immédiat.
D’après l’enquête en cours diligentée par la Direction des investigations criminelles, certaines entreprises mises en cause seraient des prête-noms. Car, lit-on dans les colonnes du journal, toutes les personnes concernées sont nées dans la même zone et n’ont pas plus de 24 ans. Donc, il est clair que cette mafia a pu se dérouler grâce à des complices internes. C’est pourquoi le comité de crédit d’Orabank a été dissous.









